Bonjour.
Je m'étonne de l'ouverture des journaux télévisés de Tf1 et France 2 à
propos du procès d'un vigile complètement défiguré, qui n'a plus de mains,
enfin dans une situation de vie insoutenable. Ce monsieur déclare ne
ressentir aucune haine. Pas sa femme...
Or, que précisent en choeur Tf1, France 2, Europe 1, Rtl, pas France Inter,
c'est à noter ? Que les onze jeunes hommes qui ont agi envers ce vigile sont
d'origine maghrébine.
Comment peut-on lutter contre le racisme après ça ? Comment dire à un
militant du Front, du Bloc identitaire ou je ne sais quelle autre obédience
d'extrême-droite, qu'on ne doit pas faire d'amalgame, que tous les arabes ne
sont pas des fous dangereux, doublés d'islamistes terroristes ? Lui vous
répondra qu'un jour, le peuple européen de souche se soulèvera et chassera
la racaille du territoire et que le mélange entre races n'aura jamais lieu
et bla bla bla, et bla bla bla.
Les journalistes sont en train de construire, sans s'en rendre compte, une
bombe qui ne va pas tarder à exploser. Si les gamins avaient été "blancs",
ils auraient dit des "Français d'origine française avec des noms français,
rassurez-vous" ? Et nous, ouf, ce sont des sauvages, ils ont détruit un
homme, mais ils sont blancs, donc ça va...
--
Quand on laisse venir 300.000 personnes chaque année en France sans travail, sans logement, à la charge de l'aide sociale, alors forcément on en fait des pauvres et des délinquants.
Tout dépend du niveau de croissance de l'économie. Pendant les "trente glorieuses", on ne les laissait pas venir, on allait les chercher, et il n'y en avait quand même pas assez.
Il n'était pas prévu qu'ils restâssent...
On passe donc à "et pourquoi l' Europe connaît-elle une crissance molle?" au débat sur la Constitution Européenne et au rôle de la Banque Centrale Européenne.
La France ( l'Europe ) n'est pas les Etats-Unis.
L'immigré au US n'a pas d'aide sociale.
On ne répond pas, Elie ?
Callimaque wrote:
Elie Arié wrote:
"j_dm2" <INVALID@INVALID.FR> a écrit
Quand on laisse venir 300.000 personnes chaque année en France sans
travail, sans logement, à la charge de l'aide sociale, alors
forcément on en
fait des pauvres et des délinquants.
Tout dépend du niveau de croissance de l'économie.
Pendant les "trente glorieuses", on ne les laissait pas venir, on
allait les chercher, et il n'y en avait quand même pas assez.
Il n'était pas prévu qu'ils restâssent...
On passe donc à "et pourquoi l' Europe connaît-elle une crissance
molle?" au débat sur la Constitution Européenne et au rôle de la
Banque Centrale Européenne.
Quand on laisse venir 300.000 personnes chaque année en France sans travail, sans logement, à la charge de l'aide sociale, alors forcément on en fait des pauvres et des délinquants.
Tout dépend du niveau de croissance de l'économie. Pendant les "trente glorieuses", on ne les laissait pas venir, on allait les chercher, et il n'y en avait quand même pas assez.
Il n'était pas prévu qu'ils restâssent...
On passe donc à "et pourquoi l' Europe connaît-elle une crissance molle?" au débat sur la Constitution Européenne et au rôle de la Banque Centrale Européenne.
La France ( l'Europe ) n'est pas les Etats-Unis.
L'immigré au US n'a pas d'aide sociale.
On ne répond pas, Elie ?
Le débutant
"Callimaque" a écrit dans le message de news:
> L'immigré au US n'a pas d'aide sociale.
On ne répond pas, Elie ?
Il faut dire que ton affirmation est totalement hors-sujet. Les déficits des USA ne sont en effet pas dus à un excès de protection sociale. :o)
=========================================================================== Toujours plus haut : l'euro est bien parti pour atteindre et même dépasser le 1,35 dollar avant la fin de l'année. Hier, il a franchi un nouveau record, à 1,3469 dollar, avant de se replier légèrement. Cette tentative des marchés financiers d'enfoncer un nouveau plafond face au billet vert est ironiquement intervenue quelques heures après que les ministres des Finances de la zone euro, le président de la Banque centrale européenne (BCE), Jean-Claude Trichet, et le commissaire chargé des questions économiques et financières, Joaquin Almunia, réunis à Bruxelles lundi soir, ont durci le ton pour essayer de contrer la chute de la monnaie américaine, qui entraîne dans son sillage le yuan chinois. Jusqu'où peut tomber le dollar ?
Il n'y a pas de limite théorique. Historiquement, le billet vert est revenu à son niveau de 1995 (en équivalent euro). «La chute du dollar n'est pas finie, estime Christian de Boissieu, professeur d'économie à l'Université de Paris-I. Si les marchés ont le sentiment qu'ils s'enfoncent dans le dollar comme dans un édredon, rien ne les arrêtera.» Or les autorités américaines ont manifestement décidé de laisser filer leur monnaie. Autrement dit, l'euro pourrait atteindre 1,40 dollar à court terme. Les analystes estiment même que les autorités monétaires américaines n'interviendront qu'aux alentours de 1,50 ou 1,60 dollar...
Que peuvent faire les Européens ?
La première arme dont disposent les autorités monétaires est celle des mots. La BCE et les gouvernements ont commencé à durcir le ton depuis plusieurs semaines, en vain. Le communiqué de l'Eurogroupe qui intervient très rarement en matière de change marque une nouvelle étape. Il condamne fermement «la volatilité excessive et les mouvements désordonnés de taux de change». Les mots sont importants : ce n'est pas la dépréciation du dollar, rendue inéluctable par les déficits «jumeaux» américains (déficit public et déficit commercial), qui est en cause, mais la vitesse de son atterrissage qui pourrait se terminer par un krach.
Si les mots ne suffisent pas, il faudra que la BCE intervienne sur le marché des changes en achetant du dollar pour soutenir son cours et casser les reins des spéculateurs. Elle pourrait agir une fois le plafond de 1,35 dollar franchi, ce qui explique son léger repli observé hier soir : «Les investisseurs commencent à être nerveux et plus prudents : ils sont réticents à pousser l'euro plus haut alors que les autorités européennes ont quand même bien haussé le ton», a déclaré à l'AFP Audrey Childe-Freeman, économiste à la Banque canadienne impériale de commerce (CIBC). Le problème est qu'une intervention en solitaire serait inefficace : «Pour impressionner les marchés, il faut une coalition de banques centrales», souligne Christian de Boissieu. Il est envisageable que la Banque du Japon, la Banque du Canada et la Banque d'Angleterre, toutes confrontées au même problème, se joignent à la BCE. Quant à la Réserve fédérale américaine (Fed), qui avait joint ses forces à celles des Européens et des Japonais le 22 septembre 2000 pour stopper la chute de l'euro, «elle interviendra quand elle jugera que le niveau atteint par le dollar ne fait plus l'affaire des Etats-Unis», estime Christian de Boissieu.
Enfin, la BCE peut baisser ses taux d'intérêt à court terme (aujourd'hui à 2 %, comme ceux de la Fed) : en rendant le loyer de l'argent moins intéressant qu'aux Etats-Unis, elle pourrait aider à ralentir la chute du dollar. Mais Jean-Claude Trichet, l'oeil rivé sur l'inflation dans la zone euro, toujours supérieure à 2 %, semble réticent à envisager une telle solution. Pourtant, avantage collatéral, cela doperait une croissance européenne qui reste moitié moins élevée qu'aux Etats-Unis.
Cette baisse du dollar est-elle grave ?
La zone euro ne cache plus son inquiétude. Même l'Allemagne, qui a longtemps été habituée à vivre avec un mark surévalué, commence à trouver la potion amère, comme le montre la baisse continue de l'indice IFO (qui mesure le moral des chefs d'entreprise allemands). La croissance européenne est menacée : toutes les prévisions pour 2005 ont été revues à la baisse. Cela étant, il ne faut pas exagérer non plus l'importance de la chute du dollar, la zone euro effectuant plus de 81 % de son commerce extérieur entre pays ayant adopté la monnaie unique. En outre, le dollar (et le yuan) chute vis-à-vis de l'ensemble des devises mondiales, pas seulement face à l'euro, ce qui réduit encore l'exposition de l'Eurozone au risque-dollar. Mais c'est un coup supplémentaire à une croissance qui reste structurellement faiblarde.
http://www.liberation.fr/page.php?Article&0043
"Callimaque" <callimaque@nospam.invalid> a écrit dans le message de
news:31oa0uF3cplshU2@individual.net...
> L'immigré au US n'a pas d'aide sociale.
On ne répond pas, Elie ?
Il faut dire que ton affirmation est totalement hors-sujet. Les déficits des
USA ne sont en effet pas dus à un excès de protection sociale. :o)
=========================================================================== Toujours plus haut : l'euro est bien parti pour atteindre et même dépasser
le 1,35 dollar avant la fin de l'année. Hier, il a franchi un nouveau
record, à 1,3469 dollar, avant de se replier légèrement. Cette tentative des
marchés financiers d'enfoncer un nouveau plafond face au billet vert est
ironiquement intervenue quelques heures après que les ministres des Finances
de la zone euro, le président de la Banque centrale européenne (BCE),
Jean-Claude Trichet, et le commissaire chargé des questions économiques et
financières, Joaquin Almunia, réunis à Bruxelles lundi soir, ont durci le
ton pour essayer de contrer la chute de la monnaie américaine, qui entraîne
dans son sillage le yuan chinois.
Jusqu'où peut tomber le dollar ?
Il n'y a pas de limite théorique. Historiquement, le billet vert est revenu
à son niveau de 1995 (en équivalent euro). «La chute du dollar n'est pas
finie, estime Christian de Boissieu, professeur d'économie à l'Université de
Paris-I. Si les marchés ont le sentiment qu'ils s'enfoncent dans le dollar
comme dans un édredon, rien ne les arrêtera.» Or les autorités américaines
ont manifestement décidé de laisser filer leur monnaie. Autrement dit,
l'euro pourrait atteindre 1,40 dollar à court terme. Les analystes estiment
même que les autorités monétaires américaines n'interviendront qu'aux
alentours de 1,50 ou 1,60 dollar...
Que peuvent faire les Européens ?
La première arme dont disposent les autorités monétaires est celle des mots.
La BCE et les gouvernements ont commencé à durcir le ton depuis plusieurs
semaines, en vain. Le communiqué de l'Eurogroupe qui intervient très
rarement en matière de change marque une nouvelle étape. Il condamne
fermement «la volatilité excessive et les mouvements désordonnés de taux de
change». Les mots sont importants : ce n'est pas la dépréciation du dollar,
rendue inéluctable par les déficits «jumeaux» américains (déficit public et
déficit commercial), qui est en cause, mais la vitesse de son atterrissage
qui pourrait se terminer par un krach.
Si les mots ne suffisent pas, il faudra que la BCE intervienne sur le marché
des changes en achetant du dollar pour soutenir son cours et casser les
reins des spéculateurs. Elle pourrait agir une fois le plafond de 1,35
dollar franchi, ce qui explique son léger repli observé hier soir : «Les
investisseurs commencent à être nerveux et plus prudents : ils sont
réticents à pousser l'euro plus haut alors que les autorités européennes ont
quand même bien haussé le ton», a déclaré à l'AFP Audrey Childe-Freeman,
économiste à la Banque canadienne impériale de commerce (CIBC). Le problème
est qu'une intervention en solitaire serait inefficace : «Pour impressionner
les marchés, il faut une coalition de banques centrales», souligne Christian
de Boissieu. Il est envisageable que la Banque du Japon, la Banque du Canada
et la Banque d'Angleterre, toutes confrontées au même problème, se joignent
à la BCE. Quant à la Réserve fédérale américaine (Fed), qui avait joint ses
forces à celles des Européens et des Japonais le 22 septembre 2000 pour
stopper la chute de l'euro, «elle interviendra quand elle jugera que le
niveau atteint par le dollar ne fait plus l'affaire des Etats-Unis», estime
Christian de Boissieu.
Enfin, la BCE peut baisser ses taux d'intérêt à court terme (aujourd'hui à 2
%, comme ceux de la Fed) : en rendant le loyer de l'argent moins intéressant
qu'aux Etats-Unis, elle pourrait aider à ralentir la chute du dollar. Mais
Jean-Claude Trichet, l'oeil rivé sur l'inflation dans la zone euro, toujours
supérieure à 2 %, semble réticent à envisager une telle solution. Pourtant,
avantage collatéral, cela doperait une croissance européenne qui reste
moitié moins élevée qu'aux Etats-Unis.
Cette baisse du dollar est-elle grave ?
La zone euro ne cache plus son inquiétude. Même l'Allemagne, qui a longtemps
été habituée à vivre avec un mark surévalué, commence à trouver la potion
amère, comme le montre la baisse continue de l'indice IFO (qui mesure le
moral des chefs d'entreprise allemands). La croissance européenne est
menacée : toutes les prévisions pour 2005 ont été revues à la baisse. Cela
étant, il ne faut pas exagérer non plus l'importance de la chute du dollar,
la zone euro effectuant plus de 81 % de son commerce extérieur entre pays
ayant adopté la monnaie unique. En outre, le dollar (et le yuan) chute
vis-à-vis de l'ensemble des devises mondiales, pas seulement face à l'euro,
ce qui réduit encore l'exposition de l'Eurozone au risque-dollar. Mais c'est
un coup supplémentaire à une croissance qui reste structurellement
faiblarde.
Il faut dire que ton affirmation est totalement hors-sujet. Les déficits des USA ne sont en effet pas dus à un excès de protection sociale. :o)
=========================================================================== Toujours plus haut : l'euro est bien parti pour atteindre et même dépasser le 1,35 dollar avant la fin de l'année. Hier, il a franchi un nouveau record, à 1,3469 dollar, avant de se replier légèrement. Cette tentative des marchés financiers d'enfoncer un nouveau plafond face au billet vert est ironiquement intervenue quelques heures après que les ministres des Finances de la zone euro, le président de la Banque centrale européenne (BCE), Jean-Claude Trichet, et le commissaire chargé des questions économiques et financières, Joaquin Almunia, réunis à Bruxelles lundi soir, ont durci le ton pour essayer de contrer la chute de la monnaie américaine, qui entraîne dans son sillage le yuan chinois. Jusqu'où peut tomber le dollar ?
Il n'y a pas de limite théorique. Historiquement, le billet vert est revenu à son niveau de 1995 (en équivalent euro). «La chute du dollar n'est pas finie, estime Christian de Boissieu, professeur d'économie à l'Université de Paris-I. Si les marchés ont le sentiment qu'ils s'enfoncent dans le dollar comme dans un édredon, rien ne les arrêtera.» Or les autorités américaines ont manifestement décidé de laisser filer leur monnaie. Autrement dit, l'euro pourrait atteindre 1,40 dollar à court terme. Les analystes estiment même que les autorités monétaires américaines n'interviendront qu'aux alentours de 1,50 ou 1,60 dollar...
Que peuvent faire les Européens ?
La première arme dont disposent les autorités monétaires est celle des mots. La BCE et les gouvernements ont commencé à durcir le ton depuis plusieurs semaines, en vain. Le communiqué de l'Eurogroupe qui intervient très rarement en matière de change marque une nouvelle étape. Il condamne fermement «la volatilité excessive et les mouvements désordonnés de taux de change». Les mots sont importants : ce n'est pas la dépréciation du dollar, rendue inéluctable par les déficits «jumeaux» américains (déficit public et déficit commercial), qui est en cause, mais la vitesse de son atterrissage qui pourrait se terminer par un krach.
Si les mots ne suffisent pas, il faudra que la BCE intervienne sur le marché des changes en achetant du dollar pour soutenir son cours et casser les reins des spéculateurs. Elle pourrait agir une fois le plafond de 1,35 dollar franchi, ce qui explique son léger repli observé hier soir : «Les investisseurs commencent à être nerveux et plus prudents : ils sont réticents à pousser l'euro plus haut alors que les autorités européennes ont quand même bien haussé le ton», a déclaré à l'AFP Audrey Childe-Freeman, économiste à la Banque canadienne impériale de commerce (CIBC). Le problème est qu'une intervention en solitaire serait inefficace : «Pour impressionner les marchés, il faut une coalition de banques centrales», souligne Christian de Boissieu. Il est envisageable que la Banque du Japon, la Banque du Canada et la Banque d'Angleterre, toutes confrontées au même problème, se joignent à la BCE. Quant à la Réserve fédérale américaine (Fed), qui avait joint ses forces à celles des Européens et des Japonais le 22 septembre 2000 pour stopper la chute de l'euro, «elle interviendra quand elle jugera que le niveau atteint par le dollar ne fait plus l'affaire des Etats-Unis», estime Christian de Boissieu.
Enfin, la BCE peut baisser ses taux d'intérêt à court terme (aujourd'hui à 2 %, comme ceux de la Fed) : en rendant le loyer de l'argent moins intéressant qu'aux Etats-Unis, elle pourrait aider à ralentir la chute du dollar. Mais Jean-Claude Trichet, l'oeil rivé sur l'inflation dans la zone euro, toujours supérieure à 2 %, semble réticent à envisager une telle solution. Pourtant, avantage collatéral, cela doperait une croissance européenne qui reste moitié moins élevée qu'aux Etats-Unis.
Cette baisse du dollar est-elle grave ?
La zone euro ne cache plus son inquiétude. Même l'Allemagne, qui a longtemps été habituée à vivre avec un mark surévalué, commence à trouver la potion amère, comme le montre la baisse continue de l'indice IFO (qui mesure le moral des chefs d'entreprise allemands). La croissance européenne est menacée : toutes les prévisions pour 2005 ont été revues à la baisse. Cela étant, il ne faut pas exagérer non plus l'importance de la chute du dollar, la zone euro effectuant plus de 81 % de son commerce extérieur entre pays ayant adopté la monnaie unique. En outre, le dollar (et le yuan) chute vis-à-vis de l'ensemble des devises mondiales, pas seulement face à l'euro, ce qui réduit encore l'exposition de l'Eurozone au risque-dollar. Mais c'est un coup supplémentaire à une croissance qui reste structurellement faiblarde.
Pardon, oui, désolé d'avoir fait de vous des victimes de la société, allez-y, brûlez tout, défigurez des gens, nous ne vous dirons rien, nous ne deviendrons pas racistes, promis juré.
Ils se sentent déjà victime:
Après avoir accepté lundi que les débats soient publics, un accusé a fait valoir à la dernière minute son droit à la publicité restreinte des débats. Son avocat a précisé qu'il avait été effrayé par le traitement de l'information dans les medias, faisant passer les accusés pour un "groupe de sauvages"
Incroyable mais vrai :o)
zarak a écrit :
Pardon, oui, désolé d'avoir fait de vous des victimes de la société,
allez-y, brûlez tout, défigurez des gens, nous ne vous dirons rien, nous ne
deviendrons pas racistes, promis juré.
Ils se sentent déjà victime:
Après avoir accepté lundi que les débats soient publics, un accusé a
fait valoir à la dernière minute son droit à la publicité restreinte des
débats. Son avocat a précisé qu'il avait été effrayé par le traitement
de l'information dans les medias, faisant passer les accusés pour un
"groupe de sauvages"
Pardon, oui, désolé d'avoir fait de vous des victimes de la société, allez-y, brûlez tout, défigurez des gens, nous ne vous dirons rien, nous ne deviendrons pas racistes, promis juré.
Ils se sentent déjà victime:
Après avoir accepté lundi que les débats soient publics, un accusé a fait valoir à la dernière minute son droit à la publicité restreinte des débats. Son avocat a précisé qu'il avait été effrayé par le traitement de l'information dans les medias, faisant passer les accusés pour un "groupe de sauvages"
Incroyable mais vrai :o)
Elie Arié
"Callimaque" a écrit dans le message de news:
Callimaque wrote:
Elie Arié wrote:
"j_dm2" a écrit
Quand on laisse venir 300.000 personnes chaque année en France sans travail, sans logement, à la charge de l'aide sociale, alors forcément on en fait des pauvres et des délinquants.
Tout dépend du niveau de croissance de l'économie. Pendant les "trente glorieuses", on ne les laissait pas venir, on allait les chercher, et il n'y en avait quand même pas assez.
Il n'était pas prévu qu'ils restâssent...
On passe donc à "et pourquoi l' Europe connaît-elle une crissance molle?" au débat sur la Constitution Européenne et au rôle de la Banque Centrale Européenne.
La France ( l'Europe ) n'est pas les Etats-Unis.
L'immigré au US n'a pas d'aide sociale.
On ne répond pas, Elie ?
Que voulez-vous répondre à n'importe quoi? Je dis que les US assimilent et naturalisent chaque année 600 000 immigrants, dont une majorité de clandestins, c'est-à-dire beaucoup plus que la France; on glisse à un fdébat sur les aides sociales dans les deux pays, c'est-à-dire qu'on change de sujet.
"Callimaque" <callimaque@nospam.invalid> a écrit dans le message de news:
31oa0uF3cplshU2@individual.net...
Callimaque wrote:
Elie Arié wrote:
"j_dm2" <INVALID@INVALID.FR> a écrit
Quand on laisse venir 300.000 personnes chaque année en France sans
travail, sans logement, à la charge de l'aide sociale, alors forcément
on en
fait des pauvres et des délinquants.
Tout dépend du niveau de croissance de l'économie.
Pendant les "trente glorieuses", on ne les laissait pas venir, on allait
les chercher, et il n'y en avait quand même pas assez.
Il n'était pas prévu qu'ils restâssent...
On passe donc à "et pourquoi l' Europe connaît-elle une crissance
molle?" au débat sur la Constitution Européenne et au rôle de la Banque
Centrale Européenne.
La France ( l'Europe ) n'est pas les Etats-Unis.
L'immigré au US n'a pas d'aide sociale.
On ne répond pas, Elie ?
Que voulez-vous répondre à n'importe quoi?
Je dis que les US assimilent et naturalisent chaque année 600 000
immigrants, dont une majorité de clandestins, c'est-à-dire beaucoup plus que
la France; on glisse à un fdébat sur les aides sociales dans les deux pays,
c'est-à-dire qu'on change de sujet.
Quand on laisse venir 300.000 personnes chaque année en France sans travail, sans logement, à la charge de l'aide sociale, alors forcément on en fait des pauvres et des délinquants.
Tout dépend du niveau de croissance de l'économie. Pendant les "trente glorieuses", on ne les laissait pas venir, on allait les chercher, et il n'y en avait quand même pas assez.
Il n'était pas prévu qu'ils restâssent...
On passe donc à "et pourquoi l' Europe connaît-elle une crissance molle?" au débat sur la Constitution Européenne et au rôle de la Banque Centrale Européenne.
La France ( l'Europe ) n'est pas les Etats-Unis.
L'immigré au US n'a pas d'aide sociale.
On ne répond pas, Elie ?
Que voulez-vous répondre à n'importe quoi? Je dis que les US assimilent et naturalisent chaque année 600 000 immigrants, dont une majorité de clandestins, c'est-à-dire beaucoup plus que la France; on glisse à un fdébat sur les aides sociales dans les deux pays, c'est-à-dire qu'on change de sujet.
riri
dans l'article , Francois Merlin à a écrit le 8/12/04 16:29 :
zarak a écrit :
Pardon, oui, désolé d'avoir fait de vous des victimes de la société, allez-y, brûlez tout, défigurez des gens, nous ne vous dirons rien, nous ne deviendrons pas racistes, promis juré.
Ils se sentent déjà victime:
Après avoir accepté lundi que les débats soient publics, un accusé a fait valoir à la dernière minute son droit à la publicité restreinte des débats. Son avocat a précisé qu'il avait été effrayé par le traitement de l'information dans les medias, faisant passer les accusés pour un "groupe de sauvages"
La Loi est là pour tout le monde, lui compris, même si on comprend la frustration du FN qui se voit privé de plein de jolies photos.
dans l'article 31okunF3dcn2jU1@individual.net, Francois Merlin à
bob@saint-clair.ms a écrit le 8/12/04 16:29 :
zarak a écrit :
Pardon, oui, désolé d'avoir fait de vous des victimes de la société,
allez-y, brûlez tout, défigurez des gens, nous ne vous dirons rien, nous ne
deviendrons pas racistes, promis juré.
Ils se sentent déjà victime:
Après avoir accepté lundi que les débats soient publics, un accusé a
fait valoir à la dernière minute son droit à la publicité restreinte des
débats. Son avocat a précisé qu'il avait été effrayé par le traitement
de l'information dans les medias, faisant passer les accusés pour un
"groupe de sauvages"
La Loi est là pour tout le monde, lui compris, même si on comprend la
frustration du FN qui se voit privé de plein de jolies photos.
dans l'article , Francois Merlin à a écrit le 8/12/04 16:29 :
zarak a écrit :
Pardon, oui, désolé d'avoir fait de vous des victimes de la société, allez-y, brûlez tout, défigurez des gens, nous ne vous dirons rien, nous ne deviendrons pas racistes, promis juré.
Ils se sentent déjà victime:
Après avoir accepté lundi que les débats soient publics, un accusé a fait valoir à la dernière minute son droit à la publicité restreinte des débats. Son avocat a précisé qu'il avait été effrayé par le traitement de l'information dans les medias, faisant passer les accusés pour un "groupe de sauvages"
La Loi est là pour tout le monde, lui compris, même si on comprend la frustration du FN qui se voit privé de plein de jolies photos.
Francois Merlin
riri a écrit :
dans l'article , Francois Merlin à a écrit le 8/12/04 16:29 :
zarak a écrit :
Pardon, oui, désolé d'avoir fait de vous des victimes de la société, allez-y, brûlez tout, défigurez des gens, nous ne vous dirons rien, nous ne deviendrons pas racistes, promis juré.
Ils se sentent déjà victime:
Après avoir accepté lundi que les débats soient publics, un accusé a fait valoir à la dernière minute son droit à la publicité restreinte des débats. Son avocat a précisé qu'il avait été effrayé par le traitement de l'information dans les medias, faisant passer les accusés pour un "groupe de sauvages"
La Loi est là pour tout le monde, lui compris, même si on comprend la frustration du FN
Que viens faire le FN la dedans?
> qui se voit privé de plein de jolies photos.
Tu trouves ca jolie en plus. Taré.
riri a écrit :
dans l'article 31okunF3dcn2jU1@individual.net, Francois Merlin à
bob@saint-clair.ms a écrit le 8/12/04 16:29 :
zarak a écrit :
Pardon, oui, désolé d'avoir fait de vous des victimes de la société,
allez-y, brûlez tout, défigurez des gens, nous ne vous dirons rien, nous ne
deviendrons pas racistes, promis juré.
Ils se sentent déjà victime:
Après avoir accepté lundi que les débats soient publics, un accusé a
fait valoir à la dernière minute son droit à la publicité restreinte des
débats. Son avocat a précisé qu'il avait été effrayé par le traitement
de l'information dans les medias, faisant passer les accusés pour un
"groupe de sauvages"
La Loi est là pour tout le monde, lui compris, même si on comprend la
frustration du FN
dans l'article , Francois Merlin à a écrit le 8/12/04 16:29 :
zarak a écrit :
Pardon, oui, désolé d'avoir fait de vous des victimes de la société, allez-y, brûlez tout, défigurez des gens, nous ne vous dirons rien, nous ne deviendrons pas racistes, promis juré.
Ils se sentent déjà victime:
Après avoir accepté lundi que les débats soient publics, un accusé a fait valoir à la dernière minute son droit à la publicité restreinte des débats. Son avocat a précisé qu'il avait été effrayé par le traitement de l'information dans les medias, faisant passer les accusés pour un "groupe de sauvages"
La Loi est là pour tout le monde, lui compris, même si on comprend la frustration du FN
Que viens faire le FN la dedans?
> qui se voit privé de plein de jolies photos.
Tu trouves ca jolie en plus. Taré.
Francois Merlin
Elie Arié a écrit :
On ne répond pas, Elie ?
Que voulez-vous répondre à n'importe quoi? Je dis que les US assimilent et naturalisent chaque année 600 000 immigrants, dont une majorité de clandestins, c'est-à-dire beaucoup plus que la France;
Non, beaucoup moins.
on glisse à un fdébat sur les aides sociales dans les deux pays, c'est-à-dire qu'on change de sujet.
Elie Arié a écrit :
On ne répond pas, Elie ?
Que voulez-vous répondre à n'importe quoi?
Je dis que les US assimilent et naturalisent chaque année 600 000
immigrants, dont une majorité de clandestins, c'est-à-dire beaucoup plus que
la France;
Non, beaucoup moins.
on glisse à un fdébat sur les aides sociales dans les deux pays,
c'est-à-dire qu'on change de sujet.
Que voulez-vous répondre à n'importe quoi? Je dis que les US assimilent et naturalisent chaque année 600 000 immigrants, dont une majorité de clandestins, c'est-à-dire beaucoup plus que la France;
Non, beaucoup moins.
on glisse à un fdébat sur les aides sociales dans les deux pays, c'est-à-dire qu'on change de sujet.
Elie Arié
"Francois Merlin" a écrit dans le message de news:
Elie Arié a écrit :
On ne répond pas, Elie ?
Que voulez-vous répondre à n'importe quoi? Je dis que les US assimilent et naturalisent chaque année 600 000 immigrants, dont une majorité de clandestins, c'est-à-dire beaucoup plus que la France;
Non, beaucoup moins.
On parle de na-tu-ra-li-sa-tions.
On dénombre quatre fois plus de naturalisations en France qu'en Allemagne et dix fois plus de naturalisations aux Etats-Unis qu'en Allemagne. Nous nous situons entre les deux .
"Francois Merlin" <bob@saint-clair.ms> a écrit dans le message de news:
31omf7F3crhfsU1@individual.net...
Elie Arié a écrit :
On ne répond pas, Elie ?
Que voulez-vous répondre à n'importe quoi?
Je dis que les US assimilent et naturalisent chaque année 600 000
immigrants, dont une majorité de clandestins, c'est-à-dire beaucoup plus
que la France;
Non, beaucoup moins.
On parle de na-tu-ra-li-sa-tions.
On dénombre quatre fois plus de naturalisations en France qu'en Allemagne
et dix fois plus de naturalisations aux Etats-Unis qu'en Allemagne. Nous
nous situons entre les deux .
"Francois Merlin" a écrit dans le message de news:
Elie Arié a écrit :
On ne répond pas, Elie ?
Que voulez-vous répondre à n'importe quoi? Je dis que les US assimilent et naturalisent chaque année 600 000 immigrants, dont une majorité de clandestins, c'est-à-dire beaucoup plus que la France;
Non, beaucoup moins.
On parle de na-tu-ra-li-sa-tions.
On dénombre quatre fois plus de naturalisations en France qu'en Allemagne et dix fois plus de naturalisations aux Etats-Unis qu'en Allemagne. Nous nous situons entre les deux .
Francois Merlin
Elie Arié a écrit :
On parle de na-tu-ra-li-sa-tions.
On dénombre quatre fois plus de naturalisations en France qu'en Allemagne et dix fois plus de naturalisations aux Etats-Unis qu'en Allemagne. Nous nous situons entre les deux .
Donc à population egale la france est le pays qui naturalise le plus.
Elie Arié a écrit :
On parle de na-tu-ra-li-sa-tions.
On dénombre quatre fois plus de naturalisations en France qu'en Allemagne
et dix fois plus de naturalisations aux Etats-Unis qu'en Allemagne. Nous
nous situons entre les deux .
Donc à population egale la france est le pays qui naturalise le plus.
On dénombre quatre fois plus de naturalisations en France qu'en Allemagne et dix fois plus de naturalisations aux Etats-Unis qu'en Allemagne. Nous nous situons entre les deux .
Donc à population egale la france est le pays qui naturalise le plus.
