Après avoir ignoré Internet, les compagnies commerciales sont tombées dans l'excès inverse en assimilant à "mal" tout ce qui n'est pas issu d'elles mêmes.
Pas besoin d'Internet. Des journaux papier vivent sous la menace de voir leur pub annulés par des sociétés qui n'apprécieraient pas leurs articles. Ils le vivent plus ou moins bien.
*certains* journaux (presque tous d'accord, mais pas tous)
Laurent Wacrenier a exposé le 25/01/2005 :
Franck Guillaud <f_point_guillaud@free.fr> écrit:
Après avoir ignoré Internet, les compagnies commerciales sont tombées
dans l'excès inverse en assimilant à "mal" tout ce qui n'est pas issu
d'elles mêmes.
Pas besoin d'Internet.
Des journaux papier vivent sous la menace de voir leur pub annulés
par des sociétés qui n'apprécieraient pas leurs articles.
Ils le vivent plus ou moins bien.
*certains* journaux (presque tous d'accord, mais pas tous)
Après avoir ignoré Internet, les compagnies commerciales sont tombées dans l'excès inverse en assimilant à "mal" tout ce qui n'est pas issu d'elles mêmes.
Pas besoin d'Internet. Des journaux papier vivent sous la menace de voir leur pub annulés par des sociétés qui n'apprécieraient pas leurs articles. Ils le vivent plus ou moins bien.
*certains* journaux (presque tous d'accord, mais pas tous)
Tof
Par définition un résumé ne peut se substituer à l'oeuvre complète.
Ensuite, parler d'une oeuvre est autorisé. Quels que soient les droits éventuels sur l'oeuvre. Même s'il s'agit d'un résumé.
La commercialisation change le problème de fond car la difficulté qui se pose est d'estimer si oui ou non la personne qui cite (ou résume) l'oeuvre cherche uniquement à tirer profit de l'oeuvre et de sa notoriété.
Par définition un résumé ne peut se substituer à l'oeuvre complète.
Ensuite, parler d'une oeuvre est autorisé. Quels que soient les droits
éventuels sur l'oeuvre.
Même s'il s'agit d'un résumé.
La commercialisation change le problème de fond car la difficulté qui se pose
est d'estimer si oui ou non la personne qui cite (ou résume) l'oeuvre cherche
uniquement à tirer profit de l'oeuvre et de sa notoriété.
Par définition un résumé ne peut se substituer à l'oeuvre complète.
Ensuite, parler d'une oeuvre est autorisé. Quels que soient les droits éventuels sur l'oeuvre. Même s'il s'agit d'un résumé.
La commercialisation change le problème de fond car la difficulté qui se pose est d'estimer si oui ou non la personne qui cite (ou résume) l'oeuvre cherche uniquement à tirer profit de l'oeuvre et de sa notoriété.
Laurent Wacrenier
Tof écrit:
La commercialisation change le problème de fond car la difficulté qui se pose est d'estimer si oui ou non la personne qui cite (ou résume) l'oeuvre cherche uniquement à tirer profit de l'oeuvre et de sa notoriété.
???
Un crime ou un délit n'en est plus un s'il est gratuit ?
On reçoit des domages et interêt non pas en fonction du préjudice subit mais en fonction de l'intention unique de tirer profit ? Plus l'intention est forte, plus on touche ?
Vu comme ça, c'est sûr que ça change pas mal de choses sur le fond.
Tof <fourtou@tele2.fr> écrit:
La commercialisation change le problème de fond car la difficulté qui se pose
est d'estimer si oui ou non la personne qui cite (ou résume) l'oeuvre cherche
uniquement à tirer profit de l'oeuvre et de sa notoriété.
???
Un crime ou un délit n'en est plus un s'il est gratuit ?
On reçoit des domages et interêt non pas en fonction du préjudice
subit mais en fonction de l'intention unique de tirer profit ?
Plus l'intention est forte, plus on touche ?
Vu comme ça, c'est sûr que ça change pas mal de choses sur le fond.
La commercialisation change le problème de fond car la difficulté qui se pose est d'estimer si oui ou non la personne qui cite (ou résume) l'oeuvre cherche uniquement à tirer profit de l'oeuvre et de sa notoriété.
???
Un crime ou un délit n'en est plus un s'il est gratuit ?
On reçoit des domages et interêt non pas en fonction du préjudice subit mais en fonction de l'intention unique de tirer profit ? Plus l'intention est forte, plus on touche ?
Vu comme ça, c'est sûr que ça change pas mal de choses sur le fond.
ska
bonjour ou bonsoir tout le monde,
ben y en a des réponses, je ne pensais pas lire tout çà.
avec intérêt et sourire aussi, merci.
sinon, mon avis sur la question est qu'il faut respecter le droit intellectuel sur une oeuvre. j'ai une chanson de ma composition sur internet que tout le monde peut télécharger. pour ma part, le partage fait partie d'une oeuvre quel qu'elle soit sinon je ne vois franchement pas l'intérêt à part de se regarder le nombril ...
donc cela induit le respect de l'oeuvre, le droit de la reprendre en en donnant les références.
quand il s'agit de fric, il est normal de rétribuer la personne ou le groupe de personne qui en est à l'origine, çà fait partie du respect.
l'autre problème est que pas mal de société s'en lave les mains comme la S.A.C.E.M. qui s'est pris plein de procès (passés sous silence) alors que c'est son boulot. les artistes friqués aussi, pas tous mais dans le milieu de la musique c'est une pratique connue.
et pour ce qui est du problème du P2P, c'est une affaire de fric des maisons. pour l'instant je n'ai vu que des PDG et consors blémir parceque leur revenu baisser (heu non celui des salariés). je n'ai pas entendu de petits artistes dire que cela leur était néfaste. au contraire, les gens écoutent et vont à leurs concerts ...
en france on oublie de publier des sondages de "petits" ou "moyens" artistes aux U.S. qui trouvent çà à plus de 60 % plutôt bon pour eux.
pour résumer, je pense effectivement avertir l'auteur, ce qui est tout à fait normal. mon fils le fait juste parcequ'il est passionné et sans idée de profit sauf peut être celui d'être connu ou reconnu par d'autres.
Ah parfois, l'âme des enfants est plus simple, pure et innocent ... çà rafraichit ...
merci encore pour vos remarques sincères, honnêtes et parfois bien marrantes.
si vous voulez lire ce qu'écrit mon fils c'est en fin de ce courrier pour avoir une idée. je ne lis pas ces livres donc aucune idée s'il reprend des textes directement.
je crois qu'il y a des fautes, je n'ai pas tout lu ...
"5 Fourchelang et Basilic
août 1939 : Cet été avait été le pire que tous les précédants dans ma vie. Il faisait chaud comme dans un four et tout le monde me regardait comme un martien. Le pire restait le fait que la magie étais interdite en dehors du collège, encore plus interdite dans un orphelinat qui grouillait de moldus. Il était donc interdit de lancer un sortilège de Bloque Jambes sur les regards interressés et terrifiés, ni de sortilège de Gel pour refroidir la quarentaine de degrés qui pesaient à l'ombre. Pour me distraire, je n'avais pas oublié de demander à Dippet des livres de la bibliothèque. J'avais pris Quidditch à travers les ages, Livre des sorts et enchantements, niveau 1, Les animaux fantastiques et surtout Salazar Serpentard et la Chambre des Secrets et l'Histoire de Poudlard pour m'aider dans mes recherches sur la Chambre. Cette année, j'étais décidé à figurer dans l'équipe de Quidditch de Serpentard. J'avais obtenu la note maximale au cours de Vol sur Balais. J'allais m'acheter le Comète 180. Ma lettre pour Poudlard annonçait :
Cher Mr Jedusor, Vous avez été admis en second niveau d'études de sorcellerie à Poudlard, maison Serpentard. Le professeur Dumbledore sera chargé de vous chercher à votre domicile le 5 août afin de faire aquisition de vos fournitures scolaires (liste des fournitures ci-jointe). Vous irez ensuite finir vos vacances au Chaudron Baveur. Rendez-vous voie 9 3/4 à la gare King's Cross le 31 août. Le Poudlard Express part à onze heure précise... Ne le râtez surtout pas ! Avec mes respectueux sentiments, A. Dippet, Directeur du collège Poudlard.
La lettre était comme toujours accompagnée de la liste des fournitures scolaires :
OUVRAGES : - Le livre des sorts et enchantements, niveau 2, par Miranda Fauconnette. - Histoire de la magie, par Bathilda Tourdesac - Magie théorique, par Adalbert Lasornette - Manuel de métamorphoses à l'usage du second niveau, par Emeric G. Changé - Mille herbes et champignons magiques, par Phyllida Augirolle - Potions Magiques, de Arsenius Beaulitron - Forces obscures : comment s'en protéger, de Quentin Jentrememble
Rappel des fournitures. (vous pouvez concerver celles dont vous avez fait usage lors de la précédente année)
UNIFORME : 1) Trois robes de travail (noires), model normal, 2) Un chapeau pointu (noir), 3) Une paire de gants protecteurs (en cuire de dragon ou autre matière semblable), 4) Une cape d'hiver (noire avec attaches d'argent) Chaque vêtement devra porter une étiquette indiquant le nom de l'élève.
FOURNITURES : - baguette magique - chaudron (modèle standard en étain, taille 2) - boîte de fioles en verre ou cristal - téléscope - balance en cuivre - balais (facultatif) Les élèves pourront également apporter un hibou OU un chat OU un crapaud OU un rat.
Je repliais la liste des fournitures et finissais ma valise. Je n'oubliais pas bien sûr d'enfermer Koper dans sa cage et de mettre le journal que Rognius m'avais offert lors de ma première visite de l'Allée des Embrumes dans le sac. Dumbledore nous attendais en bas des dortoirs en parlant d'un air interressé à Burton qui ne pouvait pas être plus embarassé. Quand deux imbéciles se rencontrent, ça pétille ! Nous partions tous les trois par la cheminée sous les yeux ébahis de Burton. Nous passiâmes à Gringotts, à Fleury & Bott, Tout du Quidditch (où j'avais acheté mon superbe Comète 180) et enfin de Chaudron Baveur. Nous y passiâmes plusieurs jours plutôt enervants, à cause du professeur de Métamorphoses. Ce professeur à cause duquel je ne pouvais pas aller à l'Allée des Embrumes ... Mais au bout d'une semaine, j'eus la surprise de voir débarquer Lucius Malefoy, père de Maximus Malefoy qui l'accompagnait d'ailleurs. Je trouvais aussi Karvin Malefoy, grand frêre de Max. Je me suis dirigé vers les trois hommes blonds. Je les ai courtoisement salués. Mr. Malefoy m'invita ensuite a passer mes dernières semaines de vacances au Manoir Malefoy. J'acceptais sous la permission de ce crétin de Dumbledore. Le Manoir possédait un jardin gigantesque. Deadflet, l'elfe de maison des Malefoy s'en occupait avec soins. Mes vacances se sont bien rattrapées. La dernière semaine avant les vacances, Max, ses trois frères aînés et moi eûmes le droit d'aller à l'Allée des Embrumes. J'avais acheté une cape d'invisibilité et la Main de la Gloire. Mrs Malefoy avait pris soin de préparer pour le retour de merveilleux toasts beurés."
--------------------- Réponse ici : ska -spam ouvaton point org (at à la place de -spam)
"La vie ne vaut rien mais ne vaut la vie" ...
bonjour ou bonsoir tout le monde,
ben y en a des réponses, je ne pensais pas lire tout çà.
avec intérêt et sourire aussi, merci.
sinon, mon avis sur la question est qu'il faut respecter le droit
intellectuel sur une oeuvre. j'ai une chanson de ma composition sur
internet que tout le monde peut télécharger. pour ma part, le partage
fait partie d'une oeuvre quel qu'elle soit sinon je ne vois franchement
pas l'intérêt à part de se regarder le nombril ...
donc cela induit le respect de l'oeuvre, le droit de la reprendre en en
donnant les références.
quand il s'agit de fric, il est normal de rétribuer la personne ou le
groupe de personne qui en est à l'origine, çà fait partie du respect.
l'autre problème est que pas mal de société s'en lave les mains comme la
S.A.C.E.M. qui s'est pris plein de procès (passés sous silence) alors
que c'est son boulot. les artistes friqués aussi, pas tous mais dans le
milieu de la musique c'est une pratique connue.
et pour ce qui est du problème du P2P, c'est une affaire de fric des
maisons. pour l'instant je n'ai vu que des PDG et consors blémir parceque
leur revenu baisser (heu non celui des salariés). je n'ai pas entendu de
petits artistes dire que cela leur était néfaste. au contraire, les gens
écoutent et vont à leurs concerts ...
en france on oublie de publier des sondages de "petits" ou "moyens"
artistes aux U.S. qui trouvent çà à plus de 60 % plutôt bon pour eux.
pour résumer, je pense effectivement avertir l'auteur, ce qui est tout à
fait normal. mon fils le fait juste parcequ'il est passionné et sans
idée de profit sauf peut être celui d'être connu ou reconnu par
d'autres.
Ah parfois, l'âme des enfants est plus simple, pure et innocent ...
çà rafraichit ...
merci encore pour vos remarques sincères, honnêtes et parfois bien
marrantes.
si vous voulez lire ce qu'écrit mon fils c'est en fin de ce courrier pour
avoir une idée. je ne lis pas ces livres donc aucune idée s'il reprend
des textes directement.
je crois qu'il y a des fautes, je n'ai pas tout lu ...
"5 Fourchelang et Basilic
août 1939 :
Cet été avait été le pire que tous les précédants dans ma vie. Il faisait
chaud comme dans un four et tout le monde me regardait comme un martien.
Le pire restait le fait que la magie étais interdite en dehors du
collège, encore plus interdite dans un orphelinat qui grouillait de
moldus. Il était donc interdit de lancer un sortilège de Bloque Jambes
sur les regards interressés et terrifiés, ni de sortilège de Gel pour
refroidir la quarentaine de degrés qui pesaient à l'ombre. Pour me
distraire, je n'avais pas oublié de demander à Dippet des livres de la
bibliothèque. J'avais pris Quidditch à travers les ages, Livre des sorts
et enchantements, niveau 1, Les animaux fantastiques et surtout Salazar
Serpentard et la Chambre des Secrets et l'Histoire de Poudlard pour
m'aider dans mes recherches sur la Chambre. Cette année, j'étais
décidé à figurer dans l'équipe de Quidditch de Serpentard. J'avais
obtenu la note maximale au cours de Vol sur Balais. J'allais m'acheter le
Comète 180. Ma lettre pour Poudlard annonçait :
Cher Mr Jedusor,
Vous avez été admis en second niveau d'études de sorcellerie à Poudlard,
maison Serpentard. Le professeur Dumbledore sera chargé de vous chercher
à votre domicile le 5 août afin de faire aquisition de vos fournitures
scolaires (liste des fournitures ci-jointe). Vous irez ensuite finir vos
vacances au Chaudron Baveur. Rendez-vous voie 9 3/4 à la gare King's
Cross le 31 août. Le Poudlard Express part à onze heure précise... Ne
le râtez surtout pas !
Avec mes respectueux sentiments,
A. Dippet,
Directeur du collège Poudlard.
La lettre était comme toujours accompagnée de la liste des fournitures
scolaires :
OUVRAGES :
- Le livre des sorts et enchantements, niveau 2, par Miranda Fauconnette.
- Histoire de la magie, par Bathilda Tourdesac
- Magie théorique, par Adalbert Lasornette
- Manuel de métamorphoses à l'usage du second niveau, par Emeric G. Changé
- Mille herbes et champignons magiques, par Phyllida Augirolle
- Potions Magiques, de Arsenius Beaulitron
- Forces obscures : comment s'en protéger, de Quentin Jentrememble
Rappel des fournitures. (vous pouvez concerver celles dont vous avez fait
usage lors de la précédente année)
UNIFORME :
1) Trois robes de travail (noires), model normal,
2) Un chapeau pointu (noir),
3) Une paire de gants protecteurs (en cuire de dragon ou autre
matière semblable),
4) Une cape d'hiver (noire avec attaches d'argent)
Chaque vêtement devra porter une étiquette indiquant le nom de l'élève.
FOURNITURES :
- baguette magique
- chaudron (modèle standard en étain, taille 2)
- boîte de fioles en verre ou cristal
- téléscope
- balance en cuivre
- balais (facultatif)
Les élèves pourront également apporter un hibou OU un chat OU un crapaud
OU un rat.
Je repliais la liste des fournitures et finissais ma valise.
Je n'oubliais pas bien sûr d'enfermer Koper dans sa cage et de mettre le
journal que Rognius m'avais offert lors de ma première visite de l'Allée
des Embrumes dans le sac. Dumbledore nous attendais en bas des dortoirs en
parlant d'un air interressé à Burton qui ne pouvait pas être plus
embarassé. Quand deux imbéciles se rencontrent, ça pétille ! Nous
partions tous les trois par la cheminée sous les yeux ébahis de Burton.
Nous passiâmes à Gringotts, à Fleury & Bott, Tout du Quidditch (où
j'avais acheté mon superbe Comète 180) et enfin de Chaudron Baveur. Nous
y passiâmes plusieurs jours plutôt enervants, à cause du professeur de
Métamorphoses. Ce professeur à cause duquel je ne pouvais pas aller à
l'Allée des Embrumes ... Mais au bout d'une semaine, j'eus la surprise de
voir débarquer Lucius Malefoy, père de Maximus Malefoy qui
l'accompagnait d'ailleurs. Je trouvais aussi Karvin Malefoy, grand frêre
de Max. Je me suis dirigé vers les trois hommes blonds. Je les ai
courtoisement salués. Mr. Malefoy m'invita ensuite a passer mes
dernières semaines de vacances au Manoir Malefoy. J'acceptais sous la
permission de ce crétin de Dumbledore.
Le Manoir possédait un jardin gigantesque. Deadflet, l'elfe de maison
des Malefoy s'en occupait avec soins. Mes vacances se sont bien
rattrapées. La dernière semaine avant les vacances, Max, ses trois
frères aînés et moi eûmes le droit d'aller à l'Allée des Embrumes.
J'avais acheté une cape d'invisibilité et la Main de la Gloire. Mrs
Malefoy avait pris soin de préparer pour le retour de merveilleux
toasts beurés."
---------------------
Réponse ici :
ska -spam ouvaton point org (at à la place de -spam)
ben y en a des réponses, je ne pensais pas lire tout çà.
avec intérêt et sourire aussi, merci.
sinon, mon avis sur la question est qu'il faut respecter le droit intellectuel sur une oeuvre. j'ai une chanson de ma composition sur internet que tout le monde peut télécharger. pour ma part, le partage fait partie d'une oeuvre quel qu'elle soit sinon je ne vois franchement pas l'intérêt à part de se regarder le nombril ...
donc cela induit le respect de l'oeuvre, le droit de la reprendre en en donnant les références.
quand il s'agit de fric, il est normal de rétribuer la personne ou le groupe de personne qui en est à l'origine, çà fait partie du respect.
l'autre problème est que pas mal de société s'en lave les mains comme la S.A.C.E.M. qui s'est pris plein de procès (passés sous silence) alors que c'est son boulot. les artistes friqués aussi, pas tous mais dans le milieu de la musique c'est une pratique connue.
et pour ce qui est du problème du P2P, c'est une affaire de fric des maisons. pour l'instant je n'ai vu que des PDG et consors blémir parceque leur revenu baisser (heu non celui des salariés). je n'ai pas entendu de petits artistes dire que cela leur était néfaste. au contraire, les gens écoutent et vont à leurs concerts ...
en france on oublie de publier des sondages de "petits" ou "moyens" artistes aux U.S. qui trouvent çà à plus de 60 % plutôt bon pour eux.
pour résumer, je pense effectivement avertir l'auteur, ce qui est tout à fait normal. mon fils le fait juste parcequ'il est passionné et sans idée de profit sauf peut être celui d'être connu ou reconnu par d'autres.
Ah parfois, l'âme des enfants est plus simple, pure et innocent ... çà rafraichit ...
merci encore pour vos remarques sincères, honnêtes et parfois bien marrantes.
si vous voulez lire ce qu'écrit mon fils c'est en fin de ce courrier pour avoir une idée. je ne lis pas ces livres donc aucune idée s'il reprend des textes directement.
je crois qu'il y a des fautes, je n'ai pas tout lu ...
"5 Fourchelang et Basilic
août 1939 : Cet été avait été le pire que tous les précédants dans ma vie. Il faisait chaud comme dans un four et tout le monde me regardait comme un martien. Le pire restait le fait que la magie étais interdite en dehors du collège, encore plus interdite dans un orphelinat qui grouillait de moldus. Il était donc interdit de lancer un sortilège de Bloque Jambes sur les regards interressés et terrifiés, ni de sortilège de Gel pour refroidir la quarentaine de degrés qui pesaient à l'ombre. Pour me distraire, je n'avais pas oublié de demander à Dippet des livres de la bibliothèque. J'avais pris Quidditch à travers les ages, Livre des sorts et enchantements, niveau 1, Les animaux fantastiques et surtout Salazar Serpentard et la Chambre des Secrets et l'Histoire de Poudlard pour m'aider dans mes recherches sur la Chambre. Cette année, j'étais décidé à figurer dans l'équipe de Quidditch de Serpentard. J'avais obtenu la note maximale au cours de Vol sur Balais. J'allais m'acheter le Comète 180. Ma lettre pour Poudlard annonçait :
Cher Mr Jedusor, Vous avez été admis en second niveau d'études de sorcellerie à Poudlard, maison Serpentard. Le professeur Dumbledore sera chargé de vous chercher à votre domicile le 5 août afin de faire aquisition de vos fournitures scolaires (liste des fournitures ci-jointe). Vous irez ensuite finir vos vacances au Chaudron Baveur. Rendez-vous voie 9 3/4 à la gare King's Cross le 31 août. Le Poudlard Express part à onze heure précise... Ne le râtez surtout pas ! Avec mes respectueux sentiments, A. Dippet, Directeur du collège Poudlard.
La lettre était comme toujours accompagnée de la liste des fournitures scolaires :
OUVRAGES : - Le livre des sorts et enchantements, niveau 2, par Miranda Fauconnette. - Histoire de la magie, par Bathilda Tourdesac - Magie théorique, par Adalbert Lasornette - Manuel de métamorphoses à l'usage du second niveau, par Emeric G. Changé - Mille herbes et champignons magiques, par Phyllida Augirolle - Potions Magiques, de Arsenius Beaulitron - Forces obscures : comment s'en protéger, de Quentin Jentrememble
Rappel des fournitures. (vous pouvez concerver celles dont vous avez fait usage lors de la précédente année)
UNIFORME : 1) Trois robes de travail (noires), model normal, 2) Un chapeau pointu (noir), 3) Une paire de gants protecteurs (en cuire de dragon ou autre matière semblable), 4) Une cape d'hiver (noire avec attaches d'argent) Chaque vêtement devra porter une étiquette indiquant le nom de l'élève.
FOURNITURES : - baguette magique - chaudron (modèle standard en étain, taille 2) - boîte de fioles en verre ou cristal - téléscope - balance en cuivre - balais (facultatif) Les élèves pourront également apporter un hibou OU un chat OU un crapaud OU un rat.
Je repliais la liste des fournitures et finissais ma valise. Je n'oubliais pas bien sûr d'enfermer Koper dans sa cage et de mettre le journal que Rognius m'avais offert lors de ma première visite de l'Allée des Embrumes dans le sac. Dumbledore nous attendais en bas des dortoirs en parlant d'un air interressé à Burton qui ne pouvait pas être plus embarassé. Quand deux imbéciles se rencontrent, ça pétille ! Nous partions tous les trois par la cheminée sous les yeux ébahis de Burton. Nous passiâmes à Gringotts, à Fleury & Bott, Tout du Quidditch (où j'avais acheté mon superbe Comète 180) et enfin de Chaudron Baveur. Nous y passiâmes plusieurs jours plutôt enervants, à cause du professeur de Métamorphoses. Ce professeur à cause duquel je ne pouvais pas aller à l'Allée des Embrumes ... Mais au bout d'une semaine, j'eus la surprise de voir débarquer Lucius Malefoy, père de Maximus Malefoy qui l'accompagnait d'ailleurs. Je trouvais aussi Karvin Malefoy, grand frêre de Max. Je me suis dirigé vers les trois hommes blonds. Je les ai courtoisement salués. Mr. Malefoy m'invita ensuite a passer mes dernières semaines de vacances au Manoir Malefoy. J'acceptais sous la permission de ce crétin de Dumbledore. Le Manoir possédait un jardin gigantesque. Deadflet, l'elfe de maison des Malefoy s'en occupait avec soins. Mes vacances se sont bien rattrapées. La dernière semaine avant les vacances, Max, ses trois frères aînés et moi eûmes le droit d'aller à l'Allée des Embrumes. J'avais acheté une cape d'invisibilité et la Main de la Gloire. Mrs Malefoy avait pris soin de préparer pour le retour de merveilleux toasts beurés."
--------------------- Réponse ici : ska -spam ouvaton point org (at à la place de -spam)
"La vie ne vaut rien mais ne vaut la vie" ...
Tof
> Un crime ou un délit n'en est plus un s'il est gratuit ?
En l'occurence, il s'agirait ici d'un délit et non d'un crime. et il pourrait être de deux sortes :
soit tirer profit de la notoriété de l'oeuvre sans rétribuer l'auteur.
Soit utiliser l'oeuvre sans l'accord de l'auteur.
Dans les deux cas, ce qui pousserait l'auteur (ou ses ayants droits) à intenter une action en justice (dans ce cas présent) serait une perte financière.
On reçoit des domages et interêt non pas en fonction du préjudice subit mais en fonction de l'intention unique de tirer profit ?
Oui, puisque les préjudices sont évalués financièrement ! On reçoit rarement des dommages et intérêts en natures !
Je ne porte pas de jugement moral, je fais simplement un constat.
>
Un crime ou un délit n'en est plus un s'il est gratuit ?
En l'occurence, il s'agirait ici d'un délit et non d'un crime.
et il pourrait être de deux sortes :
soit tirer profit de la notoriété de l'oeuvre sans rétribuer l'auteur.
Soit utiliser l'oeuvre sans l'accord de l'auteur.
Dans les deux cas, ce qui pousserait l'auteur (ou ses ayants droits) à
intenter une action en justice (dans ce cas présent) serait une perte
financière.
On reçoit des domages et interêt non pas en fonction du préjudice
subit mais en fonction de l'intention unique de tirer profit ?
Oui, puisque les préjudices sont évalués financièrement !
On reçoit rarement des dommages et intérêts en natures !
Je ne porte pas de jugement moral, je fais simplement un constat.
> Un crime ou un délit n'en est plus un s'il est gratuit ?
En l'occurence, il s'agirait ici d'un délit et non d'un crime. et il pourrait être de deux sortes :
soit tirer profit de la notoriété de l'oeuvre sans rétribuer l'auteur.
Soit utiliser l'oeuvre sans l'accord de l'auteur.
Dans les deux cas, ce qui pousserait l'auteur (ou ses ayants droits) à intenter une action en justice (dans ce cas présent) serait une perte financière.
On reçoit des domages et interêt non pas en fonction du préjudice subit mais en fonction de l'intention unique de tirer profit ?
Oui, puisque les préjudices sont évalués financièrement ! On reçoit rarement des dommages et intérêts en natures !
Je ne porte pas de jugement moral, je fais simplement un constat.
L. M.
"Laurent Wacrenier" <lwa@ teaser . fr> a écrit dans le message de news:
laptiote et leptiot écrit: > maintenant c'est fric et pompe à fric y'en a marre > révoltons nous !
Oui, devenons riches !
Oui, Oui, En piquant aux autres !!
LM
"Laurent Wacrenier" <lwa@ teaser . fr> a écrit dans le message de
news:slrncvd306.1uo5.lwa@victor.teaser.fr...
laptiote et leptiot <TEST@EMAIL.COM> écrit:
> maintenant c'est fric et pompe à fric y'en a marre
> révoltons nous !
On reçoit des domages et interêt non pas en fonction du préjudice subit mais en fonction de l'intention unique de tirer profit ?
Oui, puisque les préjudices sont évalués financièrement !
Pas selon le gain pour l'auteur du délit, mais selon les pertes de la victime.
On reçoit rarement des dommages et intérêts en natures !
Je ne porte pas de jugement moral, je fais simplement un constat.
Le fait que l'auteur du délit ai cherché ou non à en tirer profit ne change pas le fond du délit ni le préjudice.
pollux
Tof a écrit :
1. Est-ce que les résumés de votre fils vont faire l'objet de commercialisation ? en d'autres termes, est-ce qu'il va en tirer un profit financier quelconque ?
non : Il peut s'en servir tant qu'il veut tant que les écrits qu'il va présenter ne sont ni à caractère diffamatoire, ni cherchant à nuire à l'oeuvre originale.
oui : Il vaut mieux en avertir la maison d'édition et/ou les propriétaires du nom. ensuite cela dépend et de la longueur du résumé et d ela rémunération.
n'importe quoi ..... premiere, mad movies et consorts n'existeraient pas si on écoutait vos conneries ...
Ils causent de choses avec plein de marques déposées, disent souvent du mal et ils font du fric avec ....
Faut vraiment arréter les imbécilités là ....
On parle d'un gosse qui veut faire un texte sur son héro favori
attention il y a une épidémie de legislatite aigue ici !
Tof a écrit :
1. Est-ce que les résumés de votre fils vont faire l'objet de
commercialisation ?
en d'autres termes, est-ce qu'il va en tirer un profit financier quelconque ?
non : Il peut s'en servir tant qu'il veut tant que les écrits qu'il va
présenter ne sont ni à caractère diffamatoire, ni cherchant à nuire à l'oeuvre
originale.
oui : Il vaut mieux en avertir la maison d'édition et/ou les propriétaires du
nom. ensuite cela dépend et de la longueur du résumé et d ela rémunération.
n'importe quoi ..... premiere, mad movies et consorts n'existeraient pas
si on écoutait vos conneries ...
Ils causent de choses avec plein de marques déposées, disent souvent du
mal et ils font du fric avec ....
Faut vraiment arréter les imbécilités là ....
On parle d'un gosse qui veut faire un texte sur son héro favori
attention il y a une épidémie de legislatite aigue ici !
1. Est-ce que les résumés de votre fils vont faire l'objet de commercialisation ? en d'autres termes, est-ce qu'il va en tirer un profit financier quelconque ?
non : Il peut s'en servir tant qu'il veut tant que les écrits qu'il va présenter ne sont ni à caractère diffamatoire, ni cherchant à nuire à l'oeuvre originale.
oui : Il vaut mieux en avertir la maison d'édition et/ou les propriétaires du nom. ensuite cela dépend et de la longueur du résumé et d ela rémunération.
n'importe quoi ..... premiere, mad movies et consorts n'existeraient pas si on écoutait vos conneries ...
Ils causent de choses avec plein de marques déposées, disent souvent du mal et ils font du fric avec ....
Faut vraiment arréter les imbécilités là ....
On parle d'un gosse qui veut faire un texte sur son héro favori
attention il y a une épidémie de legislatite aigue ici !
Oui, c'est plutôt un "fan art", une improvisation sur l'univers de Harry Cover (comment ça, c'est pas lui ?). Toujours est-il que les fan art pullulent sur le web, et sont souvent encouragés par les auteurs ... Cherchez par exemple les dessins relatifs au jeu vidéo Zelda ...
Cela dit, il est vrai que prévenir l'auteure de la mise en ligne de ce fan art relèverait de la politesse la plus élémentaire ...
-- Florent "flure" C. http://flure.free.fr
JustMe a écrit :
C'est pas du tout un "résumé" :-)
Oui, c'est plutôt un "fan art", une improvisation sur l'univers de Harry
Cover (comment ça, c'est pas lui ?).
Toujours est-il que les fan art pullulent sur le web, et sont souvent
encouragés par les auteurs ... Cherchez par exemple les dessins relatifs
au jeu vidéo Zelda ...
Cela dit, il est vrai que prévenir l'auteure de la mise en ligne de ce
fan art relèverait de la politesse la plus élémentaire ...
Oui, c'est plutôt un "fan art", une improvisation sur l'univers de Harry Cover (comment ça, c'est pas lui ?). Toujours est-il que les fan art pullulent sur le web, et sont souvent encouragés par les auteurs ... Cherchez par exemple les dessins relatifs au jeu vidéo Zelda ...
Cela dit, il est vrai que prévenir l'auteure de la mise en ligne de ce fan art relèverait de la politesse la plus élémentaire ...
