tu sera déçu...:) mal écrit, phrases très longues, allemand pompeux et
souvent difficile ...traduction française lourdre...:-(
c'est pas un livre qu'on a envie de lire ou qu'on termine facilement
mais comme document d'histoire c'est une source intéressante à étudier
avec des élèves de lycée.
J'espère
au moins que, dans les librairies suisses, la chose est strictement réservée
à un public averti.
je ne crois pas non, on ne m'a rien demandé le jour où je l'ai commandé
et le jour où j'en ai pris possession...
Autre chose : ce genre de trucs peut atterrir par
inadvertance dans les bacs d'un bouquiniste, et donc entre les mains de
n'importe qui.
Ca a été publié en plusieurs millions d'exemplaires et traduits en de
nombreuses langues... mais je ne crois pas que les bouquinistes les
possèdent, j'en ai jamais trouvé malgé des demandes assez fréquentes
tu sera déçu...:) mal écrit, phrases très longues, allemand pompeux et
souvent difficile ...traduction française lourdre...:-(
c'est pas un livre qu'on a envie de lire ou qu'on termine facilement
mais comme document d'histoire c'est une source intéressante à étudier
avec des élèves de lycée.
J'espère
au moins que, dans les librairies suisses, la chose est strictement réservée
à un public averti.
je ne crois pas non, on ne m'a rien demandé le jour où je l'ai commandé
et le jour où j'en ai pris possession...
Autre chose : ce genre de trucs peut atterrir par
inadvertance dans les bacs d'un bouquiniste, et donc entre les mains de
n'importe qui.
Ca a été publié en plusieurs millions d'exemplaires et traduits en de
nombreuses langues... mais je ne crois pas que les bouquinistes les
possèdent, j'en ai jamais trouvé malgé des demandes assez fréquentes
tu sera déçu...:) mal écrit, phrases très longues, allemand pompeux et
souvent difficile ...traduction française lourdre...:-(
c'est pas un livre qu'on a envie de lire ou qu'on termine facilement
mais comme document d'histoire c'est une source intéressante à étudier
avec des élèves de lycée.
J'espère
au moins que, dans les librairies suisses, la chose est strictement réservée
à un public averti.
je ne crois pas non, on ne m'a rien demandé le jour où je l'ai commandé
et le jour où j'en ai pris possession...
Autre chose : ce genre de trucs peut atterrir par
inadvertance dans les bacs d'un bouquiniste, et donc entre les mains de
n'importe qui.
Ca a été publié en plusieurs millions d'exemplaires et traduits en de
nombreuses langues... mais je ne crois pas que les bouquinistes les
possèdent, j'en ai jamais trouvé malgé des demandes assez fréquentes
Cette assertion pourrait être vraie d'un certain point de vue
(combien de crimes atroces ne subsistent plus aujourd'hui dans nos
mémoires qu'en tant que "quelques pages dans un livre d'histoire" ?),
mais définitivement honteuse telle qu'elle a été exprimée, et dans le
contexte où elle a été exprimée. Je suis prêt à réviser mon jugement
si on m'apporte une vraie preuve du contraire (ce n'est pas le cas
ici, M. Philippe Rai).
faite en un jour, sur quelques sournoises désinformations concertées
par ses adversaires, ou par l'opinion publique, etc. Je suis
d'accord, dire "il n'y a pas de fumée sans feu" n'est pas un argument
en soi, mais je crois qu'une des grandes forces des démagogues
manipulateurs, c'est d'isoler des fragments de réalité, et de
reconstruire une autre image de la réalité telle qu'ils la désirent
pour justifier leurs thèses prééminentes à toute réflexion.
Forcément, on a tendance à essayer de les contredire sur ces
fragments, alors qu'ils parviendront la plupart du temps :
- soit à avoir raison, et noter à juste titre les fourvoiements de
leurs interlocuteurs déstabilisés, et souvent nourris d'un mélange
confus de désinformation, de lieux communs bien-pensants, d'éléments
de réalité et (en dernier bien souvent) de leur réflexion personnelle
- soit à donner l'illusion de cohérence, à semer le doute dans un
esprit plus enclin à l'autocritique qui se verra ainsi désarmé, et se
perdra vite dans l'écheveau argumentaire stratifié échafaudé par un
orfèvre de la rhétorique retorse, jusqu'à tomber dans la facilité des
lieux communs et des sarcasmes, faute de mieux, et perdre toute
crédibilité. C'est ce qui fait qu'ils sont si difficiles à
contrer, et que celui qui
s'y essaie de front se laisse quasiment à coup sûr prendre au piège.
C'est ce qui fait que Chirac a piteusement refusé le traditionnel
débat de l'entre deux tours en invoquant des arguments minables du
style "on ne transige pas avec la haine". Il eut plus honnêtement
déclaré "je n'ai pas les couilles de faire la seule chose qui soit
digne et efficace en pareilles circonstances, combattre l'adversaire
avec les idées, que l'on sait justes et que l'on se fait fort de
défendre dans une joute loyale et sans concessions". Du reste Chirac
ne vaut guère mieux, ayant un passé tout aussi trouble, il devait
savoir qu'un tel débat était susceptible de remuer la merde, très
mauvais pour lui... Il a préféré éluder pour sauver sa peau(lytique)
plutôt que risquer son honneur pour celui de la France et de ses
citoyens. En bref c'est un pauvre minable, lâche, égoïste et
irresponsable.
Le cas Sarkozy est plus intéressant. Lors du débat qui
l'opposa à JMLP, outre que ce dernier semblait vraiment dans les
choux, on a pu constater que le Nico était très redoutable au jeu du
débat, il sait être aussi retors et ambigu que son ennemi, il sait
s'appuyer sur des arguments secondaires mais qui, il le sait, font
mouche, plutôt que d'essayer de pointer les réelles contradictions
des ennemis (ce qui est éminemment difficile, les preuves manquent,
les chiffres ne sont jamais fiables, les réalités exprimées ne sont
jamais totalement fausses...) il les prend à leur propre piège en
floutant, comme eux, la réalité d'un voile en trompe-l'oeil,
présentant toutes les apparences de vérité mais bénéficiant de la
caution "républicaine". En bref, c'est un sacré enculé, mais il est
très fort et rusé. Pour le reste, "the answer my friend, is blowin'
in the wind..."
Avec le recul, je regrette mon vote du 5 mai 2002 (jour de mes 22
ans, fichtre, tu parles d'un cadeau...). Au moins, là, on aurait pu
juger sur pièce. Soit nous aurions pris conscience de notre "erreur",
nous les attardés paranoïaques, soit la France aurait sombré dans le
chaos, et nous aurions été quittes pour une bonne révolution
salvatrice.
Cette assertion pourrait être vraie d'un certain point de vue
(combien de crimes atroces ne subsistent plus aujourd'hui dans nos
mémoires qu'en tant que "quelques pages dans un livre d'histoire" ?),
mais définitivement honteuse telle qu'elle a été exprimée, et dans le
contexte où elle a été exprimée. Je suis prêt à réviser mon jugement
si on m'apporte une vraie preuve du contraire (ce n'est pas le cas
ici, M. Philippe Rai).
faite en un jour, sur quelques sournoises désinformations concertées
par ses adversaires, ou par l'opinion publique, etc. Je suis
d'accord, dire "il n'y a pas de fumée sans feu" n'est pas un argument
en soi, mais je crois qu'une des grandes forces des démagogues
manipulateurs, c'est d'isoler des fragments de réalité, et de
reconstruire une autre image de la réalité telle qu'ils la désirent
pour justifier leurs thèses prééminentes à toute réflexion.
Forcément, on a tendance à essayer de les contredire sur ces
fragments, alors qu'ils parviendront la plupart du temps :
- soit à avoir raison, et noter à juste titre les fourvoiements de
leurs interlocuteurs déstabilisés, et souvent nourris d'un mélange
confus de désinformation, de lieux communs bien-pensants, d'éléments
de réalité et (en dernier bien souvent) de leur réflexion personnelle
- soit à donner l'illusion de cohérence, à semer le doute dans un
esprit plus enclin à l'autocritique qui se verra ainsi désarmé, et se
perdra vite dans l'écheveau argumentaire stratifié échafaudé par un
orfèvre de la rhétorique retorse, jusqu'à tomber dans la facilité des
lieux communs et des sarcasmes, faute de mieux, et perdre toute
crédibilité. C'est ce qui fait qu'ils sont si difficiles à
contrer, et que celui qui
s'y essaie de front se laisse quasiment à coup sûr prendre au piège.
C'est ce qui fait que Chirac a piteusement refusé le traditionnel
débat de l'entre deux tours en invoquant des arguments minables du
style "on ne transige pas avec la haine". Il eut plus honnêtement
déclaré "je n'ai pas les couilles de faire la seule chose qui soit
digne et efficace en pareilles circonstances, combattre l'adversaire
avec les idées, que l'on sait justes et que l'on se fait fort de
défendre dans une joute loyale et sans concessions". Du reste Chirac
ne vaut guère mieux, ayant un passé tout aussi trouble, il devait
savoir qu'un tel débat était susceptible de remuer la merde, très
mauvais pour lui... Il a préféré éluder pour sauver sa peau(lytique)
plutôt que risquer son honneur pour celui de la France et de ses
citoyens. En bref c'est un pauvre minable, lâche, égoïste et
irresponsable.
Le cas Sarkozy est plus intéressant. Lors du débat qui
l'opposa à JMLP, outre que ce dernier semblait vraiment dans les
choux, on a pu constater que le Nico était très redoutable au jeu du
débat, il sait être aussi retors et ambigu que son ennemi, il sait
s'appuyer sur des arguments secondaires mais qui, il le sait, font
mouche, plutôt que d'essayer de pointer les réelles contradictions
des ennemis (ce qui est éminemment difficile, les preuves manquent,
les chiffres ne sont jamais fiables, les réalités exprimées ne sont
jamais totalement fausses...) il les prend à leur propre piège en
floutant, comme eux, la réalité d'un voile en trompe-l'oeil,
présentant toutes les apparences de vérité mais bénéficiant de la
caution "républicaine". En bref, c'est un sacré enculé, mais il est
très fort et rusé. Pour le reste, "the answer my friend, is blowin'
in the wind..."
Avec le recul, je regrette mon vote du 5 mai 2002 (jour de mes 22
ans, fichtre, tu parles d'un cadeau...). Au moins, là, on aurait pu
juger sur pièce. Soit nous aurions pris conscience de notre "erreur",
nous les attardés paranoïaques, soit la France aurait sombré dans le
chaos, et nous aurions été quittes pour une bonne révolution
salvatrice.
Cette assertion pourrait être vraie d'un certain point de vue
(combien de crimes atroces ne subsistent plus aujourd'hui dans nos
mémoires qu'en tant que "quelques pages dans un livre d'histoire" ?),
mais définitivement honteuse telle qu'elle a été exprimée, et dans le
contexte où elle a été exprimée. Je suis prêt à réviser mon jugement
si on m'apporte une vraie preuve du contraire (ce n'est pas le cas
ici, M. Philippe Rai).
faite en un jour, sur quelques sournoises désinformations concertées
par ses adversaires, ou par l'opinion publique, etc. Je suis
d'accord, dire "il n'y a pas de fumée sans feu" n'est pas un argument
en soi, mais je crois qu'une des grandes forces des démagogues
manipulateurs, c'est d'isoler des fragments de réalité, et de
reconstruire une autre image de la réalité telle qu'ils la désirent
pour justifier leurs thèses prééminentes à toute réflexion.
Forcément, on a tendance à essayer de les contredire sur ces
fragments, alors qu'ils parviendront la plupart du temps :
- soit à avoir raison, et noter à juste titre les fourvoiements de
leurs interlocuteurs déstabilisés, et souvent nourris d'un mélange
confus de désinformation, de lieux communs bien-pensants, d'éléments
de réalité et (en dernier bien souvent) de leur réflexion personnelle
- soit à donner l'illusion de cohérence, à semer le doute dans un
esprit plus enclin à l'autocritique qui se verra ainsi désarmé, et se
perdra vite dans l'écheveau argumentaire stratifié échafaudé par un
orfèvre de la rhétorique retorse, jusqu'à tomber dans la facilité des
lieux communs et des sarcasmes, faute de mieux, et perdre toute
crédibilité. C'est ce qui fait qu'ils sont si difficiles à
contrer, et que celui qui
s'y essaie de front se laisse quasiment à coup sûr prendre au piège.
C'est ce qui fait que Chirac a piteusement refusé le traditionnel
débat de l'entre deux tours en invoquant des arguments minables du
style "on ne transige pas avec la haine". Il eut plus honnêtement
déclaré "je n'ai pas les couilles de faire la seule chose qui soit
digne et efficace en pareilles circonstances, combattre l'adversaire
avec les idées, que l'on sait justes et que l'on se fait fort de
défendre dans une joute loyale et sans concessions". Du reste Chirac
ne vaut guère mieux, ayant un passé tout aussi trouble, il devait
savoir qu'un tel débat était susceptible de remuer la merde, très
mauvais pour lui... Il a préféré éluder pour sauver sa peau(lytique)
plutôt que risquer son honneur pour celui de la France et de ses
citoyens. En bref c'est un pauvre minable, lâche, égoïste et
irresponsable.
Le cas Sarkozy est plus intéressant. Lors du débat qui
l'opposa à JMLP, outre que ce dernier semblait vraiment dans les
choux, on a pu constater que le Nico était très redoutable au jeu du
débat, il sait être aussi retors et ambigu que son ennemi, il sait
s'appuyer sur des arguments secondaires mais qui, il le sait, font
mouche, plutôt que d'essayer de pointer les réelles contradictions
des ennemis (ce qui est éminemment difficile, les preuves manquent,
les chiffres ne sont jamais fiables, les réalités exprimées ne sont
jamais totalement fausses...) il les prend à leur propre piège en
floutant, comme eux, la réalité d'un voile en trompe-l'oeil,
présentant toutes les apparences de vérité mais bénéficiant de la
caution "républicaine". En bref, c'est un sacré enculé, mais il est
très fort et rusé. Pour le reste, "the answer my friend, is blowin'
in the wind..."
Avec le recul, je regrette mon vote du 5 mai 2002 (jour de mes 22
ans, fichtre, tu parles d'un cadeau...). Au moins, là, on aurait pu
juger sur pièce. Soit nous aurions pris conscience de notre "erreur",
nous les attardés paranoïaques, soit la France aurait sombré dans le
chaos, et nous aurions été quittes pour une bonne révolution
salvatrice.
> > ...traduction française lourde...:-(
>
> Ca ne m'étonne pas tant que ça, un truc pareil sent tellement le soufre que
> peu de traducteurs vont se risquer à y associer leur nom, même s'il s'agit
> d'un document historique. Par ailleurs, bien traduire implique de se plonger
> dans la pensée de l'auteur traduit, jusqu'à éprouver je suppose une certaine
> intimité, ce qui pour beaucoup est impensable, sauf par des suiveurs dont
> les traductions seront selon toute vraisemblance frappées d'opprobre...
>
les traducteurs d'il y a 60 ou 80 ans étaient peutêtre des nazis
convaincus , profondément pénétrés de la pensée de l'auteur...mais on ne
le saura jamais...
si ça se trouve c'est tellement peu élégant en allemand qu'on ne peut
pas l'améliorer en le traduisant
> > ...traduction française lourde...:-(
>
> Ca ne m'étonne pas tant que ça, un truc pareil sent tellement le soufre que
> peu de traducteurs vont se risquer à y associer leur nom, même s'il s'agit
> d'un document historique. Par ailleurs, bien traduire implique de se plonger
> dans la pensée de l'auteur traduit, jusqu'à éprouver je suppose une certaine
> intimité, ce qui pour beaucoup est impensable, sauf par des suiveurs dont
> les traductions seront selon toute vraisemblance frappées d'opprobre...
>
les traducteurs d'il y a 60 ou 80 ans étaient peutêtre des nazis
convaincus , profondément pénétrés de la pensée de l'auteur...mais on ne
le saura jamais...
si ça se trouve c'est tellement peu élégant en allemand qu'on ne peut
pas l'améliorer en le traduisant
> > ...traduction française lourde...:-(
>
> Ca ne m'étonne pas tant que ça, un truc pareil sent tellement le soufre que
> peu de traducteurs vont se risquer à y associer leur nom, même s'il s'agit
> d'un document historique. Par ailleurs, bien traduire implique de se plonger
> dans la pensée de l'auteur traduit, jusqu'à éprouver je suppose une certaine
> intimité, ce qui pour beaucoup est impensable, sauf par des suiveurs dont
> les traductions seront selon toute vraisemblance frappées d'opprobre...
>
les traducteurs d'il y a 60 ou 80 ans étaient peutêtre des nazis
convaincus , profondément pénétrés de la pensée de l'auteur...mais on ne
le saura jamais...
si ça se trouve c'est tellement peu élégant en allemand qu'on ne peut
pas l'améliorer en le traduisant
Philippe RAI wrote:
> Bien sûr, il laisse planner le doute ! En attendant, remplacer
> chambre à gaz par camp de concentration n'est certainement pas
> innocent !
philou, t'as pas dû bien lire...il allait jusqu'à remettre en cause le terme
de GENOCIDE...jouant avec le nombre de mort comme à la roulette russe.
> Et puis on ne pourrait donc rien dire au motif que des vilains
> pourraient interpréter ... ça ne tient par la route, on peut appliquer
> ce reproche à tous les discours de tout le monde sur tous les sujets
> et ainsi justifier la censure, ce que font justement les dictateurs.
ehehehe. dis moi, tu nous prends pour des cons ? rassure moi.
> Qu'on puisse reprocher à Le Pen d'avoir sorti une phrase ambiguë à
> cause
> de la double signification du mot détail, je veux bien l'admettre,
> mais
> il faut alors aussi admettre la mauvaise foi de ceux qui font
> volontairement une interprétation erronée.
philou, remettre en cause le génocide, l'existence de la shoah, ça
mériterait la tôle.
> Et aussi faut il comprendre qu'il commençait à en avoir ras le bol
> qu'à chaque fois qu'il était invité c'était pour passer du temps avec
> ces histoires de nazisme alors qu'il était venu parler des problèmes
> de notre époque.
avant de confier notre avenir à JM, on avait envie de savoir ce qu'il
pensait du passé. on sait desormais, donc on a pas envie de lui. tu saisis ?
> J'ai déjà longuement discuté sur ce texte avec d'autres personnes, les
> seuls arguments à charge se résument à une lecture entre les lignes et
> des interprétations, dans le mépris total des explications de Le Pen.
voilà. remettre en cause 6 millions de morts (dans des conditions barbares),
et les résumer à "quelques pages dans un livre d'histoire", c'est pas
choquant selon toi ?
Philippe RAI wrote:
> Bien sûr, il laisse planner le doute ! En attendant, remplacer
> chambre à gaz par camp de concentration n'est certainement pas
> innocent !
philou, t'as pas dû bien lire...il allait jusqu'à remettre en cause le terme
de GENOCIDE...jouant avec le nombre de mort comme à la roulette russe.
> Et puis on ne pourrait donc rien dire au motif que des vilains
> pourraient interpréter ... ça ne tient par la route, on peut appliquer
> ce reproche à tous les discours de tout le monde sur tous les sujets
> et ainsi justifier la censure, ce que font justement les dictateurs.
ehehehe. dis moi, tu nous prends pour des cons ? rassure moi.
> Qu'on puisse reprocher à Le Pen d'avoir sorti une phrase ambiguë à
> cause
> de la double signification du mot détail, je veux bien l'admettre,
> mais
> il faut alors aussi admettre la mauvaise foi de ceux qui font
> volontairement une interprétation erronée.
philou, remettre en cause le génocide, l'existence de la shoah, ça
mériterait la tôle.
> Et aussi faut il comprendre qu'il commençait à en avoir ras le bol
> qu'à chaque fois qu'il était invité c'était pour passer du temps avec
> ces histoires de nazisme alors qu'il était venu parler des problèmes
> de notre époque.
avant de confier notre avenir à JM, on avait envie de savoir ce qu'il
pensait du passé. on sait desormais, donc on a pas envie de lui. tu saisis ?
> J'ai déjà longuement discuté sur ce texte avec d'autres personnes, les
> seuls arguments à charge se résument à une lecture entre les lignes et
> des interprétations, dans le mépris total des explications de Le Pen.
voilà. remettre en cause 6 millions de morts (dans des conditions barbares),
et les résumer à "quelques pages dans un livre d'histoire", c'est pas
choquant selon toi ?
Philippe RAI wrote:
> Bien sûr, il laisse planner le doute ! En attendant, remplacer
> chambre à gaz par camp de concentration n'est certainement pas
> innocent !
philou, t'as pas dû bien lire...il allait jusqu'à remettre en cause le terme
de GENOCIDE...jouant avec le nombre de mort comme à la roulette russe.
> Et puis on ne pourrait donc rien dire au motif que des vilains
> pourraient interpréter ... ça ne tient par la route, on peut appliquer
> ce reproche à tous les discours de tout le monde sur tous les sujets
> et ainsi justifier la censure, ce que font justement les dictateurs.
ehehehe. dis moi, tu nous prends pour des cons ? rassure moi.
> Qu'on puisse reprocher à Le Pen d'avoir sorti une phrase ambiguë à
> cause
> de la double signification du mot détail, je veux bien l'admettre,
> mais
> il faut alors aussi admettre la mauvaise foi de ceux qui font
> volontairement une interprétation erronée.
philou, remettre en cause le génocide, l'existence de la shoah, ça
mériterait la tôle.
> Et aussi faut il comprendre qu'il commençait à en avoir ras le bol
> qu'à chaque fois qu'il était invité c'était pour passer du temps avec
> ces histoires de nazisme alors qu'il était venu parler des problèmes
> de notre époque.
avant de confier notre avenir à JM, on avait envie de savoir ce qu'il
pensait du passé. on sait desormais, donc on a pas envie de lui. tu saisis ?
> J'ai déjà longuement discuté sur ce texte avec d'autres personnes, les
> seuls arguments à charge se résument à une lecture entre les lignes et
> des interprétations, dans le mépris total des explications de Le Pen.
voilà. remettre en cause 6 millions de morts (dans des conditions barbares),
et les résumer à "quelques pages dans un livre d'histoire", c'est pas
choquant selon toi ?
Philippe RAI wrote:
> Non, la connerie vient de toi, qui avoue sans honte qu'on fait rentrer
> des immigrés pour faire les travaux que les Français ne veulent pas
> faire, justement parce qu'ils sont sous-payés.
>
> Un genre d'esclavage moderne.
>
> Il n'y a aucune valorisation, juste une descente généralisée des
> salaires vers le bas pour s'aligner sur l'offre des immigrés.
>
> Faut pas se faire d'illusions, les immigrés se rendent vite compte
> qu'ils sont exploités. Pas de problème, ils se font virer, des
> millions d'autres attendent à la porte.
>
> On ne fait qu'augmenter le nombre d'immigrés sans travail et pleins de
> ressentiments contre notre société qui les traite ainsi.
>
> Et puis il ne faut pas croire qu'il n'y a que des immigrés de bas
> étages! on trouve des médecins, des ingénieurs, des informaticiens
> payés moins cher, alors que leur pays d'origine aurait besoin de leurs
> services.
Dis moi pepère, tu comprends ce que tu lis ? Tu es au courant que, l'appel à
la main d'oeuvre étrangère pour pallier au manque de la main d'oeuvre
française, ça fait quelques décennies que c'est terminé ?
Tu peux t'agiter comme tu veux dans ta flaque d'eau, tu ne peux rien face
aux statistiques de l'INSEE.
(d'autant que l'INSEE a montré que la main d'oeuvre immigré, qui
accepte des travaux plus pénibles que n'accepterait la main d'oeuvre
"locale", valorise le travail et la rénumération de ces derniers)
Curieux que quelqu'un comme toi parle d'esclavagisme. Il se trouve
simplement, (et soit tu fais exprès de ne pas comprendre soit tu as quelques
neurones déficitaires) que pour les travaux à la pénibilité la plus élevée,
la main d'oeuvre issue de l'immigration (ça veut dire des gens qui sont
AUSSI français) est sur-representée,
valorisant ce faisant la main d'oeuvre "nationale" comme dirait ton
saint-patron.
La conclusion Philou ? que l'argument "1 millions d'immigrés, 1 millions
de chômeurs", c'est tout simplement de la daube en barre.
en aparté, demande toi pourquoi dans certains hôpitaux on ne trouve que des
médecins étrangers. Et réflechis avant d'ecrire, ça va t'éviter de sortir
des conneries nauséeuses.
> Il ne s'agit que d'une association sans aucun fondement, sans aucune
> justification. Principe de base de la désinformation.
dis moi, tu as appris par coeur la propagande, pardon, les lexiques à usages
des militants FN face à la société des vraies gens.Je suis estomaqué. Un
vrai chien de cirque.
Philippe RAI wrote:
> Non, la connerie vient de toi, qui avoue sans honte qu'on fait rentrer
> des immigrés pour faire les travaux que les Français ne veulent pas
> faire, justement parce qu'ils sont sous-payés.
>
> Un genre d'esclavage moderne.
>
> Il n'y a aucune valorisation, juste une descente généralisée des
> salaires vers le bas pour s'aligner sur l'offre des immigrés.
>
> Faut pas se faire d'illusions, les immigrés se rendent vite compte
> qu'ils sont exploités. Pas de problème, ils se font virer, des
> millions d'autres attendent à la porte.
>
> On ne fait qu'augmenter le nombre d'immigrés sans travail et pleins de
> ressentiments contre notre société qui les traite ainsi.
>
> Et puis il ne faut pas croire qu'il n'y a que des immigrés de bas
> étages! on trouve des médecins, des ingénieurs, des informaticiens
> payés moins cher, alors que leur pays d'origine aurait besoin de leurs
> services.
Dis moi pepère, tu comprends ce que tu lis ? Tu es au courant que, l'appel à
la main d'oeuvre étrangère pour pallier au manque de la main d'oeuvre
française, ça fait quelques décennies que c'est terminé ?
Tu peux t'agiter comme tu veux dans ta flaque d'eau, tu ne peux rien face
aux statistiques de l'INSEE.
(d'autant que l'INSEE a montré que la main d'oeuvre immigré, qui
accepte des travaux plus pénibles que n'accepterait la main d'oeuvre
"locale", valorise le travail et la rénumération de ces derniers)
Curieux que quelqu'un comme toi parle d'esclavagisme. Il se trouve
simplement, (et soit tu fais exprès de ne pas comprendre soit tu as quelques
neurones déficitaires) que pour les travaux à la pénibilité la plus élevée,
la main d'oeuvre issue de l'immigration (ça veut dire des gens qui sont
AUSSI français) est sur-representée,
valorisant ce faisant la main d'oeuvre "nationale" comme dirait ton
saint-patron.
La conclusion Philou ? que l'argument "1 millions d'immigrés, 1 millions
de chômeurs", c'est tout simplement de la daube en barre.
en aparté, demande toi pourquoi dans certains hôpitaux on ne trouve que des
médecins étrangers. Et réflechis avant d'ecrire, ça va t'éviter de sortir
des conneries nauséeuses.
> Il ne s'agit que d'une association sans aucun fondement, sans aucune
> justification. Principe de base de la désinformation.
dis moi, tu as appris par coeur la propagande, pardon, les lexiques à usages
des militants FN face à la société des vraies gens.Je suis estomaqué. Un
vrai chien de cirque.
Philippe RAI wrote:
> Non, la connerie vient de toi, qui avoue sans honte qu'on fait rentrer
> des immigrés pour faire les travaux que les Français ne veulent pas
> faire, justement parce qu'ils sont sous-payés.
>
> Un genre d'esclavage moderne.
>
> Il n'y a aucune valorisation, juste une descente généralisée des
> salaires vers le bas pour s'aligner sur l'offre des immigrés.
>
> Faut pas se faire d'illusions, les immigrés se rendent vite compte
> qu'ils sont exploités. Pas de problème, ils se font virer, des
> millions d'autres attendent à la porte.
>
> On ne fait qu'augmenter le nombre d'immigrés sans travail et pleins de
> ressentiments contre notre société qui les traite ainsi.
>
> Et puis il ne faut pas croire qu'il n'y a que des immigrés de bas
> étages! on trouve des médecins, des ingénieurs, des informaticiens
> payés moins cher, alors que leur pays d'origine aurait besoin de leurs
> services.
Dis moi pepère, tu comprends ce que tu lis ? Tu es au courant que, l'appel à
la main d'oeuvre étrangère pour pallier au manque de la main d'oeuvre
française, ça fait quelques décennies que c'est terminé ?
Tu peux t'agiter comme tu veux dans ta flaque d'eau, tu ne peux rien face
aux statistiques de l'INSEE.
(d'autant que l'INSEE a montré que la main d'oeuvre immigré, qui
accepte des travaux plus pénibles que n'accepterait la main d'oeuvre
"locale", valorise le travail et la rénumération de ces derniers)
Curieux que quelqu'un comme toi parle d'esclavagisme. Il se trouve
simplement, (et soit tu fais exprès de ne pas comprendre soit tu as quelques
neurones déficitaires) que pour les travaux à la pénibilité la plus élevée,
la main d'oeuvre issue de l'immigration (ça veut dire des gens qui sont
AUSSI français) est sur-representée,
valorisant ce faisant la main d'oeuvre "nationale" comme dirait ton
saint-patron.
La conclusion Philou ? que l'argument "1 millions d'immigrés, 1 millions
de chômeurs", c'est tout simplement de la daube en barre.
en aparté, demande toi pourquoi dans certains hôpitaux on ne trouve que des
médecins étrangers. Et réflechis avant d'ecrire, ça va t'éviter de sortir
des conneries nauséeuses.
> Il ne s'agit que d'une association sans aucun fondement, sans aucune
> justification. Principe de base de la désinformation.
dis moi, tu as appris par coeur la propagande, pardon, les lexiques à usages
des militants FN face à la société des vraies gens.Je suis estomaqué. Un
vrai chien de cirque.
"George '1904' Abitbol" a
écrit dans le message de news: 40200f2e$0$3265$
> Philippe RAI wrote:
> > J'ai déjà longuement discuté sur ce texte avec d'autres personnes, les
> > seuls arguments à charge se résument à une lecture entre les lignes et
> > des interprétations, dans le mépris total des explications de Le Pen.
>
> voilà. remettre en cause 6 millions de morts (dans des conditions
> barbares), et les résumer à "quelques pages dans un livre d'histoire",
> c'est pas choquant selon toi ?
Cette assertion pourrait être vraie d'un certain point de vue (combien
de crimes atroces ne subsistent plus aujourd'hui dans nos mémoires qu'en
tant que "quelques pages dans un livre d'histoire" ?), mais définitivement
honteuse telle qu'elle a été exprimée, et dans le contexte où elle a été
exprimée. Je suis prêt à réviser mon jugement si on m'apporte une vraie
preuve du contraire (ce n'est pas le cas ici, M. Philippe Rai).
La réputation de Le Pen et du FN ne s'est pas faite en un jour, sur
quelques sournoises désinformations concertées par ses adversaires,
ou par l'opinion publique, etc. Je suis d'accord, dire "il n'y a pas de
fumée sans feu" n'est pas un argument en soi, mais je crois qu'une des
grandes forces des démagogues manipulateurs, c'est d'isoler des fragments
de réalité, et de reconstruire une autre image de la réalité telle qu'ils
la désirent pour justifier leurs thèses prééminentes à toute réflexion.
Forcément, on a tendance à essayer de les contredire sur ces fragments,
alors qu'ils parviendront la plupart du temps :
- soit à avoir raison, et noter à juste titre les fourvoiements de leurs
interlocuteurs déstabilisés, et souvent nourris d'un mélange confus de
désinformation, de lieux communs bien-pensants, d'éléments de réalité et (en
dernier bien souvent) de leur réflexion personnelle
- soit à donner l'illusion de cohérence, à semer le doute dans un esprit
plus enclin à l'autocritique qui se verra ainsi désarmé, et se perdra vite
dans l'écheveau argumentaire stratifié échafaudé par un orfèvre de la
rhétorique retorse, jusqu'à tomber dans la facilité des lieux communs et des
sarcasmes, faute de mieux, et perdre toute crédibilité.
C'est ce qui fait qu'ils sont si difficiles à contrer, et que celui qui
s'y essaie de front se laisse quasiment à coup sûr prendre au piège.
C'est ce qui fait que Chirac a piteusement refusé le traditionnel débat de
l'entre deux tours en invoquant des arguments minables du style "on ne
transige pas avec la haine". Il eut plus honnêtement déclaré "je n'ai pas
les couilles de faire la seule chose qui soit digne et efficace en
pareilles circonstances, combattre l'adversaire avec les idées, que l'on
sait justes et que l'on se fait fort de défendre dans une joute loyale et
sans concessions".
Du reste Chirac ne vaut guère mieux, ayant un passé tout aussi trouble, il
devait savoir qu'un tel débat était susceptible de remuer la merde, très
mauvais pour lui... Il a préféré éluder pour sauver sa peau(lytique)
plutôt que risquer son honneur pour celui de la France et de ses citoyens.
En bref c'est un pauvre minable, lâche, égoïste et irresponsable.
Le cas Sarkozy est plus intéressant. Lors du débat qui l'opposa à JMLP,
outre que ce dernier semblait vraiment dans les choux,
on a pu constater que le Nico était très redoutable au jeu du débat, il
sait être aussi retors et ambigu que son ennemi, il sait s'appuyer sur des
arguments secondaires mais qui, il le sait, font mouche,
plutôt que d'essayer de pointer les réelles
contradictions des ennemis (ce qui est éminemment difficile, les preuves
manquent, les chiffres ne sont jamais fiables, les réalités exprimées ne
sont jamais totalement fausses...)
il les prend à leur propre piège en floutant, comme eux, la réalité d'un
voile en trompe-l'oeil, présentant toutes les apparences de vérité mais
bénéficiant de la caution "républicaine". En bref, c'est un sacré enculé,
mais il est très fort et rusé. Pour le reste, "the answer my friend, is
blowin' in the wind..."
Avec le recul, je regrette mon vote du 5 mai 2002 (jour de mes 22 ans,
fichtre, tu parles d'un cadeau...). Au moins, là, on aurait pu juger sur
pièce. Soit nous aurions pris conscience de notre "erreur", nous les
attardés paranoïaques, soit la France aurait sombré dans le chaos, et nous
aurions été quittes pour une bonne révolution salvatrice.
Gabriel
"George '1904' Abitbol" <georNOgeFUCKINGabitSPbolAM@altNOtern.SPAMorg> a
écrit dans le message de news: 40200f2e$0$3265$626a54ce@news.free.fr...
> Philippe RAI wrote:
> > J'ai déjà longuement discuté sur ce texte avec d'autres personnes, les
> > seuls arguments à charge se résument à une lecture entre les lignes et
> > des interprétations, dans le mépris total des explications de Le Pen.
>
> voilà. remettre en cause 6 millions de morts (dans des conditions
> barbares), et les résumer à "quelques pages dans un livre d'histoire",
> c'est pas choquant selon toi ?
Cette assertion pourrait être vraie d'un certain point de vue (combien
de crimes atroces ne subsistent plus aujourd'hui dans nos mémoires qu'en
tant que "quelques pages dans un livre d'histoire" ?), mais définitivement
honteuse telle qu'elle a été exprimée, et dans le contexte où elle a été
exprimée. Je suis prêt à réviser mon jugement si on m'apporte une vraie
preuve du contraire (ce n'est pas le cas ici, M. Philippe Rai).
La réputation de Le Pen et du FN ne s'est pas faite en un jour, sur
quelques sournoises désinformations concertées par ses adversaires,
ou par l'opinion publique, etc. Je suis d'accord, dire "il n'y a pas de
fumée sans feu" n'est pas un argument en soi, mais je crois qu'une des
grandes forces des démagogues manipulateurs, c'est d'isoler des fragments
de réalité, et de reconstruire une autre image de la réalité telle qu'ils
la désirent pour justifier leurs thèses prééminentes à toute réflexion.
Forcément, on a tendance à essayer de les contredire sur ces fragments,
alors qu'ils parviendront la plupart du temps :
- soit à avoir raison, et noter à juste titre les fourvoiements de leurs
interlocuteurs déstabilisés, et souvent nourris d'un mélange confus de
désinformation, de lieux communs bien-pensants, d'éléments de réalité et (en
dernier bien souvent) de leur réflexion personnelle
- soit à donner l'illusion de cohérence, à semer le doute dans un esprit
plus enclin à l'autocritique qui se verra ainsi désarmé, et se perdra vite
dans l'écheveau argumentaire stratifié échafaudé par un orfèvre de la
rhétorique retorse, jusqu'à tomber dans la facilité des lieux communs et des
sarcasmes, faute de mieux, et perdre toute crédibilité.
C'est ce qui fait qu'ils sont si difficiles à contrer, et que celui qui
s'y essaie de front se laisse quasiment à coup sûr prendre au piège.
C'est ce qui fait que Chirac a piteusement refusé le traditionnel débat de
l'entre deux tours en invoquant des arguments minables du style "on ne
transige pas avec la haine". Il eut plus honnêtement déclaré "je n'ai pas
les couilles de faire la seule chose qui soit digne et efficace en
pareilles circonstances, combattre l'adversaire avec les idées, que l'on
sait justes et que l'on se fait fort de défendre dans une joute loyale et
sans concessions".
Du reste Chirac ne vaut guère mieux, ayant un passé tout aussi trouble, il
devait savoir qu'un tel débat était susceptible de remuer la merde, très
mauvais pour lui... Il a préféré éluder pour sauver sa peau(lytique)
plutôt que risquer son honneur pour celui de la France et de ses citoyens.
En bref c'est un pauvre minable, lâche, égoïste et irresponsable.
Le cas Sarkozy est plus intéressant. Lors du débat qui l'opposa à JMLP,
outre que ce dernier semblait vraiment dans les choux,
on a pu constater que le Nico était très redoutable au jeu du débat, il
sait être aussi retors et ambigu que son ennemi, il sait s'appuyer sur des
arguments secondaires mais qui, il le sait, font mouche,
plutôt que d'essayer de pointer les réelles
contradictions des ennemis (ce qui est éminemment difficile, les preuves
manquent, les chiffres ne sont jamais fiables, les réalités exprimées ne
sont jamais totalement fausses...)
il les prend à leur propre piège en floutant, comme eux, la réalité d'un
voile en trompe-l'oeil, présentant toutes les apparences de vérité mais
bénéficiant de la caution "républicaine". En bref, c'est un sacré enculé,
mais il est très fort et rusé. Pour le reste, "the answer my friend, is
blowin' in the wind..."
Avec le recul, je regrette mon vote du 5 mai 2002 (jour de mes 22 ans,
fichtre, tu parles d'un cadeau...). Au moins, là, on aurait pu juger sur
pièce. Soit nous aurions pris conscience de notre "erreur", nous les
attardés paranoïaques, soit la France aurait sombré dans le chaos, et nous
aurions été quittes pour une bonne révolution salvatrice.
Gabriel
"George '1904' Abitbol" a
écrit dans le message de news: 40200f2e$0$3265$
> Philippe RAI wrote:
> > J'ai déjà longuement discuté sur ce texte avec d'autres personnes, les
> > seuls arguments à charge se résument à une lecture entre les lignes et
> > des interprétations, dans le mépris total des explications de Le Pen.
>
> voilà. remettre en cause 6 millions de morts (dans des conditions
> barbares), et les résumer à "quelques pages dans un livre d'histoire",
> c'est pas choquant selon toi ?
Cette assertion pourrait être vraie d'un certain point de vue (combien
de crimes atroces ne subsistent plus aujourd'hui dans nos mémoires qu'en
tant que "quelques pages dans un livre d'histoire" ?), mais définitivement
honteuse telle qu'elle a été exprimée, et dans le contexte où elle a été
exprimée. Je suis prêt à réviser mon jugement si on m'apporte une vraie
preuve du contraire (ce n'est pas le cas ici, M. Philippe Rai).
La réputation de Le Pen et du FN ne s'est pas faite en un jour, sur
quelques sournoises désinformations concertées par ses adversaires,
ou par l'opinion publique, etc. Je suis d'accord, dire "il n'y a pas de
fumée sans feu" n'est pas un argument en soi, mais je crois qu'une des
grandes forces des démagogues manipulateurs, c'est d'isoler des fragments
de réalité, et de reconstruire une autre image de la réalité telle qu'ils
la désirent pour justifier leurs thèses prééminentes à toute réflexion.
Forcément, on a tendance à essayer de les contredire sur ces fragments,
alors qu'ils parviendront la plupart du temps :
- soit à avoir raison, et noter à juste titre les fourvoiements de leurs
interlocuteurs déstabilisés, et souvent nourris d'un mélange confus de
désinformation, de lieux communs bien-pensants, d'éléments de réalité et (en
dernier bien souvent) de leur réflexion personnelle
- soit à donner l'illusion de cohérence, à semer le doute dans un esprit
plus enclin à l'autocritique qui se verra ainsi désarmé, et se perdra vite
dans l'écheveau argumentaire stratifié échafaudé par un orfèvre de la
rhétorique retorse, jusqu'à tomber dans la facilité des lieux communs et des
sarcasmes, faute de mieux, et perdre toute crédibilité.
C'est ce qui fait qu'ils sont si difficiles à contrer, et que celui qui
s'y essaie de front se laisse quasiment à coup sûr prendre au piège.
C'est ce qui fait que Chirac a piteusement refusé le traditionnel débat de
l'entre deux tours en invoquant des arguments minables du style "on ne
transige pas avec la haine". Il eut plus honnêtement déclaré "je n'ai pas
les couilles de faire la seule chose qui soit digne et efficace en
pareilles circonstances, combattre l'adversaire avec les idées, que l'on
sait justes et que l'on se fait fort de défendre dans une joute loyale et
sans concessions".
Du reste Chirac ne vaut guère mieux, ayant un passé tout aussi trouble, il
devait savoir qu'un tel débat était susceptible de remuer la merde, très
mauvais pour lui... Il a préféré éluder pour sauver sa peau(lytique)
plutôt que risquer son honneur pour celui de la France et de ses citoyens.
En bref c'est un pauvre minable, lâche, égoïste et irresponsable.
Le cas Sarkozy est plus intéressant. Lors du débat qui l'opposa à JMLP,
outre que ce dernier semblait vraiment dans les choux,
on a pu constater que le Nico était très redoutable au jeu du débat, il
sait être aussi retors et ambigu que son ennemi, il sait s'appuyer sur des
arguments secondaires mais qui, il le sait, font mouche,
plutôt que d'essayer de pointer les réelles
contradictions des ennemis (ce qui est éminemment difficile, les preuves
manquent, les chiffres ne sont jamais fiables, les réalités exprimées ne
sont jamais totalement fausses...)
il les prend à leur propre piège en floutant, comme eux, la réalité d'un
voile en trompe-l'oeil, présentant toutes les apparences de vérité mais
bénéficiant de la caution "républicaine". En bref, c'est un sacré enculé,
mais il est très fort et rusé. Pour le reste, "the answer my friend, is
blowin' in the wind..."
Avec le recul, je regrette mon vote du 5 mai 2002 (jour de mes 22 ans,
fichtre, tu parles d'un cadeau...). Au moins, là, on aurait pu juger sur
pièce. Soit nous aurions pris conscience de notre "erreur", nous les
attardés paranoïaques, soit la France aurait sombré dans le chaos, et nous
aurions été quittes pour une bonne révolution salvatrice.
Gabriel
Gabriel Ballet wrote:
> Cette assertion pourrait être vraie d'un certain point de vue
> (combien de crimes atroces ne subsistent plus aujourd'hui dans nos
> mémoires qu'en tant que "quelques pages dans un livre d'histoire" ?),
c'est le pourquoi de de la minimisation de ce génocide qui pose ici
problème.
JMLP n'a pas fait celà par bêtise ou méconnaissance. Parce que le
doute sur ce qu'il pense vraiment plane. Il s'agit là d'envoyer des signes
en direction d'une partie de son electorat. Et accessoirement d'attiser un
feu...celui de l'antisémitisme.
> mais définitivement honteuse telle qu'elle a été exprimée, et dans le
> contexte où elle a été exprimée. Je suis prêt à réviser mon jugement
> si on m'apporte une vraie preuve du contraire (ce n'est pas le cas
> ici, M. Philippe Rai).
La plupart des les militants FN ne pèsent pas lourd lorsque les réponses ne
figurent pas dans les FAQ des petits manuels qu'on leur distribue à loisir
afin de les aider à mieux affronter les critiques et attaques "lambda".
> C'est ce qui fait que Chirac a piteusement refusé le traditionnel
> débat de l'entre deux tours en invoquant des arguments minables du
> style "on ne transige pas avec la haine". Il eut plus honnêtement
> déclaré "je n'ai pas les couilles de faire la seule chose qui soit
> digne et efficace en pareilles circonstances, combattre l'adversaire
> avec les idées, que l'on sait justes et que l'on se fait fort de
> défendre dans une joute loyale et sans concessions". Du reste Chirac
> ne vaut guère mieux, ayant un passé tout aussi trouble, il devait
> savoir qu'un tel débat était susceptible de remuer la merde, très
> mauvais pour lui... Il a préféré éluder pour sauver sa peau(lytique)
> plutôt que risquer son honneur pour celui de la France et de ses
> citoyens. En bref c'est un pauvre minable, lâche, égoïste et
> irresponsable.
il n'était de toute façon pas en mesure de l'affronter, rapports aux
contradictions que j'évoquais plu haut. Ce sont davantage que des
contradictions avec le préz'
C'est aussi pourquoi "l'affrontement" Tapie / Le Pen (dont on sait
aujourd'hui qu'il était parfaitement arrangé entre les deux parties - visite
de Tapy dans le domicile privé de LP à St Cloud avant l'émission) avait eu
un tel impact dans la carrière politique de Tapy, puisqu'il était le seul a
avoir opposé une vraie résistance à LP. C'était bidonné, mais l'illusion
était parfaite.
Gabriel Ballet wrote:
> Cette assertion pourrait être vraie d'un certain point de vue
> (combien de crimes atroces ne subsistent plus aujourd'hui dans nos
> mémoires qu'en tant que "quelques pages dans un livre d'histoire" ?),
c'est le pourquoi de de la minimisation de ce génocide qui pose ici
problème.
JMLP n'a pas fait celà par bêtise ou méconnaissance. Parce que le
doute sur ce qu'il pense vraiment plane. Il s'agit là d'envoyer des signes
en direction d'une partie de son electorat. Et accessoirement d'attiser un
feu...celui de l'antisémitisme.
> mais définitivement honteuse telle qu'elle a été exprimée, et dans le
> contexte où elle a été exprimée. Je suis prêt à réviser mon jugement
> si on m'apporte une vraie preuve du contraire (ce n'est pas le cas
> ici, M. Philippe Rai).
La plupart des les militants FN ne pèsent pas lourd lorsque les réponses ne
figurent pas dans les FAQ des petits manuels qu'on leur distribue à loisir
afin de les aider à mieux affronter les critiques et attaques "lambda".
> C'est ce qui fait que Chirac a piteusement refusé le traditionnel
> débat de l'entre deux tours en invoquant des arguments minables du
> style "on ne transige pas avec la haine". Il eut plus honnêtement
> déclaré "je n'ai pas les couilles de faire la seule chose qui soit
> digne et efficace en pareilles circonstances, combattre l'adversaire
> avec les idées, que l'on sait justes et que l'on se fait fort de
> défendre dans une joute loyale et sans concessions". Du reste Chirac
> ne vaut guère mieux, ayant un passé tout aussi trouble, il devait
> savoir qu'un tel débat était susceptible de remuer la merde, très
> mauvais pour lui... Il a préféré éluder pour sauver sa peau(lytique)
> plutôt que risquer son honneur pour celui de la France et de ses
> citoyens. En bref c'est un pauvre minable, lâche, égoïste et
> irresponsable.
il n'était de toute façon pas en mesure de l'affronter, rapports aux
contradictions que j'évoquais plu haut. Ce sont davantage que des
contradictions avec le préz'
C'est aussi pourquoi "l'affrontement" Tapie / Le Pen (dont on sait
aujourd'hui qu'il était parfaitement arrangé entre les deux parties - visite
de Tapy dans le domicile privé de LP à St Cloud avant l'émission) avait eu
un tel impact dans la carrière politique de Tapy, puisqu'il était le seul a
avoir opposé une vraie résistance à LP. C'était bidonné, mais l'illusion
était parfaite.
Gabriel Ballet wrote:
> Cette assertion pourrait être vraie d'un certain point de vue
> (combien de crimes atroces ne subsistent plus aujourd'hui dans nos
> mémoires qu'en tant que "quelques pages dans un livre d'histoire" ?),
c'est le pourquoi de de la minimisation de ce génocide qui pose ici
problème.
JMLP n'a pas fait celà par bêtise ou méconnaissance. Parce que le
doute sur ce qu'il pense vraiment plane. Il s'agit là d'envoyer des signes
en direction d'une partie de son electorat. Et accessoirement d'attiser un
feu...celui de l'antisémitisme.
> mais définitivement honteuse telle qu'elle a été exprimée, et dans le
> contexte où elle a été exprimée. Je suis prêt à réviser mon jugement
> si on m'apporte une vraie preuve du contraire (ce n'est pas le cas
> ici, M. Philippe Rai).
La plupart des les militants FN ne pèsent pas lourd lorsque les réponses ne
figurent pas dans les FAQ des petits manuels qu'on leur distribue à loisir
afin de les aider à mieux affronter les critiques et attaques "lambda".
> C'est ce qui fait que Chirac a piteusement refusé le traditionnel
> débat de l'entre deux tours en invoquant des arguments minables du
> style "on ne transige pas avec la haine". Il eut plus honnêtement
> déclaré "je n'ai pas les couilles de faire la seule chose qui soit
> digne et efficace en pareilles circonstances, combattre l'adversaire
> avec les idées, que l'on sait justes et que l'on se fait fort de
> défendre dans une joute loyale et sans concessions". Du reste Chirac
> ne vaut guère mieux, ayant un passé tout aussi trouble, il devait
> savoir qu'un tel débat était susceptible de remuer la merde, très
> mauvais pour lui... Il a préféré éluder pour sauver sa peau(lytique)
> plutôt que risquer son honneur pour celui de la France et de ses
> citoyens. En bref c'est un pauvre minable, lâche, égoïste et
> irresponsable.
il n'était de toute façon pas en mesure de l'affronter, rapports aux
contradictions que j'évoquais plu haut. Ce sont davantage que des
contradictions avec le préz'
C'est aussi pourquoi "l'affrontement" Tapie / Le Pen (dont on sait
aujourd'hui qu'il était parfaitement arrangé entre les deux parties - visite
de Tapy dans le domicile privé de LP à St Cloud avant l'émission) avait eu
un tel impact dans la carrière politique de Tapy, puisqu'il était le seul a
avoir opposé une vraie résistance à LP. C'était bidonné, mais l'illusion
était parfaite.
Désolé, moi je ne suis pas comme toi je ne gobe pas n'importe quoi, je
vais me renseigner à la source, que ce soit au sujet du nazisme, du
communisme ou de n'importe quoi d'autre.
Désolé, moi je ne suis pas comme toi je ne gobe pas n'importe quoi, je
vais me renseigner à la source, que ce soit au sujet du nazisme, du
communisme ou de n'importe quoi d'autre.
Désolé, moi je ne suis pas comme toi je ne gobe pas n'importe quoi, je
vais me renseigner à la source, que ce soit au sujet du nazisme, du
communisme ou de n'importe quoi d'autre.
Par contre, tes propos voilà plusieurs années que je les entends,
Par contre, tes propos voilà plusieurs années que je les entends,
Par contre, tes propos voilà plusieurs années que je les entends,
C'est toi qui minimise le génocide, pas le Pen. Tu es un
falsificateur.
Voilà maintenant après le mensonge caractérisé, l'interprétation
fantaisiste que tu fais passer pour une vérité.
Toujours la même méthode de désinformation.
Au fait, "l'antisémitisme" qu'on constate en France actuellement ne
vient pas du vilain FN, mais de l'importation du conflit du proche
Orient par les immigrés.
Un danger soulevé depuis longtemps par le FN.
Je ne suis pas militant FN, je n'ai pas de FAQ, je me démerde tout
seul, c'est suffisant pour t'envoyer au tapis à chaque fois.
Par contre, tes propos voilà plusieurs années que je les entends,
presque mot pour mot de différentes personnes.
Vous avez un manuel bien fait !
C'est complètement faux. Tapie a fait exactement comme Sarko : un
déluge d'affirmations gratuites devant lesquelles il n'y a pas grand
chose à
faire à moins de tout reprendre phrase par phrase.
C'est toi qui minimise le génocide, pas le Pen. Tu es un
falsificateur.
Voilà maintenant après le mensonge caractérisé, l'interprétation
fantaisiste que tu fais passer pour une vérité.
Toujours la même méthode de désinformation.
Au fait, "l'antisémitisme" qu'on constate en France actuellement ne
vient pas du vilain FN, mais de l'importation du conflit du proche
Orient par les immigrés.
Un danger soulevé depuis longtemps par le FN.
Je ne suis pas militant FN, je n'ai pas de FAQ, je me démerde tout
seul, c'est suffisant pour t'envoyer au tapis à chaque fois.
Par contre, tes propos voilà plusieurs années que je les entends,
presque mot pour mot de différentes personnes.
Vous avez un manuel bien fait !
C'est complètement faux. Tapie a fait exactement comme Sarko : un
déluge d'affirmations gratuites devant lesquelles il n'y a pas grand
chose à
faire à moins de tout reprendre phrase par phrase.
C'est toi qui minimise le génocide, pas le Pen. Tu es un
falsificateur.
Voilà maintenant après le mensonge caractérisé, l'interprétation
fantaisiste que tu fais passer pour une vérité.
Toujours la même méthode de désinformation.
Au fait, "l'antisémitisme" qu'on constate en France actuellement ne
vient pas du vilain FN, mais de l'importation du conflit du proche
Orient par les immigrés.
Un danger soulevé depuis longtemps par le FN.
Je ne suis pas militant FN, je n'ai pas de FAQ, je me démerde tout
seul, c'est suffisant pour t'envoyer au tapis à chaque fois.
Par contre, tes propos voilà plusieurs années que je les entends,
presque mot pour mot de différentes personnes.
Vous avez un manuel bien fait !
C'est complètement faux. Tapie a fait exactement comme Sarko : un
déluge d'affirmations gratuites devant lesquelles il n'y a pas grand
chose à
faire à moins de tout reprendre phrase par phrase.