Je viens de développer mon premier film (marrant comme tout à faire!!):
un HP5 exposé à 400iso.
Tout s'est bien passé il me semble; le film est contrasté, mais
le film reste désespérément violet... Transparent mais avec une
couleur assez prononcée tout de même.
Pour le fixateur, j'ai utilisé du Tetenal Superfix en 1+9 2 fois 4 min
(j'ai refait un 2e bain après avoir vu la teinte violette).
J'ai passé un bout d'amorce dans le fixateur: d'abord 10min en 1+9, puis
carrément 1/2h en 1+3... l'amorce reste toujours violette!!
Est-ce que c'est la teinte normale du film? je trouve ça bien étrange...
On Apr 7, 10:39 am, "Ricco" <d.francoise32[NO-SPAM]@aliceadsl.fr> wrote:
les inconvenients , augmentation du temps de traitement,
l'amateur a tout son temps... ;o))
Tiens, Ricco, dans les machine a developper "industrielle" en chimie couleur, y a t il un premouillagedu film avant le premier revelateur?
@+
Christrophe
Ricco
On Apr 7, 10:39 am, "Ricco" <d.francoise32[NO-SPAM]@aliceadsl.fr> wrote:
les inconvenients , augmentation du temps de traitement,
l'amateur a tout son temps... ;o))
Tiens, Ricco, dans les machine a developper "industrielle" en chimie couleur, y a t il un premouillagedu film avant le premier revelateur?
jamais, ni industrielles ni celles qui étaient dans des labos pros, parce que l'agitation est régulière, circulation de la chimie en continu et souvent sur les machines transfert, bullage d'azote dans les révélateurs et air dans les autres chimies, comme je disais, en traitement entretenu, cette re-dilution du révélateur par apport d'eau n'est pas souhaitable et difficile a gérer. les pb étaient parfois surtout sur les PF 8 x 10 " on pouvait zoner, parce que bien que ce soit particulièrement bien conçu, des chemins de bulles d'azote pouvaient se créer, créant des inégalités de développement En machine continu où les films sont soudés les uns aux autres, pas d'azote, le transport suffit, là, pareil agitation mécanique de la chimie par des pompes de circulation, pas vraiment de pb avec ces machines un film semble échapper a ca c'etait le film cinéma duquel il fallait faire disparaître la couche anti halo avant développement, en machine mini lab dite à leader court, pas de pb non plus et jamais de premouillage en négatif ni positif le pb est surtout en machine rotative, genre Jobo, deux écoles se confrontent.
-- Ricco d.francoise32[NO-SPAM]@aliceadsl.fr
et...pas trop de bêtises !
On Apr 7, 10:39 am, "Ricco" <d.francoise32[NO-SPAM]@aliceadsl.fr>
wrote:
les inconvenients , augmentation du temps de traitement,
l'amateur a tout son temps... ;o))
Tiens, Ricco, dans les machine a developper "industrielle" en chimie
couleur, y a t il un premouillagedu film avant le premier revelateur?
jamais, ni industrielles ni celles qui étaient dans des labos pros, parce
que l'agitation est régulière, circulation de la chimie en continu et
souvent sur les machines transfert, bullage d'azote dans les révélateurs et
air dans les autres chimies, comme je disais, en traitement entretenu, cette
re-dilution du révélateur par apport d'eau n'est pas souhaitable et
difficile a gérer.
les pb étaient parfois surtout sur les PF 8 x 10 " on pouvait zoner, parce
que bien que ce soit particulièrement bien conçu, des chemins de bulles
d'azote pouvaient se créer, créant des inégalités de développement
En machine continu où les films sont soudés les uns aux autres, pas d'azote,
le transport suffit, là, pareil agitation mécanique de la chimie par des
pompes de circulation, pas vraiment de pb avec ces machines
un film semble échapper a ca c'etait le film cinéma duquel il fallait faire
disparaître la couche anti halo avant développement,
en machine mini lab dite à leader court, pas de pb non plus et jamais de
premouillage en négatif ni positif
le pb est surtout en machine rotative, genre Jobo, deux écoles se
confrontent.
On Apr 7, 10:39 am, "Ricco" <d.francoise32[NO-SPAM]@aliceadsl.fr> wrote:
les inconvenients , augmentation du temps de traitement,
l'amateur a tout son temps... ;o))
Tiens, Ricco, dans les machine a developper "industrielle" en chimie couleur, y a t il un premouillagedu film avant le premier revelateur?
jamais, ni industrielles ni celles qui étaient dans des labos pros, parce que l'agitation est régulière, circulation de la chimie en continu et souvent sur les machines transfert, bullage d'azote dans les révélateurs et air dans les autres chimies, comme je disais, en traitement entretenu, cette re-dilution du révélateur par apport d'eau n'est pas souhaitable et difficile a gérer. les pb étaient parfois surtout sur les PF 8 x 10 " on pouvait zoner, parce que bien que ce soit particulièrement bien conçu, des chemins de bulles d'azote pouvaient se créer, créant des inégalités de développement En machine continu où les films sont soudés les uns aux autres, pas d'azote, le transport suffit, là, pareil agitation mécanique de la chimie par des pompes de circulation, pas vraiment de pb avec ces machines un film semble échapper a ca c'etait le film cinéma duquel il fallait faire disparaître la couche anti halo avant développement, en machine mini lab dite à leader court, pas de pb non plus et jamais de premouillage en négatif ni positif le pb est surtout en machine rotative, genre Jobo, deux écoles se confrontent.