--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
C'est le principe du petit logo recyclage tu sais, et ce n'est pas typiquement français... Je ne sais pas ce que vous avez tous contre l'ENA, une rage de ne pas y être entré ?
Mais qui peut rêver encore d'y entrer ! La prochaine révolution s'en prendra à l'ENA ou ne sera rien. L'ENA est l'outil par lequel est annulé toute victoire électorale, systématiquement,
Ah ? Tu confonds ENA et Conseil d'Etat.
car les élus passent, l'administration reste, et l'ENA est son outil de reproduction et de continuité.
L'essentiel de l'administration n'est pas issue de l'ENA à ma connaissance.
Elle n'est pas la seule ; de nombreuses écoles de l'État continuent aussi de fabriquer des fermiers royaux au plus grand mépris de la République qu'elles servent pourtant sans nul doute.
Alors, rage de ne pas y être entré ? Rage d'être jour après jour entravé dans ses initiatives,
Lesquelles ?
et contrecarré au quotidien
Comment ?
par le désordre énarchique que sèment partout ceux qui, non content d'y être entrés, en sont, en plus, si peu sortis.
Bref, du grand n'importe quoi sur une histoire de taxe (tout à fait justifié au passage). Sans compter que tout cela s'est discuté sans source, juste sur des affirmations d'intervenant. Suite à ces interventions, tu es parti en vrille contre l'ENA sans avoir fait le minimum du minimum : vérifier les sources. Tu es mûr pour la rumeur voire pire.
-- Patrick
François Jacquemin <francois.jacquemin@free.fr> écrit:
Patrick C. <cochardp@alussinan.org> wrote:
C'est le principe du petit logo recyclage tu sais, et ce n'est pas
typiquement français... Je ne sais pas ce que vous avez tous contre
l'ENA, une rage de ne pas y être entré ?
Mais qui peut rêver encore d'y entrer ! La prochaine révolution s'en
prendra à l'ENA ou ne sera rien. L'ENA est l'outil par lequel est annulé
toute victoire électorale, systématiquement,
Ah ? Tu confonds ENA et Conseil d'Etat.
car les élus passent,
l'administration reste, et l'ENA est son outil de reproduction et de
continuité.
L'essentiel de l'administration n'est pas issue de l'ENA à ma
connaissance.
Elle n'est pas la seule ; de nombreuses écoles de l'État
continuent aussi de fabriquer des fermiers royaux au plus grand mépris
de la République qu'elles servent pourtant sans nul doute.
Alors, rage de ne pas y être entré ? Rage d'être jour après jour entravé
dans ses initiatives,
Lesquelles ?
et contrecarré au quotidien
Comment ?
par le désordre
énarchique que sèment partout ceux qui, non content d'y être entrés, en
sont, en plus, si peu sortis.
Bref, du grand n'importe quoi sur une histoire de taxe (tout à fait
justifié au passage). Sans compter que tout cela s'est discuté sans
source, juste sur des affirmations d'intervenant. Suite à ces
interventions, tu es parti en vrille contre l'ENA sans avoir fait le
minimum du minimum : vérifier les sources. Tu es mûr pour la rumeur
voire pire.
C'est le principe du petit logo recyclage tu sais, et ce n'est pas typiquement français... Je ne sais pas ce que vous avez tous contre l'ENA, une rage de ne pas y être entré ?
Mais qui peut rêver encore d'y entrer ! La prochaine révolution s'en prendra à l'ENA ou ne sera rien. L'ENA est l'outil par lequel est annulé toute victoire électorale, systématiquement,
Ah ? Tu confonds ENA et Conseil d'Etat.
car les élus passent, l'administration reste, et l'ENA est son outil de reproduction et de continuité.
L'essentiel de l'administration n'est pas issue de l'ENA à ma connaissance.
Elle n'est pas la seule ; de nombreuses écoles de l'État continuent aussi de fabriquer des fermiers royaux au plus grand mépris de la République qu'elles servent pourtant sans nul doute.
Alors, rage de ne pas y être entré ? Rage d'être jour après jour entravé dans ses initiatives,
Lesquelles ?
et contrecarré au quotidien
Comment ?
par le désordre énarchique que sèment partout ceux qui, non content d'y être entrés, en sont, en plus, si peu sortis.
Bref, du grand n'importe quoi sur une histoire de taxe (tout à fait justifié au passage). Sans compter que tout cela s'est discuté sans source, juste sur des affirmations d'intervenant. Suite à ces interventions, tu es parti en vrille contre l'ENA sans avoir fait le minimum du minimum : vérifier les sources. Tu es mûr pour la rumeur voire pire.
-- Patrick
francois.jacquemin
Saïd wrote:
Et dire qu'au debut il s'agissait de l'ajout du prix du recyclage au prix d'un ordinateur.
Oui, mais c'est sur l'obligation de faire que je suis parti sur l'ENA.
As-tu un syndrome de retention anale au point que le paiment d'une taxe te paraisse la chose la plus horrible au monde? En quoi l'ENA te bloque-t-il dans tes initiatives quotidiennes? Tu envoies des lettres de candidature pour etre chef de cabinet ministeriel et personne n'y repond, c'est ca? Pauvre choux.
Pas du tout. J'exerce un métier dans lequel mes activités, qui sont publiques, sont administrées par les représentants d'un grand corps de l'État. Je n'envoie pas de lettres de candidature à quoi que ce soit, et je suis satisfait de mon sort personnel. Mais je n'aime pas bien le ton de ton propos, que je ne trouve pas justifié. -- F. Jacquemin
Saïd <said@brian.lan> wrote:
Et dire qu'au debut il s'agissait de l'ajout du prix du
recyclage au prix d'un ordinateur.
Oui, mais c'est sur l'obligation de faire que je suis parti sur l'ENA.
As-tu un syndrome de retention anale au point que le paiment d'une taxe
te paraisse la chose la plus horrible au monde? En quoi l'ENA te bloque-t-il
dans tes initiatives quotidiennes? Tu envoies des lettres de candidature
pour etre chef de cabinet ministeriel et personne n'y repond, c'est ca?
Pauvre choux.
Pas du tout. J'exerce un métier dans lequel mes activités, qui sont
publiques, sont administrées par les représentants d'un grand corps de
l'État. Je n'envoie pas de lettres de candidature à quoi que ce soit, et
je suis satisfait de mon sort personnel. Mais je n'aime pas bien le ton
de ton propos, que je ne trouve pas justifié.
--
F. Jacquemin
Et dire qu'au debut il s'agissait de l'ajout du prix du recyclage au prix d'un ordinateur.
Oui, mais c'est sur l'obligation de faire que je suis parti sur l'ENA.
As-tu un syndrome de retention anale au point que le paiment d'une taxe te paraisse la chose la plus horrible au monde? En quoi l'ENA te bloque-t-il dans tes initiatives quotidiennes? Tu envoies des lettres de candidature pour etre chef de cabinet ministeriel et personne n'y repond, c'est ca? Pauvre choux.
Pas du tout. J'exerce un métier dans lequel mes activités, qui sont publiques, sont administrées par les représentants d'un grand corps de l'État. Je n'envoie pas de lettres de candidature à quoi que ce soit, et je suis satisfait de mon sort personnel. Mais je n'aime pas bien le ton de ton propos, que je ne trouve pas justifié. -- F. Jacquemin
francois.jacquemin
Patrick C. wrote:
François Jacquemin écrit:
L'ENA est l'outil par lequel est annulé toute victoire électorale, systématiquement,
Ah ? Tu confonds ENA et Conseil d'Etat.
Non, je ne parlais pas d'une procédure d'annulation, mais de
l'annulation de fait des effets d'un changement de majorité par l'effet inertiel de la haute administration.
car les élus passent, l'administration reste, et l'ENA est son outil de reproduction et de continuité.
L'essentiel de l'administration n'est pas issue de l'ENA à ma connaissance.
C'est vrai, mais outre le moule commun des différentes écoles de
l'administration, l'ENA et ceux qui ont sont issus ont un effet d'entraînement sur l'ensemble de l'administration.
Elle n'est pas la seule ; de nombreuses écoles de l'État continuent aussi de fabriquer des fermiers royaux au plus grand mépris de la République qu'elles servent pourtant sans nul doute.
Alors, rage de ne pas y être entré ? Rage d'être jour après jour entravé dans ses initiatives,
Lesquelles ?
Il en existe un certain nombre. Il est vrai que je pense à certaine plus précisément. Je ne parle pas en l'air.
et contrecarré au quotidien
Comment ?
On s'engage par une décision qu'on ne met finalement pas en application, puis on repart dans une direction opposée quelques années plus tard, sans non plus réaliser, pour revenir encore quelques années plus tard à son premier choix et le mettre en route dans de plus mauvaises conditions qu'au départ, de manière plus coûteuse pour le contribuable, qui pendant ce temps n'a pas profité du service auquel il aurait eu droit. Par exemple.
par le désordre énarchique que sèment partout ceux qui, non content d'y être entrés, en sont, en plus, si peu sortis.
Bref, du grand n'importe quoi sur une histoire de taxe (tout à fait justifié au passage). Sans compter que tout cela s'est discuté sans source, juste sur des affirmations d'intervenant. Suite à ces interventions, tu es parti en vrille contre l'ENA sans avoir fait le minimum du minimum : vérifier les sources. Tu es mûr pour la rumeur voire pire.
Je n'ai rien contre la taxe, totalement justifiée en effet, je suis par contre tout à fait opposé au fait que les obligations de recyclage prévues au départ en même temps que la taxe n'aient pas connu le même succès et ne soient pas passées dans les faits. C'est de cela que je suis parti.
-- F. Jacquemin
Patrick C. <cochardp@alussinan.org> wrote:
François Jacquemin <francois.jacquemin@free.fr> écrit:
L'ENA est l'outil par lequel est annulé
toute victoire électorale, systématiquement,
Ah ? Tu confonds ENA et Conseil d'Etat.
Non, je ne parlais pas d'une procédure d'annulation, mais de
l'annulation de fait des effets d'un changement de majorité par l'effet
inertiel de la haute administration.
car les élus passent,
l'administration reste, et l'ENA est son outil de reproduction et de
continuité.
L'essentiel de l'administration n'est pas issue de l'ENA à ma
connaissance.
C'est vrai, mais outre le moule commun des différentes écoles de
l'administration, l'ENA et ceux qui ont sont issus ont un effet
d'entraînement sur l'ensemble de l'administration.
Elle n'est pas la seule ; de nombreuses écoles de l'État
continuent aussi de fabriquer des fermiers royaux au plus grand mépris
de la République qu'elles servent pourtant sans nul doute.
Alors, rage de ne pas y être entré ? Rage d'être jour après jour entravé
dans ses initiatives,
Lesquelles ?
Il en existe un certain nombre. Il est vrai que je pense à certaine plus
précisément. Je ne parle pas en l'air.
et contrecarré au quotidien
Comment ?
On s'engage par une décision qu'on ne met finalement pas en application,
puis on repart dans une direction opposée quelques années plus tard,
sans non plus réaliser, pour revenir encore quelques années plus tard à
son premier choix et le mettre en route dans de plus mauvaises
conditions qu'au départ, de manière plus coûteuse pour le contribuable,
qui pendant ce temps n'a pas profité du service auquel il aurait eu
droit. Par exemple.
par le désordre
énarchique que sèment partout ceux qui, non content d'y être entrés, en
sont, en plus, si peu sortis.
Bref, du grand n'importe quoi sur une histoire de taxe (tout à fait
justifié au passage). Sans compter que tout cela s'est discuté sans
source, juste sur des affirmations d'intervenant. Suite à ces
interventions, tu es parti en vrille contre l'ENA sans avoir fait le
minimum du minimum : vérifier les sources. Tu es mûr pour la rumeur
voire pire.
Je n'ai rien contre la taxe, totalement justifiée en effet, je suis par
contre tout à fait opposé au fait que les obligations de recyclage
prévues au départ en même temps que la taxe n'aient pas connu le même
succès et ne soient pas passées dans les faits. C'est de cela que je
suis parti.
L'ENA est l'outil par lequel est annulé toute victoire électorale, systématiquement,
Ah ? Tu confonds ENA et Conseil d'Etat.
Non, je ne parlais pas d'une procédure d'annulation, mais de
l'annulation de fait des effets d'un changement de majorité par l'effet inertiel de la haute administration.
car les élus passent, l'administration reste, et l'ENA est son outil de reproduction et de continuité.
L'essentiel de l'administration n'est pas issue de l'ENA à ma connaissance.
C'est vrai, mais outre le moule commun des différentes écoles de
l'administration, l'ENA et ceux qui ont sont issus ont un effet d'entraînement sur l'ensemble de l'administration.
Elle n'est pas la seule ; de nombreuses écoles de l'État continuent aussi de fabriquer des fermiers royaux au plus grand mépris de la République qu'elles servent pourtant sans nul doute.
Alors, rage de ne pas y être entré ? Rage d'être jour après jour entravé dans ses initiatives,
Lesquelles ?
Il en existe un certain nombre. Il est vrai que je pense à certaine plus précisément. Je ne parle pas en l'air.
et contrecarré au quotidien
Comment ?
On s'engage par une décision qu'on ne met finalement pas en application, puis on repart dans une direction opposée quelques années plus tard, sans non plus réaliser, pour revenir encore quelques années plus tard à son premier choix et le mettre en route dans de plus mauvaises conditions qu'au départ, de manière plus coûteuse pour le contribuable, qui pendant ce temps n'a pas profité du service auquel il aurait eu droit. Par exemple.
par le désordre énarchique que sèment partout ceux qui, non content d'y être entrés, en sont, en plus, si peu sortis.
Bref, du grand n'importe quoi sur une histoire de taxe (tout à fait justifié au passage). Sans compter que tout cela s'est discuté sans source, juste sur des affirmations d'intervenant. Suite à ces interventions, tu es parti en vrille contre l'ENA sans avoir fait le minimum du minimum : vérifier les sources. Tu es mûr pour la rumeur voire pire.
Je n'ai rien contre la taxe, totalement justifiée en effet, je suis par contre tout à fait opposé au fait que les obligations de recyclage prévues au départ en même temps que la taxe n'aient pas connu le même succès et ne soient pas passées dans les faits. C'est de cela que je suis parti.
-- F. Jacquemin
cochardp
François Jacquemin écrit:
Non, je ne parlais pas d'une procédure d'annulation, mais de l'annulation de fait des effets d'un changement de majorité par l'effet inertiel de la haute administration.
C'est le cas de tous les gros mastodontes, même dans le privé (sans ENArques).
C'est vrai, mais outre le moule commun des différentes écoles de l'administration, l'ENA et ceux qui ont sont issus ont un effet d'entraînement sur l'ensemble de l'administration.
Même dans le privé ? Parce que tout ce que tu décris, je l'ai croisé dans le privé et dans des grandes boîtes soit-disant dynamiques.
On s'engage par une décision qu'on ne met finalement pas en application, puis on repart dans une direction opposée quelques années plus tard, sans non plus réaliser, pour revenir encore quelques années plus tard à son premier choix et le mettre en route dans de plus mauvaises conditions qu'au départ, de manière plus coûteuse pour le contribuable, qui pendant ce temps n'a pas profité du service auquel il aurait eu droit. Par exemple.
J'ai l'impression d'une description d'adminstration de pas mal de pays (et de l'administration de pas mal de grosse boîte). Rien de particulier à l'ENA.
Je n'ai rien contre la taxe, totalement justifiée en effet, je suis par contre tout à fait opposé au fait que les obligations de recyclage prévues au départ en même temps que la taxe n'aient pas connu le même succès et ne soient pas passées dans les faits. C'est de cela que je suis parti.
As-tu vérifié cette affirmation ? C'est ce que je pointe. Ensuite, tu peux partir contre les moulins à vent, mais tu n'as rien vérifié.
-- Patrick
François Jacquemin <francois.jacquemin@free.fr> écrit:
Non, je ne parlais pas d'une procédure d'annulation, mais de
l'annulation de fait des effets d'un changement de majorité par l'effet
inertiel de la haute administration.
C'est le cas de tous les gros mastodontes, même dans le privé (sans
ENArques).
C'est vrai, mais outre le moule commun des différentes écoles de
l'administration, l'ENA et ceux qui ont sont issus ont un effet
d'entraînement sur l'ensemble de l'administration.
Même dans le privé ? Parce que tout ce que tu décris, je l'ai croisé
dans le privé et dans des grandes boîtes soit-disant dynamiques.
On s'engage par une décision qu'on ne met finalement pas en application,
puis on repart dans une direction opposée quelques années plus tard,
sans non plus réaliser, pour revenir encore quelques années plus tard à
son premier choix et le mettre en route dans de plus mauvaises
conditions qu'au départ, de manière plus coûteuse pour le contribuable,
qui pendant ce temps n'a pas profité du service auquel il aurait eu
droit. Par exemple.
J'ai l'impression d'une description d'adminstration de pas mal de pays
(et de l'administration de pas mal de grosse boîte). Rien de particulier
à l'ENA.
Je n'ai rien contre la taxe, totalement justifiée en effet, je suis par
contre tout à fait opposé au fait que les obligations de recyclage
prévues au départ en même temps que la taxe n'aient pas connu le même
succès et ne soient pas passées dans les faits. C'est de cela que je
suis parti.
As-tu vérifié cette affirmation ? C'est ce que je pointe. Ensuite, tu
peux partir contre les moulins à vent, mais tu n'as rien vérifié.
Non, je ne parlais pas d'une procédure d'annulation, mais de l'annulation de fait des effets d'un changement de majorité par l'effet inertiel de la haute administration.
C'est le cas de tous les gros mastodontes, même dans le privé (sans ENArques).
C'est vrai, mais outre le moule commun des différentes écoles de l'administration, l'ENA et ceux qui ont sont issus ont un effet d'entraînement sur l'ensemble de l'administration.
Même dans le privé ? Parce que tout ce que tu décris, je l'ai croisé dans le privé et dans des grandes boîtes soit-disant dynamiques.
On s'engage par une décision qu'on ne met finalement pas en application, puis on repart dans une direction opposée quelques années plus tard, sans non plus réaliser, pour revenir encore quelques années plus tard à son premier choix et le mettre en route dans de plus mauvaises conditions qu'au départ, de manière plus coûteuse pour le contribuable, qui pendant ce temps n'a pas profité du service auquel il aurait eu droit. Par exemple.
J'ai l'impression d'une description d'adminstration de pas mal de pays (et de l'administration de pas mal de grosse boîte). Rien de particulier à l'ENA.
Je n'ai rien contre la taxe, totalement justifiée en effet, je suis par contre tout à fait opposé au fait que les obligations de recyclage prévues au départ en même temps que la taxe n'aient pas connu le même succès et ne soient pas passées dans les faits. C'est de cela que je suis parti.
As-tu vérifié cette affirmation ? C'est ce que je pointe. Ensuite, tu peux partir contre les moulins à vent, mais tu n'as rien vérifié.
-- Patrick
cochardp
François Jacquemin écrit:
Non, je ne parlais pas d'une procédure d'annulation, mais de l'annulation de fait des effets d'un changement de majorité par l'effet inertiel de la haute administration.
C'est le cas de tous les gros mastodontes, même dans le privé (sans ENArques).
C'est vrai, mais outre le moule commun des différentes écoles de l'administration, l'ENA et ceux qui ont sont issus ont un effet d'entraînement sur l'ensemble de l'administration.
Même dans le privé ? Parce que tout ce que tu décris, je l'ai croisé dans le privé et dans des grandes boîtes soit-disant dynamiques.
On s'engage par une décision qu'on ne met finalement pas en application, puis on repart dans une direction opposée quelques années plus tard, sans non plus réaliser, pour revenir encore quelques années plus tard à son premier choix et le mettre en route dans de plus mauvaises conditions qu'au départ, de manière plus coûteuse pour le contribuable, qui pendant ce temps n'a pas profité du service auquel il aurait eu droit. Par exemple.
J'ai l'impression d'une description d'adminstration de pas mal de pays (et de l'administration de pas mal de grosse boîte). Rien de particulier à l'ENA.
Je n'ai rien contre la taxe, totalement justifiée en effet, je suis par contre tout à fait opposé au fait que les obligations de recyclage prévues au départ en même temps que la taxe n'aient pas connu le même succès et ne soient pas passées dans les faits. C'est de cela que je suis parti.
As-tu vérifié cette affirmation ? C'est ce que je pointe. Ensuite, tu peux partir contre les moulins à vent, mais tu n'as rien vérifié.
Suivi dans le cloaque -- Patrick
François Jacquemin <francois.jacquemin@free.fr> écrit:
Non, je ne parlais pas d'une procédure d'annulation, mais de
l'annulation de fait des effets d'un changement de majorité par l'effet
inertiel de la haute administration.
C'est le cas de tous les gros mastodontes, même dans le privé (sans
ENArques).
C'est vrai, mais outre le moule commun des différentes écoles de
l'administration, l'ENA et ceux qui ont sont issus ont un effet
d'entraînement sur l'ensemble de l'administration.
Même dans le privé ? Parce que tout ce que tu décris, je l'ai croisé
dans le privé et dans des grandes boîtes soit-disant dynamiques.
On s'engage par une décision qu'on ne met finalement pas en application,
puis on repart dans une direction opposée quelques années plus tard,
sans non plus réaliser, pour revenir encore quelques années plus tard à
son premier choix et le mettre en route dans de plus mauvaises
conditions qu'au départ, de manière plus coûteuse pour le contribuable,
qui pendant ce temps n'a pas profité du service auquel il aurait eu
droit. Par exemple.
J'ai l'impression d'une description d'adminstration de pas mal de pays
(et de l'administration de pas mal de grosse boîte). Rien de particulier
à l'ENA.
Je n'ai rien contre la taxe, totalement justifiée en effet, je suis par
contre tout à fait opposé au fait que les obligations de recyclage
prévues au départ en même temps que la taxe n'aient pas connu le même
succès et ne soient pas passées dans les faits. C'est de cela que je
suis parti.
As-tu vérifié cette affirmation ? C'est ce que je pointe. Ensuite, tu
peux partir contre les moulins à vent, mais tu n'as rien vérifié.
Non, je ne parlais pas d'une procédure d'annulation, mais de l'annulation de fait des effets d'un changement de majorité par l'effet inertiel de la haute administration.
C'est le cas de tous les gros mastodontes, même dans le privé (sans ENArques).
C'est vrai, mais outre le moule commun des différentes écoles de l'administration, l'ENA et ceux qui ont sont issus ont un effet d'entraînement sur l'ensemble de l'administration.
Même dans le privé ? Parce que tout ce que tu décris, je l'ai croisé dans le privé et dans des grandes boîtes soit-disant dynamiques.
On s'engage par une décision qu'on ne met finalement pas en application, puis on repart dans une direction opposée quelques années plus tard, sans non plus réaliser, pour revenir encore quelques années plus tard à son premier choix et le mettre en route dans de plus mauvaises conditions qu'au départ, de manière plus coûteuse pour le contribuable, qui pendant ce temps n'a pas profité du service auquel il aurait eu droit. Par exemple.
J'ai l'impression d'une description d'adminstration de pas mal de pays (et de l'administration de pas mal de grosse boîte). Rien de particulier à l'ENA.
Je n'ai rien contre la taxe, totalement justifiée en effet, je suis par contre tout à fait opposé au fait que les obligations de recyclage prévues au départ en même temps que la taxe n'aient pas connu le même succès et ne soient pas passées dans les faits. C'est de cela que je suis parti.
As-tu vérifié cette affirmation ? C'est ce que je pointe. Ensuite, tu peux partir contre les moulins à vent, mais tu n'as rien vérifié.
