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Hydroxychloroquine =3a l'=c3

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La chauve-souris copine du pangolin voisin du requin de Rodriguez
https://www.zinfos974.com/Hydroxychloroquine-Une-victoire-paradoxale--malgre-le-rejet-de-la-requete-pour-exces-de-pouvoir_a153466.html


Hydroxychloroquine: "Une victoire paradoxale", malgré le rejet de la
requête pour excès de pouvoir

La requête auprès du Conseil d'Etat de Me Krikorian a donné lieu à une
ordonnance rendue ce mercredi 22 avril, qui, dans ses motifs, donne
raison à l'avocat, tout en rejetant sa requête pour excès de pouvoir.
Les médecins de ville peuvent prescrire de l'hydroxychloroquine, décide
le Conseil d'Etat.

Vendredi 24 Avril 2020 - 14:55

Il s'agissait de rétablir les médecins en leur droit de prescription,
c'est chose faite, dans les motifs de la décision. Néanmoins, le Conseil
d'Etat a rejeté la requête de Maître Philippe Krikorian en ce qu'il juge
que le premier ministre et le ministre de la Santé n'ont pas commis
d'excès de pouvoir en interdisant de fait aux médecins de ville de
prescrire la fameuse molécule.

"Les motifs d'une décision juridictionnelle sont, parfois, plus chargés
en normativité que son dispositif", commente l'avocat marseillais, qui
estime que l'ordonnance constitue une victoire paradoxale du Bien
commun: "Les pharmaciens d’officine ne pourront plus légalement refuser
de délivrer la spécialité, si elle est disponible".

Interrogé sur cette décision, Maître Massimo Bianchi, en sa qualité
d'intervenant volontaire dans cette requête, nous a répondu: "Le Conseil
d'Etat nous donne raison sur les fondamentaux, mais n'avait d'autre
choix que de conforter l'action gouvernementale qui a été manifestement
construite en l'absence de données scientifiquement valables, tout
autant qu'à l'aune d'une impéritie dans la gestion globale d'une crise
certes soudaine, mais parfaitement prévisible."

"A mon sens, rien ne peut justifier la manière dont a été traitée cette
crise, ainsi que la communication établie par le gouvernement qui
traduit une volonté d'infantiliser les citoyens français. Un peuple
mérite, à mon sens, qu'on lui dise la vérité et non qu'on tente de lui
faire admettre des arguments fallacieux, qui ne sauraient masque
l'impéritie évoquée, en ce qu'on ne peut traduire les conséquences de ce
désastre humanitaire par de simples courbes à la recherche d'un plateau,
pour rassurer artificiellement au lieu de simplement dire la vérité.
Encore une fois, en France, la forme prend le pas sur le fond", regrette
l'avocat.

"Le Conseil d'Etat ne pouvait pas nous suivre sur l'excès de pouvoir,
mais, dans la limite de ce qui lui est possible, un juge a eu le
courage, au terme de la motivation, de donner aux médecins autorisation
de prescription", se félicite Maître Bianchi.

Les médecins peuvent donc prescrire la molécule et les pharmacies
doivent la délivrer, encore faut-il que les stocks en soient suffisants,
c'est pourquoi Maître Krikorian termine:

"La Représentation nationale, face à une pandémie dont la source est
enfouie au tréfonds des noirceurs de l'âme humaine et qui trouve son
explication rationnelle dans l'impéritie et la pesanteur des appareils
étatiques planétaires, qui n'ont d'égale que la pusillanimité de
certaines sociétés savantes, serait bien inspirée de se rappeler que «
l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'homme sont les seules
causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements » (
Préambule de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen du 26
Août 1789, à pleine valeur constitutionnelle ) et voter sans délai
l'ouverture d'une enquête parlementaire ayant pour objet, entre autres,
de déterminer les causes du défaut cruel d'approvisionnement des
pharmacies d'officine, spécialement en PLAQUENIL ©."


--
https://www.youtube.com/watch?v=krErY7ORb2U

10 réponses

1 2
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Le gentil Luciole135
Le 24/04/2020 à 18:48, La chauve-souris copine du pangolin voisin du
requin de Rodriguez a écrit :
https://www.zinfos974.com/Hydroxychloroquine-Une-victoire-paradoxale--malgre-le-rejet-de-la-requete-pour-exces-de-pouvoir_a153466.html
Hydroxychloroquine: "Une victoire paradoxale", malgré le rejet de la
requête pour excès de pouvoir
La requête auprès du Conseil d'Etat de Me Krikorian a donné lieu à une
ordonnance rendue ce mercredi 22 avril, qui, dans ses motifs, donne
raison à l'avocat, tout en rejetant sa requête pour excès de pouvoir.
Les médecins de ville peuvent prescrire de l'hydroxychloroquine, décide
le Conseil d'Etat.
Vendredi 24 Avril 2020 - 14:55
Il s'agissait de rétablir les médecins en leur droit de prescription,
c'est chose faite, dans les motifs de la décision. Néanmoins, le Conseil
d'Etat a rejeté la requête de Maître Philippe Krikorian en ce qu'il juge
que le premier ministre et le ministre de la Santé n'ont pas commis
d'excès de pouvoir en interdisant de fait aux médecins de ville de
prescrire la fameuse molécule.
"Les motifs d'une décision juridictionnelle sont, parfois, plus chargés
en normativité que son dispositif", commente l'avocat marseillais, qui
estime que l'ordonnance constitue une victoire paradoxale du Bien
commun: "Les pharmaciens d’officine ne pourront plus légalement refuser
de délivrer la spécialité, si elle est disponible".
Interrogé sur cette décision, Maître Massimo Bianchi, en sa qualité
d'intervenant volontaire dans cette requête, nous a répondu: "Le Conseil
d'Etat nous donne raison sur les fondamentaux, mais n'avait d'autre
choix que de conforter l'action gouvernementale qui a été manifestement
construite en l'absence de données scientifiquement valables, tout
autant qu'à l'aune d'une impéritie dans la gestion globale d'une crise
certes soudaine, mais parfaitement prévisible."
"A mon sens, rien ne peut justifier la manière dont a été traitée cette
crise, ainsi que la communication établie par le gouvernement qui
traduit une volonté d'infantiliser les citoyens français. Un peuple
mérite, à mon sens, qu'on lui dise la vérité et non qu'on tente de lui
faire admettre des arguments fallacieux, qui ne sauraient masque
l'impéritie évoquée, en ce qu'on ne peut traduire les conséquences de ce
désastre humanitaire par de simples courbes à la recherche d'un plateau,
pour rassurer artificiellement au lieu de simplement dire la vérité.
Encore une fois, en France, la forme prend le pas sur le fond", regrette
l'avocat.
"Le Conseil d'Etat ne pouvait pas nous suivre sur l'excès de pouvoir,
mais, dans la limite de ce qui lui est possible, un juge a eu le
courage, au terme de la motivation, de donner aux médecins autorisation
de prescription", se félicite Maître Bianchi.
Les médecins peuvent donc prescrire la molécule et les pharmacies
doivent la délivrer, encore faut-il que les stocks en soient suffisants,
c'est pourquoi Maître Krikorian termine:
"La Représentation nationale, face à une pandémie dont la source est
enfouie au tréfonds des noirceurs de l'âme humaine et qui trouve son
explication rationnelle dans l'impéritie et la pesanteur des appareils
étatiques planétaires, qui n'ont d'égale que la pusillanimité de
certaines sociétés savantes, serait bien inspirée de se rappeler que «
l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'homme sont les seules
causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements » (
Préambule de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen du 26
Août 1789, à pleine valeur constitutionnelle ) et voter sans délai
l'ouverture d'une enquête parlementaire ayant pour objet, entre autres,
de déterminer les causes du défaut cruel d'approvisionnement des
pharmacies d'officine, spécialement en PLAQUENIL ©."

Pourquoi donc les autres journaux n'en parlent pas ?
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La chauve-souris copine du pangolin voisin du requin de Rodriguez
Le 24/04/2020 à 19:38, Le gentil Luciole135 a écrit :
Le 24/04/2020 à 18:48, La chauve-souris copine du pangolin voisin du
requin de Rodriguez a écrit :
https://www.zinfos974.com/Hydroxychloroquine-Une-victoire-paradoxale--malgre-le-rejet-de-la-requete-pour-exces-de-pouvoir_a153466.html
Hydroxychloroquine: "Une victoire paradoxale", malgré le rejet de la
requête pour excès de pouvoir
La requête auprès du Conseil d'Etat de Me Krikorian a donné lieu à une
ordonnance rendue ce mercredi 22 avril, qui, dans ses motifs, donne
raison à l'avocat, tout en rejetant sa requête pour excès de pouvoir.
Les médecins de ville peuvent prescrire de l'hydroxychloroquine,
décide le Conseil d'Etat.
Vendredi 24 Avril 2020 - 14:55
Il s'agissait de rétablir les médecins en leur droit de prescription,
c'est chose faite, dans les motifs de la décision. Néanmoins, le
Conseil d'Etat a rejeté la requête de Maître Philippe Krikorian en ce
qu'il juge que le premier ministre et le ministre de la Santé n'ont
pas commis d'excès de pouvoir en interdisant de fait aux médecins de
ville de prescrire la fameuse molécule.
"Les motifs d'une décision juridictionnelle sont, parfois, plus
chargés en normativité que son dispositif", commente l'avocat
marseillais, qui estime que l'ordonnance constitue une victoire
paradoxale du Bien commun: "Les pharmaciens d’officine ne pourront
plus légalement refuser de délivrer la spécialité, si elle est
disponible".
Interrogé sur cette décision, Maître Massimo Bianchi, en sa qualité
d'intervenant volontaire dans cette requête, nous a répondu: "Le
Conseil d'Etat nous donne raison sur les fondamentaux, mais n'avait
d'autre choix que de conforter l'action gouvernementale qui a été
manifestement construite en l'absence de données scientifiquement
valables, tout autant qu'à l'aune d'une impéritie dans la gestion
globale d'une crise certes soudaine, mais parfaitement prévisible."
"A mon sens, rien ne peut justifier la manière dont a été traitée
cette crise, ainsi que la communication établie par le gouvernement
qui traduit une volonté d'infantiliser les citoyens français. Un
peuple mérite, à mon sens, qu'on lui dise la vérité et non qu'on tente
de lui faire admettre des arguments fallacieux, qui ne sauraient
masque l'impéritie évoquée, en ce qu'on ne peut traduire les
conséquences de ce désastre humanitaire par de simples courbes à la
recherche d'un plateau, pour rassurer artificiellement au lieu de
simplement dire la vérité. Encore une fois, en France, la forme prend
le pas sur le fond", regrette l'avocat.
"Le Conseil d'Etat ne pouvait pas nous suivre sur l'excès de pouvoir,
mais, dans la limite de ce qui lui est possible, un juge a eu le
courage, au terme de la motivation, de donner aux médecins
autorisation de prescription", se félicite Maître Bianchi.
Les médecins peuvent donc prescrire la molécule et les pharmacies
doivent la délivrer, encore faut-il que les stocks en soient
suffisants, c'est pourquoi Maître Krikorian termine:
"La Représentation nationale, face à une pandémie dont la source est
enfouie au tréfonds des noirceurs de l'âme humaine et qui trouve son
explication rationnelle dans l'impéritie et la pesanteur des appareils
étatiques planétaires, qui n'ont d'égale que la pusillanimité de
certaines sociétés savantes, serait bien inspirée de se rappeler que «
l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'homme sont les
seules causes des malheurs publics et de la corruption des
Gouvernements » ( Préambule de la Déclaration des droits de l'homme et
du citoyen du 26 Août 1789, à pleine valeur constitutionnelle ) et
voter sans délai l'ouverture d'une enquête parlementaire ayant pour
objet, entre autres, de déterminer les causes du défaut cruel
d'approvisionnement des pharmacies d'officine, spécialement en
PLAQUENIL ©."

Pourquoi donc les autres journaux n'en parlent pas ?

Quand vous donnez un coup de pied à une girafe, elle ne réagit pas tout
de suite : il faut le temps que l'influx nerveux arrive jusqu'au
cerveau. Dans le cas des journalistes, c'est pire : l'influx nerveux a
beau chercher, il ne trouve pas le cerveau.
--
https://www.youtube.com/watch?v=krErY7ORb2U
Avatar
a
Le gentil Luciole135 écrivait:
Le 24/04/2020 à 18:48, La chauve-souris copine du pangolin voisin du
requin de Rodriguez a écrit :
https://www.zinfos974.com/Hydroxychloroquine-Une-victoire-paradoxale--malgre-le-rejet-de-la-requete-pour-exces-de-pouvoir_a153466.html
Hydroxychloroquine: "Une victoire paradoxale", malgré le rejet de la
requête pour excès de pouvoir
La requête auprès du Conseil d'Etat de Me Krikorian a donné lieu à une
ordonnance rendue ce mercredi 22 avril, qui, dans ses motifs, donne
raison à l'avocat, tout en rejetant sa requête pour excès de pouvoir.
Les médecins de ville peuvent prescrire de l'hydroxychloroquine, décide
le Conseil d'Etat.
Vendredi 24 Avril 2020 - 14:55
Il s'agissait de rétablir les médecins en leur droit de prescription,
c'est chose faite, dans les motifs de la décision. Néanmoins, le Conseil
d'Etat a rejeté la requête de Maître Philippe Krikorian en ce qu'il juge
que le premier ministre et le ministre de la Santé n'ont pas commis
d'excès de pouvoir en interdisant de fait aux médecins de ville de
prescrire la fameuse molécule.
"Les motifs d'une décision juridictionnelle sont, parfois, plus chargés
en normativité que son dispositif", commente l'avocat marseillais, qui
estime que l'ordonnance constitue une victoire paradoxale du Bien
commun: "Les pharmaciens d’officine ne pourront plus légalement refuser
de délivrer la spécialité, si elle est disponible".
Interrogé sur cette décision, Maître Massimo Bianchi, en sa qualité
d'intervenant volontaire dans cette requête, nous a répondu: "Le Conseil
d'Etat nous donne raison sur les fondamentaux, mais n'avait d'autre
choix que de conforter l'action gouvernementale qui a été manifestement
construite en l'absence de données scientifiquement valables, tout
autant qu'à l'aune d'une impéritie dans la gestion globale d'une crise
certes soudaine, mais parfaitement prévisible."
"A mon sens, rien ne peut justifier la manière dont a été traitée cette
crise, ainsi que la communication établie par le gouvernement qui
traduit une volonté d'infantiliser les citoyens français. Un peuple
mérite, à mon sens, qu'on lui dise la vérité et non qu'on tente de lui
faire admettre des arguments fallacieux, qui ne sauraient masque
l'impéritie évoquée, en ce qu'on ne peut traduire les conséquences de ce
désastre humanitaire par de simples courbes à la recherche d'un plateau,
pour rassurer artificiellement au lieu de simplement dire la vérité.
Encore une fois, en France, la forme prend le pas sur le fond", regrette
l'avocat.
"Le Conseil d'Etat ne pouvait pas nous suivre sur l'excès de pouvoir,
mais, dans la limite de ce qui lui est possible, un juge a eu le
courage, au terme de la motivation, de donner aux médecins autorisation
de prescription", se félicite Maître Bianchi.
Les médecins peuvent donc prescrire la molécule et les pharmacies
doivent la délivrer, encore faut-il que les stocks en soient suffisants,
c'est pourquoi Maître Krikorian termine:
"La Représentation nationale, face à une pandémie dont la source est
enfouie au tréfonds des noirceurs de l'âme humaine et qui trouve son
explication rationnelle dans l'impéritie et la pesanteur des appareils
étatiques planétaires, qui n'ont d'égale que la pusillanimité de
certaines sociétés savantes, serait bien inspirée de se rappeler que «
l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'homme sont les seules
causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements » (
Préambule de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen du 26
Août 1789, à pleine valeur constitutionnelle ) et voter sans délai
l'ouverture d'une enquête parlementaire ayant pour objet, entre autres,
de déterminer les causes du défaut cruel d'approvisionnement des
pharmacies d'officine, spécialement en PLAQUENIL ©."

Pourquoi donc les autres journaux n'en parlent pas ?

ils n'ont pas trouvé la référence officielle du texte ?
Elle n'est pas mentionnée dans l'article ...
Avatar
Le gentil Luciole135
Le 24/04/2020 à 19:58, a écrit :
Le gentil Luciole135 écrivait:
Le 24/04/2020 à 18:48, La chauve-souris copine du pangolin voisin du
requin de Rodriguez a écrit :
https://www.zinfos974.com/Hydroxychloroquine-Une-victoire-paradoxale--malgre-le-rejet-de-la-requete-pour-exces-de-pouvoir_a153466.html
Hydroxychloroquine: "Une victoire paradoxale", malgré le rejet de la
requête pour excès de pouvoir
La requête auprès du Conseil d'Etat de Me Krikorian a donné lieu à une
ordonnance rendue ce mercredi 22 avril, qui, dans ses motifs, donne
raison à l'avocat, tout en rejetant sa requête pour excès de pouvoir.
Les médecins de ville peuvent prescrire de l'hydroxychloroquine, décide
le Conseil d'Etat.
Vendredi 24 Avril 2020 - 14:55
Il s'agissait de rétablir les médecins en leur droit de prescription,
c'est chose faite, dans les motifs de la décision. Néanmoins, le Conseil
d'Etat a rejeté la requête de Maître Philippe Krikorian en ce qu'il juge
que le premier ministre et le ministre de la Santé n'ont pas commis
d'excès de pouvoir en interdisant de fait aux médecins de ville de
prescrire la fameuse molécule.
"Les motifs d'une décision juridictionnelle sont, parfois, plus chargés
en normativité que son dispositif", commente l'avocat marseillais, qui
estime que l'ordonnance constitue une victoire paradoxale du Bien
commun: "Les pharmaciens d’officine ne pourront plus légalement refuser
de délivrer la spécialité, si elle est disponible".
Interrogé sur cette décision, Maître Massimo Bianchi, en sa qualité
d'intervenant volontaire dans cette requête, nous a répondu: "Le Conseil
d'Etat nous donne raison sur les fondamentaux, mais n'avait d'autre
choix que de conforter l'action gouvernementale qui a été manifestement
construite en l'absence de données scientifiquement valables, tout
autant qu'à l'aune d'une impéritie dans la gestion globale d'une crise
certes soudaine, mais parfaitement prévisible."
"A mon sens, rien ne peut justifier la manière dont a été traitée cette
crise, ainsi que la communication établie par le gouvernement qui
traduit une volonté d'infantiliser les citoyens français. Un peuple
mérite, à mon sens, qu'on lui dise la vérité et non qu'on tente de lui
faire admettre des arguments fallacieux, qui ne sauraient masque
l'impéritie évoquée, en ce qu'on ne peut traduire les conséquences de ce
désastre humanitaire par de simples courbes à la recherche d'un plateau,
pour rassurer artificiellement au lieu de simplement dire la vérité.
Encore une fois, en France, la forme prend le pas sur le fond", regrette
l'avocat.
"Le Conseil d'Etat ne pouvait pas nous suivre sur l'excès de pouvoir,
mais, dans la limite de ce qui lui est possible, un juge a eu le
courage, au terme de la motivation, de donner aux médecins autorisation
de prescription", se félicite Maître Bianchi.
Les médecins peuvent donc prescrire la molécule et les pharmacies
doivent la délivrer, encore faut-il que les stocks en soient suffisants,
c'est pourquoi Maître Krikorian termine:
"La Représentation nationale, face à une pandémie dont la source est
enfouie au tréfonds des noirceurs de l'âme humaine et qui trouve son
explication rationnelle dans l'impéritie et la pesanteur des appareils
étatiques planétaires, qui n'ont d'égale que la pusillanimité de
certaines sociétés savantes, serait bien inspirée de se rappeler que «
l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'homme sont les seules
causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements » (
Préambule de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen du 26
Août 1789, à pleine valeur constitutionnelle ) et voter sans délai
l'ouverture d'une enquête parlementaire ayant pour objet, entre autres,
de déterminer les causes du défaut cruel d'approvisionnement des
pharmacies d'officine, spécialement en PLAQUENIL ©."

Pourquoi donc les autres journaux n'en parlent pas ?

ils n'ont pas trouvé la référence officielle du texte ?
Elle n'est pas mentionnée dans l'article ...

Oui, et je n'ai pas trouvé cette décision sur le site du Conseil d’État...
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Cardinal de H=c3=a8re
Le 24/04/2020 à 18:48, La chauve-souris copine du pangolin voisin du
requin de Rodriguez a écrit :
https://www.zinfos974.com/Hydroxychloroquine-Une-victoire-paradoxale--malgre-le-rejet-de-la-requete-pour-exces-de-pouvoir_a153466.html
Hydroxychloroquine: "Une victoire paradoxale", malgré le rejet de la
requête pour excès de pouvoir
La requête auprès du Conseil d'Etat de Me Krikorian a donné lieu à une
ordonnance rendue ce mercredi 22 avril, qui, dans ses motifs, donne
raison à l'avocat, tout en rejetant sa requête pour excès de pouvoir.
Les médecins de ville peuvent prescrire de l'hydroxychloroquine, décide
le Conseil d'Etat.
Vendredi 24 Avril 2020 - 14:55
Il s'agissait de rétablir les médecins en leur droit de prescription,
c'est chose faite, dans les motifs de la décision. Néanmoins, le Conseil
d'Etat a rejeté la requête de Maître Philippe Krikorian en ce qu'il juge
que le premier ministre et le ministre de la Santé n'ont pas commis
d'excès de pouvoir en interdisant de fait aux médecins de ville de
prescrire la fameuse molécule.
"Les motifs d'une décision juridictionnelle sont, parfois, plus chargés
en normativité que son dispositif", commente l'avocat marseillais, qui
estime que l'ordonnance constitue une victoire paradoxale du Bien
commun: "Les pharmaciens d’officine ne pourront plus légalement refuser
de délivrer la spécialité, si elle est disponible".
Interrogé sur cette décision, Maître Massimo Bianchi, en sa qualité
d'intervenant volontaire dans cette requête, nous a répondu: "Le Conseil
d'Etat nous donne raison sur les fondamentaux, mais n'avait d'autre
choix que de conforter l'action gouvernementale qui a été manifestement
construite en l'absence de données scientifiquement valables, tout
autant qu'à l'aune d'une impéritie dans la gestion globale d'une crise
certes soudaine, mais parfaitement prévisible."
"A mon sens, rien ne peut justifier la manière dont a été traitée cette
crise, ainsi que la communication établie par le gouvernement qui
traduit une volonté d'infantiliser les citoyens français. Un peuple
mérite, à mon sens, qu'on lui dise la vérité et non qu'on tente de lui
faire admettre des arguments fallacieux, qui ne sauraient masque
l'impéritie évoquée, en ce qu'on ne peut traduire les conséquences de ce
désastre humanitaire par de simples courbes à la recherche d'un plateau,
pour rassurer artificiellement au lieu de simplement dire la vérité.
Encore une fois, en France, la forme prend le pas sur le fond", regrette
l'avocat.
"Le Conseil d'Etat ne pouvait pas nous suivre sur l'excès de pouvoir,
mais, dans la limite de ce qui lui est possible, un juge a eu le
courage, au terme de la motivation, de donner aux médecins autorisation
de prescription", se félicite Maître Bianchi.
Les médecins peuvent donc prescrire la molécule et les pharmacies
doivent la délivrer, encore faut-il que les stocks en soient suffisants,
c'est pourquoi Maître Krikorian termine:
"La Représentation nationale, face à une pandémie dont la source est
enfouie au tréfonds des noirceurs de l'âme humaine et qui trouve son
explication rationnelle dans l'impéritie et la pesanteur des appareils
étatiques planétaires, qui n'ont d'égale que la pusillanimité de
certaines sociétés savantes, serait bien inspirée de se rappeler que «
l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'homme sont les seules
causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements » (
Préambule de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen du 26
Août 1789, à pleine valeur constitutionnelle ) et voter sans délai
l'ouverture d'une enquête parlementaire ayant pour objet, entre autres,
de déterminer les causes du défaut cruel d'approvisionnement des
pharmacies d'officine, spécialement en PLAQUENIL ©."

Je vais aller me faire prescrire la potion magique de Raoult, non pas
que j'en ai besoin mais sait-on jamais !
Avatar
Cl.Massé
"La chauve-souris copine du pangolin voisin du requin de Rodriguez" a écrit
dans le message de groupe de discussion :
5ea31847$0$21585$
<https://www.zinfos974.com/Hydroxychloroquine-Une-victoire-paradoxale--malgre-le-rejet-de-la-requete-pour-exces-de-pouvoir_a153466.html>
Hydroxychloroquine: "Une victoire paradoxale", malgré le rejet de la
requête pour excès de pouvoir
La requête auprès du Conseil d'Etat de Me Krikorian a donné lieu à une
ordonnance rendue ce mercredi 22 avril, qui, dans ses motifs, donne raison
à l'avocat, tout en rejetant sa requête pour excès de pouvoir. Les
médecins de ville peuvent prescrire de l'hydroxychloroquine, décide le
Conseil d'Etat.

Je savais pas que le Conseil d'Etat était constitué de médecins. Une
nouvelle ordonnance passée en 49-3? Et qui va rendre la justice maintenant,
l'hôpital?
-- ↓ ceci n'est pas une signature ↓
~~~~ clmasse chez libre Hexagone
Liberté, Egalité, Sale assisté.
Avatar
Cl.Massé
"La chauve-souris copine du pangolin voisin du requin de Rodriguez" a écrit
dans le message de groupe de discussion :
5ea31847$0$21585$
"La Représentation nationale, face à une pandémie dont la source est
enfouie au tréfonds des noirceurs de l'âme humaine et qui trouve son
explication rationnelle dans l'impéritie et la pesanteur des appareils
étatiques planétaires, qui n'ont d'égale que la pusillanimité de certaines
sociétés savantes, serait bien inspirée de se rappeler que « l'ignorance,
l'oubli ou le mépris des droits de l'homme sont les seules causes des
malheurs publics et de la corruption des Gouvernements » ( Préambule de la
Déclaration des droits de l'homme et du citoyen du 26 Août 1789, à pleine
valeur constitutionnelle ) et voter sans délai l'ouverture d'une enquête
parlementaire ayant pour objet, entre autres, de déterminer les causes du
défaut cruel d'approvisionnement des pharmacies d'officine, spécialement
en PLAQUENIL ©."

Ça c'est sûr.
Tiens au fait, le prétendu savant a répondu aux médecins qui lui demandaient
si ça le gênait pas trop d'affirmer des choses qui n'ont pas été vérifiées
par une étude rigoureuse, je cite:
"Non, c'est moi qu'a la plus grosse et je vous enc…" (adaptation libre d'une
interview parue dans Le Parisien)
Il est clair que ce virus a la propriété de remonter le niveau.
-- ↓ ceci n'est pas une signature ↓
~~~~ clmasse chez libre Hexagone
Liberté, Egalité, Sale assisté.
Avatar
Gloops
Le 24/04/2020 à 20:07, Cardinal de Hère a écrit :
Je vais aller me faire prescrire la potion magique de Raoult, non pas
que j'en ai besoin mais sait-on jamais !

C'est toi qui as acheté deux tonnes de PQ ?
--
Besoin d'un autre système, pas d'un autre gouvernement.
Avatar
Gloops
Le 24/04/2020 à 21:45, Cl.Massé a écrit :
Il est clair que ce virus a la propriété de remonter le niveau.

Ah, en effet.
--
Besoin d'un autre système, pas d'un autre gouvernement.
Avatar
Lebref
[suivi fsp]
Gloops :
Cardinal de Hère :
Je vais aller me faire prescrire la potion magique de Raoult, non
pas que j'en ai besoin mais sait-on jamais !

C'est toi qui as acheté deux tonnes de PQ ?

Pensez-vous que Raoult fait chier à ce point-là ?
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