"Ghost Rider" a écrit dans le message de news: 48039a92$0$891$
http://cjoint.com/?eot2ChIHub
beaucoup d'émotion ... j'y vois une dénonciation de la baisse du pouvoir d'achat de nos sociétés occidentales :
"cul du bouteille pour manger."
une photo intrinsèquement politique dans une démarche parfaitement lucide...
Dr Gnolu
http://cjoint.com/?eot2ChIHub
Ghost Rider : un parcours secret dans le brouhaha ambiant . Le travail de Ghost Rider sollicite expressément la bienveillance du lecteur quant à sa perception du paysage (modifié?) en tant que syntagme explicite d' un environnement commun, ou, si l'on préfère, suit au plus près la sensation conceptuelle du "less is more", considéré comme une géographie subjective de l' écosystème de la civilisation occidentale. Évidemment, une lecture attentive...
-- Dr Gnolu
http://cjoint.com/?eot2ChIHub
Ghost Rider : un parcours secret dans le brouhaha ambiant . Le travail
de Ghost Rider sollicite expressément la bienveillance du lecteur quant
à sa perception du paysage (modifié?) en tant que syntagme explicite d'
un environnement commun, ou, si l'on préfère, suit au plus près la
sensation conceptuelle du "less is more", considéré comme une géographie
subjective de l' écosystème de la civilisation occidentale. Évidemment,
une lecture attentive...
Ghost Rider : un parcours secret dans le brouhaha ambiant . Le travail de Ghost Rider sollicite expressément la bienveillance du lecteur quant à sa perception du paysage (modifié?) en tant que syntagme explicite d' un environnement commun, ou, si l'on préfère, suit au plus près la sensation conceptuelle du "less is more", considéré comme une géographie subjective de l' écosystème de la civilisation occidentale. Évidemment, une lecture attentive...
-- Dr Gnolu
Lazlo Lebrun
Ghost Rider wrote:
http://cjoint.com/?eot2ChIHub tu as quoi comme telephone portable?
Laszlo
Ghost Rider wrote:
http://cjoint.com/?eot2ChIHub
tu as quoi comme telephone portable?
Ce cher mammifère du nom de Ghost Rider nous susurrait, le lundi 14/04/2008, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales quand même, et dans le message <48039a92$0$891$, les doux mélismes suivants :
http://cjoint.com/?eot2ChIHub
La recherche dans une tentative phénoménologique représente le paradoxe du mythe de Gorgone , la pétrification du regard vers l'acte créatif , donne vie à une entité uniquement révélée par la trace lumineuse.
Dans cette progression historique on serait passé de la mimésis à l’analogie , qui se joue sur l’axe de la contiguïté vers l’abstraction. Le XXe siècle s’est construit sur l’image. Cette photographie peut être aussi à l’origine de bien des avancées en sciences humaines qui est développée en fonction de son rapport évident avec la sémiotique.
Cette foto de GR est ce médium qui tue et immortalise la différence que l’on est allé chercher ailleurs. Par la forte implication mémorielle que cette démarche suppose on a été tenté d’y voir la trace d’une activité compensatoire , un palliatif au "bovarysme". Elle se déploie non plus seulement comme un regard sur l’altérité , mais sur soi-même , impossible anamnèse elle entraîne le spectateur dans l’Histoire , qui n’existe que lorsque l’on en est exclu. L’aventure photographique se décompose en studium et le punctum , ce qui dérange intimement : Car si le studium est codé éthiquement , socialement le punctum ne l’est pas.
GR fait sortir la photo hors de son cadre Aussi bien en ce qui concerne sa diffusion sociale que pour les quelques réflexions esthétiques qu’elle a suscitées la photographie semble ainsi condamnée à végéter en marge du médium beaucoup plus puissant qui s’est développé à partir d’elle, le cinéma. Il met en relation trois éléments : la nature ou l’objet la caméra et ses spécificités et le sujet qui regarde
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science, accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de Ghost Rider nous susurrait, le lundi
14/04/2008, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales quand
même, et dans le message <48039a92$0$891$ba4acef3@news.orange.fr>, les
doux mélismes suivants :
http://cjoint.com/?eot2ChIHub
La recherche dans une tentative phénoménologique représente le paradoxe
du mythe de Gorgone , la pétrification du regard vers l'acte créatif ,
donne vie à une entité uniquement révélée par la trace lumineuse.
Dans cette progression historique on serait passé de la mimésis à
l’analogie , qui se joue sur l’axe de la contiguïté vers l’abstraction.
Le XXe siècle s’est construit sur l’image. Cette photographie peut être
aussi à l’origine de bien des avancées en sciences humaines qui est
développée en fonction de son rapport évident avec la sémiotique.
Cette foto de GR est ce médium qui tue et immortalise la différence que
l’on est allé chercher ailleurs. Par la forte implication mémorielle
que cette démarche suppose on a été tenté d’y voir la trace d’une
activité compensatoire , un palliatif au "bovarysme". Elle se déploie
non plus seulement comme un regard sur l’altérité , mais sur soi-même ,
impossible anamnèse elle entraîne le spectateur dans l’Histoire , qui
n’existe que lorsque l’on en est exclu. L’aventure photographique se
décompose en studium et le punctum , ce qui dérange intimement : Car si
le studium est codé éthiquement , socialement le punctum ne l’est pas.
GR fait sortir la photo hors de son cadre Aussi bien en ce qui concerne
sa diffusion sociale que pour les quelques réflexions esthétiques
qu’elle a suscitées la photographie semble ainsi condamnée à végéter en
marge du médium beaucoup plus puissant qui s’est développé à partir
d’elle, le cinéma. Il met en relation trois éléments : la nature ou
l’objet la caméra et ses spécificités et le sujet qui regarde
--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science, accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de Ghost Rider nous susurrait, le lundi 14/04/2008, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales quand même, et dans le message <48039a92$0$891$, les doux mélismes suivants :
http://cjoint.com/?eot2ChIHub
La recherche dans une tentative phénoménologique représente le paradoxe du mythe de Gorgone , la pétrification du regard vers l'acte créatif , donne vie à une entité uniquement révélée par la trace lumineuse.
Dans cette progression historique on serait passé de la mimésis à l’analogie , qui se joue sur l’axe de la contiguïté vers l’abstraction. Le XXe siècle s’est construit sur l’image. Cette photographie peut être aussi à l’origine de bien des avancées en sciences humaines qui est développée en fonction de son rapport évident avec la sémiotique.
Cette foto de GR est ce médium qui tue et immortalise la différence que l’on est allé chercher ailleurs. Par la forte implication mémorielle que cette démarche suppose on a été tenté d’y voir la trace d’une activité compensatoire , un palliatif au "bovarysme". Elle se déploie non plus seulement comme un regard sur l’altérité , mais sur soi-même , impossible anamnèse elle entraîne le spectateur dans l’Histoire , qui n’existe que lorsque l’on en est exclu. L’aventure photographique se décompose en studium et le punctum , ce qui dérange intimement : Car si le studium est codé éthiquement , socialement le punctum ne l’est pas.
GR fait sortir la photo hors de son cadre Aussi bien en ce qui concerne sa diffusion sociale que pour les quelques réflexions esthétiques qu’elle a suscitées la photographie semble ainsi condamnée à végéter en marge du médium beaucoup plus puissant qui s’est développé à partir d’elle, le cinéma. Il met en relation trois éléments : la nature ou l’objet la caméra et ses spécificités et le sujet qui regarde
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science, accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant