Avec Finale, tu vas entrer tout ce qui est musique, définir un format de
page, des marges, le nombre de mesures par ligne, les tournes,
éventuellement les écarts entre systèmes (bien que tu puisses le faire
aussi sous Scribus). Tu vas ensuite exporter ta page ou portion de page
ou encore système en .TIF; là, suivant tes contraintes, tu pourras
encore définir un découpage plus fin sous un logiciel comme Gimp,
Photoshop, etc. Ensuite intervient Scribus [...]
Avec Finale, tu vas entrer tout ce qui est musique, définir un format de
page, des marges, le nombre de mesures par ligne, les tournes,
éventuellement les écarts entre systèmes (bien que tu puisses le faire
aussi sous Scribus). Tu vas ensuite exporter ta page ou portion de page
ou encore système en .TIF; là, suivant tes contraintes, tu pourras
encore définir un découpage plus fin sous un logiciel comme Gimp,
Photoshop, etc. Ensuite intervient Scribus [...]
Avec Finale, tu vas entrer tout ce qui est musique, définir un format de
page, des marges, le nombre de mesures par ligne, les tournes,
éventuellement les écarts entre systèmes (bien que tu puisses le faire
aussi sous Scribus). Tu vas ensuite exporter ta page ou portion de page
ou encore système en .TIF; là, suivant tes contraintes, tu pourras
encore définir un découpage plus fin sous un logiciel comme Gimp,
Photoshop, etc. Ensuite intervient Scribus [...]
> juste pour aider...
> juste pour aider...
> juste pour aider...
Très encouragé par cet afflux d'informations enthousiasmantes, j'ai mis
à profit ma CS2 en installant aussi Illustrator, et j'ai testé cette
fonction de Finale qui me narguait jusqu'alors du haut de son inutilité:
"Générer le fichier texte PostScript". Hop, un petit import dans
Illustrator, et là... c'est le choc ! On peut tout modifier ! Vivement
que j'aie fini de rentrer mon édition critique dans Finale pour que je
puisse voir ce que ça donne sous Illustrator puis Indesign pour la mise
en page finale !
Très encouragé par cet afflux d'informations enthousiasmantes, j'ai mis
à profit ma CS2 en installant aussi Illustrator, et j'ai testé cette
fonction de Finale qui me narguait jusqu'alors du haut de son inutilité:
"Générer le fichier texte PostScript". Hop, un petit import dans
Illustrator, et là... c'est le choc ! On peut tout modifier ! Vivement
que j'aie fini de rentrer mon édition critique dans Finale pour que je
puisse voir ce que ça donne sous Illustrator puis Indesign pour la mise
en page finale !
Très encouragé par cet afflux d'informations enthousiasmantes, j'ai mis
à profit ma CS2 en installant aussi Illustrator, et j'ai testé cette
fonction de Finale qui me narguait jusqu'alors du haut de son inutilité:
"Générer le fichier texte PostScript". Hop, un petit import dans
Illustrator, et là... c'est le choc ! On peut tout modifier ! Vivement
que j'aie fini de rentrer mon édition critique dans Finale pour que je
puisse voir ce que ça donne sous Illustrator puis Indesign pour la mise
en page finale !
Dès qu'on abandonne le vectoriel se pose le problème de la résolution
finale du fichier et du poids du TIFF : inexploitable au niveau
professionnel AMHA.
Dès qu'on abandonne le vectoriel se pose le problème de la résolution
finale du fichier et du poids du TIFF : inexploitable au niveau
professionnel AMHA.
Dès qu'on abandonne le vectoriel se pose le problème de la résolution
finale du fichier et du poids du TIFF : inexploitable au niveau
professionnel AMHA.
Je viens de commander
"Music Engraving Today", et j'ai hâte de le recevoir.
Je viens de commander
"Music Engraving Today", et j'ai hâte de le recevoir.
Je viens de commander
"Music Engraving Today", et j'ai hâte de le recevoir.
> Autre exemple : tu dupliques une boule (cliquer-glisser sur le point
d'ancrage, suffit de zoomer pour y arriver facile, c'est là que c'est
bath Illustrator : dans le zoom à 800% et plus !). Tu la mets en dehors
de la portée et tu la sélectionnes avec l'outil texte. Bien. Maintenant
tu tapes au clavier, disons, le signe %, ou sur G, ou sur f-minuscule ou
sur F majuscule, et hop ! tu t'aperçois que ta Sonata (ou ta Petrucci)
est une police comme une autre, dont il suffit d'avoir le mapping...
Oui, oui. (le "s" c'est le dièse - sharp, le b le bémol etc.) Maintenant
tu appliques une déformation ou une rotation à ce signe... intéressant !
tu le vectorises et tu attrapes un de ses points d'ancrage avec la
flèche blanche... intéressant aussi... Le métier commence à rentrer...
Après, pour savoir comment faire une belle liaison, espacer les
systèmes, connaître les règles de typographie musicale française
appliquées aux différentes époques, comment faire une belle tourne,
comment s'adapter aux idiosyncrasies de chaque éditeur... au bout de
cinq ou six mille pages achetées par iceux (donc, en quelque sorte,
validées...) tu commenceras à y arriver. Bon courage :-)
> Autre exemple : tu dupliques une boule (cliquer-glisser sur le point
d'ancrage, suffit de zoomer pour y arriver facile, c'est là que c'est
bath Illustrator : dans le zoom à 800% et plus !). Tu la mets en dehors
de la portée et tu la sélectionnes avec l'outil texte. Bien. Maintenant
tu tapes au clavier, disons, le signe %, ou sur G, ou sur f-minuscule ou
sur F majuscule, et hop ! tu t'aperçois que ta Sonata (ou ta Petrucci)
est une police comme une autre, dont il suffit d'avoir le mapping...
Oui, oui. (le "s" c'est le dièse - sharp, le b le bémol etc.) Maintenant
tu appliques une déformation ou une rotation à ce signe... intéressant !
tu le vectorises et tu attrapes un de ses points d'ancrage avec la
flèche blanche... intéressant aussi... Le métier commence à rentrer...
Après, pour savoir comment faire une belle liaison, espacer les
systèmes, connaître les règles de typographie musicale française
appliquées aux différentes époques, comment faire une belle tourne,
comment s'adapter aux idiosyncrasies de chaque éditeur... au bout de
cinq ou six mille pages achetées par iceux (donc, en quelque sorte,
validées...) tu commenceras à y arriver. Bon courage :-)
> Autre exemple : tu dupliques une boule (cliquer-glisser sur le point
d'ancrage, suffit de zoomer pour y arriver facile, c'est là que c'est
bath Illustrator : dans le zoom à 800% et plus !). Tu la mets en dehors
de la portée et tu la sélectionnes avec l'outil texte. Bien. Maintenant
tu tapes au clavier, disons, le signe %, ou sur G, ou sur f-minuscule ou
sur F majuscule, et hop ! tu t'aperçois que ta Sonata (ou ta Petrucci)
est une police comme une autre, dont il suffit d'avoir le mapping...
Oui, oui. (le "s" c'est le dièse - sharp, le b le bémol etc.) Maintenant
tu appliques une déformation ou une rotation à ce signe... intéressant !
tu le vectorises et tu attrapes un de ses points d'ancrage avec la
flèche blanche... intéressant aussi... Le métier commence à rentrer...
Après, pour savoir comment faire une belle liaison, espacer les
systèmes, connaître les règles de typographie musicale française
appliquées aux différentes époques, comment faire une belle tourne,
comment s'adapter aux idiosyncrasies de chaque éditeur... au bout de
cinq ou six mille pages achetées par iceux (donc, en quelque sorte,
validées...) tu commenceras à y arriver. Bon courage :-)
> Juste un avis personnel: Music Engraving Today est basique, trop basique
à mon goût; tu vas en redemander... ;-) Alors je te conseille l'achat du
CD-Rom de Ted Ross: The Art of Music Engraving, une somme
impressionnante! Je m'y réfère souvent même si c'est basé sur de la typo
américaine (donc légèrement différente de l'européenne ou plus
spécifiquement de la française).
> Juste un avis personnel: Music Engraving Today est basique, trop basique
à mon goût; tu vas en redemander... ;-) Alors je te conseille l'achat du
CD-Rom de Ted Ross: The Art of Music Engraving, une somme
impressionnante! Je m'y réfère souvent même si c'est basé sur de la typo
américaine (donc légèrement différente de l'européenne ou plus
spécifiquement de la française).
> Juste un avis personnel: Music Engraving Today est basique, trop basique
à mon goût; tu vas en redemander... ;-) Alors je te conseille l'achat du
CD-Rom de Ted Ross: The Art of Music Engraving, une somme
impressionnante! Je m'y réfère souvent même si c'est basé sur de la typo
américaine (donc légèrement différente de l'européenne ou plus
spécifiquement de la française).
Ayant vraiment soif d'apprendre, j'ai cherché partout le Ted Ross sans
résultat : il semble être en rupture. Y a-t-il moyen de le trouver ou
existe-t-il d'autres références incontournables ?
Ayant vraiment soif d'apprendre, j'ai cherché partout le Ted Ross sans
résultat : il semble être en rupture. Y a-t-il moyen de le trouver ou
existe-t-il d'autres références incontournables ?
Ayant vraiment soif d'apprendre, j'ai cherché partout le Ted Ross sans
résultat : il semble être en rupture. Y a-t-il moyen de le trouver ou
existe-t-il d'autres références incontournables ?
J'ai bien essayé la Sonata, mais tout d'abord il me manque son fichier
d'annotations, et ensuite il lui manque quelques signes qui sont
pourtant dans la Maestro, comme la clef de sol octaviante. Il en manque
un peu moins dans la Petrucci.
De plus, lorsque j'importe dans Illustrator un .PS sauvegardé avec
Sonata ou Petrucci, j'ai d'autres signes à la place des têtes de notes,
ce qui rend la partition complètement loufoque.
Est-ce que ces deux polices sont unanimement et uniquement employées
chez les graveurs ? Si oui, ce seront celles qu'il me faudra utiliser,
et il faudra également que je trouve la solution à ce problème !
J'ai bien essayé la Sonata, mais tout d'abord il me manque son fichier
d'annotations, et ensuite il lui manque quelques signes qui sont
pourtant dans la Maestro, comme la clef de sol octaviante. Il en manque
un peu moins dans la Petrucci.
De plus, lorsque j'importe dans Illustrator un .PS sauvegardé avec
Sonata ou Petrucci, j'ai d'autres signes à la place des têtes de notes,
ce qui rend la partition complètement loufoque.
Est-ce que ces deux polices sont unanimement et uniquement employées
chez les graveurs ? Si oui, ce seront celles qu'il me faudra utiliser,
et il faudra également que je trouve la solution à ce problème !
J'ai bien essayé la Sonata, mais tout d'abord il me manque son fichier
d'annotations, et ensuite il lui manque quelques signes qui sont
pourtant dans la Maestro, comme la clef de sol octaviante. Il en manque
un peu moins dans la Petrucci.
De plus, lorsque j'importe dans Illustrator un .PS sauvegardé avec
Sonata ou Petrucci, j'ai d'autres signes à la place des têtes de notes,
ce qui rend la partition complètement loufoque.
Est-ce que ces deux polices sont unanimement et uniquement employées
chez les graveurs ? Si oui, ce seront celles qu'il me faudra utiliser,
et il faudra également que je trouve la solution à ce problème !
> De plus, lorsque j'importe dans Illustrator un .PS sauvegardé avec
> Sonata ou Petrucci, j'ai d'autres signes à la place des têtes de notes,
> ce qui rend la partition complètement loufoque.
Idem pour moi dans CorelDraw. Je ne connais pas l'origine du problème,
mais pour ce qui est de Sonata, c'est peut-être dû à son grand âge...
(c'est aussi pour ça que j'ai longtemps exporté mes pages en .tif);
Adobe ne semble pas l'avoir fait évoluer vers le standard Unicode.
> De plus, lorsque j'importe dans Illustrator un .PS sauvegardé avec
> Sonata ou Petrucci, j'ai d'autres signes à la place des têtes de notes,
> ce qui rend la partition complètement loufoque.
Idem pour moi dans CorelDraw. Je ne connais pas l'origine du problème,
mais pour ce qui est de Sonata, c'est peut-être dû à son grand âge...
(c'est aussi pour ça que j'ai longtemps exporté mes pages en .tif);
Adobe ne semble pas l'avoir fait évoluer vers le standard Unicode.
> De plus, lorsque j'importe dans Illustrator un .PS sauvegardé avec
> Sonata ou Petrucci, j'ai d'autres signes à la place des têtes de notes,
> ce qui rend la partition complètement loufoque.
Idem pour moi dans CorelDraw. Je ne connais pas l'origine du problème,
mais pour ce qui est de Sonata, c'est peut-être dû à son grand âge...
(c'est aussi pour ça que j'ai longtemps exporté mes pages en .tif);
Adobe ne semble pas l'avoir fait évoluer vers le standard Unicode.