Tout d'abord, le médecin qui fait passer les visites médicales à mon
travail dépend directement de la DRH et non de la médecine du travail. En
gros, c'est mon patron qui me paye et qui paye aussi le médecin. Comme
indépendance, on a vu mieux mais il paraît que c'est légal.
Ensuite, le médecin m'a fait passer tout un tas d'examens effectués sur
place : test sanguin, test urinaire, électrocardiogramme, test psycho sur
ordi en plus de la petite visite médicale classique (test de vision, pesée,
prise de poux et de tension et questions).
La visite médicale classique ne me choque pas mais tout le reste oui.
Je vais régulièrement voir mon médecin traitant donc je sais où j'en suis.
Aussi, je ne comprend pas pourquoi le médecin du travail veut en savoir
autant.
* On m'a dit qu'on pouvait refuser certains examens comme le test urinaire,
est-ce vraiment le cas ?
* Si c'est le cas, quels sont les examens médicaux minimaux permettant
d'obtenir le certificat d'aptitude ?
"www.juristprudence.c.la" a écrit dans le message de news: 4dae8507$0$26866$
il était urgent de dénoncer tout cela... cette "indiscrétion"
Hum! Ma chère Prudence, l'urgence n'a pas changé depuis des dizaines d'années: il est très difficile à un médecin du travail d'être employé et de s'en tenir strictement au secret médical face à son employeur indiscret. Il y a vingt cinq ans, de retour d'une hospitalisation, j'avais sciemment menti au médecin salarié du travail sur le motif de mon arrêt.... et j'ai pu constater que mon bobard a été répercuté à toute ma hiérarchie ...
Il y aura toujours des cas d'exception. Mais lorsqu'on connait la rémunération d'un médecin du travail, lorsqu'on en tient un on ne le lâche pas. Ce qui les rend difficilement pérméables à une quelconque pression d'un employeur peu scrupuleux.
Broc_Ex_Co avait écrit le 20/04/2011 :
"www.juristprudence.c.la" <juristprudence@0nline.fr> a écrit dans le message
de news: 4dae8507$0$26866$426a74cc@news.free.fr...
il était urgent de dénoncer tout cela...
cette "indiscrétion"
Hum!
Ma chère Prudence, l'urgence n'a pas changé depuis des dizaines d'années: il
est très difficile à un médecin du travail d'être employé et de s'en tenir
strictement au secret médical face à son employeur indiscret. Il y a vingt
cinq ans, de retour d'une hospitalisation, j'avais sciemment menti au médecin
salarié du travail sur le motif de mon arrêt.... et j'ai pu constater que
mon bobard a été répercuté à toute ma hiérarchie ...
Il y aura toujours des cas d'exception.
Mais lorsqu'on connait la rémunération d'un médecin du travail,
lorsqu'on en tient un on ne le lâche pas.
Ce qui les rend difficilement pérméables à une quelconque pression d'un
employeur peu scrupuleux.
"www.juristprudence.c.la" a écrit dans le message de news: 4dae8507$0$26866$
il était urgent de dénoncer tout cela... cette "indiscrétion"
Hum! Ma chère Prudence, l'urgence n'a pas changé depuis des dizaines d'années: il est très difficile à un médecin du travail d'être employé et de s'en tenir strictement au secret médical face à son employeur indiscret. Il y a vingt cinq ans, de retour d'une hospitalisation, j'avais sciemment menti au médecin salarié du travail sur le motif de mon arrêt.... et j'ai pu constater que mon bobard a été répercuté à toute ma hiérarchie ...
Il y aura toujours des cas d'exception. Mais lorsqu'on connait la rémunération d'un médecin du travail, lorsqu'on en tient un on ne le lâche pas. Ce qui les rend difficilement pérméables à une quelconque pression d'un employeur peu scrupuleux.
Castor Nageur
moisse écrivait news:4daeeaf2$0$27524$:
C'est ainsi que, pour un manutentionnaire par exemple, un empl;oyeur avisé (par l'expérience) complètera sa demande d'aptitude par des précisions du style : * apte à la manutention de charges sans moyens de préhension de 5 ou 10 ou 15 ou 25 kgs (on ne peut pas depasser) * ou encore : apte à la manipulation de denrées périssables emballées sous carton ou partiellement emballées en présentoirs...
Je suis employé de bureau (donc sédentaire) et très bien suivi par mon médecin traitant à qui je peux d'ailleurs demander un certificat médical si besoin. Pour répondre à d'autres posts du forum, je n'ai rien cherché à dénoncer, j'ai juste constaté les choses puis posé une question.
A part ça, je suis d'accord sur le fait qu'il faille passer une visite médicale au travail mais je voulais juste savoir s'il y avait des examens que l'on pouvait légalement refuser.
* Peux-t'on par exemple refuser la prise de sang au travail sans que cela n'entrave la délivrance du certificat d'aptitude ?
C'est ainsi que, pour un manutentionnaire par exemple, un empl;oyeur
avisé (par l'expérience) complètera sa demande d'aptitude par des
précisions du style :
* apte à la manutention de charges sans moyens de préhension de 5 ou
10 ou 15 ou 25 kgs (on ne peut pas depasser)
* ou encore : apte à la manipulation de denrées périssables emballées
sous carton ou partiellement emballées en présentoirs...
Je suis employé de bureau (donc sédentaire) et très bien suivi par mon
médecin traitant à qui je peux d'ailleurs demander un certificat médical si
besoin.
Pour répondre à d'autres posts du forum, je n'ai rien cherché à dénoncer,
j'ai juste constaté les choses puis posé une question.
A part ça, je suis d'accord sur le fait qu'il faille passer une visite
médicale au travail mais je voulais juste savoir s'il y avait des examens
que l'on pouvait légalement refuser.
* Peux-t'on par exemple refuser la prise de sang au travail sans que cela
n'entrave la délivrance du certificat d'aptitude ?
C'est ainsi que, pour un manutentionnaire par exemple, un empl;oyeur avisé (par l'expérience) complètera sa demande d'aptitude par des précisions du style : * apte à la manutention de charges sans moyens de préhension de 5 ou 10 ou 15 ou 25 kgs (on ne peut pas depasser) * ou encore : apte à la manipulation de denrées périssables emballées sous carton ou partiellement emballées en présentoirs...
Je suis employé de bureau (donc sédentaire) et très bien suivi par mon médecin traitant à qui je peux d'ailleurs demander un certificat médical si besoin. Pour répondre à d'autres posts du forum, je n'ai rien cherché à dénoncer, j'ai juste constaté les choses puis posé une question.
A part ça, je suis d'accord sur le fait qu'il faille passer une visite médicale au travail mais je voulais juste savoir s'il y avait des examens que l'on pouvait légalement refuser.
* Peux-t'on par exemple refuser la prise de sang au travail sans que cela n'entrave la délivrance du certificat d'aptitude ?
Serge
"Castor Nageur" a écrit dans le message de news:
moisse écrivait news:4daeeaf2$0$27524$:
C'est ainsi que, pour un manutentionnaire par exemple, un empl;oyeur avisé (par l'expérience) complètera sa demande d'aptitude par des précisions du style : * apte à la manutention de charges sans moyens de préhension de 5 ou 10 ou 15 ou 25 kgs (on ne peut pas depasser) * ou encore : apte à la manipulation de denrées périssables emballées sous carton ou partiellement emballées en présentoirs...
Je suis employé de bureau (donc sédentaire) et très bien suivi par mon médecin traitant à qui je peux d'ailleurs demander un certificat médical si besoin. Pour répondre à d'autres posts du forum, je n'ai rien cherché à dénoncer, j'ai juste constaté les choses puis posé une question.
A part ça, je suis d'accord sur le fait qu'il faille passer une visite médicale au travail mais je voulais juste savoir s'il y avait des examens que l'on pouvait légalement refuser.
* Peux-t'on par exemple refuser la prise de sang au travail sans que cela n'entrave la délivrance du certificat d'aptitude ?
Bonsoir,
Vous préféreriez que le médecin du travail vous envoie passer cet examen dans un labo extérieur ???
Serge
"Castor Nageur" <castor.nageur@gmail.com> a écrit dans le message de
news: XnF9ECDE2E334AE8Nageur@212.27.60.39...
C'est ainsi que, pour un manutentionnaire par exemple, un empl;oyeur
avisé (par l'expérience) complètera sa demande d'aptitude par des
précisions du style :
* apte à la manutention de charges sans moyens de préhension de 5 ou
10 ou 15 ou 25 kgs (on ne peut pas depasser)
* ou encore : apte à la manipulation de denrées périssables emballées
sous carton ou partiellement emballées en présentoirs...
Je suis employé de bureau (donc sédentaire) et très bien suivi par mon
médecin traitant à qui je peux d'ailleurs demander un certificat
médical si
besoin.
Pour répondre à d'autres posts du forum, je n'ai rien cherché à
dénoncer,
j'ai juste constaté les choses puis posé une question.
A part ça, je suis d'accord sur le fait qu'il faille passer une visite
médicale au travail mais je voulais juste savoir s'il y avait des
examens
que l'on pouvait légalement refuser.
* Peux-t'on par exemple refuser la prise de sang au travail sans que
cela
n'entrave la délivrance du certificat d'aptitude ?
Bonsoir,
Vous préféreriez que le médecin du travail vous envoie passer cet examen
dans un labo extérieur ???
C'est ainsi que, pour un manutentionnaire par exemple, un empl;oyeur avisé (par l'expérience) complètera sa demande d'aptitude par des précisions du style : * apte à la manutention de charges sans moyens de préhension de 5 ou 10 ou 15 ou 25 kgs (on ne peut pas depasser) * ou encore : apte à la manipulation de denrées périssables emballées sous carton ou partiellement emballées en présentoirs...
Je suis employé de bureau (donc sédentaire) et très bien suivi par mon médecin traitant à qui je peux d'ailleurs demander un certificat médical si besoin. Pour répondre à d'autres posts du forum, je n'ai rien cherché à dénoncer, j'ai juste constaté les choses puis posé une question.
A part ça, je suis d'accord sur le fait qu'il faille passer une visite médicale au travail mais je voulais juste savoir s'il y avait des examens que l'on pouvait légalement refuser.
* Peux-t'on par exemple refuser la prise de sang au travail sans que cela n'entrave la délivrance du certificat d'aptitude ?
Bonsoir,
Vous préféreriez que le médecin du travail vous envoie passer cet examen dans un labo extérieur ???
Serge
Jean
"Castor Nageur" a écrit dans le message de news:
* Peux-t'on par exemple refuser la prise de sang au travail sans que cela n'entrave la délivrance du certificat d'aptitude ?
Si on travaille en rayons ionisants (ex radiologie) je crois bien que non.
Jean
"Castor Nageur" <castor.nageur@gmail.com> a écrit dans le message de
news: XnF9ECDE2E334AE8Nageur@212.27.60.39...
* Peux-t'on par exemple refuser la prise de sang au travail sans que
cela
n'entrave la délivrance du certificat d'aptitude ?
Si on travaille en rayons ionisants (ex radiologie) je crois bien que
non.
* Peux-t'on par exemple refuser la prise de sang au travail sans que cela n'entrave la délivrance du certificat d'aptitude ?
Si on travaille en rayons ionisants (ex radiologie) je crois bien que non.
Jean
claude bb
Le 20/04/2011 16:19, moisse a écrit :
Mais lorsqu'on connait la rémunération d'un médecin du travail, lorsqu'on en tient un on ne le lâche pas.
c'est bien payé, un médecin du travail?
Ce qui les rend difficilement pérméables à une quelconque pression d'un employeur peu scrupuleux.
mouais, dans la presse spécialisée, et autres, je vois énormément d'offres pour ce travail,, j'en déduis, que les postulants sont rares, donc payés cher dans ce cas, s'ils sont rares, l'employeur aura beaucoup de mal, à les remplacer, donc le médecin du travail est en position de force?
mon raisonnement est'il juste?
Le 20/04/2011 16:19, moisse a écrit :
Mais lorsqu'on connait la rémunération d'un médecin du travail,
lorsqu'on en tient un on ne le lâche pas.
c'est bien payé, un médecin du travail?
Ce qui les rend difficilement pérméables à une quelconque pression d'un
employeur peu scrupuleux.
mouais, dans la presse spécialisée, et autres, je vois énormément
d'offres pour ce travail,, j'en déduis, que les postulants sont rares,
donc payés cher
dans ce cas, s'ils sont rares, l'employeur aura beaucoup de mal, à les
remplacer, donc le médecin du travail est en position de force?
Mais lorsqu'on connait la rémunération d'un médecin du travail, lorsqu'on en tient un on ne le lâche pas.
c'est bien payé, un médecin du travail?
Ce qui les rend difficilement pérméables à une quelconque pression d'un employeur peu scrupuleux.
mouais, dans la presse spécialisée, et autres, je vois énormément d'offres pour ce travail,, j'en déduis, que les postulants sont rares, donc payés cher dans ce cas, s'ils sont rares, l'employeur aura beaucoup de mal, à les remplacer, donc le médecin du travail est en position de force?
mon raisonnement est'il juste?
itague
"Castor Nageur" a écrit dans le message de news:
moisse écrivait news:4daeeaf2$0$27524$:
C'est ainsi que, pour un manutentionnaire par exemple, un empl;oyeur avisé (par l'expérience) complètera sa demande d'aptitude par des précisions du style : * apte à la manutention de charges sans moyens de préhension de 5 ou 10 ou 15 ou 25 kgs (on ne peut pas depasser) * ou encore : apte à la manipulation de denrées périssables emballées sous carton ou partiellement emballées en présentoirs...
Je suis employé de bureau (donc sédentaire) et très bien suivi par mon médecin traitant à qui je peux d'ailleurs demander un certificat médical si besoin. Pour répondre à d'autres posts du forum, je n'ai rien cherché à dénoncer, j'ai juste constaté les choses puis posé une question.
A part ça, je suis d'accord sur le fait qu'il faille passer une visite médicale au travail mais je voulais juste savoir s'il y avait des examens que l'on pouvait légalement refuser.
* Peux-t'on par exemple refuser la prise de sang au travail sans que cela n'entrave la délivrance du certificat d'aptitude ?
Il y a souvent refus ou gène lors de la prise de sang. Motif : taux des gamma gt
"Castor Nageur" <castor.nageur@gmail.com> a écrit dans le message de
news:XnF9ECDE2E334AE8Nageur@212.27.60.39...
C'est ainsi que, pour un manutentionnaire par exemple, un empl;oyeur
avisé (par l'expérience) complètera sa demande d'aptitude par des
précisions du style :
* apte à la manutention de charges sans moyens de préhension de 5 ou
10 ou 15 ou 25 kgs (on ne peut pas depasser)
* ou encore : apte à la manipulation de denrées périssables emballées
sous carton ou partiellement emballées en présentoirs...
Je suis employé de bureau (donc sédentaire) et très bien suivi par mon
médecin traitant à qui je peux d'ailleurs demander un certificat médical
si
besoin.
Pour répondre à d'autres posts du forum, je n'ai rien cherché à dénoncer,
j'ai juste constaté les choses puis posé une question.
A part ça, je suis d'accord sur le fait qu'il faille passer une visite
médicale au travail mais je voulais juste savoir s'il y avait des examens
que l'on pouvait légalement refuser.
* Peux-t'on par exemple refuser la prise de sang au travail sans que cela
n'entrave la délivrance du certificat d'aptitude ?
Il y a souvent refus ou gène lors de la prise de sang.
Motif : taux des gamma gt
C'est ainsi que, pour un manutentionnaire par exemple, un empl;oyeur avisé (par l'expérience) complètera sa demande d'aptitude par des précisions du style : * apte à la manutention de charges sans moyens de préhension de 5 ou 10 ou 15 ou 25 kgs (on ne peut pas depasser) * ou encore : apte à la manipulation de denrées périssables emballées sous carton ou partiellement emballées en présentoirs...
Je suis employé de bureau (donc sédentaire) et très bien suivi par mon médecin traitant à qui je peux d'ailleurs demander un certificat médical si besoin. Pour répondre à d'autres posts du forum, je n'ai rien cherché à dénoncer, j'ai juste constaté les choses puis posé une question.
A part ça, je suis d'accord sur le fait qu'il faille passer une visite médicale au travail mais je voulais juste savoir s'il y avait des examens que l'on pouvait légalement refuser.
* Peux-t'on par exemple refuser la prise de sang au travail sans que cela n'entrave la délivrance du certificat d'aptitude ?
Il y a souvent refus ou gène lors de la prise de sang. Motif : taux des gamma gt
moisse
Castor Nageur vient de nous annoncer :
moisse écrivait news:4daeeaf2$0$27524$:
C'est ainsi que, pour un manutentionnaire par exemple, un empl;oyeur avisé (par l'expérience) complètera sa demande d'aptitude par des précisions du style : * apte à la manutention de charges sans moyens de préhension de 5 ou 10 ou 15 ou 25 kgs (on ne peut pas depasser) * ou encore : apte à la manipulation de denrées périssables emballées sous carton ou partiellement emballées en présentoirs...
Je suis employé de bureau (donc sédentaire) et très bien suivi par mon médecin traitant à qui je peux d'ailleurs demander un certificat médical si besoin.
Certes comme beaucoup, mais pas comme tout le monde. Quoiqu'il en soit la loi oblige l'employeur a organiser ces visites (et encore l'intervalle a doublé ces dernières années) et le salarié à s'y soumettre.
Pour répondre à d'autres posts du forum, je n'ai rien cherché à dénoncer, j'ai juste constaté les choses puis posé une question.
A part ça, je suis d'accord sur le fait qu'il faille passer une visite médicale au travail mais je voulais juste savoir s'il y avait des examens que l'on pouvait légalement refuser.
On peut douter de la nécéssité de certains examens je pense. Reste à savoir lesquels, je n'ai pas trouvé de texte en référence.
* Peux-t'on par exemple refuser la prise de sang au travail sans que cela n'entrave la délivrance du certificat d'aptitude ?
Réponse de normand : oui et non. Certaines activités demandent des attentions et examens spécifiques indispensable, par exemple les salariés soumis à des rayonnement ionisants...tandis que ces mêmes examens pourraient paraître superflus pour d'autres salariés. Je ne suis pas médecin, mais je sais par exemple que l'état d'imprégnation alcoolique se mesure après une prise de sang par le taux de gamma GT. Or une telle addiction est sans contexte proscrite dans le cas de conduite de machines -outils et autres engins mécaniques.
C'est ainsi que, pour un manutentionnaire par exemple, un empl;oyeur
avisé (par l'expérience) complètera sa demande d'aptitude par des
précisions du style :
* apte à la manutention de charges sans moyens de préhension de 5 ou
10 ou 15 ou 25 kgs (on ne peut pas depasser)
* ou encore : apte à la manipulation de denrées périssables emballées
sous carton ou partiellement emballées en présentoirs...
Je suis employé de bureau (donc sédentaire) et très bien suivi par mon
médecin traitant à qui je peux d'ailleurs demander un certificat médical si
besoin.
Certes comme beaucoup, mais pas comme tout le monde.
Quoiqu'il en soit la loi oblige l'employeur a organiser ces visites (et
encore l'intervalle a doublé ces dernières années) et le salarié à s'y
soumettre.
Pour répondre à d'autres posts du forum, je n'ai rien cherché à dénoncer,
j'ai juste constaté les choses puis posé une question.
A part ça, je suis d'accord sur le fait qu'il faille passer une visite
médicale au travail mais je voulais juste savoir s'il y avait des examens
que l'on pouvait légalement refuser.
On peut douter de la nécéssité de certains examens je pense. Reste à
savoir lesquels, je n'ai pas trouvé de texte en référence.
* Peux-t'on par exemple refuser la prise de sang au travail sans que cela
n'entrave la délivrance du certificat d'aptitude ?
Réponse de normand : oui et non.
Certaines activités demandent des attentions et examens spécifiques
indispensable, par exemple les salariés soumis à des rayonnement
ionisants...tandis que ces mêmes examens pourraient paraître superflus
pour d'autres salariés.
Je ne suis pas médecin, mais je sais par exemple que l'état
d'imprégnation alcoolique se mesure après une prise de sang par le taux
de gamma GT. Or une telle addiction est sans contexte proscrite dans le
cas de conduite de machines -outils et autres engins mécaniques.
C'est ainsi que, pour un manutentionnaire par exemple, un empl;oyeur avisé (par l'expérience) complètera sa demande d'aptitude par des précisions du style : * apte à la manutention de charges sans moyens de préhension de 5 ou 10 ou 15 ou 25 kgs (on ne peut pas depasser) * ou encore : apte à la manipulation de denrées périssables emballées sous carton ou partiellement emballées en présentoirs...
Je suis employé de bureau (donc sédentaire) et très bien suivi par mon médecin traitant à qui je peux d'ailleurs demander un certificat médical si besoin.
Certes comme beaucoup, mais pas comme tout le monde. Quoiqu'il en soit la loi oblige l'employeur a organiser ces visites (et encore l'intervalle a doublé ces dernières années) et le salarié à s'y soumettre.
Pour répondre à d'autres posts du forum, je n'ai rien cherché à dénoncer, j'ai juste constaté les choses puis posé une question.
A part ça, je suis d'accord sur le fait qu'il faille passer une visite médicale au travail mais je voulais juste savoir s'il y avait des examens que l'on pouvait légalement refuser.
On peut douter de la nécéssité de certains examens je pense. Reste à savoir lesquels, je n'ai pas trouvé de texte en référence.
* Peux-t'on par exemple refuser la prise de sang au travail sans que cela n'entrave la délivrance du certificat d'aptitude ?
Réponse de normand : oui et non. Certaines activités demandent des attentions et examens spécifiques indispensable, par exemple les salariés soumis à des rayonnement ionisants...tandis que ces mêmes examens pourraient paraître superflus pour d'autres salariés. Je ne suis pas médecin, mais je sais par exemple que l'état d'imprégnation alcoolique se mesure après une prise de sang par le taux de gamma GT. Or une telle addiction est sans contexte proscrite dans le cas de conduite de machines -outils et autres engins mécaniques.
moisse
claude bb a utilisé son clavier pour écrire :
Le 20/04/2011 16:19, moisse a écrit :
Mais lorsqu'on connait la rémunération d'un médecin du travail, lorsqu'on en tient un on ne le lâche pas.
c'est bien payé, un médecin du travail?
Ce qui les rend difficilement pérméables à une quelconque pression d'un employeur peu scrupuleux.
mouais, dans la presse spécialisée, et autres, je vois énormément d'offres pour ce travail,, j'en déduis, que les postulants sont rares, donc payés cher dans ce cas, s'ils sont rares, l'employeur aura beaucoup de mal, à les remplacer, donc le médecin du travail est en position de force?
mon raisonnement est'il juste?
Oui sauf que les postulants sont rares car mal payés. J'en connais 2 qui en ont eu assez des journées à 70 h en cabinet même pour ramasser de l'argent, et ont donc décidé de consacrer leur dernières années d'excercice en passant l'examen (concours ??) nécessaire à l'excercice de cette spécialité. Le salaire doit osciller selon mes souvenirs entre 2 et 3000 euro/mois en fin de carrière.
claude bb a utilisé son clavier pour écrire :
Le 20/04/2011 16:19, moisse a écrit :
Mais lorsqu'on connait la rémunération d'un médecin du travail,
lorsqu'on en tient un on ne le lâche pas.
c'est bien payé, un médecin du travail?
Ce qui les rend difficilement pérméables à une quelconque pression d'un
employeur peu scrupuleux.
mouais, dans la presse spécialisée, et autres, je vois énormément d'offres
pour ce travail,, j'en déduis, que les postulants sont rares, donc payés cher
dans ce cas, s'ils sont rares, l'employeur aura beaucoup de mal, à les
remplacer, donc le médecin du travail est en position de force?
mon raisonnement est'il juste?
Oui sauf que les postulants sont rares car mal payés.
J'en connais 2 qui en ont eu assez des journées à 70 h en cabinet même
pour ramasser de l'argent, et ont donc décidé de consacrer leur
dernières années d'excercice en passant l'examen (concours ??)
nécessaire à l'excercice de cette spécialité.
Le salaire doit osciller selon mes souvenirs entre 2 et 3000 euro/mois
en fin de carrière.
Mais lorsqu'on connait la rémunération d'un médecin du travail, lorsqu'on en tient un on ne le lâche pas.
c'est bien payé, un médecin du travail?
Ce qui les rend difficilement pérméables à une quelconque pression d'un employeur peu scrupuleux.
mouais, dans la presse spécialisée, et autres, je vois énormément d'offres pour ce travail,, j'en déduis, que les postulants sont rares, donc payés cher dans ce cas, s'ils sont rares, l'employeur aura beaucoup de mal, à les remplacer, donc le médecin du travail est en position de force?
mon raisonnement est'il juste?
Oui sauf que les postulants sont rares car mal payés. J'en connais 2 qui en ont eu assez des journées à 70 h en cabinet même pour ramasser de l'argent, et ont donc décidé de consacrer leur dernières années d'excercice en passant l'examen (concours ??) nécessaire à l'excercice de cette spécialité. Le salaire doit osciller selon mes souvenirs entre 2 et 3000 euro/mois en fin de carrière.
Laurent Jumet
Hello moisse !
moisse wrote:
Mais lorsqu'on connait la rémunération d'un médecin du travail, lorsqu'on en tient un on ne le lâche pas.
c'est bien payé, un médecin du travail?
Ce qui les rend difficilement pérméables à une quelconque pression d'un employeur peu scrupuleux.
mouais, dans la presse spécialisée, et autres, je vois énormément d'offres pour ce travail,, j'en déduis, que les postulants sont rares, donc payés cher dans ce cas, s'ils sont rares, l'employeur aura beaucoup de mal, à les remplacer, donc le médecin du travail est en position de force? mon raisonnement est'il juste?
Oui sauf que les postulants sont rares car mal payés. J'en connais 2 qui en ont eu assez des journées à 70 h en cabinet même pour ramasser de l'argent, et ont donc décidé de consacrer leur dernières années d'excercice en passant l'examen (concours ??) nécessaire à l'excercice de cette spécialité.
Il faut se souvenir aussi de ce que le socle de la médecine du travail est bureaucratique et législatif. Les entreprises sont obligées de faire appel à elle en raison de réglements de plus en plus pléthoriques. C'est comme les douaniers jadis, il y avait des agences en douane florissantes mais dont l'existence ne reposait que sur la bureaucratie douanière.
-- Laurent Jumet - Point de Chat, Liège, BELGIUM KeyID: 0xCFAF704C [Restore address to laurent.jumet for e-mail reply.]
Hello moisse !
moisse <morobars@hotinvalidmail.fr> wrote:
Mais lorsqu'on connait la rémunération d'un médecin du travail,
lorsqu'on en tient un on ne le lâche pas.
c'est bien payé, un médecin du travail?
Ce qui les rend difficilement pérméables à une quelconque pression d'un
employeur peu scrupuleux.
mouais, dans la presse spécialisée, et autres, je vois énormément d'offres
pour ce travail,, j'en déduis, que les postulants sont rares, donc payés
cher dans ce cas, s'ils sont rares, l'employeur aura beaucoup de mal, à
les remplacer, donc le médecin du travail est en position de force?
mon raisonnement est'il juste?
Oui sauf que les postulants sont rares car mal payés.
J'en connais 2 qui en ont eu assez des journées à 70 h en cabinet même
pour ramasser de l'argent, et ont donc décidé de consacrer leur
dernières années d'excercice en passant l'examen (concours ??)
nécessaire à l'excercice de cette spécialité.
Il faut se souvenir aussi de ce que le socle de la médecine du travail est bureaucratique et législatif.
Les entreprises sont obligées de faire appel à elle en raison de réglements de plus en plus pléthoriques.
C'est comme les douaniers jadis, il y avait des agences en douane florissantes mais dont l'existence ne reposait que sur la bureaucratie douanière.
--
Laurent Jumet - Point de Chat, Liège, BELGIUM
KeyID: 0xCFAF704C
[Restore address to laurent.jumet for e-mail reply.]
Mais lorsqu'on connait la rémunération d'un médecin du travail, lorsqu'on en tient un on ne le lâche pas.
c'est bien payé, un médecin du travail?
Ce qui les rend difficilement pérméables à une quelconque pression d'un employeur peu scrupuleux.
mouais, dans la presse spécialisée, et autres, je vois énormément d'offres pour ce travail,, j'en déduis, que les postulants sont rares, donc payés cher dans ce cas, s'ils sont rares, l'employeur aura beaucoup de mal, à les remplacer, donc le médecin du travail est en position de force? mon raisonnement est'il juste?
Oui sauf que les postulants sont rares car mal payés. J'en connais 2 qui en ont eu assez des journées à 70 h en cabinet même pour ramasser de l'argent, et ont donc décidé de consacrer leur dernières années d'excercice en passant l'examen (concours ??) nécessaire à l'excercice de cette spécialité.
Il faut se souvenir aussi de ce que le socle de la médecine du travail est bureaucratique et législatif. Les entreprises sont obligées de faire appel à elle en raison de réglements de plus en plus pléthoriques. C'est comme les douaniers jadis, il y avait des agences en douane florissantes mais dont l'existence ne reposait que sur la bureaucratie douanière.
-- Laurent Jumet - Point de Chat, Liège, BELGIUM KeyID: 0xCFAF704C [Restore address to laurent.jumet for e-mail reply.]
moisse
Laurent Jumet a présenté l'énoncé suivant :
Hello moisse !
moisse wrote:
Mais lorsqu'on connait la rémunération d'un médecin du travail, lorsqu'on en tient un on ne le lâche pas.
c'est bien payé, un médecin du travail?
Ce qui les rend difficilement pérméables à une quelconque pression d'un employeur peu scrupuleux.
mouais, dans la presse spécialisée, et autres, je vois énormément d'offres pour ce travail,, j'en déduis, que les postulants sont rares, donc payés cher dans ce cas, s'ils sont rares, l'employeur aura beaucoup de mal, à les remplacer, donc le médecin du travail est en position de force? mon raisonnement est'il juste?
Oui sauf que les postulants sont rares car mal payés. J'en connais 2 qui en ont eu assez des journées à 70 h en cabinet même pour ramasser de l'argent, et ont donc décidé de consacrer leur dernières années d'excercice en passant l'examen (concours ??) nécessaire à l'excercice de cette spécialité.
Il faut se souvenir aussi de ce que le socle de la médecine du travail est bureaucratique et législatif.
Sans textes pas d'obligations.
Les entreprises sont obligées de faire appel à elle en raison de réglements de plus en plus pléthoriques.
Tout simplement parceque c'est un sport des DRH de chercher comment contourner les obligations et par exemple d'allonger les délais de surveillance.
Une visite normale, sans examen spécifique, revient à l'entreprise de 50 à 100 euro, même quand le salarié ne s'y rend pas. Alors passer de 6 mois à un an, ou d'un an à 2, ommetre les surveillances spéciales, représente une économie réèlle.
C'est comme les douaniers jadis, il y avait des agences en douane florissantes mais dont l'existence ne reposait que sur la bureaucratie douanière.
Je suis un partisan de la médecine du travail et des douanes. Beaucoup sont soucieux de leurs missions.
Laurent Jumet a présenté l'énoncé suivant :
Hello moisse !
moisse <morobars@hotinvalidmail.fr> wrote:
Mais lorsqu'on connait la rémunération d'un médecin du travail,
lorsqu'on en tient un on ne le lâche pas.
c'est bien payé, un médecin du travail?
Ce qui les rend difficilement pérméables à une quelconque pression d'un
employeur peu scrupuleux.
mouais, dans la presse spécialisée, et autres, je vois énormément d'offres
pour ce travail,, j'en déduis, que les postulants sont rares, donc payés
cher dans ce cas, s'ils sont rares, l'employeur aura beaucoup de mal, à
les remplacer, donc le médecin du travail est en position de force?
mon raisonnement est'il juste?
Oui sauf que les postulants sont rares car mal payés.
J'en connais 2 qui en ont eu assez des journées à 70 h en cabinet même
pour ramasser de l'argent, et ont donc décidé de consacrer leur
dernières années d'excercice en passant l'examen (concours ??)
nécessaire à l'excercice de cette spécialité.
Il faut se souvenir aussi de ce que le socle de la médecine du travail
est bureaucratique et législatif.
Sans textes pas d'obligations.
Les entreprises sont obligées de faire
appel à elle en raison de réglements de plus en plus pléthoriques.
Tout simplement parceque c'est un sport des DRH de chercher comment
contourner les obligations et par exemple d'allonger les délais de
surveillance.
Une visite normale, sans examen spécifique, revient à l'entreprise de
50 à 100 euro, même quand le salarié ne s'y rend pas.
Alors passer de 6 mois à un an, ou d'un an à 2, ommetre les
surveillances spéciales, représente une économie réèlle.
C'est comme les douaniers jadis, il y avait des agences en douane
florissantes mais dont l'existence ne reposait que sur la bureaucratie
douanière.
Je suis un partisan de la médecine du travail et des douanes.
Beaucoup sont soucieux de leurs missions.
Mais lorsqu'on connait la rémunération d'un médecin du travail, lorsqu'on en tient un on ne le lâche pas.
c'est bien payé, un médecin du travail?
Ce qui les rend difficilement pérméables à une quelconque pression d'un employeur peu scrupuleux.
mouais, dans la presse spécialisée, et autres, je vois énormément d'offres pour ce travail,, j'en déduis, que les postulants sont rares, donc payés cher dans ce cas, s'ils sont rares, l'employeur aura beaucoup de mal, à les remplacer, donc le médecin du travail est en position de force? mon raisonnement est'il juste?
Oui sauf que les postulants sont rares car mal payés. J'en connais 2 qui en ont eu assez des journées à 70 h en cabinet même pour ramasser de l'argent, et ont donc décidé de consacrer leur dernières années d'excercice en passant l'examen (concours ??) nécessaire à l'excercice de cette spécialité.
Il faut se souvenir aussi de ce que le socle de la médecine du travail est bureaucratique et législatif.
Sans textes pas d'obligations.
Les entreprises sont obligées de faire appel à elle en raison de réglements de plus en plus pléthoriques.
Tout simplement parceque c'est un sport des DRH de chercher comment contourner les obligations et par exemple d'allonger les délais de surveillance.
Une visite normale, sans examen spécifique, revient à l'entreprise de 50 à 100 euro, même quand le salarié ne s'y rend pas. Alors passer de 6 mois à un an, ou d'un an à 2, ommetre les surveillances spéciales, représente une économie réèlle.
C'est comme les douaniers jadis, il y avait des agences en douane florissantes mais dont l'existence ne reposait que sur la bureaucratie douanière.
Je suis un partisan de la médecine du travail et des douanes. Beaucoup sont soucieux de leurs missions.