Si c'était exactement 100%, ma facture s'en trouverai terriblement allégée.
Et je serai si heureux de faire une telle erreur...
Si c'est pour ta conso de maison, tu peut tenter de faire un étalonnage avec ton compteur domestique. Celui-ci peut de donner la puissance instantanée soit directement avec certains électroniques, soit par l'intervalle entre deux tops KWh ( multiplier par 60/t en minutes pour avoir des kw ). Normalement a chaque tranche de puissance le cos phi ne devrais pas trop changer, tu n'a plus qu'a faire une table de correction dans ton petit logiciel
Si c'était exactement 100%, ma facture s'en trouverai terriblement allégée.
Et je serai si heureux de faire une telle erreur...
Si c'est pour ta conso de maison, tu peut tenter de faire un étalonnage avec
ton compteur domestique. Celui-ci peut de donner la puissance instantanée
soit directement avec certains électroniques, soit par l'intervalle entre
deux tops KWh ( multiplier par 60/t en minutes pour avoir des kw ).
Normalement a chaque tranche de puissance le cos phi ne devrais pas trop
changer, tu n'a plus qu'a faire une table de correction dans ton petit
logiciel
Si c'était exactement 100%, ma facture s'en trouverai terriblement allégée.
Et je serai si heureux de faire une telle erreur...
Si c'est pour ta conso de maison, tu peut tenter de faire un étalonnage avec ton compteur domestique. Celui-ci peut de donner la puissance instantanée soit directement avec certains électroniques, soit par l'intervalle entre deux tops KWh ( multiplier par 60/t en minutes pour avoir des kw ). Normalement a chaque tranche de puissance le cos phi ne devrais pas trop changer, tu n'a plus qu'a faire une table de correction dans ton petit logiciel
Erwan David
"JP" <Jp79dsfr nospam @free.fr> écrivait :
Donc au pire, mon calcul donnerait une borne supérieure de la
consommation.
Oui, avec au pire une marge d'erreur de 100 %
le cos phi est constant dans une installation
Dans une installation plus ou moins, dans une (très) grosse installation c'est d'ailleurs souvent le soucis, EDF facturant les mauvais consommateurs, donc obligé de passer par des mesures constantes asservies aux bancs de rectification.
Pour un appareil, c'est selon, cela peut être quasiment constant ou varier en fonction de la charge. Dans le cas de ton ventilateur par exemple on peut considérer cela comme constant ( la charge de son moteur aussi d'ailleurs )
Pour les appareils destinés aux particuliers, cos phi doit être > 0.9
-- Le travail n'est pas une bonne chose. Si ça l'était, les riches l'auraient accaparé
"JP" <Jp79dsfr nospam @free.fr> écrivait :
Donc au pire, mon calcul donnerait une borne supérieure de la
consommation.
Oui, avec au pire une marge d'erreur de 100 %
le cos phi est constant dans une installation
Dans une installation plus ou moins, dans une (très) grosse installation
c'est d'ailleurs souvent le soucis, EDF facturant les mauvais consommateurs,
donc obligé de passer par des mesures constantes asservies aux bancs de
rectification.
Pour un appareil, c'est selon, cela peut être quasiment constant ou varier
en fonction de la charge. Dans le cas de ton ventilateur par exemple on peut
considérer cela comme constant ( la charge de son moteur aussi d'ailleurs )
Pour les appareils destinés aux particuliers, cos phi doit être > 0.9
--
Le travail n'est pas une bonne chose. Si ça l'était,
les riches l'auraient accaparé
Donc au pire, mon calcul donnerait une borne supérieure de la
consommation.
Oui, avec au pire une marge d'erreur de 100 %
le cos phi est constant dans une installation
Dans une installation plus ou moins, dans une (très) grosse installation c'est d'ailleurs souvent le soucis, EDF facturant les mauvais consommateurs, donc obligé de passer par des mesures constantes asservies aux bancs de rectification.
Pour un appareil, c'est selon, cela peut être quasiment constant ou varier en fonction de la charge. Dans le cas de ton ventilateur par exemple on peut considérer cela comme constant ( la charge de son moteur aussi d'ailleurs )
Pour les appareils destinés aux particuliers, cos phi doit être > 0.9
-- Le travail n'est pas une bonne chose. Si ça l'était, les riches l'auraient accaparé
Erwan David
Guillaume Tello écrivait :
Merci pour les précisions!!! Au fait quelqu'un sait pourquoi le choix d'un courant alternatif en usage? Je comprends bien qu'on le produit ainsi (turbines, eoliennes) Mais est-ce que ça occasionnerait d'autres difficultés de livrer chez l'habitant du courant continu?
Pour le réseau de transport, il y a moins de pertes quand la tension est élevée, on a donc du transport grande distance à très haute tension. Or il est nettement plus simple de changer de tension en alternatif qu'en continu.
Il y a eu des réseau de distribution en continu (par exemple le réseau d'Edison à New-York dans les années 1870), mais ils n'ont pas tenu face aux contraintes de transport.
-- Le travail n'est pas une bonne chose. Si ça l'était, les riches l'auraient accaparé
Guillaume Tello <houten.van@orange.fr> écrivait :
Merci pour les précisions!!!
Au fait quelqu'un sait pourquoi le choix d'un courant alternatif en usage?
Je comprends bien qu'on le produit ainsi (turbines, eoliennes)
Mais est-ce que ça occasionnerait d'autres difficultés de
livrer chez l'habitant du courant continu?
Pour le réseau de transport, il y a moins de pertes quand la tension est
élevée, on a donc du transport grande distance à très haute tension. Or
il est nettement plus simple de changer de tension en alternatif qu'en
continu.
Il y a eu des réseau de distribution en continu (par exemple le réseau
d'Edison à New-York dans les années 1870), mais ils n'ont pas tenu face
aux contraintes de transport.
--
Le travail n'est pas une bonne chose. Si ça l'était,
les riches l'auraient accaparé
Merci pour les précisions!!! Au fait quelqu'un sait pourquoi le choix d'un courant alternatif en usage? Je comprends bien qu'on le produit ainsi (turbines, eoliennes) Mais est-ce que ça occasionnerait d'autres difficultés de livrer chez l'habitant du courant continu?
Pour le réseau de transport, il y a moins de pertes quand la tension est élevée, on a donc du transport grande distance à très haute tension. Or il est nettement plus simple de changer de tension en alternatif qu'en continu.
Il y a eu des réseau de distribution en continu (par exemple le réseau d'Edison à New-York dans les années 1870), mais ils n'ont pas tenu face aux contraintes de transport.
-- Le travail n'est pas une bonne chose. Si ça l'était, les riches l'auraient accaparé
Erwan David
"JP" <Jp79dsfr nospam @free.fr> écrivait :
Quand a la fréquence choisie, c'est un compromis entre les grosseurs de masse magnétiques nécessaires ( inversement proportionnelles a la fréquence ) et les pertes et perturbations crées ( proportionnelles elles ) plus des habitudes pour les vitesses de rotation de moteurs obtenus d'ou les 50hz en europe ( système métrique ) et 60 hz aux Us, mais il y eu d'autres fréquences utilisées couramment avec un 16hz pour les trains et bien sur le 400hz en aéronautique ( besoins en alternateurs légers )
Le 16Hz 2/3 pour les trains dans les pays germaniques viennent d'un autre type de problème : les moteurs à courant alternatifs sans électronique de régulation ont un couple très faible à basse vitesse : or quand on démarre un train il faut du couple. DOnc le moteur à courant continu est mieux. Mais pour le transport l'alternatif est mieux. Le 16Hz2/3 permettait d'utiliser des moteurs à curant continu sous alternatif, en produisant cette fréquence de manière simple à l'aide d'un diviseur de fréquence (16Hz2/3 = 50Hz/3)
Maintenant de toute façon le courant est redressé sur un bus d'almiementation à 1500 ou 3000 V continu puis ondulé avec les caractéristiques de phase, fréquence et amplitude nécessaires pour avoir les caractéristiques mécaniques (couple/vitesse) voulues.
Vive l'électronique de puissance.
-- Le travail n'est pas une bonne chose. Si ça l'était, les riches l'auraient accaparé
"JP" <Jp79dsfr nospam @free.fr> écrivait :
Quand a la fréquence choisie, c'est un compromis entre les grosseurs de
masse magnétiques nécessaires ( inversement proportionnelles a la
fréquence ) et les pertes et perturbations crées ( proportionnelles elles )
plus des habitudes pour les vitesses de rotation de moteurs obtenus d'ou les
50hz en europe ( système métrique ) et 60 hz aux Us, mais il y eu d'autres
fréquences utilisées couramment avec un 16hz pour les trains et bien sur le
400hz en aéronautique ( besoins en alternateurs légers )
Le 16Hz 2/3 pour les trains dans les pays germaniques viennent d'un
autre type de problème :
les moteurs à courant alternatifs sans électronique de régulation ont un
couple très faible à basse vitesse : or quand on démarre un train il
faut du couple. DOnc le moteur à courant continu est mieux.
Mais pour le transport l'alternatif est mieux. Le 16Hz2/3 permettait
d'utiliser des moteurs à curant continu sous alternatif, en produisant
cette fréquence de manière simple à l'aide d'un diviseur de fréquence
(16Hz2/3 = 50Hz/3)
Maintenant de toute façon le courant est redressé sur un bus
d'almiementation à 1500 ou 3000 V continu puis ondulé avec les
caractéristiques de phase, fréquence et amplitude nécessaires pour avoir
les caractéristiques mécaniques (couple/vitesse) voulues.
Vive l'électronique de puissance.
--
Le travail n'est pas une bonne chose. Si ça l'était,
les riches l'auraient accaparé
Quand a la fréquence choisie, c'est un compromis entre les grosseurs de masse magnétiques nécessaires ( inversement proportionnelles a la fréquence ) et les pertes et perturbations crées ( proportionnelles elles ) plus des habitudes pour les vitesses de rotation de moteurs obtenus d'ou les 50hz en europe ( système métrique ) et 60 hz aux Us, mais il y eu d'autres fréquences utilisées couramment avec un 16hz pour les trains et bien sur le 400hz en aéronautique ( besoins en alternateurs légers )
Le 16Hz 2/3 pour les trains dans les pays germaniques viennent d'un autre type de problème : les moteurs à courant alternatifs sans électronique de régulation ont un couple très faible à basse vitesse : or quand on démarre un train il faut du couple. DOnc le moteur à courant continu est mieux. Mais pour le transport l'alternatif est mieux. Le 16Hz2/3 permettait d'utiliser des moteurs à curant continu sous alternatif, en produisant cette fréquence de manière simple à l'aide d'un diviseur de fréquence (16Hz2/3 = 50Hz/3)
Maintenant de toute façon le courant est redressé sur un bus d'almiementation à 1500 ou 3000 V continu puis ondulé avec les caractéristiques de phase, fréquence et amplitude nécessaires pour avoir les caractéristiques mécaniques (couple/vitesse) voulues.
Vive l'électronique de puissance.
-- Le travail n'est pas une bonne chose. Si ça l'était, les riches l'auraient accaparé
JKB
Le Sun, 10 Jul 2011 15:38:23 +0200, Erwan David écrivait :
"JP" <Jp79dsfr nospam @free.fr> écrivait :
Quand a la fréquence choisie, c'est un compromis entre les grosseurs de masse magnétiques nécessaires ( inversement proportionnelles a la fréquence ) et les pertes et perturbations crées ( proportionnelles elles ) plus des habitudes pour les vitesses de rotation de moteurs obtenus d'ou les 50hz en europe ( système métrique ) et 60 hz aux Us, mais il y eu d'autres fréquences utilisées couramment avec un 16hz pour les trains et bien sur le 400hz en aéronautique ( besoins en alternateurs légers )
Le 16Hz 2/3 pour les trains dans les pays germaniques viennent d'un autre type de problème : les moteurs à courant alternatifs sans électronique de régulation ont un couple très faible à basse vitesse : or quand on démarre un train il faut du couple. DOnc le moteur à courant continu est mieux. Mais pour le transport l'alternatif est mieux. Le 16Hz2/3 permettait d'utiliser des moteurs à curant continu sous alternatif, en produisant cette fréquence de manière simple à l'aide d'un diviseur de fréquence (16Hz2/3 = 50Hz/3)
On ne sait pas faire. Le 16,7 Hz est produit à l'aide d'alternateurs monophasés (bien plus délicats que les triphasés pour le 50 Hz). C'est pour cela qu'on arrive à 16,7 Hz (50/3) et non à 25 Hz (50/2). Le problème n'est pas tant le moteur (un moteur universel tourne tout aussi bien en continu qu'en 50 Hz) que les pertes en ligne dues à l'inductance de ligne et la synchronisation des sous-stations.
Le continu est inenvisageable lorsqu'on doit élever ou abaisser la tension avec les moyens du bord qui étaient dans les années 1930 des transformateurs de base. Mais à 50 Hz, il faut pouvoir sur un même réseau aligner les phases. Ceux qui ont déjà démarré un moteur synchrone triphasé savent ce que je veux dire ;-) À 16,7 Hz, c'est facile, on peut le faire sur une très grande distance. À 50 Hz, c'est déjà beaucoup plus délicat.
Au passage, on a même essayé des systèmes dodécaphasés pour éviter les problèmes de synchronisation des sous-stations, mais ça a toujours merdoyé...
JKB
-- Si votre demande me parvient sur carte perforée, je titiouaillerai très volontiers une réponse... => http://grincheux.de-charybde-en-scylla.fr
Le Sun, 10 Jul 2011 15:38:23 +0200,
Erwan David <erwan@rail.eu.org> écrivait :
"JP" <Jp79dsfr nospam @free.fr> écrivait :
Quand a la fréquence choisie, c'est un compromis entre les grosseurs de
masse magnétiques nécessaires ( inversement proportionnelles a la
fréquence ) et les pertes et perturbations crées ( proportionnelles elles )
plus des habitudes pour les vitesses de rotation de moteurs obtenus d'ou les
50hz en europe ( système métrique ) et 60 hz aux Us, mais il y eu d'autres
fréquences utilisées couramment avec un 16hz pour les trains et bien sur le
400hz en aéronautique ( besoins en alternateurs légers )
Le 16Hz 2/3 pour les trains dans les pays germaniques viennent d'un
autre type de problème :
les moteurs à courant alternatifs sans électronique de régulation ont un
couple très faible à basse vitesse : or quand on démarre un train il
faut du couple. DOnc le moteur à courant continu est mieux.
Mais pour le transport l'alternatif est mieux. Le 16Hz2/3 permettait
d'utiliser des moteurs à curant continu sous alternatif, en produisant
cette fréquence de manière simple à l'aide d'un diviseur de fréquence
(16Hz2/3 = 50Hz/3)
On ne sait pas faire. Le 16,7 Hz est produit à l'aide d'alternateurs
monophasés (bien plus délicats que les triphasés pour le 50 Hz).
C'est pour cela qu'on arrive à 16,7 Hz (50/3) et non à 25 Hz (50/2). Le
problème n'est pas tant le moteur (un moteur universel tourne tout
aussi bien en continu qu'en 50 Hz) que les pertes en ligne dues à
l'inductance de ligne et la synchronisation des sous-stations.
Le continu est inenvisageable lorsqu'on doit élever ou abaisser la
tension avec les moyens du bord qui étaient dans les années 1930 des
transformateurs de base. Mais à 50 Hz, il faut pouvoir sur un même
réseau aligner les phases. Ceux qui ont déjà démarré un moteur
synchrone triphasé savent ce que je veux dire ;-) À 16,7 Hz, c'est
facile, on peut le faire sur une très grande distance. À 50 Hz,
c'est déjà beaucoup plus délicat.
Au passage, on a même essayé des systèmes dodécaphasés pour éviter
les problèmes de synchronisation des sous-stations, mais ça a
toujours merdoyé...
JKB
--
Si votre demande me parvient sur carte perforée, je titiouaillerai très
volontiers une réponse...
=> http://grincheux.de-charybde-en-scylla.fr
Le Sun, 10 Jul 2011 15:38:23 +0200, Erwan David écrivait :
"JP" <Jp79dsfr nospam @free.fr> écrivait :
Quand a la fréquence choisie, c'est un compromis entre les grosseurs de masse magnétiques nécessaires ( inversement proportionnelles a la fréquence ) et les pertes et perturbations crées ( proportionnelles elles ) plus des habitudes pour les vitesses de rotation de moteurs obtenus d'ou les 50hz en europe ( système métrique ) et 60 hz aux Us, mais il y eu d'autres fréquences utilisées couramment avec un 16hz pour les trains et bien sur le 400hz en aéronautique ( besoins en alternateurs légers )
Le 16Hz 2/3 pour les trains dans les pays germaniques viennent d'un autre type de problème : les moteurs à courant alternatifs sans électronique de régulation ont un couple très faible à basse vitesse : or quand on démarre un train il faut du couple. DOnc le moteur à courant continu est mieux. Mais pour le transport l'alternatif est mieux. Le 16Hz2/3 permettait d'utiliser des moteurs à curant continu sous alternatif, en produisant cette fréquence de manière simple à l'aide d'un diviseur de fréquence (16Hz2/3 = 50Hz/3)
On ne sait pas faire. Le 16,7 Hz est produit à l'aide d'alternateurs monophasés (bien plus délicats que les triphasés pour le 50 Hz). C'est pour cela qu'on arrive à 16,7 Hz (50/3) et non à 25 Hz (50/2). Le problème n'est pas tant le moteur (un moteur universel tourne tout aussi bien en continu qu'en 50 Hz) que les pertes en ligne dues à l'inductance de ligne et la synchronisation des sous-stations.
Le continu est inenvisageable lorsqu'on doit élever ou abaisser la tension avec les moyens du bord qui étaient dans les années 1930 des transformateurs de base. Mais à 50 Hz, il faut pouvoir sur un même réseau aligner les phases. Ceux qui ont déjà démarré un moteur synchrone triphasé savent ce que je veux dire ;-) À 16,7 Hz, c'est facile, on peut le faire sur une très grande distance. À 50 Hz, c'est déjà beaucoup plus délicat.
Au passage, on a même essayé des systèmes dodécaphasés pour éviter les problèmes de synchronisation des sous-stations, mais ça a toujours merdoyé...
JKB
-- Si votre demande me parvient sur carte perforée, je titiouaillerai très volontiers une réponse... => http://grincheux.de-charybde-en-scylla.fr
Tintin
Le 09-07-2011, JP <Jp79dsfr> a écrit :
La c'est une autre paire de manche, il n'y a que les résistances qui consomment un courant sinusoïdal, les autres appareils provoquent toujours une distorsion plus ou moins importante la palme revenant biens sur au redressement/capa des alims a découpage ........donc selon la formule consacrée cela dépens
T'auras toujours une intensite sinusoidale delivree en entree, c'est l'impedance du circuit alimente qui influera sur la difference entre puissance apparente et la puissance consommee en creant un dephasage. Les harmoniques, c'est encore un autre souci sur des appareils bien specifiques qui vient parasiter le reseau.
-- Tintin
Le 09-07-2011, JP <Jp79dsfr> a écrit :
La c'est une autre paire de manche, il n'y a que les résistances qui
consomment un courant sinusoïdal, les autres appareils provoquent toujours
une distorsion plus ou moins importante la palme revenant biens sur au
redressement/capa des alims a découpage ........donc selon la formule
consacrée cela dépens
T'auras toujours une intensite sinusoidale delivree en entree, c'est
l'impedance du circuit alimente qui influera sur la difference entre
puissance apparente et la puissance consommee en creant un
dephasage. Les harmoniques, c'est encore un autre souci sur des
appareils bien specifiques qui vient parasiter le reseau.
La c'est une autre paire de manche, il n'y a que les résistances qui consomment un courant sinusoïdal, les autres appareils provoquent toujours une distorsion plus ou moins importante la palme revenant biens sur au redressement/capa des alims a découpage ........donc selon la formule consacrée cela dépens
T'auras toujours une intensite sinusoidale delivree en entree, c'est l'impedance du circuit alimente qui influera sur la difference entre puissance apparente et la puissance consommee en creant un dephasage. Les harmoniques, c'est encore un autre souci sur des appareils bien specifiques qui vient parasiter le reseau.
-- Tintin
Thierry Mella
JKB wrote:
Au passage, on a même essayé des systèmes dodécaphasés pour éviter les problèmes de synchronisation des sous-stations, mais ça a toujours merdoyé...
Si ma mémoire est bonne, le triphasé correspond à un optimum entre le nombre de conducteurs et la puissance transportée.
Me tromperais-je ? Si non, quel est le calcul le démontrant ?
JKB
Thierry
JKB wrote:
Au passage, on a même essayé des systèmes dodécaphasés pour éviter
les problèmes de synchronisation des sous-stations, mais ça a
toujours merdoyé...
Si ma mémoire est bonne, le triphasé correspond
à un optimum entre le nombre de conducteurs et la
puissance transportée.
Me tromperais-je ? Si non, quel est le calcul le démontrant ?
Au passage, on a même essayé des systèmes dodécaphasés pour éviter les problèmes de synchronisation des sous-stations, mais ça a toujours merdoyé...
Si ma mémoire est bonne, le triphasé correspond à un optimum entre le nombre de conducteurs et la puissance transportée.
Me tromperais-je ?
Non.
Si non, quel est le calcul le démontrant ?
Il faudrait que je regarde mes cours d'électrotech. Le dodécaphasé, ce n'est pas dans ce but...
JKB
-- Si votre demande me parvient sur carte perforée, je titiouaillerai très volontiers une réponse... => http://grincheux.de-charybde-en-scylla.fr
JP
T'auras toujours une intensite sinusoidale delivree en entree
Non, c'est la tension qui est delivrée en entrée, l'intensité dépens du récepteur et peut être de n'importe quelle forme. Quant a ce que la tension secteur soit purement sinusoïdale ...... c'est de la théorie puisque les impédances de lignes et les alternateurs sont la pour mettre leur grain de sel, mais généralement cela reste faible, du 3 a 5 % de dht reste classique. C'est d'ailleurs un des gros danger des courants déformants .... mais c'est une autre histoire
Les harmoniques, c'est encore un autre souci sur des
appareils bien specifiques
La dhtI n'est pas que réservée qu'a certains appareils spécifiques, a partir du moment ou tu a un élément non linéaire dans le circuit. Cela inclut par ex, les circuits magnétiques plus ou moins saturé, les lampes a décharge ....., et bien sur tout ce qui est électronique. Actuellement cela deviens un peu la plaie et la norme, mais cela a toujours existé.
c'est
l'impedance qui influera sur la difference entre puissance apparente et la puissance consommee en creant un dephasage
Pas tout a fait, ce n'est pas sont impédance mais son type. Ton récepteur aura deux composantes, une puissance ou intensité absorbée réelle active P ( en phase avec la tension ) et une puissance imaginaire ou réactive mais que j'aurai tendance a appeler oscillante Q ( déphasée de 90 ) ..... se sont le mix des deux qui vont te donner le cos phi qui n'est qu'une facilité mathématique ...... tout comme Boucherot, les complexes, fourrier et d'autres
T'auras toujours une intensite sinusoidale delivree en entree
Non, c'est la tension qui est delivrée en entrée, l'intensité dépens du
récepteur et peut être de n'importe quelle forme. Quant a ce que la tension
secteur soit purement sinusoïdale ...... c'est de la théorie puisque les
impédances de lignes et les alternateurs sont la pour mettre leur grain de
sel, mais généralement cela reste faible, du 3 a 5 % de dht reste
classique. C'est d'ailleurs un des gros danger des courants déformants ....
mais c'est une autre histoire
Les harmoniques, c'est encore un autre souci sur des
appareils bien specifiques
La dhtI n'est pas que réservée qu'a certains appareils spécifiques, a partir
du moment ou tu a un élément non linéaire dans le circuit. Cela inclut par
ex, les circuits magnétiques plus ou moins saturé, les lampes a décharge
....., et bien sur tout ce qui est électronique. Actuellement cela deviens
un peu la plaie et la norme, mais cela a toujours existé.
c'est
l'impedance qui influera sur la difference entre
puissance apparente et la puissance consommee en creant un
dephasage
Pas tout a fait, ce n'est pas sont impédance mais son type. Ton récepteur
aura deux composantes, une puissance ou intensité absorbée réelle active P
( en phase avec la tension ) et une puissance imaginaire ou réactive mais
que j'aurai tendance a appeler oscillante Q ( déphasée de 90 ) ..... se sont
le mix des deux qui vont te donner le cos phi qui n'est qu'une facilité
mathématique ...... tout comme Boucherot, les complexes, fourrier et
d'autres
T'auras toujours une intensite sinusoidale delivree en entree
Non, c'est la tension qui est delivrée en entrée, l'intensité dépens du récepteur et peut être de n'importe quelle forme. Quant a ce que la tension secteur soit purement sinusoïdale ...... c'est de la théorie puisque les impédances de lignes et les alternateurs sont la pour mettre leur grain de sel, mais généralement cela reste faible, du 3 a 5 % de dht reste classique. C'est d'ailleurs un des gros danger des courants déformants .... mais c'est une autre histoire
Les harmoniques, c'est encore un autre souci sur des
appareils bien specifiques
La dhtI n'est pas que réservée qu'a certains appareils spécifiques, a partir du moment ou tu a un élément non linéaire dans le circuit. Cela inclut par ex, les circuits magnétiques plus ou moins saturé, les lampes a décharge ....., et bien sur tout ce qui est électronique. Actuellement cela deviens un peu la plaie et la norme, mais cela a toujours existé.
c'est
l'impedance qui influera sur la difference entre puissance apparente et la puissance consommee en creant un dephasage
Pas tout a fait, ce n'est pas sont impédance mais son type. Ton récepteur aura deux composantes, une puissance ou intensité absorbée réelle active P ( en phase avec la tension ) et une puissance imaginaire ou réactive mais que j'aurai tendance a appeler oscillante Q ( déphasée de 90 ) ..... se sont le mix des deux qui vont te donner le cos phi qui n'est qu'une facilité mathématique ...... tout comme Boucherot, les complexes, fourrier et d'autres
Thierry Mella
JKB wrote:
Si ma mémoire est bonne, le triphasé correspond à un optimum entre le nombre de conducteurs et la puissance transportée.
Me tromperais-je ?
Non.
Si non, quel est le calcul le démontrant ?
Il faudrait que je regarde mes cours d'électrotech.
Cela m'intéresse beaucoup ...
JKB
Thierry
JKB wrote:
Si ma mémoire est bonne, le triphasé correspond
à un optimum entre le nombre de conducteurs et la
puissance transportée.
Me tromperais-je ?
Non.
Si non, quel est le calcul le démontrant ?
Il faudrait que je regarde mes cours d'électrotech.