Pascal Hambourg wrote:Thomas a écrit :ça scannera tout le disque au lieu de juste la partition, donc c'est
encore mieux ?
Oui, mais c'est plus long.
si la partition prend presque tout le disque, c'est pas bcp plus long,
et s'il s'agit de vérifier l'état physique du disque, autant le faire en
entier, non ?
On ne peut pas formater bas niveau un disque ATA.
ATA séries c'est SATA ? et c'est pareil ?
(à propos, c'est connu que SATA c'est plus lent que ATA ?)
"formater bas niveau" : en quoi ça consiste, et sur quel type de disque
on le fait ?
On peut juste écrire partout dessus
dd if=/dev/null of=/dev/disk0 bs48576
?
en espérant soit "remettre en forme" les secteurs défectueux,
qu'appelles tu "remettre en forme" ?
parce que s'il y a un pb physique, je ne vois pas comment il peut être
résolu par logiciel ...
soit les faire réallouer par le contrôleur intégré.
ah oui c'est ça, c'est pas le fs, c'est le contrôleur intégré
pourquoi il faut écrire pour que le contrôleur intégré fasse son boulot,
et que lire ne suffit pas ?
si on se place du point de vue du système,
le contrôleur intégré, c'est du matériel ?
du coup, si on a un disque en très mauvais état, mais que le contrôleur
intégré a fait son boulot partout,
en lisant /dev/disk0 on ne verra aucun problème ?
Modèle : ST9100824AS
ST pour segate ?
a priori j'ai qu'à me retourner vers mon fournisseur qui me dira quoi,
mais bon mon fournisseur c'est la fnac (et puis même),
donc je préfère savoir si ça sert à rien d'y retourner tout de suite, et
le pb c'est que j'ai pas de relation avec le constructeur, je sais même
pas qui c'est
(c'est quoi un code RMA ?)
ou alors, est ce que ça veut juste dire qu'il y a 1 bloc défectueux, le
fs va faire en sorte de ne plus l'utiliser
Le système de fichiers ne fait pas forcément ça automatiquement. Par
exemple sous GNU/Linux avec ext2 il faut exécuter fsck avec l'option -c
(qui utilise badblocks en sous-main).
chez moi cette option fait autre chose
Pascal Hambourg <boite-a-spam@plouf.fr.eu.org> wrote:
Thomas a écrit :
ça scannera tout le disque au lieu de juste la partition, donc c'est
encore mieux ?
Oui, mais c'est plus long.
si la partition prend presque tout le disque, c'est pas bcp plus long,
et s'il s'agit de vérifier l'état physique du disque, autant le faire en
entier, non ?
On ne peut pas formater bas niveau un disque ATA.
ATA séries c'est SATA ? et c'est pareil ?
(à propos, c'est connu que SATA c'est plus lent que ATA ?)
"formater bas niveau" : en quoi ça consiste, et sur quel type de disque
on le fait ?
On peut juste écrire partout dessus
dd if=/dev/null of=/dev/disk0 bs48576
?
en espérant soit "remettre en forme" les secteurs défectueux,
qu'appelles tu "remettre en forme" ?
parce que s'il y a un pb physique, je ne vois pas comment il peut être
résolu par logiciel ...
soit les faire réallouer par le contrôleur intégré.
ah oui c'est ça, c'est pas le fs, c'est le contrôleur intégré
pourquoi il faut écrire pour que le contrôleur intégré fasse son boulot,
et que lire ne suffit pas ?
si on se place du point de vue du système,
le contrôleur intégré, c'est du matériel ?
du coup, si on a un disque en très mauvais état, mais que le contrôleur
intégré a fait son boulot partout,
en lisant /dev/disk0 on ne verra aucun problème ?
Modèle : ST9100824AS
ST pour segate ?
a priori j'ai qu'à me retourner vers mon fournisseur qui me dira quoi,
mais bon mon fournisseur c'est la fnac (et puis même),
donc je préfère savoir si ça sert à rien d'y retourner tout de suite, et
le pb c'est que j'ai pas de relation avec le constructeur, je sais même
pas qui c'est
(c'est quoi un code RMA ?)
ou alors, est ce que ça veut juste dire qu'il y a 1 bloc défectueux, le
fs va faire en sorte de ne plus l'utiliser
Le système de fichiers ne fait pas forcément ça automatiquement. Par
exemple sous GNU/Linux avec ext2 il faut exécuter fsck avec l'option -c
(qui utilise badblocks en sous-main).
chez moi cette option fait autre chose
Pascal Hambourg wrote:Thomas a écrit :ça scannera tout le disque au lieu de juste la partition, donc c'est
encore mieux ?
Oui, mais c'est plus long.
si la partition prend presque tout le disque, c'est pas bcp plus long,
et s'il s'agit de vérifier l'état physique du disque, autant le faire en
entier, non ?
On ne peut pas formater bas niveau un disque ATA.
ATA séries c'est SATA ? et c'est pareil ?
(à propos, c'est connu que SATA c'est plus lent que ATA ?)
"formater bas niveau" : en quoi ça consiste, et sur quel type de disque
on le fait ?
On peut juste écrire partout dessus
dd if=/dev/null of=/dev/disk0 bs48576
?
en espérant soit "remettre en forme" les secteurs défectueux,
qu'appelles tu "remettre en forme" ?
parce que s'il y a un pb physique, je ne vois pas comment il peut être
résolu par logiciel ...
soit les faire réallouer par le contrôleur intégré.
ah oui c'est ça, c'est pas le fs, c'est le contrôleur intégré
pourquoi il faut écrire pour que le contrôleur intégré fasse son boulot,
et que lire ne suffit pas ?
si on se place du point de vue du système,
le contrôleur intégré, c'est du matériel ?
du coup, si on a un disque en très mauvais état, mais que le contrôleur
intégré a fait son boulot partout,
en lisant /dev/disk0 on ne verra aucun problème ?
Modèle : ST9100824AS
ST pour segate ?
a priori j'ai qu'à me retourner vers mon fournisseur qui me dira quoi,
mais bon mon fournisseur c'est la fnac (et puis même),
donc je préfère savoir si ça sert à rien d'y retourner tout de suite, et
le pb c'est que j'ai pas de relation avec le constructeur, je sais même
pas qui c'est
(c'est quoi un code RMA ?)
ou alors, est ce que ça veut juste dire qu'il y a 1 bloc défectueux, le
fs va faire en sorte de ne plus l'utiliser
Le système de fichiers ne fait pas forcément ça automatiquement. Par
exemple sous GNU/Linux avec ext2 il faut exécuter fsck avec l'option -c
(qui utilise badblocks en sous-main).
chez moi cette option fait autre chose
ah bon, alors sous linux c'est comme tu dis ?
comment font-elles le fsck de la racine au démarrage ?
je crois qu'il est fait juste avant le montage, précisément :-)
Comment font-elles ? Pas avec le fsck qui est sur la racine en tout cas.
et comment marche le mode "single user" ?
(sur mac c'est en appuyant sur pomme-s au démarrage, je suppose qu'il y
a l'équivalent sous linux)
ah, c'est possible de mettre le fs directement sur le disque, sans
partition ?
ah bon, alors sous linux c'est comme tu dis ?
comment font-elles le fsck de la racine au démarrage ?
je crois qu'il est fait juste avant le montage, précisément :-)
Comment font-elles ? Pas avec le fsck qui est sur la racine en tout cas.
et comment marche le mode "single user" ?
(sur mac c'est en appuyant sur pomme-s au démarrage, je suppose qu'il y
a l'équivalent sous linux)
ah, c'est possible de mettre le fs directement sur le disque, sans
partition ?
ah bon, alors sous linux c'est comme tu dis ?
comment font-elles le fsck de la racine au démarrage ?
je crois qu'il est fait juste avant le montage, précisément :-)
Comment font-elles ? Pas avec le fsck qui est sur la racine en tout cas.
et comment marche le mode "single user" ?
(sur mac c'est en appuyant sur pomme-s au démarrage, je suppose qu'il y
a l'équivalent sous linux)
ah, c'est possible de mettre le fs directement sur le disque, sans
partition ?
Laissez tomber, c'est la fatigue... Je crois que ce que j'ai
voulu essayer de dire, c'est qu'il ne fallait surtout pas
oublier "sync", si on utilisait "noerror". Attention avec sync,
si on utilise des pipes toutefois.
Laissez tomber, c'est la fatigue... Je crois que ce que j'ai
voulu essayer de dire, c'est qu'il ne fallait surtout pas
oublier "sync", si on utilisait "noerror". Attention avec sync,
si on utilise des pipes toutefois.
Laissez tomber, c'est la fatigue... Je crois que ce que j'ai
voulu essayer de dire, c'est qu'il ne fallait surtout pas
oublier "sync", si on utilisait "noerror". Attention avec sync,
si on utilise des pipes toutefois.
mais c'est bizarre, ça ne va qu'à 13 Mo/s, alors que j'ai souvenir que
quand je fais des copies de gros fichiers d'un disque à l'autre, il me
semble que ça va assez facilement jusqu'à 20 Mo/s
mais c'est bizarre, ça ne va qu'à 13 Mo/s, alors que j'ai souvenir que
quand je fais des copies de gros fichiers d'un disque à l'autre, il me
semble que ça va assez facilement jusqu'à 20 Mo/s
mais c'est bizarre, ça ne va qu'à 13 Mo/s, alors que j'ai souvenir que
quand je fais des copies de gros fichiers d'un disque à l'autre, il me
semble que ça va assez facilement jusqu'à 20 Mo/s
Stephane CHAZELAS a écrit :
Laissez tomber, c'est la fatigue... Je crois que ce que j'ai
voulu essayer de dire, c'est qu'il ne fallait surtout pas
oublier "sync", si on utilisait "noerror". Attention avec sync,
si on utilise des pipes toutefois.
Qu'est-ce qui peut se passer avec des pipes ?
Stephane CHAZELAS a écrit :
Laissez tomber, c'est la fatigue... Je crois que ce que j'ai
voulu essayer de dire, c'est qu'il ne fallait surtout pas
oublier "sync", si on utilisait "noerror". Attention avec sync,
si on utilise des pipes toutefois.
Qu'est-ce qui peut se passer avec des pipes ?
Stephane CHAZELAS a écrit :
Laissez tomber, c'est la fatigue... Je crois que ce que j'ai
voulu essayer de dire, c'est qu'il ne fallait surtout pas
oublier "sync", si on utilisait "noerror". Attention avec sync,
si on utilise des pipes toutefois.
Qu'est-ce qui peut se passer avec des pipes ?
In article <hjfl7j$1khe$,
Pascal Hambourg wrote:
> Thomas a écrit :
>
> > sudo dd if=/dev/disk0 of=/dev/null bs48576
> > dd: /dev/disk0: Input/output error
> > 77579+0 records in
> > 77579+0 records out
> > 81347477504 bytes transferred in 5809.144533 secs (14003349 bytes/sec)
> >
> > il indique toutes les erreurs, ou il s'arrête à la 1ere, comme cat ?
>
> Le dd de GNU a besoin de l'option conv=noerror pour continuer après une
> erreur de lecture.
merci bcp :-)
en lisant man dd j'ai vu qu'il y a aussi une option permettant de ne pas
recommencer depuis le début :-)
In article <hjfl7j$1khe$1@saria.nerim.net>,
Pascal Hambourg <boite-a-spam@plouf.fr.eu.org> wrote:
> Thomas a écrit :
>
> > sudo dd if=/dev/disk0 of=/dev/null bs48576
> > dd: /dev/disk0: Input/output error
> > 77579+0 records in
> > 77579+0 records out
> > 81347477504 bytes transferred in 5809.144533 secs (14003349 bytes/sec)
> >
> > il indique toutes les erreurs, ou il s'arrête à la 1ere, comme cat ?
>
> Le dd de GNU a besoin de l'option conv=noerror pour continuer après une
> erreur de lecture.
merci bcp :-)
en lisant man dd j'ai vu qu'il y a aussi une option permettant de ne pas
recommencer depuis le début :-)
In article <hjfl7j$1khe$,
Pascal Hambourg wrote:
> Thomas a écrit :
>
> > sudo dd if=/dev/disk0 of=/dev/null bs48576
> > dd: /dev/disk0: Input/output error
> > 77579+0 records in
> > 77579+0 records out
> > 81347477504 bytes transferred in 5809.144533 secs (14003349 bytes/sec)
> >
> > il indique toutes les erreurs, ou il s'arrête à la 1ere, comme cat ?
>
> Le dd de GNU a besoin de l'option conv=noerror pour continuer après une
> erreur de lecture.
merci bcp :-)
en lisant man dd j'ai vu qu'il y a aussi une option permettant de ne pas
recommencer depuis le début :-)
Correction : le dd de mac os x est bête, il ne comprend pas le "1M" il
faut lui dire 1048576 :)
Correction : le dd de mac os x est bête, il ne comprend pas le "1M" il
faut lui dire 1048576 :)
Correction : le dd de mac os x est bête, il ne comprend pas le "1M" il
faut lui dire 1048576 :)
Le Sat, 23 Jan 2010 19:23:02 +0100, Thomas a écrit:
> mais c'est bizarre, ça ne va qu'à 13 Mo/s, alors que j'ai souvenir que
> quand je fais des copies de gros fichiers d'un disque à l'autre, il me
> semble que ça va assez facilement jusqu'à 20 Mo/s
Oui c'est pas terrible, un disque moderne frôle les 100Mo/s soutenus en
lecture.
Le Sat, 23 Jan 2010 19:23:02 +0100, Thomas a écrit:
> mais c'est bizarre, ça ne va qu'à 13 Mo/s, alors que j'ai souvenir que
> quand je fais des copies de gros fichiers d'un disque à l'autre, il me
> semble que ça va assez facilement jusqu'à 20 Mo/s
Oui c'est pas terrible, un disque moderne frôle les 100Mo/s soutenus en
lecture.
Le Sat, 23 Jan 2010 19:23:02 +0100, Thomas a écrit:
> mais c'est bizarre, ça ne va qu'à 13 Mo/s, alors que j'ai souvenir que
> quand je fais des copies de gros fichiers d'un disque à l'autre, il me
> semble que ça va assez facilement jusqu'à 20 Mo/s
Oui c'est pas terrible, un disque moderne frôle les 100Mo/s soutenus en
lecture.
Emmanuel Florac wrote:Le Sat, 23 Jan 2010 19:23:02 +0100, Thomas a écrit:mais c'est bizarre, ça ne va qu'à 13 Mo/s, alors que j'ai souvenir que
quand je fais des copies de gros fichiers d'un disque à l'autre, il me
semble que ça va assez facilement jusqu'à 20 Mo/s
Oui c'est pas terrible, un disque moderne frôle les 100Mo/s soutenus en
lecture.
depuis 6 mois ?
ou depuis 3 ans, même sur les ordis bas de gamme les moins chers ?
parce que j'ai acheté le macbook le moins cher il y a 2 ans et demi
Emmanuel Florac <eflorac@imaginet.fr> wrote:
Le Sat, 23 Jan 2010 19:23:02 +0100, Thomas a écrit:
mais c'est bizarre, ça ne va qu'à 13 Mo/s, alors que j'ai souvenir que
quand je fais des copies de gros fichiers d'un disque à l'autre, il me
semble que ça va assez facilement jusqu'à 20 Mo/s
Oui c'est pas terrible, un disque moderne frôle les 100Mo/s soutenus en
lecture.
depuis 6 mois ?
ou depuis 3 ans, même sur les ordis bas de gamme les moins chers ?
parce que j'ai acheté le macbook le moins cher il y a 2 ans et demi
Emmanuel Florac wrote:Le Sat, 23 Jan 2010 19:23:02 +0100, Thomas a écrit:mais c'est bizarre, ça ne va qu'à 13 Mo/s, alors que j'ai souvenir que
quand je fais des copies de gros fichiers d'un disque à l'autre, il me
semble que ça va assez facilement jusqu'à 20 Mo/s
Oui c'est pas terrible, un disque moderne frôle les 100Mo/s soutenus en
lecture.
depuis 6 mois ?
ou depuis 3 ans, même sur les ordis bas de gamme les moins chers ?
parce que j'ai acheté le macbook le moins cher il y a 2 ans et demi
Thomas a écrit :
>> On ne peut pas formater bas niveau un disque ATA.
>
> ATA séries c'est SATA ? et c'est pareil ?
SATA = ATA avec transport série, par opposition avec l'ATA "classique" à
transport parallèle.
> (à propos, c'est connu que SATA c'est plus lent que ATA ?)
Pas à ma connaissance. L'interface série permet un débit supérieur à
l'interface parallèle.
> "formater bas niveau" : en quoi ça consiste, et sur quel type de disque
> on le fait ?
Ça consiste à "créer" les pistes et les secteurs sur la surface
magnétique. C'est ce que fait fdformat avec une disquette.
>> On peut juste écrire partout dessus
>
> dd if=/dev/null of=/dev/disk0 bs48576
> ?
Non, if=/dev/zero qui est une source infinie de zéros. /dev/null est un
trou noir sans fond dont rien ne sort, on ne peut l'utiliser comme source.
>> en espérant soit "remettre en forme" les secteurs défectueux,
>
> qu'appelles tu "remettre en forme" ?
> parce que s'il y a un pb physique, je ne vois pas comment il peut être
> résolu par logiciel ...
L'écriture remagnétise les bits de données sur la surface et peut donc
corriger une erreur de lecture qui était due à des bits de donnée dont
la magnétisation était trop faible ou incorrecte.
>> soit les faire réallouer par le contrôleur intégré.
>
> ah oui c'est ça, c'est pas le fs, c'est le contrôleur intégré
>
> pourquoi il faut écrire pour que le contrôleur intégré fasse son boulot,
> et que lire ne suffit pas ?
Par sécurité. Une erreur de lecture peut n'être que transitoire et les
données d'un secteur réalloué sont perdues, donc le contrôleur ne
réalloue pas automatiquement un secteur illisible. Il se contente de le
marquer "pending" (on peut le voir avec SMART). Un secteur marqué
"pending" pourra être réalloué si une lecture ultérieure réussit (et les
données lues avec succès sont recopiées au nouvel emplacement) ou bien
si on écrit dedans (car les anciennes données n'ont alors plus
d'importance).
> si on se place du point de vue du système,
> le contrôleur intégré, c'est du matériel ?
Oui.
> du coup, si on a un disque en très mauvais état, mais que le contrôleur
> intégré a fait son boulot partout,
> en lisant /dev/disk0 on ne verra aucun problème ?
Pas en trop mauvais état alors. La capacité de correction et de
réparation du contrôleur intégré a ses limites. Et notamment le stock de
secteurs de réserve est limité (visible avec SMART aussi).
> Modèle : ST9100824AS
> ST pour segate ?
Oui. <insérer ici votre moteur de recherche préféré> est ton ami.
> a priori j'ai qu'à me retourner vers mon fournisseur qui me dira quoi,
> mais bon mon fournisseur c'est la fnac (et puis même),
> donc je préfère savoir si ça sert à rien d'y retourner tout de suite, et
> le pb c'est que j'ai pas de relation avec le constructeur, je sais même
> pas qui c'est
Seagate, d'après le modèle. Mais il arrive que pour certains disques
intégrés en OEM dans les ordinateurs la garantie soit prise en charge
par le fabricant de l'ordinateur et pas du disque. Tu peux le vérifier
sur le site de Seagate avec le numéro de série du disque.
> (c'est quoi un code RMA ?)
Un code donné par le fabricant autorisant le retour en garantie.
Cf. <http://fr.wikipedia.org/wiki/Return_Material_Authorization>
>>> ou alors, est ce que ça veut juste dire qu'il y a 1 bloc défectueux, le
>>> fs va faire en sorte de ne plus l'utiliser
>>
>> Le système de fichiers ne fait pas forcément ça automatiquement. Par
>> exemple sous GNU/Linux avec ext2 il faut exécuter fsck avec l'option -c
>> (qui utilise badblocks en sous-main).
>
> chez moi cette option fait autre chose
Je suppose que le fsck de ton OS a quand même une option équivalente.
Thomas a écrit :
>> On ne peut pas formater bas niveau un disque ATA.
>
> ATA séries c'est SATA ? et c'est pareil ?
SATA = ATA avec transport série, par opposition avec l'ATA "classique" à
transport parallèle.
> (à propos, c'est connu que SATA c'est plus lent que ATA ?)
Pas à ma connaissance. L'interface série permet un débit supérieur à
l'interface parallèle.
> "formater bas niveau" : en quoi ça consiste, et sur quel type de disque
> on le fait ?
Ça consiste à "créer" les pistes et les secteurs sur la surface
magnétique. C'est ce que fait fdformat avec une disquette.
>> On peut juste écrire partout dessus
>
> dd if=/dev/null of=/dev/disk0 bs48576
> ?
Non, if=/dev/zero qui est une source infinie de zéros. /dev/null est un
trou noir sans fond dont rien ne sort, on ne peut l'utiliser comme source.
>> en espérant soit "remettre en forme" les secteurs défectueux,
>
> qu'appelles tu "remettre en forme" ?
> parce que s'il y a un pb physique, je ne vois pas comment il peut être
> résolu par logiciel ...
L'écriture remagnétise les bits de données sur la surface et peut donc
corriger une erreur de lecture qui était due à des bits de donnée dont
la magnétisation était trop faible ou incorrecte.
>> soit les faire réallouer par le contrôleur intégré.
>
> ah oui c'est ça, c'est pas le fs, c'est le contrôleur intégré
>
> pourquoi il faut écrire pour que le contrôleur intégré fasse son boulot,
> et que lire ne suffit pas ?
Par sécurité. Une erreur de lecture peut n'être que transitoire et les
données d'un secteur réalloué sont perdues, donc le contrôleur ne
réalloue pas automatiquement un secteur illisible. Il se contente de le
marquer "pending" (on peut le voir avec SMART). Un secteur marqué
"pending" pourra être réalloué si une lecture ultérieure réussit (et les
données lues avec succès sont recopiées au nouvel emplacement) ou bien
si on écrit dedans (car les anciennes données n'ont alors plus
d'importance).
> si on se place du point de vue du système,
> le contrôleur intégré, c'est du matériel ?
Oui.
> du coup, si on a un disque en très mauvais état, mais que le contrôleur
> intégré a fait son boulot partout,
> en lisant /dev/disk0 on ne verra aucun problème ?
Pas en trop mauvais état alors. La capacité de correction et de
réparation du contrôleur intégré a ses limites. Et notamment le stock de
secteurs de réserve est limité (visible avec SMART aussi).
> Modèle : ST9100824AS
> ST pour segate ?
Oui. <insérer ici votre moteur de recherche préféré> est ton ami.
> a priori j'ai qu'à me retourner vers mon fournisseur qui me dira quoi,
> mais bon mon fournisseur c'est la fnac (et puis même),
> donc je préfère savoir si ça sert à rien d'y retourner tout de suite, et
> le pb c'est que j'ai pas de relation avec le constructeur, je sais même
> pas qui c'est
Seagate, d'après le modèle. Mais il arrive que pour certains disques
intégrés en OEM dans les ordinateurs la garantie soit prise en charge
par le fabricant de l'ordinateur et pas du disque. Tu peux le vérifier
sur le site de Seagate avec le numéro de série du disque.
> (c'est quoi un code RMA ?)
Un code donné par le fabricant autorisant le retour en garantie.
Cf. <http://fr.wikipedia.org/wiki/Return_Material_Authorization>
>>> ou alors, est ce que ça veut juste dire qu'il y a 1 bloc défectueux, le
>>> fs va faire en sorte de ne plus l'utiliser
>>
>> Le système de fichiers ne fait pas forcément ça automatiquement. Par
>> exemple sous GNU/Linux avec ext2 il faut exécuter fsck avec l'option -c
>> (qui utilise badblocks en sous-main).
>
> chez moi cette option fait autre chose
Je suppose que le fsck de ton OS a quand même une option équivalente.
Thomas a écrit :
>> On ne peut pas formater bas niveau un disque ATA.
>
> ATA séries c'est SATA ? et c'est pareil ?
SATA = ATA avec transport série, par opposition avec l'ATA "classique" à
transport parallèle.
> (à propos, c'est connu que SATA c'est plus lent que ATA ?)
Pas à ma connaissance. L'interface série permet un débit supérieur à
l'interface parallèle.
> "formater bas niveau" : en quoi ça consiste, et sur quel type de disque
> on le fait ?
Ça consiste à "créer" les pistes et les secteurs sur la surface
magnétique. C'est ce que fait fdformat avec une disquette.
>> On peut juste écrire partout dessus
>
> dd if=/dev/null of=/dev/disk0 bs48576
> ?
Non, if=/dev/zero qui est une source infinie de zéros. /dev/null est un
trou noir sans fond dont rien ne sort, on ne peut l'utiliser comme source.
>> en espérant soit "remettre en forme" les secteurs défectueux,
>
> qu'appelles tu "remettre en forme" ?
> parce que s'il y a un pb physique, je ne vois pas comment il peut être
> résolu par logiciel ...
L'écriture remagnétise les bits de données sur la surface et peut donc
corriger une erreur de lecture qui était due à des bits de donnée dont
la magnétisation était trop faible ou incorrecte.
>> soit les faire réallouer par le contrôleur intégré.
>
> ah oui c'est ça, c'est pas le fs, c'est le contrôleur intégré
>
> pourquoi il faut écrire pour que le contrôleur intégré fasse son boulot,
> et que lire ne suffit pas ?
Par sécurité. Une erreur de lecture peut n'être que transitoire et les
données d'un secteur réalloué sont perdues, donc le contrôleur ne
réalloue pas automatiquement un secteur illisible. Il se contente de le
marquer "pending" (on peut le voir avec SMART). Un secteur marqué
"pending" pourra être réalloué si une lecture ultérieure réussit (et les
données lues avec succès sont recopiées au nouvel emplacement) ou bien
si on écrit dedans (car les anciennes données n'ont alors plus
d'importance).
> si on se place du point de vue du système,
> le contrôleur intégré, c'est du matériel ?
Oui.
> du coup, si on a un disque en très mauvais état, mais que le contrôleur
> intégré a fait son boulot partout,
> en lisant /dev/disk0 on ne verra aucun problème ?
Pas en trop mauvais état alors. La capacité de correction et de
réparation du contrôleur intégré a ses limites. Et notamment le stock de
secteurs de réserve est limité (visible avec SMART aussi).
> Modèle : ST9100824AS
> ST pour segate ?
Oui. <insérer ici votre moteur de recherche préféré> est ton ami.
> a priori j'ai qu'à me retourner vers mon fournisseur qui me dira quoi,
> mais bon mon fournisseur c'est la fnac (et puis même),
> donc je préfère savoir si ça sert à rien d'y retourner tout de suite, et
> le pb c'est que j'ai pas de relation avec le constructeur, je sais même
> pas qui c'est
Seagate, d'après le modèle. Mais il arrive que pour certains disques
intégrés en OEM dans les ordinateurs la garantie soit prise en charge
par le fabricant de l'ordinateur et pas du disque. Tu peux le vérifier
sur le site de Seagate avec le numéro de série du disque.
> (c'est quoi un code RMA ?)
Un code donné par le fabricant autorisant le retour en garantie.
Cf. <http://fr.wikipedia.org/wiki/Return_Material_Authorization>
>>> ou alors, est ce que ça veut juste dire qu'il y a 1 bloc défectueux, le
>>> fs va faire en sorte de ne plus l'utiliser
>>
>> Le système de fichiers ne fait pas forcément ça automatiquement. Par
>> exemple sous GNU/Linux avec ext2 il faut exécuter fsck avec l'option -c
>> (qui utilise badblocks en sous-main).
>
> chez moi cette option fait autre chose
Je suppose que le fsck de ton OS a quand même une option équivalente.