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Insultes harcelement

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francois.sadi
Que pensez vous vous de ces 2 cartes electronique insultantes et
d=E9gradandantes confectionn=E9es sur le systeme informatique d'une grande
entreprise et incriminant des collaborateurs proche du r=E9dacteur.
Depuis + de quinze jours la hierarchie est au courant et rien n'a =E9t=E9
fait, meme pas des excuses pire encore les victimes sont devenues des
coupable.

http://voeux-elyo.tequilarapido.com/greeting_fr/?uniq_id=3D18467032534773b74=
3cba22





http://voeux-elyo.tequilarapido.com/greeting_fr/?uniq_id=3D71655847247738a6c=
2aa80

10 réponses

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Jean Doe
Roland Garcia a écrit :

Il m'est arrivé d'avoir été mis en cause professionnellement, affaire
Tegam dont articles relatifs dans Pirate Mag'.

J'ai poursuivi, obtenu condamnation et crois avoir saisi que ma
direction en a été ravie.



Est-ce que vos vilains postaient via Berlin ou autre provenance exotique
(ninternet s'entend) ?

--
Jean Doe
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francois.sadi
On 19 jan, 17:19, Stephane Catteau wrote:
Roland Garcia n'était pas loin de dire :

>>> Quant à la direction elle doit non seulement réagir promptement so us
>>> peine de voir sa responsabilité pénale engagée, mais est
>>> responsable civilement dans tous les cas:

>>  Avant de réagir promptement, il faut réfléchir, et cela vaut p our tous
>> les protagonistes de cette histoire. En l'absence de preuve que
>> l'émetteur est bien qui il paraît être, il peut tout aussi bien s 'agir
>> d'injure publique, que de diffamation doublée d'une usurpation
>> d'identité.

> Il n'y a rien à prouver et donc de diffamatoire là dedans.

 Donc si demain j'envoie deux cartes de voeux insultants [la société
qui t'emploie et quelques un de ses pontes] et que je prétend m'appeler
Roland Garcia et que mon adresse e-mail est [ton adresse], tu ne verras
rien à redire lorsque la direction, pour protéger ses employés, te
demandera d'aller gentiment pointer à l'ANPE, ou fera en fait n'importe
quoi d'autre, dans le cas présent elle ne peut les protéger qu'en
intervenant contre toi.

 Intéressant comme concept.



Sauf que dans le cas présent les cartes ont été réalisées sur un p oste
informatique connecté au réseau SUEZ, par Mr CLAUDEL, avec son mot de
passe et que celui ci à reconnu les avoir écrit et envoyé ceci
verbalement et par courriel, que ce n'est pas la premiere fois qu'il a
des propos semblables et qu'un juin 2007 j'en avais informé son
supérieur en sa présence. Il s'en était excusé, en effet l'une des
jeunes femmes et mon amie.
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Goret Neuneu
Jean Doe a écrit :

Est-ce que vos vilains postaient via Berlin



Tout de suite l'ostracisme ! Ich bin ein Berliner et je m'insurge.

--
G2N
Contre les signatures, signez la pétition !
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Stephane Catteau
Roland Garcia n'était pas loin de dire :

Et comment au juste la direction va-t-elle faire pour protéger ses
employés des deux cartes de voeux prétenduement envoyées par untel ?



Relis le post initial: "Depuis + de quinze jours la hierarchie est au
courant et rien n'a été fait, meme pas des excuses pire encore les
victimes sont devenues des coupable."

Or la moindre des choses est que des victimes soient considérées comme
telles.



Je connais le message initial, et je me demande bien ce que tu as pu y
lire. A aucun moment il n'est dit que c'est la direction qui considère
les victimes comme coupable, ni précisé que la direction est informé
d'autre chose que de l'existence des cartes. Dans la mesure où la
direction n'a pas à s'excuser de l'acte commis par un employé, ma
question demeure, que devrait-elle faire au vue des informations
connues jusqu'à présent ?
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Stephane Catteau
Roland Garcia n'était pas loin de dire :

Donc si demain j'envoie deux cartes de voeux insultants [la société
qui t'emploie et quelques un de ses pontes]...



Il m'est arrivé d'avoir été mis en cause professionnellement, affaire
Tegam dont articles relatifs dans Pirate Mag'.



C'est bien la raison pour laquelle j'ai pris cet exemple.


J'ai poursuivi, obtenu condamnation et crois avoir saisi que ma
direction en a été ravie.



La question n'est pas de savoir si elle a été ravie ou non, mais ce
qu'elle a fait pour te protéger, puisque tu affirmes, je cites,
"[qu'elle] doit non seulement réagir promptement sous peine de voir sa
responsabilité pénale engagée, mais est responsable civilement dans
tous les cas [...]".
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Stephane Catteau
n'était pas loin de dire :

Sauf que dans le cas présent les cartes ont été réalisées sur un poste
informatique connecté au réseau SUEZ, par Mr CLAUDEL, avec son mot de
passe [...]



Dans la mesure où n'importe qui est en mesure de créer une carte de
voeux à l'identique de celles que tu as montré, il eu été intéressant
que tu donnes cette information dès le début. Si aujourd'hui je créeais
l'une de ces cartes en la signant de ton nom et de ton adresse e-mail,
il me semble que tu serais reconnaissant envers ta hiérarchie si elle
décidait de ne rien entreprendre contre toi. Comme quoi cette
information est importante et permet de répondre à la problématique
telle qu'elle se présente et non par hypothèse.


et que celui ci à reconnu les avoir écrit et envoyé ceci
verbalement et par courriel, que ce n'est pas la premiere fois qu'il a
des propos semblables et qu'un juin 2007 j'en avais informé son
supérieur en sa présence.



La hiérarchie est-elle informée de ces aveux ? D'ailleurs lorsque tu
dis "la hiérarchie", qu'entends-tu par là ? Dans la mesure où seul le
directeur serait inquiété dans l'affaire, au titre de représentant
moral de l'entreprise, ce n'est clairement pas à un petit chef qu'il
faut en référer ; s'il a envie d'ignorer le problème, il lui suffira
d'un "ah oui mais bon on ne m'avait pas donné toutes ces précisions,
sinon vous pensez bien...", pour échapper aux conséquences.

Cela étant dit, bien que le délit ait été commis par le biais
d'internet, il s'agit là d'une question touchant plus au droit du
travail qu'autre chose. Le mieux serait donc que tu reposes ta question
dans le forum concerné, en précisant cette fois que l'auteur est
clairement identifié et à même reconnu son geste, qui (rang) a été
prévenu, et que tu évites à la fois de citer des noms et de donner
l'adresse des cartes de voeux, étant entendu que même si c'est à titre
d'exemple, tu contribues au dénigrement des personnes concernées en
faisant cela.
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Moisse
D'une plume alerte, dans le message ,
Stephane Catteau écrit:
Roland Garcia n'était pas loin de dire :

Et comment au juste la direction va-t-elle faire pour protéger ses
employés des deux cartes de voeux prétenduement envoyées par untel ?



Relis le post initial: "Depuis + de quinze jours la hierarchie est au
courant et rien n'a été fait, meme pas des excuses pire encore les
victimes sont devenues des coupable."

Or la moindre des choses est que des victimes soient considérées
comme telles.



Je connais le message initial, et je me demande bien ce que tu as pu y
lire. A aucun moment il n'est dit que c'est la direction qui considère
les victimes comme coupable, ni précisé que la direction est informé
d'autre chose que de l'existence des cartes. Dans la mesure où la
direction n'a pas à s'excuser de l'acte commis par un employé, ma
question demeure, que devrait-elle faire au vue des informations
connues jusqu'à présent ?



La loi oblige l'employeur saisi d'une plainte pour harcèlement à
l'instruire.
Code du travail L230-2 et harcèlement L122 et différents alinéas à
suivre.

--
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Moisse
D'une plume alerte, dans le message ,
Stephane Catteau écrit:

Cela étant dit, bien que le délit ait été commis par le biais
d'internet, il s'agit là d'une question touchant plus au droit du
travail qu'autre chose. Le mieux serait donc que tu reposes ta
question dans le forum concerné,



Peu importe que l'auteur soit identifié.
Il pèse sur l'entreprise la contrainte de répondre PAR ECRIT à toute
plainte relative à une situation de harcèlement dont pourrait se
plaindre un employé.
Après l'instruction permet d'identifier les auteurs et/ou de
caractériser les faits.
Ou se résoud par la nomination en accord avec les parties d'un médiateur
en cherge d'établir une conciliation.
Mais serait bien imprudent le Chef d'entreprise qui se
désinterraisserait du problème au prétexte de son innocence personelle.


--
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Stephane Catteau
Moisse devait dire quelque chose comme ceci :

La loi oblige l'employeur saisi d'une plainte pour harcèlement à
l'instruire.



Oui, mais si je me souviens bien la loi ne précise pas comment définir
le harcèlement. Dans le cas présent il s'agit de deux cartes de voeux,
chacune visant des personnes différentes, doit-on vraiment s'attendre à
ce qu'une entreprise de plusieurs milliers d'employés considère cela
comme du harcèlement ? Non obstant, évidement, les faits passés, dont
l'on ne sait pas s'ils ont ou non été rappelés à la hiérarchie.
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Stephane Catteau
Moisse devait dire quelque chose comme ceci :

[snip]
Mais serait bien imprudent le Chef d'entreprise qui se
désinterraisserait du problème au prétexte de son innocence personelle.



D'où mes questions, "la hiérarchie" étant un terme très vague, surtout
lorsqu'il s'applique à une entreprise de cette taille. En l'occurence,
je doute que le PDG de Suez, ou même l'un de ses proches
collaborateurs, soit au courant que l'un de ses employés à écrit et
envoyés deux cartes de voeux d'un très mauvais goût.
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