PS : J'ai de plus en plus de mal à réduire ces images énormes
(20.000x15.000px) dans un format pour le net sans les transformer en
bouillie. Le seul moyen est d'effectuer une accentuation assez prononcée qui
peut paraître un peu artificielle dans ce format.
Amitiés,
albert
----------------------------------------------------------
Photographies imaginaires
http://photo.imaginaire.free.fr
----------------------------------------------------------
Vraiment, je pense que tu devrais postuler au festival de la photo de paysage de La Gacilly. Ils ont plein de sous pour les tirages ; et l'ensemble n'est pas obligatoirement aussi ringard qu'on pourrait le penser vu la situation.
Noëlle Adam
Oui, je te remercie du renseignement, je vais aller voir de plus près. Bon, les montagnes de Bretagne c'est loin de chez moi, mais quel bonheur si un jour je viens goûter de ta merveilleuse cuisine...
Amitiés, albert ---------------------------------------------------------- Photographies imaginaires http://photo.imaginaire.free.fr ----------------------------------------------------------
Bonjour Noëlle,
"YouDontNeedToKnowButItsNoëlle" a écrit :
Vraiment, je pense que tu devrais postuler au festival de la photo de
paysage de La Gacilly.
Ils ont plein de sous pour les tirages ; et l'ensemble n'est pas
obligatoirement aussi ringard qu'on pourrait le penser vu la situation.
Noëlle Adam
Oui, je te remercie du renseignement, je vais aller voir de plus près. Bon,
les montagnes de Bretagne c'est loin de chez moi, mais quel bonheur si un
jour je viens goûter de ta merveilleuse cuisine...
Amitiés,
albert
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Photographies imaginaires
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Vraiment, je pense que tu devrais postuler au festival de la photo de paysage de La Gacilly. Ils ont plein de sous pour les tirages ; et l'ensemble n'est pas obligatoirement aussi ringard qu'on pourrait le penser vu la situation.
Noëlle Adam
Oui, je te remercie du renseignement, je vais aller voir de plus près. Bon, les montagnes de Bretagne c'est loin de chez moi, mais quel bonheur si un jour je viens goûter de ta merveilleuse cuisine...
Amitiés, albert ---------------------------------------------------------- Photographies imaginaires http://photo.imaginaire.free.fr ----------------------------------------------------------
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Le 21/10/11 12:05, albert a écrit :
Oui, je te remercie du renseignement, je vais aller voir de plus près.
J'aimerais bien goûter en vrai de tes merveilleuses images.
La Gacilly c'est le fief d'Yves Rocher (la société, lui il est mort). Donc, un gros mécène. Joli village dans un très beau coin, transformé en truc touristique en été grâce à plein de boutiques d'artisanat d'art odieuses. Grands tirages en plein air, dans divers lieux (certains en salle aussi), de qualité photographique et de qualité de tirages variable. Le thème photographie de paysages est interprété de façon assez souple, mais ça manque cruellement d'innovation et d'imaginaire à mes yeux.
Noëlle Adam
Le 21/10/11 12:05, albert a écrit :
Oui, je te remercie du renseignement, je vais aller voir de plus près.
J'aimerais bien goûter en vrai de tes merveilleuses images.
La Gacilly c'est le fief d'Yves Rocher (la société, lui il est mort).
Donc, un gros mécène.
Joli village dans un très beau coin, transformé en truc touristique en
été grâce à plein de boutiques d'artisanat d'art odieuses.
Grands tirages en plein air, dans divers lieux (certains en salle
aussi), de qualité photographique et de qualité de tirages variable.
Le thème photographie de paysages est interprété de façon assez souple,
mais ça manque cruellement d'innovation et d'imaginaire à mes yeux.
Oui, je te remercie du renseignement, je vais aller voir de plus près.
J'aimerais bien goûter en vrai de tes merveilleuses images.
La Gacilly c'est le fief d'Yves Rocher (la société, lui il est mort). Donc, un gros mécène. Joli village dans un très beau coin, transformé en truc touristique en été grâce à plein de boutiques d'artisanat d'art odieuses. Grands tirages en plein air, dans divers lieux (certains en salle aussi), de qualité photographique et de qualité de tirages variable. Le thème photographie de paysages est interprété de façon assez souple, mais ça manque cruellement d'innovation et d'imaginaire à mes yeux.
Noëlle Adam
André
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle vient de nous annoncer
Le 21/10/11 12:05, albert a écrit :
Oui, je te remercie du renseignement, je vais aller voir de plus près.
J'aimerais bien goûter en vrai de tes merveilleuses images.
La Gacilly c'est le fief d'Yves Rocher (la société, lui il est mort). Donc, un gros mécène. Joli village dans un très beau coin, transformé en truc touristique en été grâce à plein de boutiques d'artisanat d'art odieuses. Grands tirages en plein air, dans divers lieux (certains en salle aussi), de qualité photographique et de qualité de tirages variable. Le thème photographie de paysages est interprété de façon assez souple, mais ça manque cruellement d'innovation et d'imaginaire à mes
Oui En 2006 http://cjoint.com/?AJvnjuYkzSu
-- Andre
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle vient de nous annoncer
Le 21/10/11 12:05, albert a écrit :
Oui, je te remercie du renseignement, je vais aller voir de plus
près.
J'aimerais bien goûter en vrai de tes merveilleuses images.
La Gacilly c'est le fief d'Yves Rocher (la société, lui il est mort).
Donc, un gros mécène.
Joli village dans un très beau coin, transformé en truc touristique en
été grâce à plein de boutiques d'artisanat d'art odieuses.
Grands tirages en plein air, dans divers lieux (certains en salle
aussi), de qualité photographique et de qualité de tirages variable.
Le thème photographie de paysages est interprété de façon assez
souple, mais ça manque cruellement d'innovation et d'imaginaire à mes
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle vient de nous annoncer
Le 21/10/11 12:05, albert a écrit :
Oui, je te remercie du renseignement, je vais aller voir de plus près.
J'aimerais bien goûter en vrai de tes merveilleuses images.
La Gacilly c'est le fief d'Yves Rocher (la société, lui il est mort). Donc, un gros mécène. Joli village dans un très beau coin, transformé en truc touristique en été grâce à plein de boutiques d'artisanat d'art odieuses. Grands tirages en plein air, dans divers lieux (certains en salle aussi), de qualité photographique et de qualité de tirages variable. Le thème photographie de paysages est interprété de façon assez souple, mais ça manque cruellement d'innovation et d'imaginaire à mes
Oui En 2006 http://cjoint.com/?AJvnjuYkzSu
-- Andre
filh
albert wrote:
Bonjour Frédéric,
"FiLH" a écrit :
>> A l'extérieur du monde le temps s'accélère, c'est le temps des nuages >> et >> du vent : >> >> http://photo.imaginaire.free.fr/panoramique/ciel-gugnecourt_02.htm >> http://photo.imaginaire.free.fr/panoramique/ciel-gugnecourt_01.htm > > AH oui... il y a comme un air artificiel qui nous fait douter.... > > FiLH
Et pourtant non ! Oser dire que ces ciels viendraient de la puissance de mon imagination serait prétentieux (:
Le doute était permis, c'est là la force de la chose...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
albert <alphoto.nospam@wanadoo.fr> wrote:
Bonjour Frédéric,
"FiLH" <filh@filh.orgie> a écrit :
>> A l'extérieur du monde le temps s'accélère, c'est le temps des nuages
>> et
>> du vent :
>>
>> http://photo.imaginaire.free.fr/panoramique/ciel-gugnecourt_02.htm
>> http://photo.imaginaire.free.fr/panoramique/ciel-gugnecourt_01.htm
>
> AH oui... il y a comme un air artificiel qui nous fait douter....
>
> FiLH
Et pourtant non ! Oser dire que ces ciels viendraient de la puissance de
mon imagination serait prétentieux (:
Le doute était permis, c'est là la force de la chose...
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
>> A l'extérieur du monde le temps s'accélère, c'est le temps des nuages >> et >> du vent : >> >> http://photo.imaginaire.free.fr/panoramique/ciel-gugnecourt_02.htm >> http://photo.imaginaire.free.fr/panoramique/ciel-gugnecourt_01.htm > > AH oui... il y a comme un air artificiel qui nous fait douter.... > > FiLH
Et pourtant non ! Oser dire que ces ciels viendraient de la puissance de mon imagination serait prétentieux (:
Le doute était permis, c'est là la force de la chose...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Octave
Le 21/10/2011 09:07, albert a écrit :
Je ne comprends toujours pas l'intérêt des montages dans ces images.
Il ne s'agit pas de montage mais d'assemblage.
:)
J'utilise déjà une focale courte (40mm) pour chaque vue. Pas trop courte afin de ne pas avoir de perspective trop fuyante et de déformation à l'intérieur de chaque photographie. L'idéal serait une focale de 50mm, mais pour couvrir un tel champ il faudrait beaucoup trop de vues à assembler et je suis restreint dans le délai des prises de vues ceci afin d'éviter des décalages trop importants dans la juxtaposition des photos ( les nuages courent vite...)
Pour couvrir un tel champ il me faudrait un fish-eye conséquent, je ne sais pas, 10mm, 8mm. Et là, la perspective serait vraiment fuyante... Voilà en gros les raisons de ces assemblages.
Pour la déformation, les logiciels doivent permettre de la faire disparaître
Si, il y a une autre raison, et qui rend cette pratique réjouissante, le fait de ne pas avoir tout directement sous les yeux, d'être obligé d'anticiper et d'imaginer le résultat est un très bon entrainement pour ouvrir le regard sur ce que l'on ne peut pas voir.
C'est toujours un peu comme ça la photo. On ne voit jamais tout, même dans le viseur.
Le spectateur se trouve devant une simple image sans aucun moyen de voir ta façon de faire à part une définition inhabituelle (la déformation n'entre plus en compte, elle ne se voit plus). Il va donc penser que c'est du moyen format ou la chambre. Ce que je veux dire, c'est que tu te compliques volontairement le travail. Il y a certainement une raison (passer du temps à contempler le sujet de la photo, sur place, ou en mémoire de photos que tu as faites, qui contenaient cette division de l'espace mais que l'on voyait, ou autre chose... ?!), et que si ce n'est pas visible pour le spectateur, ça n'existe pas. Ton image est là, belle ou très belle, mais elle est seule, elle ne contient pas d'elle-même ton temps passé à anticiper, à ouvrir le regard. Et la division de l'espace, est-ce important pour toi ? J'imagine que oui, et alors, j'aimerais en tant que spectateur que tu me fasses partager cela.
J'écris en pensant à tes photos précédentes, où le découpage était visible et où l'on reconstruisait avec son regard, son cerveau, la démarche que tu avais eu. Et cela était souvent riche.
-- www.octav.fr
Le 21/10/2011 09:07, albert a écrit :
Je ne comprends toujours pas l'intérêt des montages dans ces images.
Il ne s'agit pas de montage mais d'assemblage.
:)
J'utilise déjà une focale courte (40mm) pour chaque vue. Pas trop courte
afin de ne pas avoir de perspective trop fuyante et de déformation à
l'intérieur de chaque photographie. L'idéal serait une focale de 50mm, mais
pour couvrir un tel champ il faudrait beaucoup trop de vues à assembler et
je suis restreint dans le délai des prises de vues ceci afin d'éviter des
décalages trop importants dans la juxtaposition des photos ( les nuages
courent vite...)
Pour couvrir un tel champ il me faudrait un fish-eye conséquent, je ne
sais pas, 10mm, 8mm. Et là, la perspective serait vraiment fuyante... Voilà
en gros les raisons de ces assemblages.
Pour la déformation, les logiciels doivent permettre de la faire disparaître
Si, il y a une autre raison, et qui rend cette pratique réjouissante, le
fait de ne pas avoir tout directement sous les yeux, d'être obligé
d'anticiper et d'imaginer le résultat est un très bon entrainement pour
ouvrir le regard sur ce que l'on ne peut pas voir.
C'est toujours un peu comme ça la photo. On ne voit jamais tout, même
dans le viseur.
Le spectateur se trouve devant une simple image sans aucun moyen de voir
ta façon de faire à part une définition inhabituelle (la déformation
n'entre plus en compte, elle ne se voit plus). Il va donc penser que
c'est du moyen format ou la chambre.
Ce que je veux dire, c'est que tu te compliques volontairement le
travail. Il y a certainement une raison (passer du temps à contempler le
sujet de la photo, sur place, ou en mémoire de photos que tu as faites,
qui contenaient cette division de l'espace mais que l'on voyait, ou
autre chose... ?!), et que si ce n'est pas visible pour le spectateur,
ça n'existe pas. Ton image est là, belle ou très belle, mais elle est
seule, elle ne contient pas d'elle-même ton temps passé à anticiper, à
ouvrir le regard. Et la division de l'espace, est-ce important pour toi
? J'imagine que oui, et alors, j'aimerais en tant que spectateur que tu
me fasses partager cela.
J'écris en pensant à tes photos précédentes, où le découpage était
visible et où l'on reconstruisait avec son regard, son cerveau, la
démarche que tu avais eu. Et cela était souvent riche.
Je ne comprends toujours pas l'intérêt des montages dans ces images.
Il ne s'agit pas de montage mais d'assemblage.
:)
J'utilise déjà une focale courte (40mm) pour chaque vue. Pas trop courte afin de ne pas avoir de perspective trop fuyante et de déformation à l'intérieur de chaque photographie. L'idéal serait une focale de 50mm, mais pour couvrir un tel champ il faudrait beaucoup trop de vues à assembler et je suis restreint dans le délai des prises de vues ceci afin d'éviter des décalages trop importants dans la juxtaposition des photos ( les nuages courent vite...)
Pour couvrir un tel champ il me faudrait un fish-eye conséquent, je ne sais pas, 10mm, 8mm. Et là, la perspective serait vraiment fuyante... Voilà en gros les raisons de ces assemblages.
Pour la déformation, les logiciels doivent permettre de la faire disparaître
Si, il y a une autre raison, et qui rend cette pratique réjouissante, le fait de ne pas avoir tout directement sous les yeux, d'être obligé d'anticiper et d'imaginer le résultat est un très bon entrainement pour ouvrir le regard sur ce que l'on ne peut pas voir.
C'est toujours un peu comme ça la photo. On ne voit jamais tout, même dans le viseur.
Le spectateur se trouve devant une simple image sans aucun moyen de voir ta façon de faire à part une définition inhabituelle (la déformation n'entre plus en compte, elle ne se voit plus). Il va donc penser que c'est du moyen format ou la chambre. Ce que je veux dire, c'est que tu te compliques volontairement le travail. Il y a certainement une raison (passer du temps à contempler le sujet de la photo, sur place, ou en mémoire de photos que tu as faites, qui contenaient cette division de l'espace mais que l'on voyait, ou autre chose... ?!), et que si ce n'est pas visible pour le spectateur, ça n'existe pas. Ton image est là, belle ou très belle, mais elle est seule, elle ne contient pas d'elle-même ton temps passé à anticiper, à ouvrir le regard. Et la division de l'espace, est-ce important pour toi ? J'imagine que oui, et alors, j'aimerais en tant que spectateur que tu me fasses partager cela.
J'écris en pensant à tes photos précédentes, où le découpage était visible et où l'on reconstruisait avec son regard, son cerveau, la démarche que tu avais eu. Et cela était souvent riche.
-- www.octav.fr
albert
Boujour Octave,
C'est intéressant de discuter en ta compagnie, tu es curieux des autres de telle sorte qu'ils le soient de toi et aient plaisir à te répondre.
"Octave" a écrit :
Ce que je veux dire, c'est que tu te compliques volontairement le travail. Il y a certainement une raison
En fait, même si mon commentaire n'est pas très juste techniquement, il est explicite : Je dirais que si j'avais en main un appareil qui me permette de faire une photographie avec à la fois un rendu perspectif correspondant à celui d'une focale de 50mm et l'ouverture d'angle d'une focale de 8mm, ce serait l'idéal. De plus il faudrait qu'avec cette focale de 50mm il rende une image nette partout, du premier plan à mes pied jusqu'à l'horizon, sans être obligé de fermer le diaphragme à fond et en gardant une vitesse assez élevée. Tout cela ne peut se faire que par l'assemblage de photos réalisées au 50mm et en faisant la mise au point pour chacune.
Malheureusement cet appareil idéal n'a pas encore été inventé et je suis, c'est sûr, obligé de me faire chier et me compliquer la vie pour obtenir ce que je veux. Paradoxalement, ces contraintes apportent une compensation, elles m'obligent à être plus concentré, à regarder plus attentivement l'ensemble des choses que je photographie, à être beaucoup plus exigeant sur la recherche du point de vue, le point de vue parfait étant pour moi dans la corrélation entre le photographe et son sujet, à la fois dans l'espace et dans le temps. On apprend ainsi à remarquer beaucoup de facteurs extérieurs au sujet mais qui lui "collent" sur la durée. Tu vois, la-dessus on se retrouve, et je suis sûr que la plupart des photographes, si ils y réfléchissaient, auraient le même sentiment.
Ton image est là, belle ou très belle, mais elle est seule, elle ne contient pas d'elle-même ton temps passé à anticiper, à ouvrir le regard. Et la division de l'espace, est-ce important pour toi ? J'imagine que oui, et alors, j'aimerais en tant que spectateur que tu me fasses partager cela.
Non, ce n'est pas le but. Comme tu viens de le lire plus haut, je m'en passerais volontier. Mais je comprends ce que tu veux dire. Tu aimes te plonger dans l'expérimentation, en fait c'est l'expérimentation elle-m'aime que tu photographies. De mon coté seul le résultat compte, c'est à dire photographier ce que je vois et ce que j'imagine.
Amitiés, albert ---------------------------------------------------------- Photographies imaginaires http://photo.imaginaire.free.fr ----------------------------------------------------------
Boujour Octave,
C'est intéressant de discuter en ta compagnie, tu es curieux des autres
de telle sorte qu'ils le soient de toi et aient plaisir à te répondre.
"Octave" <octavpas-spam@octav.fr> a écrit :
Ce que je veux dire, c'est que tu te compliques volontairement le travail.
Il y a certainement une raison
En fait, même si mon commentaire n'est pas très juste techniquement, il
est explicite : Je dirais que si j'avais en main un appareil qui me permette
de faire une photographie avec à la fois un rendu perspectif correspondant à
celui d'une focale de 50mm et l'ouverture d'angle d'une focale de 8mm, ce
serait l'idéal. De plus il faudrait qu'avec cette focale de 50mm il rende
une image nette partout, du premier plan à mes pied jusqu'à l'horizon, sans
être obligé de fermer le diaphragme à fond et en gardant une vitesse assez
élevée. Tout cela ne peut se faire que par l'assemblage de photos réalisées
au 50mm et en faisant la mise au point pour chacune.
Malheureusement cet appareil idéal n'a pas encore été inventé et je
suis, c'est sûr, obligé de me faire chier et me compliquer la vie pour
obtenir ce que je veux. Paradoxalement, ces contraintes apportent une
compensation, elles m'obligent à être plus concentré, à regarder plus
attentivement l'ensemble des choses que je photographie, à être beaucoup
plus exigeant sur la recherche du point de vue, le point de vue parfait
étant pour moi dans la corrélation entre le photographe et son sujet, à la
fois dans l'espace et dans le temps. On apprend ainsi à remarquer beaucoup
de facteurs extérieurs au sujet mais qui lui "collent" sur la durée. Tu
vois, la-dessus on se retrouve, et je suis sûr que la plupart des
photographes, si ils y réfléchissaient, auraient le même sentiment.
Ton image est là, belle ou très belle, mais elle est seule,
elle ne contient pas d'elle-même ton temps passé à anticiper, à ouvrir le
regard. Et la division de l'espace, est-ce important pour toi ? J'imagine
que oui, et alors, j'aimerais en tant que spectateur que tu me fasses
partager cela.
Non, ce n'est pas le but. Comme tu viens de le lire plus haut, je m'en
passerais volontier. Mais je comprends ce que tu veux dire. Tu aimes te
plonger dans l'expérimentation, en fait c'est l'expérimentation elle-m'aime
que tu photographies. De mon coté seul le résultat compte, c'est à dire
photographier ce que je vois et ce que j'imagine.
Amitiés,
albert
----------------------------------------------------------
Photographies imaginaires
http://photo.imaginaire.free.fr
----------------------------------------------------------
C'est intéressant de discuter en ta compagnie, tu es curieux des autres de telle sorte qu'ils le soient de toi et aient plaisir à te répondre.
"Octave" a écrit :
Ce que je veux dire, c'est que tu te compliques volontairement le travail. Il y a certainement une raison
En fait, même si mon commentaire n'est pas très juste techniquement, il est explicite : Je dirais que si j'avais en main un appareil qui me permette de faire une photographie avec à la fois un rendu perspectif correspondant à celui d'une focale de 50mm et l'ouverture d'angle d'une focale de 8mm, ce serait l'idéal. De plus il faudrait qu'avec cette focale de 50mm il rende une image nette partout, du premier plan à mes pied jusqu'à l'horizon, sans être obligé de fermer le diaphragme à fond et en gardant une vitesse assez élevée. Tout cela ne peut se faire que par l'assemblage de photos réalisées au 50mm et en faisant la mise au point pour chacune.
Malheureusement cet appareil idéal n'a pas encore été inventé et je suis, c'est sûr, obligé de me faire chier et me compliquer la vie pour obtenir ce que je veux. Paradoxalement, ces contraintes apportent une compensation, elles m'obligent à être plus concentré, à regarder plus attentivement l'ensemble des choses que je photographie, à être beaucoup plus exigeant sur la recherche du point de vue, le point de vue parfait étant pour moi dans la corrélation entre le photographe et son sujet, à la fois dans l'espace et dans le temps. On apprend ainsi à remarquer beaucoup de facteurs extérieurs au sujet mais qui lui "collent" sur la durée. Tu vois, la-dessus on se retrouve, et je suis sûr que la plupart des photographes, si ils y réfléchissaient, auraient le même sentiment.
Ton image est là, belle ou très belle, mais elle est seule, elle ne contient pas d'elle-même ton temps passé à anticiper, à ouvrir le regard. Et la division de l'espace, est-ce important pour toi ? J'imagine que oui, et alors, j'aimerais en tant que spectateur que tu me fasses partager cela.
Non, ce n'est pas le but. Comme tu viens de le lire plus haut, je m'en passerais volontier. Mais je comprends ce que tu veux dire. Tu aimes te plonger dans l'expérimentation, en fait c'est l'expérimentation elle-m'aime que tu photographies. De mon coté seul le résultat compte, c'est à dire photographier ce que je vois et ce que j'imagine.
Amitiés, albert ---------------------------------------------------------- Photographies imaginaires http://photo.imaginaire.free.fr ----------------------------------------------------------
filh
albert wrote:
Paradoxalement, ces contraintes apportent une compensation, elles m'obligent à être plus concentré, à regarder plus attentivement l'ensemble des choses que je photographie, à être beaucoup plus exigeant sur la recherche du point de vue, le point de vue parfait étant pour moi dans la corrélation entre le photographe et son sujet, à la fois dans l'espace et dans le temps. On apprend ainsi à remarquer beaucoup de facteurs extérieurs au sujet mais qui lui "collent" sur la durée. Tu vois, la-dessus on se retrouve, et je suis sûr que la plupart des photographes, si ils y réfléchissaient, auraient le même sentiment.
Je ne sais pas, j'aime la désinvolture dans la prise de vue, j'aimerais que mes photos soient prises, en passant, sans que cela ait d'importance... sans y penser...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
albert <alphoto.nospam@wanadoo.fr> wrote:
Paradoxalement, ces contraintes apportent une
compensation, elles m'obligent à être plus concentré, à regarder plus
attentivement l'ensemble des choses que je photographie, à être beaucoup
plus exigeant sur la recherche du point de vue, le point de vue parfait
étant pour moi dans la corrélation entre le photographe et son sujet, à la
fois dans l'espace et dans le temps. On apprend ainsi à remarquer beaucoup
de facteurs extérieurs au sujet mais qui lui "collent" sur la durée. Tu
vois, la-dessus on se retrouve, et je suis sûr que la plupart des
photographes, si ils y réfléchissaient, auraient le même sentiment.
Je ne sais pas, j'aime la désinvolture dans la prise de vue, j'aimerais
que mes photos soient prises, en passant, sans que cela ait
d'importance... sans y penser...
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Paradoxalement, ces contraintes apportent une compensation, elles m'obligent à être plus concentré, à regarder plus attentivement l'ensemble des choses que je photographie, à être beaucoup plus exigeant sur la recherche du point de vue, le point de vue parfait étant pour moi dans la corrélation entre le photographe et son sujet, à la fois dans l'espace et dans le temps. On apprend ainsi à remarquer beaucoup de facteurs extérieurs au sujet mais qui lui "collent" sur la durée. Tu vois, la-dessus on se retrouve, et je suis sûr que la plupart des photographes, si ils y réfléchissaient, auraient le même sentiment.
Je ne sais pas, j'aime la désinvolture dans la prise de vue, j'aimerais que mes photos soient prises, en passant, sans que cela ait d'importance... sans y penser...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
André
FiLH vient de nous annoncer
Je ne sais pas, j'aime la désinvolture dans la prise de vue, j'aimerais que mes photos soient prises, en passant, sans que cela ait d'importance... sans y penser...
FiLH
Tu as ton "déconophobe" en position max là !!
-- Andre
FiLH vient de nous annoncer
Je ne sais pas, j'aime la désinvolture dans la prise de vue,
j'aimerais que mes photos soient prises, en passant, sans que cela ait
d'importance... sans y penser...
Je ne sais pas, j'aime la désinvolture dans la prise de vue, j'aimerais que mes photos soient prises, en passant, sans que cela ait d'importance... sans y penser...
FiLH
Tu as ton "déconophobe" en position max là !!
-- Andre
filh
André wrote:
FiLH vient de nous annoncer > > Je ne sais pas, j'aime la désinvolture dans la prise de vue, > j'aimerais que mes photos soient prises, en passant, sans que cela ait > d'importance... sans y penser... > > FiLH
Tu as ton "déconophobe" en position max là !!
Là je discute avec des gens qui ont envie de partager leur expérience de la photo. pas avec des petits cons qui trollent...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
André <machin@truc.fr> wrote:
FiLH vient de nous annoncer
>
> Je ne sais pas, j'aime la désinvolture dans la prise de vue,
> j'aimerais que mes photos soient prises, en passant, sans que cela ait
> d'importance... sans y penser...
>
> FiLH
Tu as ton "déconophobe" en position max là !!
Là je discute avec des gens qui ont envie de partager leur expérience de
la photo. pas avec des petits cons qui trollent...
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
FiLH vient de nous annoncer > > Je ne sais pas, j'aime la désinvolture dans la prise de vue, > j'aimerais que mes photos soient prises, en passant, sans que cela ait > d'importance... sans y penser... > > FiLH
Tu as ton "déconophobe" en position max là !!
Là je discute avec des gens qui ont envie de partager leur expérience de la photo. pas avec des petits cons qui trollent...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
albert
"FiLH" a écrit :
Je ne sais pas, j'aime la désinvolture dans la prise de vue, j'aimerais que mes photos soient prises, en passant, sans que cela ait d'importance... sans y penser...
C'est aussi mon sentiment. Certains évènements qui ne font que passer ont beaucoup d'importance dans l'acte de photographier. Il y a quelques jours en arrivant au fond de la forêt, j'entre dans un chemin étroit mais dégagé et lumineux. A 20 mètres de là, une biche surprise fait comme si elle ne m'avait pas vu. Moi de même, je continue un peu et tourne sur la gauche vers la lumière d'une souche. C'est la photographie que j'ai montré hier. Plus tard j'avais encore le regard de la biche dans mon dos. Et même le lendemain.
Amitiés, albert ---------------------------------------------------------- Photographies imaginaires http://photo.imaginaire.free.fr ----------------------------------------------------------
"FiLH" <filh@filh.orgie> a écrit :
Je ne sais pas, j'aime la désinvolture dans la prise de vue, j'aimerais
que mes photos soient prises, en passant, sans que cela ait
d'importance... sans y penser...
C'est aussi mon sentiment. Certains évènements qui ne font que
passer ont beaucoup d'importance dans l'acte de photographier. Il y a
quelques jours en arrivant au fond de la forêt, j'entre dans un chemin
étroit mais dégagé et lumineux. A 20 mètres de là, une biche surprise fait
comme si elle ne m'avait pas vu. Moi de même, je continue un peu et tourne
sur la gauche vers la lumière d'une souche. C'est la photographie que j'ai
montré hier. Plus tard j'avais encore le regard de la biche dans mon dos. Et
même le lendemain.
Amitiés,
albert
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Photographies imaginaires
http://photo.imaginaire.free.fr
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Je ne sais pas, j'aime la désinvolture dans la prise de vue, j'aimerais que mes photos soient prises, en passant, sans que cela ait d'importance... sans y penser...
C'est aussi mon sentiment. Certains évènements qui ne font que passer ont beaucoup d'importance dans l'acte de photographier. Il y a quelques jours en arrivant au fond de la forêt, j'entre dans un chemin étroit mais dégagé et lumineux. A 20 mètres de là, une biche surprise fait comme si elle ne m'avait pas vu. Moi de même, je continue un peu et tourne sur la gauche vers la lumière d'une souche. C'est la photographie que j'ai montré hier. Plus tard j'avais encore le regard de la biche dans mon dos. Et même le lendemain.
Amitiés, albert ---------------------------------------------------------- Photographies imaginaires http://photo.imaginaire.free.fr ----------------------------------------------------------