PS : J'ai de plus en plus de mal à réduire ces images énormes
(20.000x15.000px) dans un format pour le net sans les transformer en
bouillie. Le seul moyen est d'effectuer une accentuation assez prononcée qui
peut paraître un peu artificielle dans ce format.
Amitiés,
albert
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Photographies imaginaires
http://photo.imaginaire.free.fr
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> Je ne sais pas, j'aime la désinvolture dans la prise de vue, j'aimerais > que mes photos soient prises, en passant, sans que cela ait > d'importance... sans y penser...
C'est aussi mon sentiment. Certains évènements qui ne font que passer ont beaucoup d'importance dans l'acte de photographier. Il y a quelques jours en arrivant au fond de la forêt, j'entre dans un chemin étroit mais dégagé et lumineux. A 20 mètres de là, une biche surprise fait comme si elle ne m'avait pas vu. Moi de même, je continue un peu et tourne sur la gauche vers la lumière d'une souche. C'est la photographie que j'ai montré hier. Plus tard j'avais encore le regard de la biche dans mon dos. Et même le lendemain.
Tu es un grand sentimental.... et nous chassons tous nos fantômes...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
albert <alphoto.nospam@wanadoo.fr> wrote:
"FiLH" <filh@filh.orgie> a écrit :
> Je ne sais pas, j'aime la désinvolture dans la prise de vue, j'aimerais
> que mes photos soient prises, en passant, sans que cela ait
> d'importance... sans y penser...
C'est aussi mon sentiment. Certains évènements qui ne font que
passer ont beaucoup d'importance dans l'acte de photographier. Il y a
quelques jours en arrivant au fond de la forêt, j'entre dans un chemin
étroit mais dégagé et lumineux. A 20 mètres de là, une biche surprise fait
comme si elle ne m'avait pas vu. Moi de même, je continue un peu et tourne
sur la gauche vers la lumière d'une souche. C'est la photographie que j'ai
montré hier. Plus tard j'avais encore le regard de la biche dans mon dos. Et
même le lendemain.
Tu es un grand sentimental.... et nous chassons tous nos fantômes...
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
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> Je ne sais pas, j'aime la désinvolture dans la prise de vue, j'aimerais > que mes photos soient prises, en passant, sans que cela ait > d'importance... sans y penser...
C'est aussi mon sentiment. Certains évènements qui ne font que passer ont beaucoup d'importance dans l'acte de photographier. Il y a quelques jours en arrivant au fond de la forêt, j'entre dans un chemin étroit mais dégagé et lumineux. A 20 mètres de là, une biche surprise fait comme si elle ne m'avait pas vu. Moi de même, je continue un peu et tourne sur la gauche vers la lumière d'une souche. C'est la photographie que j'ai montré hier. Plus tard j'avais encore le regard de la biche dans mon dos. Et même le lendemain.
Tu es un grand sentimental.... et nous chassons tous nos fantômes...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
albert
"FiLH" a écrit dans le message
Tu es un grand sentimental.... et nous chassons tous nos fantômes...
FiLH
Ah, c'est sûr, si cela avait été un putain de vieux sanglier, comme cela m'est déjà arrivé, j'aurais eu vachement la trouille et je ne l'aurais pas laissé dans mon dos, même le lendemain. Des fois c'est surprenant. Dans le coin de la Chatelaine ou j'allais très souvent faire des prises de vue, on me connaissait à force. C'est une réserve où viennent se planquer les chamois, à l'abri des chasseurs. Et pas que des chamois, des renards, des blaireaux. Un jour j'emmène un copain, comme c'était un nouveau, un chamois se pointe et nous suit en hauteur, parallèlement au chemin à 15 mètres, l'air de dire : "Ici c'est chez moi !". Impressionnant.
Amitiés, albert ---------------------------------------------------------- Photographies imaginaires http://photo.imaginaire.free.fr ----------------------------------------------------------
"FiLH" <filh@filh.orgie> a écrit dans le message
Tu es un grand sentimental.... et nous chassons tous nos fantômes...
FiLH
Ah, c'est sûr, si cela avait été un putain de vieux sanglier, comme cela
m'est déjà arrivé, j'aurais eu vachement la trouille et je ne l'aurais pas
laissé dans mon dos, même le lendemain. Des fois c'est surprenant. Dans le
coin de la Chatelaine ou j'allais très souvent faire des prises de vue, on
me connaissait à force. C'est une réserve où viennent se planquer les
chamois, à l'abri des chasseurs. Et pas que des chamois, des renards, des
blaireaux. Un jour j'emmène un copain, comme c'était un nouveau, un chamois
se pointe et nous suit en hauteur, parallèlement au chemin à 15 mètres,
l'air de dire : "Ici c'est chez moi !". Impressionnant.
Amitiés,
albert
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Photographies imaginaires
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FiLH
Ah, c'est sûr, si cela avait été un putain de vieux sanglier, comme cela m'est déjà arrivé, j'aurais eu vachement la trouille et je ne l'aurais pas laissé dans mon dos, même le lendemain. Des fois c'est surprenant. Dans le coin de la Chatelaine ou j'allais très souvent faire des prises de vue, on me connaissait à force. C'est une réserve où viennent se planquer les chamois, à l'abri des chasseurs. Et pas que des chamois, des renards, des blaireaux. Un jour j'emmène un copain, comme c'était un nouveau, un chamois se pointe et nous suit en hauteur, parallèlement au chemin à 15 mètres, l'air de dire : "Ici c'est chez moi !". Impressionnant.
Amitiés, albert ---------------------------------------------------------- Photographies imaginaires http://photo.imaginaire.free.fr ----------------------------------------------------------
filh
albert wrote:
"FiLH" a écrit dans le message
> Tu es un grand sentimental.... et nous chassons tous nos fantômes... > > FiLH
Ah, c'est sûr, si cela avait été un putain de vieux sanglier, comme cela m'est déjà arrivé, j'aurais eu vachement la trouille et je ne l'aurais pas laissé dans mon dos, même le lendemain. Des fois c'est surprenant. Dans le coin de la Chatelaine ou j'allais très souvent faire des prises de vue, on me connaissait à force. C'est une réserve où viennent se planquer les chamois, à l'abri des chasseurs. Et pas que des chamois, des renards, des blaireaux. Un jour j'emmène un copain, comme c'était un nouveau, un chamois se pointe et nous suit en hauteur, parallèlement au chemin à 15 mètres, l'air de dire : "Ici c'est chez moi !". Impressionnant.
TU dois leur manquer...
Et tu n'as jamais eu envie de les photographier ? En lisière de tes photos, comme les chats de Bonnard....
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
albert <alphoto.nospam@wanadoo.fr> wrote:
"FiLH" <filh@filh.orgie> a écrit dans le message
> Tu es un grand sentimental.... et nous chassons tous nos fantômes...
>
> FiLH
Ah, c'est sûr, si cela avait été un putain de vieux sanglier, comme cela
m'est déjà arrivé, j'aurais eu vachement la trouille et je ne l'aurais pas
laissé dans mon dos, même le lendemain. Des fois c'est surprenant. Dans le
coin de la Chatelaine ou j'allais très souvent faire des prises de vue, on
me connaissait à force. C'est une réserve où viennent se planquer les
chamois, à l'abri des chasseurs. Et pas que des chamois, des renards, des
blaireaux. Un jour j'emmène un copain, comme c'était un nouveau, un chamois
se pointe et nous suit en hauteur, parallèlement au chemin à 15 mètres,
l'air de dire : "Ici c'est chez moi !". Impressionnant.
TU dois leur manquer...
Et tu n'as jamais eu envie de les photographier ? En lisière de tes
photos, comme les chats de Bonnard....
FiLH
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Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
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> Tu es un grand sentimental.... et nous chassons tous nos fantômes... > > FiLH
Ah, c'est sûr, si cela avait été un putain de vieux sanglier, comme cela m'est déjà arrivé, j'aurais eu vachement la trouille et je ne l'aurais pas laissé dans mon dos, même le lendemain. Des fois c'est surprenant. Dans le coin de la Chatelaine ou j'allais très souvent faire des prises de vue, on me connaissait à force. C'est une réserve où viennent se planquer les chamois, à l'abri des chasseurs. Et pas que des chamois, des renards, des blaireaux. Un jour j'emmène un copain, comme c'était un nouveau, un chamois se pointe et nous suit en hauteur, parallèlement au chemin à 15 mètres, l'air de dire : "Ici c'est chez moi !". Impressionnant.
TU dois leur manquer...
Et tu n'as jamais eu envie de les photographier ? En lisière de tes photos, comme les chats de Bonnard....
FiLH
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