D'après la doc que je viens de lire Spotlight l'engin de recherche de
Tiger qui sort demain permet de faire des recherches sur les données
IPTC et EXIF.
On pourra donc faire des dossiers intelligents qui regrouperont par
exemple l'ensemble des photos faites à telle focale ou à telle vitesse
où.... tout ce dont on peut rêver.
Pas mal non ?
FiLH
--
FiLH photography. A taste of freedom in a conventional world.
Web: http://www.filh.org e-mail filh@filh.org
FAQ fr.rec.photo : http://frp.parisv.com/
Sitafoto la photo a Bordeaux : http://sitafoto.free.fr/
Pour ceux qui ont un peu de bouteille et connaît les BD des années 60, Billou, c'est un peu "tonton Eusèbe" et sa belle locomotive à carrosserie futuriste... sur un châssis de loco à vapeur du XIXe siècle !!;-)
Billou n'est pas le seul, c'est le lot de ceux qui sont là depuis longtemps et qui prêchent la compatibilité ascendante. C'est bien pour le client, mais ça complique la vie.
Billou fait un peu comme Nikon, qui n'a jamais voulu changer sa baïonnette pour assurer une compatibilité ascendante et cette décision, que j'apprécie énormément en tant que Nikoniste possédant des cailloux n'ayant pas d'équivalent moderne, cette décision a franchement compliqué la vie à Nikon. Il est plus simple de tout remettre à plat et de repartir sur des bases plus modernes comme l'a fait Canon, au détriment de la clientèle, au moins pendant un temps.
Sur certains points, la politique Microsoft a des similitudes avec la démarche de Nikon, avec les mêmes difficultés.
Sauf que quand Nikon a créé sa monture, elle n'était pas **alors** en
retard de plusieurs générations sur l'état de l'art... Pour moi la ressemblance que je vois avec l'émergence de M$ quand il s'est imposé économiquement (MS-DOS contre CP-M et les Unix car c'est la même époque mais il n'y avait alors pas concurrence, puis Windows 2 contre d'autres systèmes plus mûrs et efficaces -dont GEM-) c'est plutôt la Trabant qui enverrait au rencard des caisses à moteur HDI, à injection multipoint, l'ABS, l'ESP et les freins ventilés rendus caducs par des freins à tambours tournés grossièrement, pas à câbles, hydrauliques qd-même, mais de justesse, sans assistance, et la médaille de Saint-Christophe incrustée dans le tableau de bord en tôle tenant lieu de et remplaçant définitivement les ceintures à pré-tenseurs pyrotechniques et les airbags multiples à déclenchement par capteurs gérés par un calculateur plutôt rusé...
Pour ceux qui ont un peu de bouteille et connaît les BD des années 60,
Billou, c'est un peu "tonton Eusèbe" et sa belle locomotive à
carrosserie futuriste... sur un châssis de loco à vapeur du XIXe
siècle !!;-)
Billou n'est pas le seul, c'est le lot de ceux qui sont là depuis
longtemps et qui prêchent la compatibilité ascendante. C'est bien pour
le client, mais ça complique la vie.
Billou fait un peu comme Nikon, qui n'a jamais voulu changer sa
baïonnette pour assurer une compatibilité ascendante et cette décision,
que j'apprécie énormément en tant que Nikoniste possédant des cailloux
n'ayant pas d'équivalent moderne, cette décision a franchement
compliqué la vie à Nikon. Il est plus simple de tout remettre à plat et
de repartir sur des bases plus modernes comme l'a fait Canon, au
détriment de la clientèle, au moins pendant un temps.
Sur certains points, la politique Microsoft a des similitudes avec la
démarche de Nikon, avec les mêmes difficultés.
Sauf que quand Nikon a créé sa monture, elle n'était pas **alors** en
retard de plusieurs générations sur l'état de l'art...
Pour moi la ressemblance que je vois avec l'émergence de M$ quand il
s'est imposé économiquement (MS-DOS contre CP-M et les Unix car c'est la
même époque mais il n'y avait alors pas concurrence, puis Windows 2
contre d'autres systèmes plus mûrs et efficaces -dont GEM-) c'est plutôt
la Trabant qui enverrait au rencard des caisses à moteur HDI, à
injection multipoint, l'ABS, l'ESP et les freins ventilés rendus caducs
par des freins à tambours tournés grossièrement, pas à câbles,
hydrauliques qd-même, mais de justesse, sans assistance, et la médaille
de Saint-Christophe incrustée dans le tableau de bord en tôle tenant
lieu de et remplaçant définitivement les ceintures à pré-tenseurs
pyrotechniques et les airbags multiples à déclenchement par capteurs
gérés par un calculateur plutôt rusé...
Pour ceux qui ont un peu de bouteille et connaît les BD des années 60, Billou, c'est un peu "tonton Eusèbe" et sa belle locomotive à carrosserie futuriste... sur un châssis de loco à vapeur du XIXe siècle !!;-)
Billou n'est pas le seul, c'est le lot de ceux qui sont là depuis longtemps et qui prêchent la compatibilité ascendante. C'est bien pour le client, mais ça complique la vie.
Billou fait un peu comme Nikon, qui n'a jamais voulu changer sa baïonnette pour assurer une compatibilité ascendante et cette décision, que j'apprécie énormément en tant que Nikoniste possédant des cailloux n'ayant pas d'équivalent moderne, cette décision a franchement compliqué la vie à Nikon. Il est plus simple de tout remettre à plat et de repartir sur des bases plus modernes comme l'a fait Canon, au détriment de la clientèle, au moins pendant un temps.
Sur certains points, la politique Microsoft a des similitudes avec la démarche de Nikon, avec les mêmes difficultés.
Sauf que quand Nikon a créé sa monture, elle n'était pas **alors** en
retard de plusieurs générations sur l'état de l'art... Pour moi la ressemblance que je vois avec l'émergence de M$ quand il s'est imposé économiquement (MS-DOS contre CP-M et les Unix car c'est la même époque mais il n'y avait alors pas concurrence, puis Windows 2 contre d'autres systèmes plus mûrs et efficaces -dont GEM-) c'est plutôt la Trabant qui enverrait au rencard des caisses à moteur HDI, à injection multipoint, l'ABS, l'ESP et les freins ventilés rendus caducs par des freins à tambours tournés grossièrement, pas à câbles, hydrauliques qd-même, mais de justesse, sans assistance, et la médaille de Saint-Christophe incrustée dans le tableau de bord en tôle tenant lieu de et remplaçant définitivement les ceintures à pré-tenseurs pyrotechniques et les airbags multiples à déclenchement par capteurs gérés par un calculateur plutôt rusé...
Jean-Claude Ghislain
Pour moi la ressemblance que je vois avec l'émergence de M$ [...] c'est plutôt la Trabant qui enverrait au rencard des caisses à moteur HDI
C'est une façon de voir que j'entends souvent et c'est loin de se rapporter uniquement à Microsoft.
Tel chanteur a eu du succès, alors que tel autre chantait mieux. Il ne suffit pas de bien chanter pour faire carrière dans le show-biz, il faut en accepter les règles, les contraintes et pouvoir les assumer.
Tel film est descendu par la critique et est un énorme succès populaire. Le puriste s'offusque, pourtant il est indéniable que cette réalisation rencontre les attentes du plus grand nombre.
La théorie montre que le moteur deux temps a un rendement deux fois meilleur que le quatre temps, la pratique parle de 1,6 fois plus performant, il n'y a pourtant plus beaucoup de voiture deux temps.
Je pourrais continuer longtemps, le vinyl sonne mieux que le CD, argentique contre numérique...
Un succès de courte durée peut être un coup marketing savamment orchestré, à partir du moment où le succès se confirme sur la durée, il est indéniable qu'il rencontre un certain écho dans la population. Population qui, majoritairement, n'est ni composée d'abruti, ni de spécialiste.
Rejeter en bloc le succès me rappelle toujours cette histoire vécue à l'époque de mes études photos. Les images d'un génie circulaient parmi les profs, ainsi qu'un de ses bouquins, mais qui était donc ce génie dont on nous montrait les images avec un certain cérémonial ? Juste un peu après, le génie, qui réalisait toujours les mêmes images, devint un vil commerçant aux yeux des profs. David Hamilton est le nom de ce génie, passé mécréant dès qu'il a bien gagné sa vie avec ses photos.
C'est un tic de la culture européenne, cette crispation face au succès.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Pour moi la ressemblance que je vois avec l'émergence de M$ [...]
c'est plutôt la Trabant qui enverrait au rencard des caisses à moteur
HDI
C'est une façon de voir que j'entends souvent et c'est loin de se
rapporter uniquement à Microsoft.
Tel chanteur a eu du succès, alors que tel autre chantait mieux. Il ne
suffit pas de bien chanter pour faire carrière dans le show-biz, il faut
en accepter les règles, les contraintes et pouvoir les assumer.
Tel film est descendu par la critique et est un énorme succès populaire.
Le puriste s'offusque, pourtant il est indéniable que cette réalisation
rencontre les attentes du plus grand nombre.
La théorie montre que le moteur deux temps a un rendement deux fois
meilleur que le quatre temps, la pratique parle de 1,6 fois plus
performant, il n'y a pourtant plus beaucoup de voiture deux temps.
Je pourrais continuer longtemps, le vinyl sonne mieux que le CD,
argentique contre numérique...
Un succès de courte durée peut être un coup marketing savamment
orchestré, à partir du moment où le succès se confirme sur la durée, il
est indéniable qu'il rencontre un certain écho dans la population.
Population qui, majoritairement, n'est ni composée d'abruti, ni de
spécialiste.
Rejeter en bloc le succès me rappelle toujours cette histoire vécue à
l'époque de mes études photos. Les images d'un génie circulaient parmi
les profs, ainsi qu'un de ses bouquins, mais qui était donc ce génie
dont on nous montrait les images avec un certain cérémonial ? Juste un
peu après, le génie, qui réalisait toujours les mêmes images, devint un
vil commerçant aux yeux des profs. David Hamilton est le nom de ce
génie, passé mécréant dès qu'il a bien gagné sa vie avec ses photos.
C'est un tic de la culture européenne, cette crispation face au succès.
Pour moi la ressemblance que je vois avec l'émergence de M$ [...] c'est plutôt la Trabant qui enverrait au rencard des caisses à moteur HDI
C'est une façon de voir que j'entends souvent et c'est loin de se rapporter uniquement à Microsoft.
Tel chanteur a eu du succès, alors que tel autre chantait mieux. Il ne suffit pas de bien chanter pour faire carrière dans le show-biz, il faut en accepter les règles, les contraintes et pouvoir les assumer.
Tel film est descendu par la critique et est un énorme succès populaire. Le puriste s'offusque, pourtant il est indéniable que cette réalisation rencontre les attentes du plus grand nombre.
La théorie montre que le moteur deux temps a un rendement deux fois meilleur que le quatre temps, la pratique parle de 1,6 fois plus performant, il n'y a pourtant plus beaucoup de voiture deux temps.
Je pourrais continuer longtemps, le vinyl sonne mieux que le CD, argentique contre numérique...
Un succès de courte durée peut être un coup marketing savamment orchestré, à partir du moment où le succès se confirme sur la durée, il est indéniable qu'il rencontre un certain écho dans la population. Population qui, majoritairement, n'est ni composée d'abruti, ni de spécialiste.
Rejeter en bloc le succès me rappelle toujours cette histoire vécue à l'époque de mes études photos. Les images d'un génie circulaient parmi les profs, ainsi qu'un de ses bouquins, mais qui était donc ce génie dont on nous montrait les images avec un certain cérémonial ? Juste un peu après, le génie, qui réalisait toujours les mêmes images, devint un vil commerçant aux yeux des profs. David Hamilton est le nom de ce génie, passé mécréant dès qu'il a bien gagné sa vie avec ses photos.
C'est un tic de la culture européenne, cette crispation face au succès.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Denis Vanneste
Juste un peu après, le génie, qui réalisait toujours les mêmes images, devint
... un photocopieur.
-- Denis Vanneste
Juste un peu après, le génie, qui réalisait toujours les mêmes
images, devint
Juste un peu après, le génie, qui réalisait toujours les mêmes images, devint
... un photocopieur.
-- Denis Vanneste
filh
Jean-Claude Ghislain wrote:
Comme d'hab... aujourd'hui sur Mac, demain peut-être chez Microsoft...
Ah oui, comme le multi-tâches...
Bah, le mac est multi-tâches depuis un bail.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Jean-Claude Ghislain <jcg@grimart.com> wrote:
Comme d'hab... aujourd'hui sur Mac, demain peut-être chez Microsoft...
Ah oui, comme le multi-tâches...
Bah, le mac est multi-tâches depuis un bail.
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Comme d'hab... aujourd'hui sur Mac, demain peut-être chez Microsoft...
Ah oui, comme le multi-tâches...
Bah, le mac est multi-tâches depuis un bail.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
HyperDupont
Jean-Claude Ghislain wrote:
Pour moi la ressemblance que je vois avec l'émergence de M$ [...] c'est plutôt la Trabant qui enverrait au rencard des caisses à moteur HDI
C'est une façon de voir que j'entends souvent et c'est loin de se rapporter uniquement à Microsoft.
Tel chanteur a eu du succès, alors que tel autre chantait mieux. Il ne suffit pas de bien chanter pour faire carrière dans le show-biz, il faut en accepter les règles, les contraintes et pouvoir les assumer.
Tel film est descendu par la critique et est un énorme succès populaire. Le puriste s'offusque, pourtant il est indéniable que cette réalisation rencontre les attentes du plus grand nombre.
La théorie montre que le moteur deux temps a un rendement deux fois meilleur que le quatre temps, la pratique parle de 1,6 fois plus performant, il n'y a pourtant plus beaucoup de voiture deux temps.
Bof, là ça dépend de ce qu'on entend par rendement... CV au kg de moteur ? critère certes à l'avantage du 2 temps, mais sans intérêt... si on compte CV/masse de carburant consommé (brûlé ou non) ya match nul, le critère de choix qui a décidé la quasi-disparition du 2 temps étant la capacité à peu polluer, meilleure en 4 temps.
Je pourrais continuer longtemps, le vinyl sonne mieux que le CD, argentique contre numérique...
Un succès de courte durée peut être un coup marketing savamment orchestré, à partir du moment où le succès se confirme sur la durée, il est indéniable qu'il rencontre un certain écho dans la population. Population qui, majoritairement, n'est ni composée d'abruti, ni de spécialiste.
La public pas abruti a ainsi choisi le VHS... quel videaste sérieux archive sur VHS ??
Rejeter en bloc le succès me rappelle toujours cette histoire vécue à l'époque de mes études photos. Les images d'un génie circulaient parmi les profs, ainsi qu'un de ses bouquins, mais qui était donc ce génie dont on nous montrait les images avec un certain cérémonial ? Juste un peu après, le génie, qui réalisait toujours les mêmes images, devint un vil commerçant aux yeux des profs. David Hamilton est le nom de ce génie, passé mécréant dès qu'il a bien gagné sa vie avec ses photos.
C'est un tic de la culture européenne, cette crispation face au succès.
Mauvaise pioche avec moi
- j'ai résisté au numérique tant qu'il me paressait *cher*, j'ai maintenant 2 APN dont un reflex et un TDLP dont je suis **très** content (même si je n'ai pas fini mon apprentissage). - sauf mauvaise réédition et remastérisation sauvage telle qu'elle s'est parfois produite aux débuts du CD, je me suis mis très vite au CD, le "meilleur son" du vinyle relève pour moi de la surdité avancée ou du snobisme au même titre que le "meilleur son des amplis à lampes" (ah, les Mac-Intosh au prix d'une Porsche pour se chauffer même en été !!;-). Je n'ai aucune nostalgie des scritch et du souffle de certains vinyles même neufs (CF par exemple le "white album" des Beatles, à la fois musicalement excellent et techniquement hyper crade dès la première écoute, quelle qu'ait été la platine utilisée).
Ce que je reproche à M$, ce n'est pas son succès, qui pourrait être mérité, c'est d'avoir **fait_reculer** l'état de l'art dans beaucoup de domaines. J'ai roulé en Trabant, c'est un bon souvenir sur le plan familial et "pittoresque" (ah rouler à l'intérieur d'un carbu de solex, c'est une expérience olfactive inoubliable !), mais je crois que maintenant, j'aurais peur, et je ne me trompe pas de nostalgie !!;-)))
C'est un tic américain, de se prosterner devant toute fortune, méritée ou non !!??;-)
-- Posté via http://www.webatou.net/ Usenet dans votre navigateur ! Complaints-To:
Jean-Claude Ghislain wrote:
Pour moi la ressemblance que je vois avec l'émergence de M$ [...]
c'est plutôt la Trabant qui enverrait au rencard des caisses à moteur
HDI
C'est une façon de voir que j'entends souvent et c'est loin de se
rapporter uniquement à Microsoft.
Tel chanteur a eu du succès, alors que tel autre chantait mieux. Il ne
suffit pas de bien chanter pour faire carrière dans le show-biz, il faut
en accepter les règles, les contraintes et pouvoir les assumer.
Tel film est descendu par la critique et est un énorme succès populaire.
Le puriste s'offusque, pourtant il est indéniable que cette réalisation
rencontre les attentes du plus grand nombre.
La théorie montre que le moteur deux temps a un rendement deux fois
meilleur que le quatre temps, la pratique parle de 1,6 fois plus
performant, il n'y a pourtant plus beaucoup de voiture deux temps.
Bof, là ça dépend de ce qu'on entend par rendement... CV au kg de moteur ?
critère certes à l'avantage du 2 temps, mais sans intérêt... si on compte
CV/masse de carburant consommé (brûlé ou non) ya match nul, le critère de
choix qui a décidé la quasi-disparition du 2 temps étant la capacité à peu
polluer, meilleure en 4 temps.
Je pourrais continuer longtemps, le vinyl sonne mieux que le CD,
argentique contre numérique...
Un succès de courte durée peut être un coup marketing savamment
orchestré, à partir du moment où le succès se confirme sur la durée, il
est indéniable qu'il rencontre un certain écho dans la population.
Population qui, majoritairement, n'est ni composée d'abruti, ni de
spécialiste.
La public pas abruti a ainsi choisi le VHS... quel videaste sérieux
archive sur VHS ??
Rejeter en bloc le succès me rappelle toujours cette histoire vécue à
l'époque de mes études photos. Les images d'un génie circulaient parmi
les profs, ainsi qu'un de ses bouquins, mais qui était donc ce génie
dont on nous montrait les images avec un certain cérémonial ? Juste un
peu après, le génie, qui réalisait toujours les mêmes images, devint un
vil commerçant aux yeux des profs. David Hamilton est le nom de ce
génie, passé mécréant dès qu'il a bien gagné sa vie avec ses photos.
C'est un tic de la culture européenne, cette crispation face au succès.
Mauvaise pioche avec moi
- j'ai résisté au numérique tant qu'il me paressait *cher*, j'ai
maintenant 2 APN dont un reflex et un TDLP dont je suis **très** content
(même si je n'ai pas fini mon apprentissage).
- sauf mauvaise réédition et remastérisation sauvage telle qu'elle s'est
parfois produite aux débuts du CD, je me suis mis très vite au CD, le
"meilleur son" du vinyle relève pour moi de la surdité avancée ou du
snobisme au même titre que le "meilleur son des amplis à lampes" (ah, les
Mac-Intosh au prix d'une Porsche pour se chauffer même en été !!;-). Je
n'ai aucune nostalgie des scritch et du souffle de certains vinyles même
neufs (CF par exemple le "white album" des Beatles, à la fois musicalement
excellent et techniquement hyper crade dès la première écoute, quelle
qu'ait été la platine utilisée).
Ce que je reproche à M$, ce n'est pas son succès, qui pourrait être
mérité, c'est d'avoir **fait_reculer** l'état de l'art dans beaucoup de
domaines.
J'ai roulé en Trabant, c'est un bon souvenir sur le plan familial et
"pittoresque" (ah rouler à l'intérieur d'un carbu de solex, c'est une
expérience olfactive inoubliable !), mais je crois que maintenant,
j'aurais peur, et je ne me trompe pas de nostalgie !!;-)))
C'est un tic américain, de se prosterner devant toute fortune, méritée ou
non !!??;-)
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Pour moi la ressemblance que je vois avec l'émergence de M$ [...] c'est plutôt la Trabant qui enverrait au rencard des caisses à moteur HDI
C'est une façon de voir que j'entends souvent et c'est loin de se rapporter uniquement à Microsoft.
Tel chanteur a eu du succès, alors que tel autre chantait mieux. Il ne suffit pas de bien chanter pour faire carrière dans le show-biz, il faut en accepter les règles, les contraintes et pouvoir les assumer.
Tel film est descendu par la critique et est un énorme succès populaire. Le puriste s'offusque, pourtant il est indéniable que cette réalisation rencontre les attentes du plus grand nombre.
La théorie montre que le moteur deux temps a un rendement deux fois meilleur que le quatre temps, la pratique parle de 1,6 fois plus performant, il n'y a pourtant plus beaucoup de voiture deux temps.
Bof, là ça dépend de ce qu'on entend par rendement... CV au kg de moteur ? critère certes à l'avantage du 2 temps, mais sans intérêt... si on compte CV/masse de carburant consommé (brûlé ou non) ya match nul, le critère de choix qui a décidé la quasi-disparition du 2 temps étant la capacité à peu polluer, meilleure en 4 temps.
Je pourrais continuer longtemps, le vinyl sonne mieux que le CD, argentique contre numérique...
Un succès de courte durée peut être un coup marketing savamment orchestré, à partir du moment où le succès se confirme sur la durée, il est indéniable qu'il rencontre un certain écho dans la population. Population qui, majoritairement, n'est ni composée d'abruti, ni de spécialiste.
La public pas abruti a ainsi choisi le VHS... quel videaste sérieux archive sur VHS ??
Rejeter en bloc le succès me rappelle toujours cette histoire vécue à l'époque de mes études photos. Les images d'un génie circulaient parmi les profs, ainsi qu'un de ses bouquins, mais qui était donc ce génie dont on nous montrait les images avec un certain cérémonial ? Juste un peu après, le génie, qui réalisait toujours les mêmes images, devint un vil commerçant aux yeux des profs. David Hamilton est le nom de ce génie, passé mécréant dès qu'il a bien gagné sa vie avec ses photos.
C'est un tic de la culture européenne, cette crispation face au succès.
Mauvaise pioche avec moi
- j'ai résisté au numérique tant qu'il me paressait *cher*, j'ai maintenant 2 APN dont un reflex et un TDLP dont je suis **très** content (même si je n'ai pas fini mon apprentissage). - sauf mauvaise réédition et remastérisation sauvage telle qu'elle s'est parfois produite aux débuts du CD, je me suis mis très vite au CD, le "meilleur son" du vinyle relève pour moi de la surdité avancée ou du snobisme au même titre que le "meilleur son des amplis à lampes" (ah, les Mac-Intosh au prix d'une Porsche pour se chauffer même en été !!;-). Je n'ai aucune nostalgie des scritch et du souffle de certains vinyles même neufs (CF par exemple le "white album" des Beatles, à la fois musicalement excellent et techniquement hyper crade dès la première écoute, quelle qu'ait été la platine utilisée).
Ce que je reproche à M$, ce n'est pas son succès, qui pourrait être mérité, c'est d'avoir **fait_reculer** l'état de l'art dans beaucoup de domaines. J'ai roulé en Trabant, c'est un bon souvenir sur le plan familial et "pittoresque" (ah rouler à l'intérieur d'un carbu de solex, c'est une expérience olfactive inoubliable !), mais je crois que maintenant, j'aurais peur, et je ne me trompe pas de nostalgie !!;-)))
C'est un tic américain, de se prosterner devant toute fortune, méritée ou non !!??;-)
-- Posté via http://www.webatou.net/ Usenet dans votre navigateur ! Complaints-To:
Jean-Claude Ghislain
Bah, le mac est multi-tâches depuis un bail.
Oui, mais sur ce coup là, il était loin d'être le premier.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Bah, le mac est multi-tâches depuis un bail.
Oui, mais sur ce coup là, il était loin d'être le premier.
Oui, mais sur ce coup là, il était loin d'être le premier.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
filh
Jean-Claude Ghislain wrote:
Bah, le mac est multi-tâches depuis un bail.
Oui, mais sur ce coup là, il était loin d'être le premier.
Non. Mais par rapport à windows...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Jean-Claude Ghislain <jcg@grimart.com> wrote:
Bah, le mac est multi-tâches depuis un bail.
Oui, mais sur ce coup là, il était loin d'être le premier.
Non. Mais par rapport à windows...
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Oui, mais sur ce coup là, il était loin d'être le premier.
Non. Mais par rapport à windows...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Jean-Claude Ghislain
Non. Mais par rapport à windows...
Si mes souvenirs sont bons, Windows marque 1 point dans ce domaine.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Non. Mais par rapport à windows...
Si mes souvenirs sont bons, Windows marque 1 point dans ce domaine.
Si mes souvenirs sont bons, Windows marque 1 point dans ce domaine.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
filh
Jean-Claude Ghislain wrote:
Non. Mais par rapport à windows...
Si mes souvenirs sont bons, Windows marque 1 point dans ce domaine.
Bon peut-être ça fait du 1 à 35...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Jean-Claude Ghislain <jcg@grimart.com> wrote:
Non. Mais par rapport à windows...
Si mes souvenirs sont bons, Windows marque 1 point dans ce domaine.
Bon peut-être ça fait du 1 à 35...
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
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Bon peut-être ça fait du 1 à 35...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org