"Jac" a écrit dans le message de news: 50a90f39$0$2299$
"Castagno" a écrit :
je ne me pique pas pour autant.
De savoir ?
J'ai pas compris ta question.. --
Jac
"Castagno" a écrit :
"Castagno" a écrit :
je ne me pique pas pour autant.
De savoir ?
J'ai pas compris ta question..
' Se piquer de qqc., de faire qqc. Prétendre posséder une aptitude, une qualité particulière dont on s'enorgueillit. Synon. se flatter (de), se vanter (de), se faire fort (de), se faire gloire (de).Se piquer de distinction, d'élégance, de littérature, de poésie; se piquer de savoir chanter, composer, d'avoir du goût, d'être au courant, à la mode. M. Bourdon donne là un bon exemple à ses confrères qui ne se piquent pas généralement d'exactitude (Becque,Corbeaux, 1882, i, 10, p.93).Le baron de Malefroi, qui se piquait d'être poète, ayant fait rimer rose avec prose (Aymé,Clérambard, 1950, ii, 9, p.119):'
http://www.cnrtl.fr/definition/piquer
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"Castagno" <Castagno@invalide.fr> a écrit :
"Castagno" <Castagno@invalide.fr> a écrit :
je ne me pique pas pour autant.
De savoir ?
J'ai pas compris ta question..
' Se piquer de qqc., de faire qqc. Prétendre posséder une aptitude, une
qualité particulière dont on s'enorgueillit. Synon. se flatter (de), se
vanter (de), se faire fort (de), se faire gloire (de).Se piquer de
distinction, d'élégance, de littérature, de poésie; se piquer de savoir
chanter, composer, d'avoir du goût, d'être au courant, à la mode. M.
Bourdon donne là un bon exemple à ses confrères qui ne se piquent pas
généralement d'exactitude (Becque,Corbeaux, 1882, i, 10, p.93).Le baron
de Malefroi, qui se piquait d'être poète, ayant fait rimer rose avec
prose (Aymé,Clérambard, 1950, ii, 9, p.119):'
' Se piquer de qqc., de faire qqc. Prétendre posséder une aptitude, une qualité particulière dont on s'enorgueillit. Synon. se flatter (de), se vanter (de), se faire fort (de), se faire gloire (de).Se piquer de distinction, d'élégance, de littérature, de poésie; se piquer de savoir chanter, composer, d'avoir du goût, d'être au courant, à la mode. M. Bourdon donne là un bon exemple à ses confrères qui ne se piquent pas généralement d'exactitude (Becque,Corbeaux, 1882, i, 10, p.93).Le baron de Malefroi, qui se piquait d'être poète, ayant fait rimer rose avec prose (Aymé,Clérambard, 1950, ii, 9, p.119):'