Twitter iPhone pliant OnePlus 11 PS5 Disney+ Orange Livebox Windows 11

Jeudi 22 mai, tous concernés !

105 réponses
Avatar
ricazerty
Dans un contexte de flambée des prix, due essentiellement
à la financiarisation des matières premières, et de baisse du
pouvoir d'achat, due elle à la mondialisation libérale, le
gouvernement poursuit ses attaques contre ses propres
administrés et reprend systématiquement le catalogue de
revendications du MEDEF":
- remise en cause de la sécurité sociale,
- nouvelle « réforme » des retraites,
- recul du SMIC et salaires en berne,
- précarisation du travail,
- suppressions massives d'emplois dans la fonction publique,
- mise au pilori des 35 heures,
- attaques contre les chômeurs et les services publics...

Il faut stopper cette offensive tous azimuts et exiger une
meilleure répartition des richesse ainsi que le respect de ceux
qui ont travaillé, travaillent et travailleront, sans oublier tous
ceux qui se retrouvent malgré eux en marge.

SECU, INFIRMIERES ET MEDECINS:
Le recul en matière de couverture de sécurité sociale est
sans précédent, aux déremboursements méthodiques
s'ajoutent l'abandon de multiples prises en charge.
Ajoutons à cette charge anti-sociale caractérisée la pénurie
d'infirmières et de médecins plus que jamais d'actualité et
pour longtemps encore si aucune mesure n'est prise; il est
par exemple prévu que la pénurie d'infirmières passera de
1500 aujourd'hui à 20 000 en 2020 ! A cette situation
catastrophique due autant par le manque de formation que
par la perte d'attractivité de cette profession le
gouvernement répond par la fermeture des hôpitaux qu'il
ne parvient plus que difficilement à pourvoir en personnel
sous prétexte bien entendu de rationaliser les services.
Voila ce qui s'appel traiter les effets et non la cause!...

RETRAITES
Les retraites n'ont cessé de baisser ces dernières années :
calcul des retraites du privé sur les 25 meilleures années
au lieu des dix meilleures, instauration de la décote pour les
fonctionnaires, allongement de la durée de cotisations à 41
ans et plus si affinités. La très grande majorité des pensions
de retraites sont inférieures au SMIC. Au 1er janvier 2008,
le gouvernement n'a augmenté les pensions que de 1,1%,
bien en dessous de la hausse des prix (autour de 3%).
Cela suffit ! Il faut faire échec au projet gouvernemental,
imposer un minimum de pension égal au SMIC et obtenir
une augmentation des cotisations patronales honteusement
minorées ces dernières années pour assurer le financement
des retraites.

SALAIRES et SMIC:
Les prix ne cessent de grimper mais nos salaires ne suivent
pas, loin de là. Cela fait 25 ans maintenant que nous
subissons l'austérité salariale.
Sarkozy avait fait du pouvoir d'achat une question
prioritaire pendant sa campagne électorale. Où en est-il ?...
La seule réponse du gouvernement et du MEDEF, c'est de
nous faire travailler plus pour gagner moins et dire que le
SMIC augmente trop vite et qu'il faut le « réformer »!
Le SMIC a été créé en 1969, après Mai 68, pour que le
salaire minimum augmente aussi au rythme de la croissance
économique. Patronat et gouvernement veulent que le
SMIC ne soit plus indexé que sur la hausse des prix. Pire,
il n'y aurait peut-être même pas cette garantie et c'est une
commission d'experts qui déciderait ! Mais, ce n'est pas le
SMIC qui augmente trop vite, c'est l'ensemble des salaires
qui augmente trop lentement ! Il y a dans de nombreuses
entreprises des débrayages et des grèves pour l'augmentation
des salaires. Il faut amplifier les mobilisations et les
coordonner afin d'obtenir pour l'ensemble des salarié(e)s
une augmentation généralisée.

TRAVAIL et PRECARITE:
La précarité n'est pas une fatalité, c'est une méthode de
gestion délibérée. Un emploi sur 5 est un emploi précaire,
CDD, intérim, contrat aidé et CDI à temps partiel imposé.
Il y a encore trois millions de chômeurs, environ 1 million
de personnes au RMI. Chaque année, il y a 900 000
licenciements de CDI. Des manifestations massives de la
jeunesse et des salarié-es ont permis le retrait du CPE en
2006 et le CNE a été abrogé.
Mais une loi vient d'être votée
- qui allonge les périodes d'essai jusqu'à 4 mois pour les
personnels d'exécution et jusqu'à 8 mois pour les cadres,
- qui crée un CDD de mission pouvant durer jusqu'à 36
mois avec possibilité de licenciement tous les ans,
- qui crée une possibilité de licenciement à l'amiable sans
guère de recours.
Dans la Fonction Publique, un projet de loi prévoit la
possibilité de mettre en disponibilité d'office sans
traitement ni indemnité les fonctions en cas de
suppression d'emplois et après trois refus de propositions
de reclassement.

C'est l'ensemble des emplois qui est précarisé à des
degrés divers. Le patronat et le gouvernement veulent
une main d'oeuvre corvéable à merci. En échange, il n'y a
rien ou pire encore ! Imposons par nos luttes un seul
contrat, le CDI et le maintient du service publique.

Quant à la durée légale du travail, le chef de l'Etat avait
en janvier dernier dit vouloir la fin des 35 heures en 2008.
Son comparse Patrick Devedjian confirme aujourd'hui même,
lundi 19 mai 2008 à l'occasion du sommet de l'UMP:
"L'UMP demande avec force le démantèlement définitif
des 35 heures et que la durée du travail soit contractuelle,
entreprise par entreprise".
http://www.lexpress.fr/info/infojour/reuters.asp?id=71233&1506

SERVICES PUBLICS:
Avec la RGPP (Révision générale des politiques publiques),
le gouvernement compte supprimer toute une série de
missions des services de l'Etat, contrôle et régulation en
matière d'urbanisme, d'environnement ou de droit social etc...
Une partie des services seraient privatisés dans des agences
contrôlées par l'Etat. Pour le reste, il s'agit d'intensifier le
travail des fonctionnaires qui resteront. Le gouvernement
veut supprimer 35 000 emplois de fonctionnaires par an.
Les autres subiront des réorganisations massives avec
changement de métier, mobilité géographique ou encore
incitations à quitter la Fonction Publique.

Avec le plan Hôpital, le nombre d'hôpitaux va diminuer
fortement et les services regroupés département par
département. Dans la majorité des départements, il ne doit
plus subsister que deux hôpitaux, même si les différents
services seront sur des sites différents. Et la part des
cliniques privées va augmenter.

EDUCATION:
Mobilisation lycéenne:
Depuis plusieurs semaines, les lycéens manifestent contre
les suppressions de poste de profs et contre les classes
surchargées. Le gouvernement veut supprimer tous les
professeurs remplaçants et nombre d'options offertes aux
lycéens. D'ores et déjà fait appel à des retraité-es pour
assurer les remplacements. C'est en fait la qualité de
l'enseignement offert, notamment dans les banlieues
populaires, qui est en cause.
Au-delà des lycéens, ce sont les parents, les profs, les
citoyens qui doivent se mobiliser. Par ses attaques contre
l'Education Nationale, le gouvernement cherche à
précariser la jeunesse et à créer une éducation à double
vitesse. Les lycéens doivent gagner avec le soutien de tous.

Provocation élyséenne délibérée dès le fin de la journée de
mobilisation ce jeudi dernier: renforcement des mesures
e"n vue du "service minimum" avec financement prévu de
ce qu'il faudra bien qualifier de "casseurs de grèves légaux".

[ Dans la même veine, le ministre de l'Education, Xavier
Darcos, qui vient d'écrire aux syndicats, a annoncé la mise
en place d'une « agence nationale de remplacement »
destinée à pourvoir aux quelques 50.000 absences annuelles
de professeurs. « Elle pourra solliciter des jeunes professeurs
en fin de préparation, des stagiaires ou des élèves en fin de
master », a-t-il expliqué. Un message à destination des
familles, mais peut-être aussi un moyen d'économiser des
postes (les remplaçants pourront être affectés au-delà de
l'académie). Un nouveau casus belli en vue ?
http://www.lesechos.fr/info/france/4728135.htm ]

Parlons également de l'autonomie des universités qui
constitue une grave atteinte au service public de
l'éducation et son assujettissement au privé.

CHÔMAGE et SANS-PAPIERS:
Concernant les chômeurs, le gouvernement veut réduire
la durée de l'indemnisation, radier ceux qui refusent
certaines offres d'emploi à moins de deux heures de route,
même avec une baisse de salaire d'un tiers, même à temps
très partiel. Le patronat veut quant à lui réduire /encore/
ses cotisations chômage, comme si cela n'était pas son
affaire ! Pourtant, moins de la moitié des chômeurs sont
actuellement indemnisés, les autres ne touchent rien ou
doivent se contenter du RMI. Ils ont pourtant cotisé aux
ASSEDIC durant leurs périodes de travail.
Depuis 20 ans, les indemnités chômage n'ont pas cessé de
diminuer. Les intermittents n'y ont plus droit, les saisonniers
non-plus à compter de cette année.
Patronat et gouvernement font tout pour culpabiliser les
chômeurs comme s'ils étaient responsables de leur sort.
C'est bien plutôt qu'il n'y a plus suffisamment d'emplois
pour cause de délocalisations et/ou mondialisation
savamment organisée par le grand patronat. Pendant ce temps
les salarié-es subissent un travail de plus en plus intensif et
de plus en plus stressant.

De leur côté, plusieurs centaines de travailleurs sans
papiers se sont mis en grève pour leur régularisation.
Depuis des mois, les contrôles se multiplient dans la rue
et les entreprises. La police organise des rafles et place
des centaines de personnes en rétention en vue de les
expulser sans considération pour leur famille, leurs enfants.
Les salarié-es sans papiers travaillent pour la plupart depuis
des années en France, paient des cotisations sociales et leurs
impôts. Mais, sans papiers, ils sont précaires, à la merci d'un
contrôle. Ils doivent accepter des salaires médiocres. Les
salarié-es sans papiers doivent être régularisés. Moins
précaires, ensemble, nous serons plus forts pour revendiquer
l'amélioration de nos salaires et conditions de travail.

Le 22 Mai, manifestons massivement :
- pour la réhabilitation d'une sécurité sociale de solidarité,
- pour la défense de nos retraites,
- pour des salaires corrects,
- pour le maintient des 35 h. et leur généralisation définitive,
- pour le droit des chômeurs à un revenu décent,
- pour la sauve-garde des services publics,
- pour des emplois stables et à temps complet,
- contre la précarité institutionnalisée,
- et, bien évidemment, contre la vie chère, très chère, trop
chère au niveau des carburants, du logement et surtout de
l'alimentation, parce que même à la belle étoile il faut manger.
Le système dérape? Qu'il dérape sans nous!

10 réponses

Avatar
Cassandre
Dans news:4832e377$0$11435$,
ricazerty le Grand écrivit :

"Cassandre"/"Ricazerty"

Vous n'êtes hélas pas la seule à vous contenter passivement
de votre sort et à critiquer ceux qui osent contester.









Actuellement en France seuls les sarkosiens
contestent le sytème gauchos très français.
Faut tout remettre à plat. Récrire tous les codes.







Il faudrait peut-être d'abord remettre les choses à leur place,
déjà octroyer au sarkozisme le label ultralibéral apprécié
d'une certaine extrême droite qui lui revient, recentrer
évidemment le P$... à droite et tout deviendra beaucoup
plus clair.

Je me demande bien où vous auriez déjà vu le "système
gaucho très français" à l'oeuvre, même Jospin se défendait
d'être trotskiste...





Heureusement. et c'est mieux que socialo du style Royale
et sans aucun doute que rêveur comme le ptit facteur !
Le remplaçant de l'Arlette qui aboiera toute sa vie
sans aucun résultat autre que de maintenir la droite en place.



Que de conclusions hâtives !...



40 ans de vains discours de l'Arlette qui
a bien vécu sur le dos des naïfs ! Démonstration faite.
Avatar
Cassandre
Dans news:g0ul4v$bav$,
Laurent GARNIER le Grand écrivit :

Cassandre wrote:

Pas si simple. Faut créer les conditions d'accueil
de plus grosses promotions dans les écoles.
Mais ce sont surtout les médecins qui étaient
et sont tjs pour le clausus numerus. Fric fric !



Donc, ce n'est pas une histoire de 35 heures mais une histoire de
corporatisme...



Les deux mon adjudant ! Si on travaillait normalement
39 heures cela irait moins mal non ? De fait c'est inexact,
on aurait moins d'heures sup et moins de RTT mais
il y a de plus en plus de boulot car il y a
de plus en plus de prises en charge hospitalières.
Au minimum il faudrait de 25 à 30 pourcents
d'effectif en plus si on ne veut pas de tas nazi
Avatar
Cassandre
Dans news:4832e55d$0$7179$,
ricazerty le Grand écrivit :

"Cassandre"/"Ricazerty"

le chômage OK, était au chômage depuis 1 mois ca y est suis
au boulot, il faut chercher se bouger à tous les sens du terme







Si le simple fait de se "bouger" suffit a permettre de se trouver
un emploi, pourriez vous m'expliquer pourquoi les travailleurs
handicapes ont tant de mal en trouver un d'emploi ?





In firmière OK ( la faute au 35 heures) parce que là du
boulot il y en a à foison!







Il suffisait d'augmenter les numerus clausus pour faire en
sorte que la pénurie n'existe pas. Hors depuis l'instauration
des 35 heures, la droite a été au pouvoir au moins 6 ans.
A qui la faute lorsqu'on sait que former un(e) infirmier(e)
demande 2 ans ?





Pas si simple. Faut créer les conditions d'accueil
de plus grosses promotions dans les écoles.



Et alors ?... C'est pas le boulot de l'Etat de prévoir ?

Mais ce sont surtout les médecins qui étaient
et sont tjs pour le clausus numerus. Fric fric !



Ce n'est pas eux qui font les lois.



Ils ne font que les inspirer. Trés mauvais
de confier l'organisation d'une profession
à ceux qui en tirent profit. Voir le
dernier rapport sur les Hopitaux.
Avatar
Laurent GARNIER
Cassandre wrote:

Les deux mon adjudant ! Si on travaillait normalement
39 heures cela irait moins mal non ?



Mais rien n'empeche actuellement de travailler 39 heures. Ou alors, faut
m'expliquer a quoi servent les heures supplementaire. A moins que le but
est de faire travailler 39 heures sans payer les 4 heures
"supplementaires" en tant que telles...

Par ailleurs, la surcharge d'activite aurait aussi existe si on avait
conserve les 39 heures puisque rien n'empeche a 35 heures de faire
travailler 39 heures...

--
Laurent GARNIER
Avatar
ricazerty
"Cassandre"/"Ricazerty"

Heureusement. et c'est mieux que socialo du style Royale
et sans aucun doute que rêveur comme le ptit facteur !
Le remplaçant de l'Arlette qui aboiera toute sa vie
sans aucun résultat autre que de maintenir la droite en place.







Que de conclusions hâtives !...





40 ans de vains discours de l'Arlette qui
a bien vécu sur le dos des naïfs ! Démonstration faite.



Que de démonstrations bâclées !
Avatar
ricazerty
"Cassandre"/"Ricazerty"

In firmière OK ( la faute au 35 heures) parce que là du
boulot il y en a à foison!











Il suffisait d'augmenter les numerus clausus pour faire en
sorte que la pénurie n'existe pas. Hors depuis l'instauration
des 35 heures, la droite a été au pouvoir au moins 6 ans.
A qui la faute lorsqu'on sait que former un(e) infirmier(e)
demande 2 ans ?









Pas si simple. Faut créer les conditions d'accueil
de plus grosses promotions dans les écoles.







Et alors ?... C'est pas le boulot de l'Etat de prévoir ?





Mais ce sont surtout les médecins qui étaient
et sont tjs pour le clausus numerus. Fric fric !







Ce n'est pas eux qui font les lois.





Ils ne font que les inspirer. Trés mauvais
de confier l'organisation d'une profession
à ceux qui en tirent profit. Voir le
dernier rapport sur les Hopitaux.



Là d'accord !
Avatar
Cassandre
Dans news:g0umhr$brp$,
Laurent GARNIER le Grand écrivit :

Cassandre wrote:

Les deux mon adjudant ! Si on travaillait normalement
39 heures cela irait moins mal non ?



Mais rien n'empeche actuellement de travailler 39 heures. Ou alors,
faut m'expliquer a quoi servent les heures supplementaire. A moins
que le but est de faire travailler 39 heures sans payer les 4 heures
"supplementaires" en tant que telles...

Par ailleurs, la surcharge d'activite aurait aussi existe si on avait
conserve les 39 heures puisque rien n'empeche a 35 heures de faire
travailler 39 heures...



Vous feriez bien de lire la suite de ce qui fut écrit !
De fait c'est inexact,
on aurait moins d'heures sup et moins de RTT mais
il y a de plus en plus de boulot car il y a
de plus en plus de prises en charge hospitalières.
Au minimum il faudrait de 25 à 30 pourcents
d'effectif en plus si on ne veut pas de tas nazi
Avatar
Cassandre
Dans news:4832ed7f$0$23023$,
ricazerty le Grand écrivit :

"Cassandre"/"Ricazerty"

Heureusement. et c'est mieux que socialo du style Royale
et sans aucun doute que rêveur comme le ptit facteur !
Le remplaçant de l'Arlette qui aboiera toute sa vie
sans aucun résultat autre que de maintenir la droite en place.







Que de conclusions hâtives !...





40 ans de vains discours de l'Arlette qui
a bien vécu sur le dos des naïfs ! Démonstration faite.



Que de démonstrations bâclées !



Ce n'est que votre opinion.
Continuez à rêvassez seul
dans les bras de la Buffet !
Avatar
Cassandre
Dans news:4832ee02$0$27275$,
ricazerty le Grand écrivit :

"Cassandre"/"Ricazerty"

In firmière OK ( la faute au 35 heures) parce que là du
boulot il y en a à foison!











Il suffisait d'augmenter les numerus clausus pour faire en
sorte que la pénurie n'existe pas. Hors depuis l'instauration
des 35 heures, la droite a été au pouvoir au moins 6 ans.
A qui la faute lorsqu'on sait que former un(e) infirmier(e)
demande 2 ans ?









Pas si simple. Faut créer les conditions d'accueil
de plus grosses promotions dans les écoles.







Et alors ?... C'est pas le boulot de l'Etat de prévoir ?





Mais ce sont surtout les médecins qui étaient
et sont tjs pour le clausus numerus. Fric fric !







Ce n'est pas eux qui font les lois.





Ils ne font que les inspirer. Trés mauvais
de confier l'organisation d'une profession
à ceux qui en tirent profit. Voir le
dernier rapport sur les Hopitaux.



Là d'accord !



Aïe aïe aïe ! Mais c'est bien vrai
et sans longs arguments prétentieux.
Avatar
Laurent GARNIER
Cassandre wrote:

Vous feriez bien de lire la suite de ce qui fut écrit !



J'y ai lu qu'en restant a 39 heures on aurait tout regle. Ou alors,
c'est reellement mal explique.

A 39 heures, vous ne pouvez pas dire que les infirmier(e)s etaient sous
utilises (ou alors, on embauchait juste pour rire comme ca histoire de
faire du chiffre).

L'augmentation de la charge aurait existe que l'on soit a 35 ou a 39
heures.

Donc, quoique l'on en pense, il aurait fallu recrute.

Vous pourriez me dire : oui, mais a 39 heures on aurait moins recrute.
Je vous repondrait : rien n'empeche de faire bosser 39 heures du
personnel a 35 heures. Les 35 heures ne sont donc pas le probleme.

Vous me direz alors : oui, mais un personnel a 39 heures (dont 4 heures
supp) coute plus cher maintenant qu'avant. Certe, une heure supp coute
maintenant 25 % plus cher qu'une heure normale. Mais finalement, 4
heures supp, c'est juste payer 5 heures de salaire pour 4 heures
reellement travaillees soit un "depassement de salaire"
hebdomadaire/mensuel de 2,5% environ.

L'hopital est il si pauvre qu'il ne peut se permettre de payer ces 2.5 % ?

--
Laurent GARNIER