http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/05/19/01016-20150519ARTFIG00449-justice-un-rapport-propose-de-doubler-les-delais-de-prescription.php
[...]
http://api.fidji.lefigaro.fr/media/figaro/orig/2015/05/19/INFf3275f7e-fe3b-11e4-bc28-07f0f3bb0dcd-805x261.jpg
Ce mercredi, en commission des lois à l'Assemblée, un rapport
parlementaire baptisé «La prescription en matière pénale» sera présenté.
Il formule 14 propositions pour répondre à ces questions: à partir de
quel moment la justice peut-elle agir? À compter de quand doit-elle
renoncer à poursuivre? Et ce, du crime au simple PV. Des préoccupations
majeures pour le justiciable, avec une réforme à la clé. Voici les
quatre principales innovations que les députés Fenech et Tourret veulent
faire inscrire dans le droit positif français: doubler les délais de
prescription, faciliter la lutte contre les délits financiers, rendre
imprescriptible le crime de guerre et sanctionner l'inaction judiciaire.
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/05/19/01016-20150519ARTFIG00449-justice-un-rapport-propose-de-doubler-les-delais-de-prescription.php
[...]
http://api.fidji.lefigaro.fr/media/figaro/orig/2015/05/19/INFf3275f7e-fe3b-11e4-bc28-07f0f3bb0dcd-805x261.jpg
Ce mercredi, en commission des lois à l'Assemblée, un rapport
parlementaire baptisé «La prescription en matière pénale» sera présenté.
Il formule 14 propositions pour répondre à ces questions: à partir de
quel moment la justice peut-elle agir? À compter de quand doit-elle
renoncer à poursuivre? Et ce, du crime au simple PV. Des préoccupations
majeures pour le justiciable, avec une réforme à la clé. Voici les
quatre principales innovations que les députés Fenech et Tourret veulent
faire inscrire dans le droit positif français: doubler les délais de
prescription, faciliter la lutte contre les délits financiers, rendre
imprescriptible le crime de guerre et sanctionner l'inaction judiciaire.
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/05/19/01016-20150519ARTFIG00449-justice-un-rapport-propose-de-doubler-les-delais-de-prescription.php
[...]
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Ce mercredi, en commission des lois à l'Assemblée, un rapport
parlementaire baptisé «La prescription en matière pénale» sera présenté.
Il formule 14 propositions pour répondre à ces questions: à partir de
quel moment la justice peut-elle agir? À compter de quand doit-elle
renoncer à poursuivre? Et ce, du crime au simple PV. Des préoccupations
majeures pour le justiciable, avec une réforme à la clé. Voici les
quatre principales innovations que les députés Fenech et Tourret veulent
faire inscrire dans le droit positif français: doubler les délais de
prescription, faciliter la lutte contre les délits financiers, rendre
imprescriptible le crime de guerre et sanctionner l'inaction judiciaire.
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/05/19/01016-20150519ARTFIG00449-justice-un-rapport-propose-de-doubler-les-delais-de-prescription.php
[...]
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Ce mercredi, en commission des lois à l'Assemblée, un rapport
parlementaire baptisé «La prescription en matière pénale» sera présenté.
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quel moment la justice peut-elle agir? À compter de quand doit-elle
renoncer à poursuivre? Et ce, du crime au simple PV. Des préoccupations
majeures pour le justiciable, avec une réforme à la clé. Voici les
quatre principales innovations que les députés Fenech et Tourret veulent
faire inscrire dans le droit positif français: doubler les délais de
prescription, faciliter la lutte contre les délits financiers, rendre
imprescriptible le crime de guerre et sanctionner l'inaction judiciaire.
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/05/19/01016-20150519ARTFIG00449-justice-un-rapport-propose-de-doubler-les-delais-de-prescription.php
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Ce mercredi, en commission des lois à l'Assemblée, un rapport
parlementaire baptisé «La prescription en matière pénale» sera présenté.
Il formule 14 propositions pour répondre à ces questions: à partir de
quel moment la justice peut-elle agir? À compter de quand doit-elle
renoncer à poursuivre? Et ce, du crime au simple PV. Des préoccupations
majeures pour le justiciable, avec une réforme à la clé. Voici les
quatre principales innovations que les députés Fenech et Tourret veulent
faire inscrire dans le droit positif français: doubler les délais de
prescription, faciliter la lutte contre les délits financiers, rendre
imprescriptible le crime de guerre et sanctionner l'inaction judiciaire.
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/05/19/01016-20150519ARTFIG00449-justice-un-rapport-propose-de-doubler-les-delais-de-prescription.php
[...]
http://api.fidji.lefigaro.fr/media/figaro/orig/2015/05/19/INFf3275f7e-fe3b-11e4-bc28-07f0f3bb0dcd-805x261.jpg
Ce mercredi, en commission des lois à l'Assemblée, un rapport
parlementaire baptisé «La prescription en matière pénale» sera présenté.
Il formule 14 propositions pour répondre à ces questions: à partir de
quel moment la justice peut-elle agir? À compter de quand doit-elle
renoncer à poursuivre? Et ce, du crime au simple PV. Des préoccupations
majeures pour le justiciable, avec une réforme à la clé. Voici les
quatre principales innovations que les députés Fenech et Tourret veulent
faire inscrire dans le droit positif français: doubler les délais de
prescription, faciliter la lutte contre les délits financiers, rendre
imprescriptible le crime de guerre et sanctionner l'inaction judiciaire.
Le 19/05/2015 22:30, Dever a écrit :http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/05/19/01016-20150519ARTFIG00449-justice-un-rapport-propose-de-doubler-les-delais-de-prescription.php
[...]
http://api.fidji.lefigaro.fr/media/figaro/orig/2015/05/19/INFf3275f7e-fe3b-11e4-bc28-07f0f3bb0dcd-805x261.jpg
Ce mercredi, en commission des lois à l'Assemblée, un rapport
parlementaire baptisé «La prescription en matière pénale» sera présenté.
Il formule 14 propositions pour répondre à ces questions: à partir de
quel moment la justice peut-elle agir? À compter de quand doit-elle
renoncer à poursuivre? Et ce, du crime au simple PV. Des préoccupations
majeures pour le justiciable, avec une réforme à la clé. Voici les
quatre principales innovations que les députés Fenech et Tourret veulent
faire inscrire dans le droit positif français: doubler les délais de
prescription, faciliter la lutte contre les délits financiers, rendre
imprescriptible le crime de guerre et sanctionner l'inaction judiciaire.
Quel rapport avec la finance ?
Ah si, je vois, il s'agit d'associer systématiquement les mots "finance"
et "délit",
Le 19/05/2015 22:30, Dever a écrit :
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/05/19/01016-20150519ARTFIG00449-justice-un-rapport-propose-de-doubler-les-delais-de-prescription.php
[...]
http://api.fidji.lefigaro.fr/media/figaro/orig/2015/05/19/INFf3275f7e-fe3b-11e4-bc28-07f0f3bb0dcd-805x261.jpg
Ce mercredi, en commission des lois à l'Assemblée, un rapport
parlementaire baptisé «La prescription en matière pénale» sera présenté.
Il formule 14 propositions pour répondre à ces questions: à partir de
quel moment la justice peut-elle agir? À compter de quand doit-elle
renoncer à poursuivre? Et ce, du crime au simple PV. Des préoccupations
majeures pour le justiciable, avec une réforme à la clé. Voici les
quatre principales innovations que les députés Fenech et Tourret veulent
faire inscrire dans le droit positif français: doubler les délais de
prescription, faciliter la lutte contre les délits financiers, rendre
imprescriptible le crime de guerre et sanctionner l'inaction judiciaire.
Quel rapport avec la finance ?
Ah si, je vois, il s'agit d'associer systématiquement les mots "finance"
et "délit",
Le 19/05/2015 22:30, Dever a écrit :http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/05/19/01016-20150519ARTFIG00449-justice-un-rapport-propose-de-doubler-les-delais-de-prescription.php
[...]
http://api.fidji.lefigaro.fr/media/figaro/orig/2015/05/19/INFf3275f7e-fe3b-11e4-bc28-07f0f3bb0dcd-805x261.jpg
Ce mercredi, en commission des lois à l'Assemblée, un rapport
parlementaire baptisé «La prescription en matière pénale» sera présenté.
Il formule 14 propositions pour répondre à ces questions: à partir de
quel moment la justice peut-elle agir? À compter de quand doit-elle
renoncer à poursuivre? Et ce, du crime au simple PV. Des préoccupations
majeures pour le justiciable, avec une réforme à la clé. Voici les
quatre principales innovations que les députés Fenech et Tourret veulent
faire inscrire dans le droit positif français: doubler les délais de
prescription, faciliter la lutte contre les délits financiers, rendre
imprescriptible le crime de guerre et sanctionner l'inaction judiciaire.
Quel rapport avec la finance ?
Ah si, je vois, il s'agit d'associer systématiquement les mots "finance"
et "délit",
Quel rapport avec la finance ?
Ah si, je vois, il s'agit d'associer systématiquement les mots "finance"
et "délit",
Parce qu'il est simple et efficace d'attaquer les activités criminelles
là où elles sont le plus sensibles: Le porte-monnaie.
A ces fins, il existe une source d'information facilement accessible,
enfin pour qui voudrait vraiment s'en donner la peine, dans la mesure où
le législateur décide réellement de s'en préoccuper.
Il s'agit de ladite "boite noire" des sociétés de compensation des
transactions financière. Cf Clearstream...
Quel rapport avec la finance ?
Ah si, je vois, il s'agit d'associer systématiquement les mots "finance"
et "délit",
Parce qu'il est simple et efficace d'attaquer les activités criminelles
là où elles sont le plus sensibles: Le porte-monnaie.
A ces fins, il existe une source d'information facilement accessible,
enfin pour qui voudrait vraiment s'en donner la peine, dans la mesure où
le législateur décide réellement de s'en préoccuper.
Il s'agit de ladite "boite noire" des sociétés de compensation des
transactions financière. Cf Clearstream...
Quel rapport avec la finance ?
Ah si, je vois, il s'agit d'associer systématiquement les mots "finance"
et "délit",
Parce qu'il est simple et efficace d'attaquer les activités criminelles
là où elles sont le plus sensibles: Le porte-monnaie.
A ces fins, il existe une source d'information facilement accessible,
enfin pour qui voudrait vraiment s'en donner la peine, dans la mesure où
le législateur décide réellement de s'en préoccuper.
Il s'agit de ladite "boite noire" des sociétés de compensation des
transactions financière. Cf Clearstream...
Le 20/05/2015 13:34, Zor glub écrivit :
Quel rapport avec la finance ?
Ah si, je vois, il s'agit d'associer systématiquement les mots "finance"
et "délit",
Parce qu'il est simple et efficace d'attaquer les activités criminelles
là où elles sont le plus sensibles: Le porte-monnaie.
Tout-à-fait d'accord. Mais il faut s'entendre sur ce qui est une
activité criminelle avant d'avoir envie que la justice frappe le
porte-monnaie.
Il faut aussi admettre pragmatiquement que si la justice
n'a pas eu le temps de s'intéresser à un crime dans le délai actuel de
prescription, une perception d'indemnités des lustres après les faits
n'a aucune justification pour la lutte contre la criminalité.
A ces fins, il existe une source d'information facilement accessible,
enfin pour qui voudrait vraiment s'en donner la peine, dans la mesure où
le législateur décide réellement de s'en préoccuper.
Il s'agit de ladite "boite noire" des sociétés de compensation des
transactions financière. Cf Clearstream...
Là, je ne suis pas d'accord. Il faut être naïf (ou chercher à vendre son
bouquin) pour imaginer que les transactions secrètes peuvent facilement
être investiguées, et que l'on puisse remonter du blanchiment aux
activités criminelles réelles à la source des fonds blanchis.
Je vois 3 objectifs au rapport :
- permettre à certains politiques de se donner une belle image en
s'attaquant à des crimes du passé, pour faire oublier leur incapacité à
résoudre les problèmes du présent.
- compliquer et ralentir le système judiciaire, pour faire vivre la
profession d'avocat d'affaire qu'exercent un si grand nombre de nos élus.
- assurer des rentrées conséquentes de fonds à l'Etat en criminalisant
et punissant un peu plus encore l'évasion fiscale,
qu'on peut pourtant
assimiler au droit constitutionnel de résistance à l'oppression, et
qu'il serait pourtant aussi facile et avantageux de juguler en ramenant
la fiscalité à des niveaux acceptables, suivant les préconisations de
Barthélémy de Laffemas à Henri IV : Les hauts taux tuent les totaux.
Je vous pose la question : Combien de crimes et d'exactions évités par
la mise au jour des comptes en Suisse de mafieux et de grands criminels ?
Le 20/05/2015 13:34, Zor glub écrivit :
Quel rapport avec la finance ?
Ah si, je vois, il s'agit d'associer systématiquement les mots "finance"
et "délit",
Parce qu'il est simple et efficace d'attaquer les activités criminelles
là où elles sont le plus sensibles: Le porte-monnaie.
Tout-à-fait d'accord. Mais il faut s'entendre sur ce qui est une
activité criminelle avant d'avoir envie que la justice frappe le
porte-monnaie.
Il faut aussi admettre pragmatiquement que si la justice
n'a pas eu le temps de s'intéresser à un crime dans le délai actuel de
prescription, une perception d'indemnités des lustres après les faits
n'a aucune justification pour la lutte contre la criminalité.
A ces fins, il existe une source d'information facilement accessible,
enfin pour qui voudrait vraiment s'en donner la peine, dans la mesure où
le législateur décide réellement de s'en préoccuper.
Il s'agit de ladite "boite noire" des sociétés de compensation des
transactions financière. Cf Clearstream...
Là, je ne suis pas d'accord. Il faut être naïf (ou chercher à vendre son
bouquin) pour imaginer que les transactions secrètes peuvent facilement
être investiguées, et que l'on puisse remonter du blanchiment aux
activités criminelles réelles à la source des fonds blanchis.
Je vois 3 objectifs au rapport :
- permettre à certains politiques de se donner une belle image en
s'attaquant à des crimes du passé, pour faire oublier leur incapacité à
résoudre les problèmes du présent.
- compliquer et ralentir le système judiciaire, pour faire vivre la
profession d'avocat d'affaire qu'exercent un si grand nombre de nos élus.
- assurer des rentrées conséquentes de fonds à l'Etat en criminalisant
et punissant un peu plus encore l'évasion fiscale,
qu'on peut pourtant
assimiler au droit constitutionnel de résistance à l'oppression, et
qu'il serait pourtant aussi facile et avantageux de juguler en ramenant
la fiscalité à des niveaux acceptables, suivant les préconisations de
Barthélémy de Laffemas à Henri IV : Les hauts taux tuent les totaux.
Je vous pose la question : Combien de crimes et d'exactions évités par
la mise au jour des comptes en Suisse de mafieux et de grands criminels ?
Le 20/05/2015 13:34, Zor glub écrivit :
Quel rapport avec la finance ?
Ah si, je vois, il s'agit d'associer systématiquement les mots "finance"
et "délit",
Parce qu'il est simple et efficace d'attaquer les activités criminelles
là où elles sont le plus sensibles: Le porte-monnaie.
Tout-à-fait d'accord. Mais il faut s'entendre sur ce qui est une
activité criminelle avant d'avoir envie que la justice frappe le
porte-monnaie.
Il faut aussi admettre pragmatiquement que si la justice
n'a pas eu le temps de s'intéresser à un crime dans le délai actuel de
prescription, une perception d'indemnités des lustres après les faits
n'a aucune justification pour la lutte contre la criminalité.
A ces fins, il existe une source d'information facilement accessible,
enfin pour qui voudrait vraiment s'en donner la peine, dans la mesure où
le législateur décide réellement de s'en préoccuper.
Il s'agit de ladite "boite noire" des sociétés de compensation des
transactions financière. Cf Clearstream...
Là, je ne suis pas d'accord. Il faut être naïf (ou chercher à vendre son
bouquin) pour imaginer que les transactions secrètes peuvent facilement
être investiguées, et que l'on puisse remonter du blanchiment aux
activités criminelles réelles à la source des fonds blanchis.
Je vois 3 objectifs au rapport :
- permettre à certains politiques de se donner une belle image en
s'attaquant à des crimes du passé, pour faire oublier leur incapacité à
résoudre les problèmes du présent.
- compliquer et ralentir le système judiciaire, pour faire vivre la
profession d'avocat d'affaire qu'exercent un si grand nombre de nos élus.
- assurer des rentrées conséquentes de fonds à l'Etat en criminalisant
et punissant un peu plus encore l'évasion fiscale,
qu'on peut pourtant
assimiler au droit constitutionnel de résistance à l'oppression, et
qu'il serait pourtant aussi facile et avantageux de juguler en ramenant
la fiscalité à des niveaux acceptables, suivant les préconisations de
Barthélémy de Laffemas à Henri IV : Les hauts taux tuent les totaux.
Je vous pose la question : Combien de crimes et d'exactions évités par
la mise au jour des comptes en Suisse de mafieux et de grands criminels ?
Le 20/05/2015 13:34, Zor glub écrivit :
Quel rapport avec la finance ?
Ah si, je vois, il s'agit d'associer systématiquement les mots "finance"
et "délit",
Parce qu'il est simple et efficace d'attaquer les activités criminelles
là où elles sont le plus sensibles: Le porte-monnaie.
Tout-à-fait d'accord. Mais il faut s'entendre sur ce qui est une
activité criminelle avant d'avoir envie que la justice frappe le
porte-monnaie.
Il faut aussi admettre pragmatiquement que si la justice
n'a pas eu le temps de s'intéresser à un crime dans le délai actuel de
prescription, une perception d'indemnités des lustres après les faits
n'a aucune justification pour la lutte contre la criminalité.
A ces fins, il existe une source d'information facilement accessible,
enfin pour qui voudrait vraiment s'en donner la peine, dans la mesure où
le législateur décide réellement de s'en préoccuper.
Il s'agit de ladite "boite noire" des sociétés de compensation des
transactions financière. Cf Clearstream...
Là, je ne suis pas d'accord. Il faut être naïf (ou chercher à vendre son
bouquin) pour imaginer que les transactions secrètes peuvent facilement
être investiguées, et que l'on puisse remonter du blanchiment aux
activités criminelles réelles à la source des fonds blanchis.
Je vois 3 objectifs au rapport :
- permettre à certains politiques de se donner une belle image en
s'attaquant à des crimes du passé, pour faire oublier leur incapacité à
résoudre les problèmes du présent.
- compliquer et ralentir le système judiciaire, pour faire vivre la
profession d'avocat d'affaire qu'exercent un si grand nombre de nos élus.
- assurer des rentrées conséquentes de fonds à l'Etat en criminalisant
et punissant un peu plus encore l'évasion fiscale,
qu'on peut pourtant
assimiler au droit constitutionnel de résistance à l'oppression, et
qu'il serait pourtant aussi facile et avantageux de juguler en ramenant
la fiscalité à des niveaux acceptables, suivant les préconisations de
Barthélémy de Laffemas à Henri IV : Les hauts taux tuent les totaux.
Je vous pose la question : Combien de crimes et d'exactions évités par
la mise au jour des comptes en Suisse de mafieux et de grands criminels ?
Le 20/05/2015 13:34, Zor glub écrivit :
Quel rapport avec la finance ?
Ah si, je vois, il s'agit d'associer systématiquement les mots "finance"
et "délit",
Parce qu'il est simple et efficace d'attaquer les activités criminelles
là où elles sont le plus sensibles: Le porte-monnaie.
Tout-à-fait d'accord. Mais il faut s'entendre sur ce qui est une
activité criminelle avant d'avoir envie que la justice frappe le
porte-monnaie.
Il faut aussi admettre pragmatiquement que si la justice
n'a pas eu le temps de s'intéresser à un crime dans le délai actuel de
prescription, une perception d'indemnités des lustres après les faits
n'a aucune justification pour la lutte contre la criminalité.
A ces fins, il existe une source d'information facilement accessible,
enfin pour qui voudrait vraiment s'en donner la peine, dans la mesure où
le législateur décide réellement de s'en préoccuper.
Il s'agit de ladite "boite noire" des sociétés de compensation des
transactions financière. Cf Clearstream...
Là, je ne suis pas d'accord. Il faut être naïf (ou chercher à vendre son
bouquin) pour imaginer que les transactions secrètes peuvent facilement
être investiguées, et que l'on puisse remonter du blanchiment aux
activités criminelles réelles à la source des fonds blanchis.
Je vois 3 objectifs au rapport :
- permettre à certains politiques de se donner une belle image en
s'attaquant à des crimes du passé, pour faire oublier leur incapacité à
résoudre les problèmes du présent.
- compliquer et ralentir le système judiciaire, pour faire vivre la
profession d'avocat d'affaire qu'exercent un si grand nombre de nos élus.
- assurer des rentrées conséquentes de fonds à l'Etat en criminalisant
et punissant un peu plus encore l'évasion fiscale,
qu'on peut pourtant
assimiler au droit constitutionnel de résistance à l'oppression, et
qu'il serait pourtant aussi facile et avantageux de juguler en ramenant
la fiscalité à des niveaux acceptables, suivant les préconisations de
Barthélémy de Laffemas à Henri IV : Les hauts taux tuent les totaux.
Je vous pose la question : Combien de crimes et d'exactions évités par
la mise au jour des comptes en Suisse de mafieux et de grands criminels ?
Le 20/05/2015 13:34, Zor glub écrivit :
Quel rapport avec la finance ?
Ah si, je vois, il s'agit d'associer systématiquement les mots "finance"
et "délit",
Parce qu'il est simple et efficace d'attaquer les activités criminelles
là où elles sont le plus sensibles: Le porte-monnaie.
Tout-à-fait d'accord. Mais il faut s'entendre sur ce qui est une
activité criminelle avant d'avoir envie que la justice frappe le
porte-monnaie.
Il faut aussi admettre pragmatiquement que si la justice
n'a pas eu le temps de s'intéresser à un crime dans le délai actuel de
prescription, une perception d'indemnités des lustres après les faits
n'a aucune justification pour la lutte contre la criminalité.
A ces fins, il existe une source d'information facilement accessible,
enfin pour qui voudrait vraiment s'en donner la peine, dans la mesure où
le législateur décide réellement de s'en préoccuper.
Il s'agit de ladite "boite noire" des sociétés de compensation des
transactions financière. Cf Clearstream...
Là, je ne suis pas d'accord. Il faut être naïf (ou chercher à vendre son
bouquin) pour imaginer que les transactions secrètes peuvent facilement
être investiguées, et que l'on puisse remonter du blanchiment aux
activités criminelles réelles à la source des fonds blanchis.
Je vois 3 objectifs au rapport :
- permettre à certains politiques de se donner une belle image en
s'attaquant à des crimes du passé, pour faire oublier leur incapacité à
résoudre les problèmes du présent.
- compliquer et ralentir le système judiciaire, pour faire vivre la
profession d'avocat d'affaire qu'exercent un si grand nombre de nos élus.
- assurer des rentrées conséquentes de fonds à l'Etat en criminalisant
et punissant un peu plus encore l'évasion fiscale,
qu'on peut pourtant
assimiler au droit constitutionnel de résistance à l'oppression, et
qu'il serait pourtant aussi facile et avantageux de juguler en ramenant
la fiscalité à des niveaux acceptables, suivant les préconisations de
Barthélémy de Laffemas à Henri IV : Les hauts taux tuent les totaux.
Je vous pose la question : Combien de crimes et d'exactions évités par
la mise au jour des comptes en Suisse de mafieux et de grands criminels ?
Mais il faut s'entendre sur ce qui est une activité criminelle avant
d'avoir envie que la justice frappe le porte-monnaie.
Mais il faut s'entendre sur ce qui est une activité criminelle avant
d'avoir envie que la justice frappe le porte-monnaie.
Mais il faut s'entendre sur ce qui est une activité criminelle avant
d'avoir envie que la justice frappe le porte-monnaie.
"Mol" a écrit:Mais il faut s'entendre sur ce qui est une activité criminelle avant
d'avoir envie que la justice frappe le porte-monnaie.
Le justiciable qui se présente au Tribunal sur la base du volontariat.
Ca vous irait ?
"Mol" <molagnon@ifremer-a-oter.fr> a écrit:
Mais il faut s'entendre sur ce qui est une activité criminelle avant
d'avoir envie que la justice frappe le porte-monnaie.
Le justiciable qui se présente au Tribunal sur la base du volontariat.
Ca vous irait ?
"Mol" a écrit:Mais il faut s'entendre sur ce qui est une activité criminelle avant
d'avoir envie que la justice frappe le porte-monnaie.
Le justiciable qui se présente au Tribunal sur la base du volontariat.
Ca vous irait ?
Quel rapport avec la finance ?
Ah si, je vois, il s'agit d'associer systématiquement les mots "finance" et
"délit", à fins de propagande virale politicarde...
Quel rapport avec la finance ?
Ah si, je vois, il s'agit d'associer systématiquement les mots "finance" et
"délit", à fins de propagande virale politicarde...
Quel rapport avec la finance ?
Ah si, je vois, il s'agit d'associer systématiquement les mots "finance" et
"délit", à fins de propagande virale politicarde...
Eh bien, la réponse est simple: tout ce qui est qualifié de criminel par
la loi.
En quoi cela vous pose-t-il problème?
Eh bien, la réponse est simple: tout ce qui est qualifié de criminel par
la loi.
En quoi cela vous pose-t-il problème?
Eh bien, la réponse est simple: tout ce qui est qualifié de criminel par
la loi.
En quoi cela vous pose-t-il problème?