Twitter iPhone pliant OnePlus 11 PS5 Disney+ Orange Livebox Windows 11

La Gr

27 réponses
Avatar
at
Ce que la télévision française ne vous montre pas

http://www.mecanopolis.org/?p=14391

La Grèce a adopté vendredi son plan de rigueur alors que le pays était
quasiment paralysé par des grèves et des manifestations, dont l’une à
Athènes marquée par de violents affrontements entre policiers et
travailleurs.

(voir les photos)

7 réponses

1 2 3
Avatar
alain
abourick wrote:
jerrykan a écrit :
> On Mar 7, 11:10 am, roaringriton wrote:
>> abourick a écrit :
>>> at a écrit :
>>>> Ce que la télévision française ne vous montre pas
>>>> http://www.mecanopolis.org/?p391
>>>> La Grèce a adopté vendredi son plan de rigueur alors que le pays était
>>>> quasiment paralysé par des grèves et des manifestations, dont l'une à
>>>> Athènes marquée par de violents affrontements entre policiers et
>>>> travailleurs.
>>> Certains disent que :
>>> "Les Grecs c'est une sacrée mafia de connards, de véreux et de pourris.
>>> On n'aurait jamais dû accepter au sein du marché commun cette bande de
>>> fumiers qui ne pensent qu'à truander et profiter des autres. Qu'ils
>>> s'entre-exterminent, bon débarras."
>>> Sans aller aussi loin je pense tout de même que les Grecs ont abusé de
>>> notre confiance et qu'ils ne méritent plus notre soutien.
>> Abourik est déçu.
>> Lui qui soutenait les Grecs, se sent trahi.
>>
>> Qu'est ce qu'on peut pas lire comme conneries sur ce forum.
>
> le crétin politique riri-le-rat essait de donner son "avis".... cad d'
> insulter ceux qui ne pensent pas comme lui ! quel humaniste ! quel pro-
> gré-SSiSSte notre anarcho !

Il est con-trarié. Des problèmes de gros sous sans doute.



Ce sont pourtant les deux ânes qui viennent de braire ici qui lancent
80% des insultes sur ce forum, amusant !

Alain
Avatar
abourick
Alain191 a écrit :
Ce sont pourtant les deux ânes qui viennent de braire ici qui lancent
80% des insultes sur ce forum, amusant !




Et qui donc vient se frotter aux ânes ? :-D
Avatar
Dobb
"paul geister" :

Pourtant le grand soir serait bien utile ne serait ce que pour éliminer des fachos comme
ceux qui nous gouvernent (mal)



A quoi ça sert d'éliminer les dirigeants si c'est pour conserver
la clique de fonctionnaires qui n'a jamais fait qu'exécuter leurs
basses oeuvres ?

Il faut se réjouir de voir qu'en Grèce, ce sont justement ces
petits gardiens de camp qui font les frais de la débâcle dont
ils sont eux-mêmes à l'origine. Ah que leur 14ème mois va
leur manquer ;-)

J'adore ;-))))

Dobb
Avatar
Mara Jade Skywalker
at nous a concocté:

Ce que la télévision française ne vous montre pas

http://www.mecanopolis.org/?p391

La Grèce a adopté vendredi son plan de rigueur alors que le pays était
quasiment paralysé par des grèves et des manifestations, dont l’une à
Athènes marquée par de violents affrontements entre policiers et
travailleurs.

(voir les photos)



Les syndicats gauchistes tiennent à leurs privilèges... encore plus
conservateurs que les conservateurs... peur du changement et de
se serrer la ceinture...

--
Jacqueline "Jade" Devereaux - http://jacqueline-devereaux.blogspot.com/
[remplacez antispam.cool par jacquie.devereaux]
Victor: "Tsahal correctionne grave, disperse menu, et ventile loin!"
Broc_Ex_Co: "Ah ces Américains, même quand ils s'excusent,
ils nous font la leçon!"
Avatar
Tarasz
Le Mon, 08 Mar 2010 10:42:07 +0100, Mara Jade Skywalker a écrit :

Les syndicats gauchistes tiennent à leurs privilèges... encore plus
conservateurs que les conservateurs... peur du changement et de se
serrer la ceinture...



Est il bien sûr que la famille Onassis va aussi se serrer la ceinture?
Avatar
FdP
Salut,

La Grèce certes, mais aussi l'Islande, l'Irlande, le Portugal et très
certainement bientôt l'Espagne, la France...

Je crois que la question ne porte pas réellement sur les efforts et/ou
sacrifices demandés, mais bel et bien des causes, des raisons et des
prétextes utilisés par les gouvernants. Ces mêmes gouvernements qui
ont tenu à sauver les banques, leur ont filé des milliards, qu'elles
ont en réalité utilisé pour spéculer en prenant d'énormes risques , le
but étant de rembourser le plus vite possible afin d'avoir les mains
libres, et de ne pas tenir compte de la suite.

C'est aussi pour des dépenses fixes, qui année après année se sont
accumulées, et qui finissent en étant cumulées, à représenter des
sommes trop importantes pour pouvoir être remboursées, tout en
laissant de quoi vivre à celles et ceux qui remboursent. Les peuples
ne veulent pas payer pour la finance, pour les magouilles des
banquiers, des spéculateurs et rentiers en tous genres.

Lors du référendum organisé le week end dernier en Islande, le
résultat parle de lui même : 93% ont répondu NON à la question de
savoir s'ils acceptaient de rembourser 100€ de plus par mois pendant X
années, pour boucher les trous creusés par d'autres, par des arnaques,
des chiffres truqués avec la complicité de mafieux comme Leimann
Brothers.

La proportion sera certainement la même partout, puisqu'elle
représente en gros, les proportions de pilleurs et des victimes. Des
politiques favorisant 5 à 10% de la population, directement ou
indirectement, et au détriment de tous les autres. Pas étonnant
qu'avec ce genre de choses, tous les peuples d'europe aient rejeté
cette europe à magouilles, dès lors qu'on leur a donner l'occasion de
s'exprimer. Dans certains pays, aux gouvernants encore plus corrompus
et pourris jusqu'à la moelle, ils sont allés jusqu'à imposer un
traité, qui avait été pourtant rejeté par 55% des électeurs.

Les mafieux ont créé Bruxelles. Nous devons, nous les peuples, aussi
nous réunir, nous organiser pour agir. Certes pour l'instant, c'est
sur une chaise et derrière un écran, mais il faut bien commencer. Je
me vois mal aller en centre ville manifester tout seul avec ma
pancarte, me faire ramasser par les keufs pour passer la journée au
commissariat, comme c'est aujourd'hui devenu la coutume (du moins à
Poitiers). Et pour l'instant, mais ça viendra peut être un jour, nous
n'en sommes pas encore à organiser des virées punitives en commandos
nocturnes. Mais à la vitesse où vont les choses, tout peut arriver...

Quoi qu'il en soit, nous ne nous laisserons pas plumer plus longtemps.
Etant donné qu'ils n'ont pas les couilles d'officialiser la dictature,
il reste encore pas mal d'alternative dont celle qui consiste à sortir
du système officiel, pour vivre en parallèle, le temps de voir comment
les choses évoluent. Si ça coinçait trop et durait trop longtemps, il
serait toujours temps de quitter le pays pour une vraie démocratie, où
le pouvoir n'est pas aux mains de ripoux en costard et cravate.

FdP

--------------------------------------------------------------------------- --------------------------------------------------------------------------- ------------------------------------------------------------------------
--------------------------------------------------------------------------- --------------------------------------------------------------------------- ------------------------------------------------------------------------
L'Islande fait de la résistance
Islande dette Icesave

93% des Islandais en âge de le faire ont voté rejeté l'application de
la loi dite "Icesave", qui aurait créé une dette d'un peu plus de
12.000 euros sur la tête de chaque citoyen de ce pays. "Icesave" est
le nom d'une banque en ligne lancée par la Landsbanski, l'une des 3
principales banques islandaise, pour attirer une clientèle britannique
(dès 2006) puis néerlandaise (en 2008) en proposant des taux de
rémunération élevés. Couronnée de succès, l'initiative a fait l es
beaux jours de l'établissement, du moins jusqu'à l'arrivée de la cris e
financière. Icesave n'a résisté qu'un mois à la faillite de la banq ue
d'affaires américaine Lehman Brothers, qui a plongé les marchés
financiers dans le chaos. En octobre 2008, la banque en ligne mettait
la clef sous la porte dans le sillage de sa maison-mère Landsbanski,
au grand dam de ses clients. S'ils ont pu récupérer depuis leurs
avoirs, grâce aux garanties apportées par leurs pays respectifs, ce
sont désormais le Royaume-Uni et les Pays-Bas qui veulent revoir la
couleur des sommes offertes en compensation. "On demande aux gens
ordinaires, paysans, pêcheurs, contribuables, docteurs, infirmières,
enseignants, de supporter via la fiscalité une charge créée par des
banquiers avaricieux", a expliqué le Président islandais pour
justifier le rejet, dans un entretien à la chaîne financière Bloomber g
vendredi soir. Il ne fait d'ailleurs pas bon être banquier dans le
pays par les temps qui courent, on l'imagine bien. Quelques-uns
d'entre eux ont vu leurs véhicules ou leurs maisons aspergés de
peinture rouge, et la profession mettra du temps avant de se refaire
une réputation.

Pour comprendre la situation islandaise, il faut remonter aux
fondements de son économie. Avant octobre 2008, l'Islande figurait
dans le gotha des pays les plus développés et les plus riches du
monde. Ce petit Etat insulaire, situé à plus de 1.000 kilomètres du
nord de l'Ecosse et des côtes norvégiennes, initialement dépendant de
la pêche, avait bâti un secteur tertiaire puissant, notamment au
niveau financier. Mais après la faillite de la banque d'affaires
américaine Lehman Brothers en septembre 2008, le pays a découvert
stupéfait la fragilité de ses trois grandes banques. L'édifice s'est
effondré comme un château de cartes et les autorités ont dû prendre le
contrôle des activités domestiques de Glitnir, Kauphting et
Landsbanski, pour éviter une catastrophe économique nationale et
garantir les dépôts des épargnants. Les FMI, les pays scandinaves et
leurs autorités monétaires jusqu'à la Russie ont mobilisé des fonds
pour sauver l'Etat de la faillite (la dette des trois établissements
représentait alors plus de 5 fois le PIB annuel du pays). Depuis,
l'économie islandaise cherche à remonter péniblement la pente, sous
perfusion internationale.

Quand la déconfiture d'Icesave est apparue évidente, symbolisée par u n
commentaire laconique sur son site internet, le seul véritable lien
des épargnants lésés avec l'établissement, Londres et La Haye ont
rapidement appelé les autorités islandaises à prendre leurs
responsabilités. Gordon Brown était même allé jusqu'à faire saisi r les
avoirs de Landsbanski sur son territoire, tout en gelant des positions
liées à la banque appartenant à l'Etat islandais et à la banque
centrale du pays. En janvier, dans un souci d'apaisement, le
gouvernement islandais avait fini par soumettre à son parlement un
texte dans lequel il apportait la garantie de l'Etat sur les sommes
déposées par les britanniques et les néerlandais, en proposant un
schéma de remboursement conditionnel et progressif grâce à la
mobilisation d'une partie des aides obtenues de la communauté
internationale. Le montant des sommes en jeu avoisine les 3,2
milliards d'euros. Après des débats difficiles, les députés islanda is
avaient approuvé le texte, que le Président Olafur Grimsson refusa de
promulguer, après avoir reçu une pétition de la part de 60.000
habitants de l'île. Il proposa un référendum dont l'issue ne faisait
guère de doute.

L'agence de notation Moody's avait prévenu dès la fin février qu'un
"non" au référendum risquerait "d'empêcher l'accès à des sources de
liquidités externes importantes du FMI et des pays nordiques, dans la
mesure où le Royaume-Uni et les Pays-Bas ont bloqué la progression du
programme du FMI en attendant une issue à la dispute". Pour Kenneth
Orchard, responsable du risque souverain au sein du bureau d'études,
l'absence de compromis met à mal la reprise naissante du pays et
brouille considérablement ses perspectives.

Le Ministre des Finances néerlandais s'est dit "déçu" par le vote,
comme le gouvernement britannique qui n'est toutefois "pas surpris".
Les trois pays ont néanmoins affirmé être résolus à poursuivre le s
discussions pour signer un nouvel accord. Avec les élections qui se
profilent au Royaume-Uni et aux Pays-Bas en juin, la possibilité de
trouver un compromis avant la fin du printemps apparaît cependant
optimiste aux observateurs. L'Islande, dont l'image était déjà corn ée
sur la scène internationale, n'a sans doute pas marqué de points dans
son projet d'adhésion à l'Union Européenne en 2012, même si Bruxell es
laisse entendre que la gestion du dossier Icesave est indépendante de
la candidature. Un avis que ne partagent pas Londres et La Haye.

http://www.boursier.com/vals/all/l-islande-fait-de-la-resistance-eco-532.ht m
Avatar
Tarasz
Le Mon, 08 Mar 2010 13:22:00 +0100, abourick a écrit :

Est-il bien certain que ce soit la famille Onassis qui ait profité des
carambouilles et des escroqueries du gouvernement grec ? Ne sont-ce pas
plutôt les Grecs appartenant aux mafias syndicales de gauche ?



Pourtant la famille Onassis est toujours réputée ne pas payer un sou
d'impôts en Grèce.
Dans ce pays les impôts sont retenus à la source pour les salariés /
retraités et pas pour les commerçants et professions libérales.
Résultat, le revenu annuel déclaré pour les salariés est de 16000 euros
par an et 10000 pour les médecins, dentistes, notaires et autres avocats.
Je ne parle pas de l'église qui est le premier propriétaire foncier du
pays et ne paye pas un centime.
Tous des gauchistes sans doute.
1 2 3