La magistrature !
Le
Philippe

Yoyo,
Alors on fait pas dans le détaille le procureur requière la relax=
pour le mur des conS
Va t’on parler du droit de la presse ?
Le suspense est ta son comble !
Quand es que les cons seront poursuivis, là est la vraie question ?
—
Philippe
Alors on fait pas dans le détaille le procureur requière la relax=
pour le mur des conS
Va t’on parler du droit de la presse ?
Le suspense est ta son comble !
Quand es que les cons seront poursuivis, là est la vraie question ?
—
Philippe
Être "con" n'est pas un délit.
--
Arthur
L'hôpital, la charité...
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Arthur
Je vous laisse à votre cour de récréation.
--
Arthur
Revenez quand vous saurez construire des phrases qui ont du sens.
Un banissement à vie ?
Vous êtes dur !
--
Arthur
Je suis le roseau vous êtes le chêne j’espère que vo us aurais asser de jujote pour comprendre ?
Le Chêne un jour dit au Roseau :
"Vous avez bien sujet d'accuser la Nature ;
Un Roitelet pour vous est un pesant fardeau.
Le moindre vent, qui d'aventure
Fait rider la face de l'eau,
Vous oblige à baisser la tête :
Cependant que mon front, au Caucase pareil,
Non content d'arrêter les rayons du soleil,
Brave l'effort de la tempête.
Tout vous est Aquilon, tout me semble Zéphyr.
Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage
Dont je couvre le voisinage,
Vous n'auriez pas tant à souffrir :
Je vous défendrais de l'orage ;
Mais vous naissez le plus souvent
Sur les humides bords des Royaumes du vent.
La nature envers vous me semble bien injuste.
- Votre compassion, lui répondit l'Arbuste,
Part d'un bon naturel ; mais quittez ce souci.
Les vents me sont moins qu'à vous redoutables.
Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici
Contre leurs coups épouvantables
Résisté sans courber le dos ;
Mais attendons la fin. "Comme il disait ces mots,
Du bout de l'horizon accourt avec furie
Le plus terrible des enfants
Que le Nord eût portés jusque-là dans ses flancs.
L'Arbre tient bon ; le Roseau plie.
Le vent redouble ses efforts,
Et fait si bien qu'il déracine
Celui de qui la tête au Ciel était voisine
Et dont les pieds touchaient à l'Empire des Morts.
—
Ptilou
C'est la danse des canards
Qui en sortant de la mare
Se secouent le bas des reins
Et font coin-coin
Faites comme les petits canards
Et pour que tout l'monde se marre
Remuez le popotin
En f'sant coin-coin
À présent claquez du bec
En secouant vos plumes avec
Avec beaucoup plus d'entrain
Et des coin-coin
Allez mettez-en un coup
On s'amuse comme des p'tits fous
Maintenant pliez les g'noux
Redressez-vous
Tournez, c'est la fête
Bras dessus-dessous
Comme des girouettes
C'est super chouette
C'est extra-fou
C'est la danse des canards
Les gamins comme les loubards
Vont danser ce gai refrain
Dans tous les coins
Ne soyez pas en retard
Car la danse des canards
C'est le tube de demain
Coin-coin, coin-coin
Il suffit d'fermer le bec
En mettant ses plumes au sec
Pliez les genoux c'est bien
Et faites coin-coin
Ça y est vous avez compris
Attention c'n'est pas fini
Nous allons jusqu'au matin
Faire des coin-coin
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone
Liberté, Egalité, Sale assisté.
Superbe analyse juridique ...
... Signature du niveau de votre analyse.
Une illustration donc que la compétence en langue française ne se
transmet pas par lien de proximité.
Euh, non, juste le temps qu'il acquiert les compétences nécessaires.
Ceci dit, je peux comprendre votre pessimisme.