José Manuel Barroso, le président de la Commission européenne, ne
viendra donc pas, le 21 avril, à "100 minutes pour convaincre",
expliquer sa vision de l'Europe. Le président de France Télévisions,
Marc Tessier, a téléphoné le 22 mars à la porte-parole de M. Barroso,
la Française Françoise Le Bail, pour la prévenir que l'émission était
"ajournée". Deux jours plus tard, il écrivait une lettre au président
de la Commission européenne affirmant : "Les développements de la
campagne référendaire en France et les règles de comptabilisation des
temps de parole peuvent alimenter une controverse sur votre
intervention (...). C'est pourquoi mes collaborateurs de la rédaction
de France 2 et moi-même avons considéré qu'un report était inévitable."
L'annulation par France 2 d'un débat télévisé dont le président de la Commission européenne était l'invité confirme l'état d'arriération démocratique dans lequel macèrent les habitants de l'Hexagone. Selon L'Express, la chaîne de service public avait invité José Manuel Durao Barroso à parler le 21 avril du Traité constitutionnel européen. Jacques Chirac qui venait de s'affronter à Manuel Barroso sur la directive Bolkestein se serait fâché et Matignon aurait transmis les échos de cette contrariété à la direction de France Télévisions. Le quotidien Le Monde a obtenu confirmation de la présidence de la Commission de Bruxelles.
La censure existe
Ne seront étonnés par cette anecdote que ceux qui croient que la censure n'existe plus dans ce pays et ceux qui s'imaginent que tous les journalistes se sont donné les moyens d'être indépendants. La censure existe. Le pouvoir qui l'exerce s'est simplement déplacé. En 1966, quand le ministre Alain Peyrefitte faisait interdire le film de Jacques Rivette « La religieuse », le pouvoir politique imposait sa conception de l'ordre moral. En mars 2005, c'est le pouvoir judiciaire qui fait retirer une affiche parodiant « La Cène » de Léonard de Vinci à la demande d'une association confessionnelle. Dans le cas de l'anecdote télévisuelle, il s'agirait plutôt d'autocensure, si l'on en croit L'Express et Le Monde. La question n'est pas de savoir, en effet, si les pouvoirs exercent des pressions mais comment les journalistes réagissent.
La veulerie des journalistes
La tendance, notamment dans le service public, n'est pas de résister aux pressions mais de se conformer à l'avance aux désirs des puissants du moment. La carrière de quelques notables de l'audiovisuel, de Pompidou à Chirac en passant par Giscard et Mitterrand, s'est construite sur des allégeances successives. Par exemple : aujourd'hui Chirac, demain Sarkozy. Les politiques ne sont pas responsables de la veulerie de leurs interlocuteurs. Contrairement à ce qui se passe aux Etats-Unis où des contre-pouvoirs citoyens font tomber des « stars » comme Dan Rather, il n'y a pas ici de vigilance médiatique. Quand le journalisme défaille, un Michael Moore surgit pour interpeller les puissants. La France avait en la personne de Pierre Carles un précurseur de Michael Moore. « Inforexiques » (manque d'appétence pour l'information) et peu soucieux de vérité, les Français ont l'information qu'ils méritent. Restent les colères de Jacques Chirac. Elles dressent le président français contre George Bush, contre Manuel Barroso, contre Tony Blair, après avoir visé naguère les Pays-Bas et l'Italie. Ces courroux ne changent rien à la marche du monde.
L'annulation par France 2 d'un débat télévisé dont le président de la
Commission européenne était l'invité confirme l'état d'arriération
démocratique dans lequel macèrent les habitants de l'Hexagone.
Selon L'Express, la chaîne de service public avait invité José Manuel
Durao Barroso à parler le 21 avril du Traité constitutionnel européen.
Jacques Chirac qui venait de s'affronter à Manuel Barroso sur la
directive Bolkestein se serait fâché et Matignon aurait transmis les
échos de cette contrariété à la direction de France Télévisions. Le
quotidien Le Monde a obtenu confirmation de la présidence de la
Commission de Bruxelles.
La censure existe
Ne seront étonnés par cette anecdote que ceux qui croient que la censure
n'existe plus dans ce pays et ceux qui s'imaginent que tous les
journalistes se sont donné les moyens d'être indépendants.
La censure existe. Le pouvoir qui l'exerce s'est simplement déplacé. En
1966, quand le ministre Alain Peyrefitte faisait interdire le film de
Jacques Rivette « La religieuse », le pouvoir politique imposait sa
conception de l'ordre moral. En mars 2005, c'est le pouvoir judiciaire
qui fait retirer une affiche parodiant « La Cène » de Léonard de Vinci à
la demande d'une association confessionnelle.
Dans le cas de l'anecdote télévisuelle, il s'agirait plutôt
d'autocensure, si l'on en croit L'Express et Le Monde. La question n'est
pas de savoir, en effet, si les pouvoirs exercent des pressions mais
comment les journalistes réagissent.
La veulerie des journalistes
La tendance, notamment dans le service public, n'est pas de résister aux
pressions mais de se conformer à l'avance aux désirs des puissants du
moment. La carrière de quelques notables de l'audiovisuel, de Pompidou à
Chirac en passant par Giscard et Mitterrand, s'est construite sur des
allégeances successives. Par exemple : aujourd'hui Chirac, demain Sarkozy.
Les politiques ne sont pas responsables de la veulerie de leurs
interlocuteurs. Contrairement à ce qui se passe aux Etats-Unis où des
contre-pouvoirs citoyens font tomber des « stars » comme Dan Rather, il
n'y a pas ici de vigilance médiatique. Quand le journalisme défaille, un
Michael Moore surgit pour interpeller les puissants. La France avait en
la personne de Pierre Carles un précurseur de Michael Moore. «
Inforexiques » (manque d'appétence pour l'information) et peu soucieux
de vérité, les Français ont l'information qu'ils méritent.
Restent les colères de Jacques Chirac. Elles dressent le président
français contre George Bush, contre Manuel Barroso, contre Tony Blair,
après avoir visé naguère les Pays-Bas et l'Italie. Ces courroux ne
changent rien à la marche du monde.
L'annulation par France 2 d'un débat télévisé dont le président de la Commission européenne était l'invité confirme l'état d'arriération démocratique dans lequel macèrent les habitants de l'Hexagone. Selon L'Express, la chaîne de service public avait invité José Manuel Durao Barroso à parler le 21 avril du Traité constitutionnel européen. Jacques Chirac qui venait de s'affronter à Manuel Barroso sur la directive Bolkestein se serait fâché et Matignon aurait transmis les échos de cette contrariété à la direction de France Télévisions. Le quotidien Le Monde a obtenu confirmation de la présidence de la Commission de Bruxelles.
La censure existe
Ne seront étonnés par cette anecdote que ceux qui croient que la censure n'existe plus dans ce pays et ceux qui s'imaginent que tous les journalistes se sont donné les moyens d'être indépendants. La censure existe. Le pouvoir qui l'exerce s'est simplement déplacé. En 1966, quand le ministre Alain Peyrefitte faisait interdire le film de Jacques Rivette « La religieuse », le pouvoir politique imposait sa conception de l'ordre moral. En mars 2005, c'est le pouvoir judiciaire qui fait retirer une affiche parodiant « La Cène » de Léonard de Vinci à la demande d'une association confessionnelle. Dans le cas de l'anecdote télévisuelle, il s'agirait plutôt d'autocensure, si l'on en croit L'Express et Le Monde. La question n'est pas de savoir, en effet, si les pouvoirs exercent des pressions mais comment les journalistes réagissent.
La veulerie des journalistes
La tendance, notamment dans le service public, n'est pas de résister aux pressions mais de se conformer à l'avance aux désirs des puissants du moment. La carrière de quelques notables de l'audiovisuel, de Pompidou à Chirac en passant par Giscard et Mitterrand, s'est construite sur des allégeances successives. Par exemple : aujourd'hui Chirac, demain Sarkozy. Les politiques ne sont pas responsables de la veulerie de leurs interlocuteurs. Contrairement à ce qui se passe aux Etats-Unis où des contre-pouvoirs citoyens font tomber des « stars » comme Dan Rather, il n'y a pas ici de vigilance médiatique. Quand le journalisme défaille, un Michael Moore surgit pour interpeller les puissants. La France avait en la personne de Pierre Carles un précurseur de Michael Moore. « Inforexiques » (manque d'appétence pour l'information) et peu soucieux de vérité, les Français ont l'information qu'ils méritent. Restent les colères de Jacques Chirac. Elles dressent le président français contre George Bush, contre Manuel Barroso, contre Tony Blair, après avoir visé naguère les Pays-Bas et l'Italie. Ces courroux ne changent rien à la marche du monde.
L'article du Telegramme est extraordinaire de verité, je fais un copier/coller histoire d'avoir une archive.
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L'annulation par France 2 d'un débat télévisé dont le président de la Commission européenne était l'invité confirme l'état d'arriération démocratique dans lequel macèrent les habitants de l'Hexagone. Selon L'Express, la chaîne de service public avait invité José Manuel Durao Barroso à parler le 21 avril du Traité constitutionnel européen. Jacques Chirac qui venait de s'affronter à Manuel Barroso sur la directive Bolkestein se serait fâché et Matignon aurait transmis les échos de cette contrariété à la direction de France Télévisions. Le quotidien Le Monde a obtenu confirmation de la présidence de la Commission de Bruxelles.
La censure existe
Ne seront étonnés par cette anecdote que ceux qui croient que la censure n'existe plus dans ce pays et ceux qui s'imaginent que tous les journalistes se sont donné les moyens d'être indépendants. La censure existe. Le pouvoir qui l'exerce s'est simplement déplacé. En 1966, quand le ministre Alain Peyrefitte faisait interdire le film de Jacques Rivette « La religieuse », le pouvoir politique imposait sa conception de l'ordre moral. En mars 2005, c'est le pouvoir judiciaire qui fait retirer une affiche parodiant « La Cène » de Léonard de Vinci à la demande d'une association confessionnelle. Dans le cas de l'anecdote télévisuelle, il s'agirait plutôt d'autocensure, si l'on en croit L'Express et Le Monde. La question n'est pas de savoir, en effet, si les pouvoirs exercent des pressions mais comment les journalistes réagissent.
La veulerie des journalistes
La tendance, notamment dans le service public, n'est pas de résister aux pressions mais de se conformer à l'avance aux désirs des puissants du moment. La carrière de quelques notables de l'audiovisuel, de Pompidou à Chirac en passant par Giscard et Mitterrand, s'est construite sur des allégeances successives. Par exemple : aujourd'hui Chirac, demain Sarkozy. Les politiques ne sont pas responsables de la veulerie de leurs interlocuteurs. Contrairement à ce qui se passe aux Etats-Unis où des contre-pouvoirs citoyens font tomber des « stars » comme Dan Rather, il n'y a pas ici de vigilance médiatique. Quand le journalisme défaille, un Michael Moore surgit pour interpeller les puissants. La France avait en la personne de Pierre Carles un précurseur de Michael Moore. « Inforexiques » (manque d'appétence pour l'information) et peu soucieux de vérité, les Français ont l'information qu'ils méritent. Restent les colères de Jacques Chirac. Elles dressent le président français contre George Bush, contre Manuel Barroso, contre Tony Blair, après avoir visé naguère les Pays-Bas et l'Italie. Ces courroux ne changent rien à la marche du monde.
L'article du Telegramme est extraordinaire de verité, je fais un
copier/coller histoire d'avoir une archive.
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L'annulation par France 2 d'un débat télévisé dont le président de la
Commission européenne était l'invité confirme l'état d'arriération
démocratique dans lequel macèrent les habitants de l'Hexagone.
Selon L'Express, la chaîne de service public avait invité José Manuel
Durao Barroso à parler le 21 avril du Traité constitutionnel européen.
Jacques Chirac qui venait de s'affronter à Manuel Barroso sur la
directive Bolkestein se serait fâché et Matignon aurait transmis les
échos de cette contrariété à la direction de France Télévisions. Le
quotidien Le Monde a obtenu confirmation de la présidence de la
Commission de Bruxelles.
La censure existe
Ne seront étonnés par cette anecdote que ceux qui croient que la
censure n'existe plus dans ce pays et ceux qui s'imaginent que tous les
journalistes se sont donné les moyens d'être indépendants.
La censure existe. Le pouvoir qui l'exerce s'est simplement déplacé. En
1966, quand le ministre Alain Peyrefitte faisait interdire le film de
Jacques Rivette « La religieuse », le pouvoir politique imposait sa
conception de l'ordre moral. En mars 2005, c'est le pouvoir judiciaire
qui fait retirer une affiche parodiant « La Cène » de Léonard de Vinci
à la demande d'une association confessionnelle.
Dans le cas de l'anecdote télévisuelle, il s'agirait plutôt
d'autocensure, si l'on en croit L'Express et Le Monde. La question
n'est pas de savoir, en effet, si les pouvoirs exercent des pressions
mais comment les journalistes réagissent.
La veulerie des journalistes
La tendance, notamment dans le service public, n'est pas de résister
aux pressions mais de se conformer à l'avance aux désirs des puissants
du moment. La carrière de quelques notables de l'audiovisuel, de
Pompidou à Chirac en passant par Giscard et Mitterrand, s'est
construite sur des allégeances successives. Par exemple : aujourd'hui
Chirac, demain Sarkozy.
Les politiques ne sont pas responsables de la veulerie de leurs
interlocuteurs. Contrairement à ce qui se passe aux Etats-Unis où des
contre-pouvoirs citoyens font tomber des « stars » comme Dan Rather, il
n'y a pas ici de vigilance médiatique. Quand le journalisme défaille,
un Michael Moore surgit pour interpeller les puissants. La France avait
en la personne de Pierre Carles un précurseur de Michael Moore. «
Inforexiques » (manque d'appétence pour l'information) et peu soucieux
de vérité, les Français ont l'information qu'ils méritent.
Restent les colères de Jacques Chirac. Elles dressent le président
français contre George Bush, contre Manuel Barroso, contre Tony Blair,
après avoir visé naguère les Pays-Bas et l'Italie. Ces courroux ne
changent rien à la marche du monde.
L'article du Telegramme est extraordinaire de verité, je fais un copier/coller histoire d'avoir une archive.
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L'annulation par France 2 d'un débat télévisé dont le président de la Commission européenne était l'invité confirme l'état d'arriération démocratique dans lequel macèrent les habitants de l'Hexagone. Selon L'Express, la chaîne de service public avait invité José Manuel Durao Barroso à parler le 21 avril du Traité constitutionnel européen. Jacques Chirac qui venait de s'affronter à Manuel Barroso sur la directive Bolkestein se serait fâché et Matignon aurait transmis les échos de cette contrariété à la direction de France Télévisions. Le quotidien Le Monde a obtenu confirmation de la présidence de la Commission de Bruxelles.
La censure existe
Ne seront étonnés par cette anecdote que ceux qui croient que la censure n'existe plus dans ce pays et ceux qui s'imaginent que tous les journalistes se sont donné les moyens d'être indépendants. La censure existe. Le pouvoir qui l'exerce s'est simplement déplacé. En 1966, quand le ministre Alain Peyrefitte faisait interdire le film de Jacques Rivette « La religieuse », le pouvoir politique imposait sa conception de l'ordre moral. En mars 2005, c'est le pouvoir judiciaire qui fait retirer une affiche parodiant « La Cène » de Léonard de Vinci à la demande d'une association confessionnelle. Dans le cas de l'anecdote télévisuelle, il s'agirait plutôt d'autocensure, si l'on en croit L'Express et Le Monde. La question n'est pas de savoir, en effet, si les pouvoirs exercent des pressions mais comment les journalistes réagissent.
La veulerie des journalistes
La tendance, notamment dans le service public, n'est pas de résister aux pressions mais de se conformer à l'avance aux désirs des puissants du moment. La carrière de quelques notables de l'audiovisuel, de Pompidou à Chirac en passant par Giscard et Mitterrand, s'est construite sur des allégeances successives. Par exemple : aujourd'hui Chirac, demain Sarkozy. Les politiques ne sont pas responsables de la veulerie de leurs interlocuteurs. Contrairement à ce qui se passe aux Etats-Unis où des contre-pouvoirs citoyens font tomber des « stars » comme Dan Rather, il n'y a pas ici de vigilance médiatique. Quand le journalisme défaille, un Michael Moore surgit pour interpeller les puissants. La France avait en la personne de Pierre Carles un précurseur de Michael Moore. « Inforexiques » (manque d'appétence pour l'information) et peu soucieux de vérité, les Français ont l'information qu'ils méritent. Restent les colères de Jacques Chirac. Elles dressent le président français contre George Bush, contre Manuel Barroso, contre Tony Blair, après avoir visé naguère les Pays-Bas et l'Italie. Ces courroux ne changent rien à la marche du monde.
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Bravo Mr A. Joannes.
gnafron
"NON" a écrit :
/tchac, rien de nouveau.
Et ton cul de bon nationaliste, il va encore enfler...
OUI OUI OUI OUI
"NON" <NON@NON.fr> a écrit :
/tchac, rien de nouveau.
Et ton cul de bon nationaliste, il va encore enfler...
Certainement. Une partie de la presse française est inféodé au pouvoir. Degueulasses journaleux.
Rolling Pat
NON a exposé le 30/03/2005 :
Et n'oubliez pas de payer votre redevance!
Hahaha, vive la france.
http://www.lemonde.fr/web/article/0,,,0.html
extrait________________
José Manuel Barroso, le président de la Commission européenne, ne viendra donc pas, le 21 avril, à "100 minutes pour convaincre", expliquer sa vision de l'Europe. Le président de France Télévisions, Marc Tessier, a téléphoné le 22 mars à la porte-parole de M. Barroso, la Française Françoise Le Bail, pour la prévenir que l'émission était "ajournée". Deux jours plus tard, il écrivait une lettre au président de la Commission européenne affirmant : "Les développements de la campagne référendaire en France et les règles de comptabilisation des temps de parole peuvent alimenter une controverse sur votre intervention (...). C'est pourquoi mes collaborateurs de la rédaction de France 2 et moi-même avons considéré qu'un report était inévitable."
José Manuel Barroso, le président de la Commission européenne, ne viendra
donc pas, le 21 avril, à "100 minutes pour convaincre", expliquer sa vision
de l'Europe. Le président de France Télévisions, Marc Tessier, a téléphoné le
22 mars à la porte-parole de M. Barroso, la Française Françoise Le Bail, pour
la prévenir que l'émission était "ajournée". Deux jours plus tard, il
écrivait une lettre au président de la Commission européenne affirmant : "Les
développements de la campagne référendaire en France et les règles de
comptabilisation des temps de parole peuvent alimenter une controverse sur
votre
intervention (...). C'est pourquoi mes collaborateurs de la rédaction de
France 2 et moi-même avons considéré qu'un report était inévitable."
José Manuel Barroso, le président de la Commission européenne, ne viendra donc pas, le 21 avril, à "100 minutes pour convaincre", expliquer sa vision de l'Europe. Le président de France Télévisions, Marc Tessier, a téléphoné le 22 mars à la porte-parole de M. Barroso, la Française Françoise Le Bail, pour la prévenir que l'émission était "ajournée". Deux jours plus tard, il écrivait une lettre au président de la Commission européenne affirmant : "Les développements de la campagne référendaire en France et les règles de comptabilisation des temps de parole peuvent alimenter une controverse sur votre intervention (...). C'est pourquoi mes collaborateurs de la rédaction de France 2 et moi-même avons considéré qu'un report était inévitable."
______________________
Vous devriez être content Barroso est pour le oui
-- Rolling Pat
Captain Sensible
TF1 a écrit :
Captain Sensible a pensé très fort :
NON a écrit :
NON a formulé ce mercredi :
Et n'oubliez pas de payer votre redevance!
Tessier peut se la mettre profond.
Certainement. Une partie de la presse française est inféodé au pouvoir.
C'est un peu normal puisque c'est l'etat qui les finances!
Un coup de fil, et hop!
Degueulasses journaleux.
TF1 a écrit :
Captain Sensible a pensé très fort :
NON a écrit :
NON a formulé ce mercredi :
Et n'oubliez pas de payer votre redevance!
Tessier peut se la mettre profond.
Certainement.
Une partie de la presse française est inféodé au pouvoir.
C'est un peu normal puisque c'est l'etat qui les finances!
Certainement. Une partie de la presse française est inféodé au pouvoir.
C'est un peu normal puisque c'est l'etat qui les finances!
Un coup de fil, et hop!
Degueulasses journaleux.
Captain Sensible
Rolling Pat a écrit :
NON a exposé le 30/03/2005 :
Et n'oubliez pas de payer votre redevance!
Hahaha, vive la france.
http://www.lemonde.fr/web/article/0,,,0.html
extrait________________
José Manuel Barroso, le président de la Commission européenne, ne viendra donc pas, le 21 avril, à "100 minutes pour convaincre", expliquer sa vision de l'Europe. Le président de France Télévisions, Marc Tessier, a téléphoné le 22 mars à la porte-parole de M. Barroso, la Française Françoise Le Bail, pour la prévenir que l'émission était "ajournée". Deux jours plus tard, il écrivait une lettre au président de la Commission européenne affirmant : "Les développements de la campagne référendaire en France et les règles de comptabilisation des temps de parole peuvent alimenter une controverse sur votre intervention (...). C'est pourquoi mes collaborateurs de la rédaction de France 2 et moi-même avons considéré qu'un report était inévitable."
______________________
Vous devriez être content Barroso est pour le oui
Mais comme il n'y a aucun argument valable au OUI...
José Manuel Barroso, le président de la Commission européenne, ne
viendra donc pas, le 21 avril, à "100 minutes pour convaincre",
expliquer sa vision de l'Europe. Le président de France Télévisions,
Marc Tessier, a téléphoné le 22 mars à la porte-parole de M. Barroso,
la Française Françoise Le Bail, pour la prévenir que l'émission était
"ajournée". Deux jours plus tard, il écrivait une lettre au président
de la Commission européenne affirmant : "Les développements de la
campagne référendaire en France et les règles de comptabilisation des
temps de parole peuvent alimenter une controverse sur votre
intervention (...). C'est pourquoi mes collaborateurs de la rédaction
de France 2 et moi-même avons considéré qu'un report était inévitable."
______________________
Vous devriez être content Barroso est pour le oui
Mais comme il n'y a aucun argument valable au OUI...
José Manuel Barroso, le président de la Commission européenne, ne viendra donc pas, le 21 avril, à "100 minutes pour convaincre", expliquer sa vision de l'Europe. Le président de France Télévisions, Marc Tessier, a téléphoné le 22 mars à la porte-parole de M. Barroso, la Française Françoise Le Bail, pour la prévenir que l'émission était "ajournée". Deux jours plus tard, il écrivait une lettre au président de la Commission européenne affirmant : "Les développements de la campagne référendaire en France et les règles de comptabilisation des temps de parole peuvent alimenter une controverse sur votre intervention (...). C'est pourquoi mes collaborateurs de la rédaction de France 2 et moi-même avons considéré qu'un report était inévitable."
______________________
Vous devriez être content Barroso est pour le oui
Mais comme il n'y a aucun argument valable au OUI...
Crystal
Captain Sensible a émis l'idée suivante :
Une partie de la presse française est inféodé au pouvoir.
C'est un peu normal puisque c'est l'etat qui les finances!
Un coup de fil, et hop!
Il y a certainement le coté carriériste. Un jour président de France2, demain peut être de France Télécom, ou de xxx, bref, pour continuer à chauffer la piscine, il faut apprendre à baisser son froc.
Captain Sensible a émis l'idée suivante :
Une partie de la presse française est inféodé au pouvoir.
C'est un peu normal puisque c'est l'etat qui les finances!
Un coup de fil, et hop!
Il y a certainement le coté carriériste. Un jour président de France2,
demain peut être de France Télécom, ou de xxx, bref, pour continuer à
chauffer la piscine, il faut apprendre à baisser son froc.
Une partie de la presse française est inféodé au pouvoir.
C'est un peu normal puisque c'est l'etat qui les finances!
Un coup de fil, et hop!
Il y a certainement le coté carriériste. Un jour président de France2, demain peut être de France Télécom, ou de xxx, bref, pour continuer à chauffer la piscine, il faut apprendre à baisser son froc.
Captain Sensible
Crystal a écrit :
Captain Sensible a émis l'idée suivante :
Une partie de la presse française est inféodé au pouvoir.
C'est un peu normal puisque c'est l'etat qui les finances!
Un coup de fil, et hop!
Il y a certainement le coté carriériste. Un jour président de France2, demain peut être de France Télécom, ou de xxx, bref, pour continuer à chauffer la piscine, il faut apprendre à baisser son froc.
Bah, c'est pas une chose qui deplait à Marc Tessier ;o)
Crystal a écrit :
Captain Sensible a émis l'idée suivante :
Une partie de la presse française est inféodé au pouvoir.
C'est un peu normal puisque c'est l'etat qui les finances!
Un coup de fil, et hop!
Il y a certainement le coté carriériste. Un jour président de France2,
demain peut être de France Télécom, ou de xxx, bref, pour continuer à
chauffer la piscine, il faut apprendre à baisser son froc.
Bah, c'est pas une chose qui deplait à Marc Tessier ;o)
Une partie de la presse française est inféodé au pouvoir.
C'est un peu normal puisque c'est l'etat qui les finances!
Un coup de fil, et hop!
Il y a certainement le coté carriériste. Un jour président de France2, demain peut être de France Télécom, ou de xxx, bref, pour continuer à chauffer la piscine, il faut apprendre à baisser son froc.
Bah, c'est pas une chose qui deplait à Marc Tessier ;o)