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Le serveur le plus rapide du monde...

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Olivier
...Utilise des processeurs moins puissant que le miens.

Mais où j'ai mis qu'un seul processeur, IBM en a enfilé 131072 !

Et où j'ai mis 2 GB de RAM, il en ont mis 32768 GB :>))

http://domino.research.ibm.com/comm/pr.nsf/pages/rsc.bluegene_2004.html

Savez-vous quel OS il tourne, ce truc ?

Ca peut pas être du Windows...

Olivier

6 réponses

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Eric PETIT
Dans le message :,
Olivier a écrit:
...Utilise des processeurs moins puissant que le miens.


Salut,

je vais te dire un truc mais tu ne le repète pas.
Il semblerait que ça ns soit même pas un serveur !! ;-))

Ce qui serait intéressant plutôt que la puissance brute du bidule, ça serait
d'en connaitre le "rendement", quelle "puissance" est utilisée à répartir le
boulot entre les unités de calcul.....

Chuuutttt !!
--
Eric
Reply-to valide, laissez tel quel !
Texte brut vivement conseillé !!

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X.B
Premier point est-ce que le collègue informaticien qui a envie de faire ça
existe?
Pour une fois les biologistes ont fait preuve de plus d'humilité (à moins

qu'un mépris poli pour la discipline ait permis son émergence) en inventant
le bio-informaticien, sorte de chimère (au sens génétique du terme) mal
définie d'un biologiste reconverti à l'informatique ou d'un informaticien
egaré chez les biologistes ... En tout cas ils ont créés les filières
bioinfo, et s'en servent.
À quand les vrai "physiquinformaticiens" ?
Il faudrait pour celà que faire ce genre de travail lui soit
compté de façon positive dans sa carrière universitaire, ce dont je doute
fortement étant donnée la direction générale que semblent prendre les
mandarins de l'informatique.
les Bioinfo ont même leur revues "à comité de lecture" ...


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Michel Billaud
"X.B" writes:

Premier point est-ce que le collègue informaticien qui a envie de faire ça
existe?
Pour une fois les biologistes ont fait preuve de plus d'humilité (à moins

qu'un mépris poli pour la discipline ait permis son émergence) en inventant
le bio-informaticien, sorte de chimère (au sens génétique du terme) mal
définie d'un biologiste reconverti à l'informatique ou d'un informaticien
egaré chez les biologistes ... En tout cas ils ont créés les filières
bioinfo, et s'en servent.
À quand les vrai "physiquinformaticiens" ?



C'est un peu comme les physiciens ou économistes qui font des maths,
au lieu de s'intéresser à leur discipline ?

MB
--
Michel BILLAUD
LABRI-Université Bordeaux I tel 05 4000 6922 / 05 5684 5792
351, cours de la Libération http://www.labri.fr/~billaud
33405 Talence (FRANCE)


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Emmanuel Florac
Le Mon, 03 Jul 2006 13:06:34 +0200, Michel Billaud a écrit :


C'est un peu comme les physiciens ou économistes qui font des maths, au
lieu de s'intéresser à leur discipline ?



C'est surtout drôle pour les économistes, qui sont généralement de
piètres mathématiciens.

--
Quidquid latine dictum sit, altum sonatur

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Jérémy JUST
Le Mon, 03 Jul 2006 21:50:51 +0200,

C'est un peu comme les physiciens ou économistes qui font des
maths, au lieu de s'intéresser à leur discipline ?
C'est surtout drôle pour les économistes, qui sont généralement de

piètres mathématiciens.


Dans ton « généralement », tu inclues tous les thésards en économie
qui passent leurs journées à faire tourner des modèles sous Matlab?


--
Jérémy JUST


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Jérémy JUST
Le 03 Jul 2006 13:06:34 +0200,

le bio-informaticien, sorte de chimère (...) mal définie d'un
biologiste reconverti à l'informatique ou d'un informaticien egaré
chez les biologistes ...



Il est mal défini parce que la discipline couvre un champ vaste.

Mais je vais te contredire: le bioinformaticien n'est pas la personne
qui implémente les idées du biologiste dans des programmes. Pour
prendre une comparaison bancale, il y a a priori autant de différences
entre la bioinfo et la bio qu'entre la radio-astronomie et l'astronomie
optique.
Les deux travaillent sur le même matériel, mais avec des méthodes
différentes qui souvent se complètent, mais parfois demeurent
complètement étrangères les unes aux autres.


C'est un peu comme les physiciens ou économistes qui font des maths,
au lieu de s'intéresser à leur discipline ?


Ce serait plus proche d'un économiste qui, lassé de remplir des
tableaux Excel et d'attendre que le mathématicien propose une solution
littérale à ses petites équations différentielles, commence à organiser
de gros volumes de données, et à développer des méthodes de modélisation
intraitables manuellement.

Mais, bon, il faut comprendre que c'est une discipline à part
entière (à la différence des biostatistiques et biomathématiques, qui
ne sont qu'une application des stats et maths à la bio).


--
Jérémy JUST


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