lfonctionnalités de lecture d'un lecteur cd mp3 de salon
25 réponses
marioski
bonjour,
Avant de me procurer un lecteur cd mp3 de salon,sachant qu'il est ais=C3=A9=
de passer d'un mp3 =C3=A0 un autre,je voudrais savoir si au cours de la le=
cture d'un mp3,avec un lecteur cd de salon lisant les cd mp3,on peut:
-faire une pause
-aller =C3=A0 quelques centi=C3=A8mes de secondes en avant ou en arri=C3=A8=
re
-aller franchement en avant ou en arri=C3=A8re
-utiliser la boucle A-B
Je sais =C3=A9videmment que tout cela est possible avec un cd audio mais le=
cd mp3...
C'est un TIERS qui choisissait les canaux ? -- Gérald
voir_le_reply-to
Tigerfr wrote:
Je maintiens ma question, ça sert à quoi d'aller quelques 1/100è de sec en avant ou en arrière sur un lecteur mp3 de salon? Question ouverte.
Je maintiens la réponse que j'y ai faite : pour moi, musicien, ça pourrait servir à étudier un passage spécifique, mais j'ai déjà donné mon choix en la matière : un logiciel de lecture doté de points de "cue", de points de bouclage et d'actions sur la hauteur et/ou le tempo. Pour les "quelques centièmes de secondes", il faudrait en savoir plus sur le "quelques" :-) Pour l'OP, ma réponse est : je n'en ai aucune idée ! -- Gérald
Tigerfr <tigerfr_NOSPAM@free.fr> wrote:
Je maintiens ma question, ça sert à quoi d'aller quelques 1/100è de sec
en avant ou en arrière sur un lecteur mp3 de salon?
Question ouverte.
Je maintiens la réponse que j'y ai faite : pour moi, musicien, ça
pourrait servir à étudier un passage spécifique, mais j'ai déjà donné
mon choix en la matière : un logiciel de lecture doté de points de
"cue", de points de bouclage et d'actions sur la hauteur et/ou le tempo.
Pour les "quelques centièmes de secondes", il faudrait en savoir plus
sur le "quelques" :-) Pour l'OP, ma réponse est : je n'en ai aucune idée
!
--
Gérald
Je maintiens ma question, ça sert à quoi d'aller quelques 1/100è de sec en avant ou en arrière sur un lecteur mp3 de salon? Question ouverte.
Je maintiens la réponse que j'y ai faite : pour moi, musicien, ça pourrait servir à étudier un passage spécifique, mais j'ai déjà donné mon choix en la matière : un logiciel de lecture doté de points de "cue", de points de bouclage et d'actions sur la hauteur et/ou le tempo. Pour les "quelques centièmes de secondes", il faudrait en savoir plus sur le "quelques" :-) Pour l'OP, ma réponse est : je n'en ai aucune idée ! -- Gérald
voir_le_reply-to
Photo wrote:
PS : en signature quelques comparatifs de formats audio.
Loooong soupir ! j'ai été lire... C'est du grand n'importe quoi, y compris dans les sources : un des liens est mort, l'autre (l'internaute) est fantaisiste. Ce qu'il raconte sur la compression lossless (en omettant le format ALAC d'ailleurs !) est à mourir de rire. Je cite : "Sachez toutefois que son nom trompeur - Lossless ou sans perte - n'est pas synonyme de fichier non retouché. En effet, comme tout format numérique compressé, le FLAC élimine des données. Mais aucune donnée ne touchant au flux audio originel n'est enlevée, il s'agit juste de nettoyer le fichier pour qu'il soit le plus léger possible sans déformation." Crétin complet. Lossless, c'est lossless : il n'y a pas ÉLIMINATION de données, d'aucune manière, ni audio *ni autre*. Juste un artifice mathématique qui permet de "compacter" des zéros. Un peu de la même manière qu'écrire 10^8 (10 à la puissance 8) est plus court que d'écrire 100000000. Le retour d'un fichier FLAC à un fichier AIFF (ou WAV) donnerait un résultat *absolument* identique à l'original (et indiscernable) ! Ça marche exactement de la même manière que la compression de fichiers-programmes informatiques, zip ou autre : tu imagines le bordel, si le programme décompressé ne correspondait plus à l'original au zéro près ? Bref, ton article de référence est pondu par un ignorant total, juste bon à poubelliser. Parlons de toi : sous le titre "qualité musicale" (en principe absolue, objective) tu précises "voici l'ordre de mes préférences" (au doigt mouilé, donc). Tu n'y ressens pas comme un petit problème ? Est-ce que ça ne mériterait pas une première correction du titre ? Ensuite tu sembles confondre qualité musicale et qualité audio : faut-il vraiment être musicien pour comprendre que les deux sont loin d'être liés ? S'agissant d'enregistrements anciens d'ailleurs, dont la qualité musicale pourrait être énorme face à une qualité audio minable, il faudrait encore mettre à part la qualité historique ! Certains de ces enregistrement pouvant avoir une qualité historique importante mais une qualité musicale minable *aussi* (sans parler de la qualité audio inexistante). Par exemple, certains enregistrement "live" de Chuck Berry, qui n'ont que l'intérêt de démontrer qu'il pouvait jouer parfaitement *bourré* ! Pour ne pas rester sur une note négative (mais en restant dans le contexte), remontons au 29 juillet 1946, Charlie Parker est en studio ches DIAL, complètement défoncé, ne tenant pas debout, chancelant et soutenu de part et d'autre par Miles et un assistant : son retard à l'entrée dans le thème de "Lover Man" n'est pas volontaire, juste la conséquence de son état second... et pour autant il s'agit de sa version la plus déchirante, la plus pure ! Qualité historique 10/10, musicale 10/10, et audio, hein ? Mono, d'accord, enregistré avec les moyens de l'époque (quels moyens ?) mais avec cet alto dont tu entends le moindre souffle ou vibrato, qui traverse les HPs pour se projeter à moins d'un mètre de tes oreilles... C'est quoi exactement cette qualité audio dont tu chercherais une justification "mesurée" ? <https://www.youtube.com/watch?v=WseMn0ykRvA> -- Gérald
Photo <contact@guy-renault.com> wrote:
PS : en signature quelques comparatifs de formats audio.
Loooong soupir ! j'ai été lire... C'est du grand n'importe quoi, y
compris dans les sources : un des liens est mort, l'autre (l'internaute)
est fantaisiste. Ce qu'il raconte sur la compression lossless (en
omettant le format ALAC d'ailleurs !) est à mourir de rire. Je cite :
"Sachez toutefois que son nom trompeur - Lossless ou sans perte - n'est
pas synonyme de fichier non retouché. En effet, comme tout format
numérique compressé, le FLAC élimine des données. Mais aucune donnée ne
touchant au flux audio originel n'est enlevée, il s'agit juste de
nettoyer le fichier pour qu'il soit le plus léger possible sans
déformation."
Crétin complet. Lossless, c'est lossless : il n'y a pas ÉLIMINATION de
données, d'aucune manière, ni audio *ni autre*. Juste un artifice
mathématique qui permet de "compacter" des zéros. Un peu de la même
manière qu'écrire 10^8 (10 à la puissance 8) est plus court que d'écrire
100000000. Le retour d'un fichier FLAC à un fichier AIFF (ou WAV)
donnerait un résultat *absolument* identique à l'original (et
indiscernable) ! Ça marche exactement de la même manière que la
compression de fichiers-programmes informatiques, zip ou autre : tu
imagines le bordel, si le programme décompressé ne correspondait plus à
l'original au zéro près ? Bref, ton article de référence est pondu par
un ignorant total, juste bon à poubelliser.
Parlons de toi : sous le titre "qualité musicale" (en principe absolue,
objective) tu précises "voici l'ordre de mes préférences" (au doigt
mouilé, donc). Tu n'y ressens pas comme un petit problème ? Est-ce que
ça ne mériterait pas une première correction du titre ? Ensuite tu
sembles confondre qualité musicale et qualité audio : faut-il vraiment
être musicien pour comprendre que les deux sont loin d'être liés ?
S'agissant d'enregistrements anciens d'ailleurs, dont la qualité
musicale pourrait être énorme face à une qualité audio minable, il
faudrait encore mettre à part la qualité historique ! Certains de ces
enregistrement pouvant avoir une qualité historique importante mais une
qualité musicale minable *aussi* (sans parler de la qualité audio
inexistante). Par exemple, certains enregistrement "live" de Chuck
Berry, qui n'ont que l'intérêt de démontrer qu'il pouvait jouer
parfaitement *bourré* !
Pour ne pas rester sur une note négative (mais en restant dans le
contexte), remontons au 29 juillet 1946, Charlie Parker est en studio
ches DIAL, complètement défoncé, ne tenant pas debout, chancelant et
soutenu de part et d'autre par Miles et un assistant : son retard à
l'entrée dans le thème de "Lover Man" n'est pas volontaire, juste la
conséquence de son état second... et pour autant il s'agit de sa version
la plus déchirante, la plus pure ! Qualité historique 10/10, musicale
10/10, et audio, hein ? Mono, d'accord, enregistré avec les moyens de
l'époque (quels moyens ?) mais avec cet alto dont tu entends le moindre
souffle ou vibrato, qui traverse les HPs pour se projeter à moins d'un
mètre de tes oreilles... C'est quoi exactement cette qualité audio dont
tu chercherais une justification "mesurée" ?
<https://www.youtube.com/watch?v=WseMn0ykRvA>
PS : en signature quelques comparatifs de formats audio.
Loooong soupir ! j'ai été lire... C'est du grand n'importe quoi, y compris dans les sources : un des liens est mort, l'autre (l'internaute) est fantaisiste. Ce qu'il raconte sur la compression lossless (en omettant le format ALAC d'ailleurs !) est à mourir de rire. Je cite : "Sachez toutefois que son nom trompeur - Lossless ou sans perte - n'est pas synonyme de fichier non retouché. En effet, comme tout format numérique compressé, le FLAC élimine des données. Mais aucune donnée ne touchant au flux audio originel n'est enlevée, il s'agit juste de nettoyer le fichier pour qu'il soit le plus léger possible sans déformation." Crétin complet. Lossless, c'est lossless : il n'y a pas ÉLIMINATION de données, d'aucune manière, ni audio *ni autre*. Juste un artifice mathématique qui permet de "compacter" des zéros. Un peu de la même manière qu'écrire 10^8 (10 à la puissance 8) est plus court que d'écrire 100000000. Le retour d'un fichier FLAC à un fichier AIFF (ou WAV) donnerait un résultat *absolument* identique à l'original (et indiscernable) ! Ça marche exactement de la même manière que la compression de fichiers-programmes informatiques, zip ou autre : tu imagines le bordel, si le programme décompressé ne correspondait plus à l'original au zéro près ? Bref, ton article de référence est pondu par un ignorant total, juste bon à poubelliser. Parlons de toi : sous le titre "qualité musicale" (en principe absolue, objective) tu précises "voici l'ordre de mes préférences" (au doigt mouilé, donc). Tu n'y ressens pas comme un petit problème ? Est-ce que ça ne mériterait pas une première correction du titre ? Ensuite tu sembles confondre qualité musicale et qualité audio : faut-il vraiment être musicien pour comprendre que les deux sont loin d'être liés ? S'agissant d'enregistrements anciens d'ailleurs, dont la qualité musicale pourrait être énorme face à une qualité audio minable, il faudrait encore mettre à part la qualité historique ! Certains de ces enregistrement pouvant avoir une qualité historique importante mais une qualité musicale minable *aussi* (sans parler de la qualité audio inexistante). Par exemple, certains enregistrement "live" de Chuck Berry, qui n'ont que l'intérêt de démontrer qu'il pouvait jouer parfaitement *bourré* ! Pour ne pas rester sur une note négative (mais en restant dans le contexte), remontons au 29 juillet 1946, Charlie Parker est en studio ches DIAL, complètement défoncé, ne tenant pas debout, chancelant et soutenu de part et d'autre par Miles et un assistant : son retard à l'entrée dans le thème de "Lover Man" n'est pas volontaire, juste la conséquence de son état second... et pour autant il s'agit de sa version la plus déchirante, la plus pure ! Qualité historique 10/10, musicale 10/10, et audio, hein ? Mono, d'accord, enregistré avec les moyens de l'époque (quels moyens ?) mais avec cet alto dont tu entends le moindre souffle ou vibrato, qui traverse les HPs pour se projeter à moins d'un mètre de tes oreilles... C'est quoi exactement cette qualité audio dont tu chercherais une justification "mesurée" ? <https://www.youtube.com/watch?v=WseMn0ykRvA> -- Gérald
MELMOTH
Ce cher mammifère du nom de Photo nous susurrait, le samedi 15/10/2016, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <580273d1$0$7968$, les doux mélismes suivants :
Déjà fait.
Ben voyons !... -- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de Photo nous susurrait, le samedi 15/10/2016,
dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et
dans le message <580273d1$0$7968$426a74cc@news.free.fr>, les doux
mélismes suivants :
Déjà fait.
Ben voyons !...
--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de Photo nous susurrait, le samedi 15/10/2016, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <580273d1$0$7968$, les doux mélismes suivants :
Déjà fait.
Ben voyons !... -- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
Photo
Le 16/10/2016 à 11:52, Gerald a écrit : "" J'ai corrigé ! Ah, les passionnés, ils s'emportent pour un rien !-) -- https://grenault.net/accueil.htm
Le 16/10/2016 à 11:52, Gerald a écrit : ""
J'ai corrigé !
Ah, les passionnés, ils s'emportent pour un rien !-)