pas d'élément probant et convaincant pas de juge
convaincu.
...rien de neuf donc
pas d'élément probant et convaincant pas de juge
convaincu.
...rien de neuf donc
pas d'élément probant et convaincant pas de juge
convaincu.
...rien de neuf donc
Roland Garcia" a écrit dans le message de news:les griefs mentionnés dans la lettre de licenciement
et dont la preuve lui incombera.
www.juristprudence.c.la a écrit :la charge de la preuve se limite au degré de gravité...
a écrit dans le message de news:... des faits éventuels, donc la réalité doit être prouvée par
l'employeur.
www.juristprudence.c.la a écrit :FAUX ! lisez donc L.122_14_3 ;
la simple répétitivité de votre affirmation ne suffira pas à nier toute
la construction jurisprudentielle
a écrit dans le message de news:Tiens ici:
http://www.maitre-eolas.fr/2007/08/03/679-affaire-petite-anglaise-the-end
ce lien anecdotique est l'exposé d'un dossier et il ne prouve rien u tout de
ce que vous affirmez
Roland Garcia" <roland-garcia@wanadoo.fr> a écrit dans le message de news:
les griefs mentionnés dans la lettre de licenciement
et dont la preuve lui incombera.
www.juristprudence.c.la a écrit :
la charge de la preuve se limite au degré de gravité...
<roland-garcia@wanadoo.fr> a écrit dans le message de news:
... des faits éventuels, donc la réalité doit être prouvée par
l'employeur.
www.juristprudence.c.la a écrit :
FAUX ! lisez donc L.122_14_3 ;
la simple répétitivité de votre affirmation ne suffira pas à nier toute
la construction jurisprudentielle
<roland-garcia@wanadoo.fr> a écrit dans le message de news:
46D1CCE5.9090201@wanadoo.fr...
Tiens ici:
http://www.maitre-eolas.fr/2007/08/03/679-affaire-petite-anglaise-the-end
ce lien anecdotique est l'exposé d'un dossier et il ne prouve rien u tout de
ce que vous affirmez
Roland Garcia" a écrit dans le message de news:les griefs mentionnés dans la lettre de licenciement
et dont la preuve lui incombera.
www.juristprudence.c.la a écrit :la charge de la preuve se limite au degré de gravité...
a écrit dans le message de news:... des faits éventuels, donc la réalité doit être prouvée par
l'employeur.
www.juristprudence.c.la a écrit :FAUX ! lisez donc L.122_14_3 ;
la simple répétitivité de votre affirmation ne suffira pas à nier toute
la construction jurisprudentielle
a écrit dans le message de news:Tiens ici:
http://www.maitre-eolas.fr/2007/08/03/679-affaire-petite-anglaise-the-end
ce lien anecdotique est l'exposé d'un dossier et il ne prouve rien u tout de
ce que vous affirmez
a écrit ...pas d'élément probant et convaincant pas de juge
convaincu.
Cassation sociale 20 octobre 1976 pourvoi : 75-40326
nota bene : les majuscules ne sont pas de moi, mais contenues ans la copie
" ... ATTENDU QUE, CONTRAIREMENT AUX ENONCIATIONS DU MOYEN, LES DISPOSITIONS
DE L'ARTICLE.... L 122-14-3 DE CE CODE, SONT APPLICABLES A TOUS LES
LICENCIEMENTS, QUELLE QUE SOIT, NOTAMMENT, L'IMPORTANCE NUMERIQUE DU
PERSONNEL DE L'ENTREPRISE DONT FAIT PARTIE LE SALARIE LICENCIE ;
QU'EN OUTRE, DES LORS QUE LA LOI SPECIFIE QUE LE JUGE FORME SA CONVICTION AU
VU DES ELEMENTS FOURNIS PAR LES PARTIES, CE QUI EXCLUT QUE LA CHARGE DE LA
PREUVE INCOMBE PLUS PARTICULIEREMENT A L'UNE D'ENTRE ELLES / ... /
...rien de neuf donc
en effet et j'ai pris malin plaisir à rechercher très loin cette
démonstration d'une jurisprudence constante
roland-garcia@wanadoo.fr a écrit ...
pas d'élément probant et convaincant pas de juge
convaincu.
Cassation sociale 20 octobre 1976 pourvoi : 75-40326
nota bene : les majuscules ne sont pas de moi, mais contenues ans la copie
" ... ATTENDU QUE, CONTRAIREMENT AUX ENONCIATIONS DU MOYEN, LES DISPOSITIONS
DE L'ARTICLE.... L 122-14-3 DE CE CODE, SONT APPLICABLES A TOUS LES
LICENCIEMENTS, QUELLE QUE SOIT, NOTAMMENT, L'IMPORTANCE NUMERIQUE DU
PERSONNEL DE L'ENTREPRISE DONT FAIT PARTIE LE SALARIE LICENCIE ;
QU'EN OUTRE, DES LORS QUE LA LOI SPECIFIE QUE LE JUGE FORME SA CONVICTION AU
VU DES ELEMENTS FOURNIS PAR LES PARTIES, CE QUI EXCLUT QUE LA CHARGE DE LA
PREUVE INCOMBE PLUS PARTICULIEREMENT A L'UNE D'ENTRE ELLES / ... /
...rien de neuf donc
en effet et j'ai pris malin plaisir à rechercher très loin cette
démonstration d'une jurisprudence constante
a écrit ...pas d'élément probant et convaincant pas de juge
convaincu.
Cassation sociale 20 octobre 1976 pourvoi : 75-40326
nota bene : les majuscules ne sont pas de moi, mais contenues ans la copie
" ... ATTENDU QUE, CONTRAIREMENT AUX ENONCIATIONS DU MOYEN, LES DISPOSITIONS
DE L'ARTICLE.... L 122-14-3 DE CE CODE, SONT APPLICABLES A TOUS LES
LICENCIEMENTS, QUELLE QUE SOIT, NOTAMMENT, L'IMPORTANCE NUMERIQUE DU
PERSONNEL DE L'ENTREPRISE DONT FAIT PARTIE LE SALARIE LICENCIE ;
QU'EN OUTRE, DES LORS QUE LA LOI SPECIFIE QUE LE JUGE FORME SA CONVICTION AU
VU DES ELEMENTS FOURNIS PAR LES PARTIES, CE QUI EXCLUT QUE LA CHARGE DE LA
PREUVE INCOMBE PLUS PARTICULIEREMENT A L'UNE D'ENTRE ELLES / ... /
...rien de neuf donc
en effet et j'ai pris malin plaisir à rechercher très loin cette
démonstration d'une jurisprudence constante
Roland Garcia" a écrit dans le message de news:
...rien de neuf donc, pas d'élément probant et convaincant pas de juge
convaincu.
cette lapalissade n'est pas de nature à pouvoir soutenir que l'employeur a
la charge d'une preuve,
Roland Garcia" <roland-garcia@wanadoo.fr> a écrit dans le message de news:
...rien de neuf donc, pas d'élément probant et convaincant pas de juge
convaincu.
cette lapalissade n'est pas de nature à pouvoir soutenir que l'employeur a
la charge d'une preuve,
Roland Garcia" a écrit dans le message de news:
...rien de neuf donc, pas d'élément probant et convaincant pas de juge
convaincu.
cette lapalissade n'est pas de nature à pouvoir soutenir que l'employeur a
la charge d'une preuve,
...rien de neuf donc, pas d'élément probant et convaincant pas de juge
convaincu.
www.juristprudence.c.la a écrit :cette lapalissade n'est pas de nature à pouvoir soutenir que l'employeur
a la charge d'une preuve,
dites ? c'est bien de vous ça: "La preuve de la faute grave incombe à
l'employeur.... Le juge doit s'en tenir aux seuls griefs énoncés"
http://juristprudence.online.fr/grave.htm
rappelons que le présent fil porte sur un licenciement pour faute grave.
les griefs mentionnés dans la lettre de licenciement et dont la preuve
lui
incombera.
la charge de la preuve se limite au degré de gravité
la réalité et le sérieux du grief peut résulter des seuls " éléments
d'appréciation" = subjectivité du juge ; sachant que tout " doute"
bénéficie alors au salarié
la charge de la preuve se limite au degré de gravité
la charge de la preuve se limite au degré de gravité
la charge de la preuve se limite au degré de gravité
...rien de neuf donc, pas d'élément probant et convaincant pas de juge
convaincu.
www.juristprudence.c.la a écrit :
cette lapalissade n'est pas de nature à pouvoir soutenir que l'employeur
a la charge d'une preuve,
dites ? c'est bien de vous ça: "La preuve de la faute grave incombe à
l'employeur.... Le juge doit s'en tenir aux seuls griefs énoncés"
http://juristprudence.online.fr/grave.htm
rappelons que le présent fil porte sur un licenciement pour faute grave.
les griefs mentionnés dans la lettre de licenciement et dont la preuve
lui
incombera.
la charge de la preuve se limite au degré de gravité
la réalité et le sérieux du grief peut résulter des seuls " éléments
d'appréciation" = subjectivité du juge ; sachant que tout " doute"
bénéficie alors au salarié
la charge de la preuve se limite au degré de gravité
la charge de la preuve se limite au degré de gravité
la charge de la preuve se limite au degré de gravité
...rien de neuf donc, pas d'élément probant et convaincant pas de juge
convaincu.
www.juristprudence.c.la a écrit :cette lapalissade n'est pas de nature à pouvoir soutenir que l'employeur
a la charge d'une preuve,
dites ? c'est bien de vous ça: "La preuve de la faute grave incombe à
l'employeur.... Le juge doit s'en tenir aux seuls griefs énoncés"
http://juristprudence.online.fr/grave.htm
rappelons que le présent fil porte sur un licenciement pour faute grave.
les griefs mentionnés dans la lettre de licenciement et dont la preuve
lui
incombera.
la charge de la preuve se limite au degré de gravité
la réalité et le sérieux du grief peut résulter des seuls " éléments
d'appréciation" = subjectivité du juge ; sachant que tout " doute"
bénéficie alors au salarié
la charge de la preuve se limite au degré de gravité
la charge de la preuve se limite au degré de gravité
la charge de la preuve se limite au degré de gravité
FAUX ! lisez donc L.122_14_3 ;
la simple répétitivité de votre affirmation ne suffira pas à nier toute
la construction jurisprudentielle
Tiens ici:
http://www.maitre-eolas.fr/2007/08/03/679-affaire-petite-anglaise-the-end
ce lien anecdotique est l'exposé d'un dossier et il ne prouve rien u tout
de ce que vous affirmez
lien tellement anecdotique que le tribunal commence par ça:
"Attendu que la lettre de licenciement fixe les limites du litige
le Conseil a examiné les faits ;
Attendu qu’il appartient au juge d’apprécier le caractère réel et
sérieux du licenciement et qu’il doit constater la matérialité des faits
allégués comme caractérisant une faute professionnelle invoquée par
l’employeur":
pour ensuite démontrer que la faute professionnelle alléguée dans la
lettre de licenciement n'est pas prouvée.
pour enfin conclure à la condamnation de l'employeur.
--
Roland Garcia
FAUX ! lisez donc L.122_14_3 ;
la simple répétitivité de votre affirmation ne suffira pas à nier toute
la construction jurisprudentielle
Tiens ici:
http://www.maitre-eolas.fr/2007/08/03/679-affaire-petite-anglaise-the-end
ce lien anecdotique est l'exposé d'un dossier et il ne prouve rien u tout
de ce que vous affirmez
lien tellement anecdotique que le tribunal commence par ça:
"Attendu que la lettre de licenciement fixe les limites du litige
le Conseil a examiné les faits ;
Attendu qu’il appartient au juge d’apprécier le caractère réel et
sérieux du licenciement et qu’il doit constater la matérialité des faits
allégués comme caractérisant une faute professionnelle invoquée par
l’employeur":
pour ensuite démontrer que la faute professionnelle alléguée dans la
lettre de licenciement n'est pas prouvée.
pour enfin conclure à la condamnation de l'employeur.
--
Roland Garcia
FAUX ! lisez donc L.122_14_3 ;
la simple répétitivité de votre affirmation ne suffira pas à nier toute
la construction jurisprudentielle
Tiens ici:
http://www.maitre-eolas.fr/2007/08/03/679-affaire-petite-anglaise-the-end
ce lien anecdotique est l'exposé d'un dossier et il ne prouve rien u tout
de ce que vous affirmez
lien tellement anecdotique que le tribunal commence par ça:
"Attendu que la lettre de licenciement fixe les limites du litige
le Conseil a examiné les faits ;
Attendu qu’il appartient au juge d’apprécier le caractère réel et
sérieux du licenciement et qu’il doit constater la matérialité des faits
allégués comme caractérisant une faute professionnelle invoquée par
l’employeur":
pour ensuite démontrer que la faute professionnelle alléguée dans la
lettre de licenciement n'est pas prouvée.
pour enfin conclure à la condamnation de l'employeur.
--
Roland Garcia
pas d'élément probant et convaincant pas de juge
convaincu.
Cassation sociale 20 octobre 1976 pourvoi : 75-40326
nota bene : les majuscules ne sont pas de moi, mais contenues ans la
copie
" ... ATTENDU QUE, CONTRAIREMENT AUX ENONCIATIONS DU MOYEN, LES
DISPOSITIONS DE L'ARTICLE.... L 122-14-3 DE CE CODE, SONT APPLICABLES A
TOUS LES LICENCIEMENTS, QUELLE QUE SOIT, NOTAMMENT, L'IMPORTANCE
NUMERIQUE DU PERSONNEL DE L'ENTREPRISE DONT FAIT PARTIE LE SALARIE
LICENCIE ;
QU'EN OUTRE, DES LORS QUE LA LOI SPECIFIE QUE LE JUGE FORME SA CONVICTION
AU VU DES ELEMENTS FOURNIS PAR LES PARTIES, CE QUI EXCLUT QUE LA CHARGE
DE LA PREUVE INCOMBE PLUS PARTICULIEREMENT A L'UNE D'ENTRE ELLES / ... /
et attendu que le MOYEN utilisé par l'employeur défaillant faute de
démontrer la cause sérieuse de licenciement était qu'il incombait à
l'employé de démontrer l'absence de la cause sérieuse de licenciement.
mais attendu que la Cour de Cassation a rappelé que la charge de la
preuve n'incombe pas *particulièrement" à l'une d'elle, et donc à
l'employé, et a rejeté le MOYEN.
c'est à juste titre que le tribunal faute de constater la réalité de la
cause sérieuse de licenciement a condamné l'employeur.
...rien de neuf donc
en effet et j'ai pris malin plaisir à rechercher très loin cette
démonstration d'une jurisprudence constante
mais toujours rien de neuf.
pas d'élément probant et convaincant pas de juge
convaincu.
Cassation sociale 20 octobre 1976 pourvoi : 75-40326
nota bene : les majuscules ne sont pas de moi, mais contenues ans la
copie
" ... ATTENDU QUE, CONTRAIREMENT AUX ENONCIATIONS DU MOYEN, LES
DISPOSITIONS DE L'ARTICLE.... L 122-14-3 DE CE CODE, SONT APPLICABLES A
TOUS LES LICENCIEMENTS, QUELLE QUE SOIT, NOTAMMENT, L'IMPORTANCE
NUMERIQUE DU PERSONNEL DE L'ENTREPRISE DONT FAIT PARTIE LE SALARIE
LICENCIE ;
QU'EN OUTRE, DES LORS QUE LA LOI SPECIFIE QUE LE JUGE FORME SA CONVICTION
AU VU DES ELEMENTS FOURNIS PAR LES PARTIES, CE QUI EXCLUT QUE LA CHARGE
DE LA PREUVE INCOMBE PLUS PARTICULIEREMENT A L'UNE D'ENTRE ELLES / ... /
et attendu que le MOYEN utilisé par l'employeur défaillant faute de
démontrer la cause sérieuse de licenciement était qu'il incombait à
l'employé de démontrer l'absence de la cause sérieuse de licenciement.
mais attendu que la Cour de Cassation a rappelé que la charge de la
preuve n'incombe pas *particulièrement" à l'une d'elle, et donc à
l'employé, et a rejeté le MOYEN.
c'est à juste titre que le tribunal faute de constater la réalité de la
cause sérieuse de licenciement a condamné l'employeur.
...rien de neuf donc
en effet et j'ai pris malin plaisir à rechercher très loin cette
démonstration d'une jurisprudence constante
mais toujours rien de neuf.
pas d'élément probant et convaincant pas de juge
convaincu.
Cassation sociale 20 octobre 1976 pourvoi : 75-40326
nota bene : les majuscules ne sont pas de moi, mais contenues ans la
copie
" ... ATTENDU QUE, CONTRAIREMENT AUX ENONCIATIONS DU MOYEN, LES
DISPOSITIONS DE L'ARTICLE.... L 122-14-3 DE CE CODE, SONT APPLICABLES A
TOUS LES LICENCIEMENTS, QUELLE QUE SOIT, NOTAMMENT, L'IMPORTANCE
NUMERIQUE DU PERSONNEL DE L'ENTREPRISE DONT FAIT PARTIE LE SALARIE
LICENCIE ;
QU'EN OUTRE, DES LORS QUE LA LOI SPECIFIE QUE LE JUGE FORME SA CONVICTION
AU VU DES ELEMENTS FOURNIS PAR LES PARTIES, CE QUI EXCLUT QUE LA CHARGE
DE LA PREUVE INCOMBE PLUS PARTICULIEREMENT A L'UNE D'ENTRE ELLES / ... /
et attendu que le MOYEN utilisé par l'employeur défaillant faute de
démontrer la cause sérieuse de licenciement était qu'il incombait à
l'employé de démontrer l'absence de la cause sérieuse de licenciement.
mais attendu que la Cour de Cassation a rappelé que la charge de la
preuve n'incombe pas *particulièrement" à l'une d'elle, et donc à
l'employé, et a rejeté le MOYEN.
c'est à juste titre que le tribunal faute de constater la réalité de la
cause sérieuse de licenciement a condamné l'employeur.
...rien de neuf donc
en effet et j'ai pris malin plaisir à rechercher très loin cette
démonstration d'une jurisprudence constante
mais toujours rien de neuf.
www.juristprudence.c.la a écrit :FAUX ! lisez donc L.122_14_3 ;
la simple répétitivité de votre affirmation ne suffira pas à nier toute
la construction jurisprudentielle
a écrit dans le message de news:Tiens ici:
http://www.maitre-eolas.fr/2007/08/03/679-affaire-petite-anglaise-the-end
www.juristprudence.c.la a écrit :ce lien anecdotique est l'exposé d'un dossier et il ne prouve rien u tout
de ce que vous affirmezlien tellement anecdotique que le tribunal commence par ça:
"Attendu que la lettre de licenciement fixe les limites du litige
le Conseil a examiné les faits ;
énième Lapalissade : à qui ferez-vous croire à une sorte de novation ?
à qui ferez vous croire que la lettre de licenciement ne cantonne pas la
discussion ?
à qui ferez vous croire que les juges n'examinent pas les faits ?
www.juristprudence.c.la a écrit :
FAUX ! lisez donc L.122_14_3 ;
la simple répétitivité de votre affirmation ne suffira pas à nier toute
la construction jurisprudentielle
roland-garcia@wanadoo.fr> a écrit dans le message de news:
Tiens ici:
http://www.maitre-eolas.fr/2007/08/03/679-affaire-petite-anglaise-the-end
www.juristprudence.c.la a écrit :
ce lien anecdotique est l'exposé d'un dossier et il ne prouve rien u tout
de ce que vous affirmez
lien tellement anecdotique que le tribunal commence par ça:
"Attendu que la lettre de licenciement fixe les limites du litige
le Conseil a examiné les faits ;
énième Lapalissade : à qui ferez-vous croire à une sorte de novation ?
à qui ferez vous croire que la lettre de licenciement ne cantonne pas la
discussion ?
à qui ferez vous croire que les juges n'examinent pas les faits ?
www.juristprudence.c.la a écrit :FAUX ! lisez donc L.122_14_3 ;
la simple répétitivité de votre affirmation ne suffira pas à nier toute
la construction jurisprudentielle
a écrit dans le message de news:Tiens ici:
http://www.maitre-eolas.fr/2007/08/03/679-affaire-petite-anglaise-the-end
www.juristprudence.c.la a écrit :ce lien anecdotique est l'exposé d'un dossier et il ne prouve rien u tout
de ce que vous affirmezlien tellement anecdotique que le tribunal commence par ça:
"Attendu que la lettre de licenciement fixe les limites du litige
le Conseil a examiné les faits ;
énième Lapalissade : à qui ferez-vous croire à une sorte de novation ?
à qui ferez vous croire que la lettre de licenciement ne cantonne pas la
discussion ?
à qui ferez vous croire que les juges n'examinent pas les faits ?
Mais attendu que par une appréciation souveraine des éléments de fait et de
preuve soumis par les deux parties la cour d'appel a constaté que le
harcèlement moral et le manquement aux obligations contractuelles allégués
par la salariée pour prendre acte de la rupture de son contrat de travail
n'étaient pas établis ; que le moyen n'est pas fondé..."
Mais attendu que par une appréciation souveraine des éléments de fait et de
preuve soumis par les deux parties la cour d'appel a constaté que le
harcèlement moral et le manquement aux obligations contractuelles allégués
par la salariée pour prendre acte de la rupture de son contrat de travail
n'étaient pas établis ; que le moyen n'est pas fondé..."
Mais attendu que par une appréciation souveraine des éléments de fait et de
preuve soumis par les deux parties la cour d'appel a constaté que le
harcèlement moral et le manquement aux obligations contractuelles allégués
par la salariée pour prendre acte de la rupture de son contrat de travail
n'étaient pas établis ; que le moyen n'est pas fondé..."