Pascal Hambourg a écrit :Ne serait-il pas plus pertinent d'utiliser pour chaque fichier une
métrique telle que la distance totale entre les fragments, ou plus
simplement le nombre de fragments ?
Quelle distance. On peut essayer de calculer une distance congrue au
temps d'accès d'une donnée à l'autre,
mais alors il faudrait tenir
compte de la géométrie du disque ou de la matrice (RAID ou autre).
Or
comme la plupart des disques durs ne déclarent pas leur géométrie
physique mais une géométrie logique souvent différente (beaucoup de
disques ne déclarent que 2 têtes alors qu'ils en ont 4 ou 8).
A mon avis, le bête pourcentage est
suffisant. Au pire, on peut toujours pondérer avec la fréquence d'accès
aux dits fichiers.
Pascal Hambourg a écrit :
Ne serait-il pas plus pertinent d'utiliser pour chaque fichier une
métrique telle que la distance totale entre les fragments, ou plus
simplement le nombre de fragments ?
Quelle distance. On peut essayer de calculer une distance congrue au
temps d'accès d'une donnée à l'autre,
mais alors il faudrait tenir
compte de la géométrie du disque ou de la matrice (RAID ou autre).
Or
comme la plupart des disques durs ne déclarent pas leur géométrie
physique mais une géométrie logique souvent différente (beaucoup de
disques ne déclarent que 2 têtes alors qu'ils en ont 4 ou 8).
A mon avis, le bête pourcentage est
suffisant. Au pire, on peut toujours pondérer avec la fréquence d'accès
aux dits fichiers.
Pascal Hambourg a écrit :Ne serait-il pas plus pertinent d'utiliser pour chaque fichier une
métrique telle que la distance totale entre les fragments, ou plus
simplement le nombre de fragments ?
Quelle distance. On peut essayer de calculer une distance congrue au
temps d'accès d'une donnée à l'autre,
mais alors il faudrait tenir
compte de la géométrie du disque ou de la matrice (RAID ou autre).
Or
comme la plupart des disques durs ne déclarent pas leur géométrie
physique mais une géométrie logique souvent différente (beaucoup de
disques ne déclarent que 2 têtes alors qu'ils en ont 4 ou 8).
A mon avis, le bête pourcentage est
suffisant. Au pire, on peut toujours pondérer avec la fréquence d'accès
aux dits fichiers.
mais alors il faudrait tenir compte de la géométrie du disque ou de la
matrice (RAID ou autre).
Et on ne parle pas de LVM qui fausse encore plus l'équation. J'en suis
conscient, c'est pourquoi j'ai évoqué une métrique plus simple, basée
sur le seul nombre de fragments d'un fichier et non de leur distance. Le
taux de fragmentation global pourrait alors être le nombre de fragments
divisé par le nombre de fichiers ; un taux de 1 signifierait l'absence
de fragmentation ; un taux de 2 signifierait qu'il y a en moyenne deux
fragments par fichier.
Or comme la plupart des disques durs ne déclarent pas leur géométrie
physique mais une géométrie logique souvent différente (beaucoup de
disques ne déclarent que 2 têtes alors qu'ils en ont 4 ou 8).
C'est plutôt le contraire, les disques ATA déclarent beaucoup plus de
têtes (jusqu'à 255) qu'ils n'en ont en réalité (rarement plus de 6).
Mais même si la géométrie physique réelle est inconnue, l'adressage LBA
d'un disque physique est globalement monotone avec celle-ci. Deux blocs
sont donc d'autant plus éloignés que la différence entre leurs adresses
LBA est grande. Cela pourrait constituer une distance acceptable. Je
pense aussi que ça reste globalement vrai pour du RAID.
A mon avis, le bête pourcentage est suffisant. Au pire, on peut
toujours pondérer avec la fréquence d'accès aux dits fichiers.
Ce ne serait plus une mesure de la fragmentation du système de fichiers
mais un indice de la performance en fonction de son utilisation.
mais alors il faudrait tenir compte de la géométrie du disque ou de la
matrice (RAID ou autre).
Et on ne parle pas de LVM qui fausse encore plus l'équation. J'en suis
conscient, c'est pourquoi j'ai évoqué une métrique plus simple, basée
sur le seul nombre de fragments d'un fichier et non de leur distance. Le
taux de fragmentation global pourrait alors être le nombre de fragments
divisé par le nombre de fichiers ; un taux de 1 signifierait l'absence
de fragmentation ; un taux de 2 signifierait qu'il y a en moyenne deux
fragments par fichier.
Or comme la plupart des disques durs ne déclarent pas leur géométrie
physique mais une géométrie logique souvent différente (beaucoup de
disques ne déclarent que 2 têtes alors qu'ils en ont 4 ou 8).
C'est plutôt le contraire, les disques ATA déclarent beaucoup plus de
têtes (jusqu'à 255) qu'ils n'en ont en réalité (rarement plus de 6).
Mais même si la géométrie physique réelle est inconnue, l'adressage LBA
d'un disque physique est globalement monotone avec celle-ci. Deux blocs
sont donc d'autant plus éloignés que la différence entre leurs adresses
LBA est grande. Cela pourrait constituer une distance acceptable. Je
pense aussi que ça reste globalement vrai pour du RAID.
A mon avis, le bête pourcentage est suffisant. Au pire, on peut
toujours pondérer avec la fréquence d'accès aux dits fichiers.
Ce ne serait plus une mesure de la fragmentation du système de fichiers
mais un indice de la performance en fonction de son utilisation.
mais alors il faudrait tenir compte de la géométrie du disque ou de la
matrice (RAID ou autre).
Et on ne parle pas de LVM qui fausse encore plus l'équation. J'en suis
conscient, c'est pourquoi j'ai évoqué une métrique plus simple, basée
sur le seul nombre de fragments d'un fichier et non de leur distance. Le
taux de fragmentation global pourrait alors être le nombre de fragments
divisé par le nombre de fichiers ; un taux de 1 signifierait l'absence
de fragmentation ; un taux de 2 signifierait qu'il y a en moyenne deux
fragments par fichier.
Or comme la plupart des disques durs ne déclarent pas leur géométrie
physique mais une géométrie logique souvent différente (beaucoup de
disques ne déclarent que 2 têtes alors qu'ils en ont 4 ou 8).
C'est plutôt le contraire, les disques ATA déclarent beaucoup plus de
têtes (jusqu'à 255) qu'ils n'en ont en réalité (rarement plus de 6).
Mais même si la géométrie physique réelle est inconnue, l'adressage LBA
d'un disque physique est globalement monotone avec celle-ci. Deux blocs
sont donc d'autant plus éloignés que la différence entre leurs adresses
LBA est grande. Cela pourrait constituer une distance acceptable. Je
pense aussi que ça reste globalement vrai pour du RAID.
A mon avis, le bête pourcentage est suffisant. Au pire, on peut
toujours pondérer avec la fréquence d'accès aux dits fichiers.
Ce ne serait plus une mesure de la fragmentation du système de fichiers
mais un indice de la performance en fonction de son utilisation.
Allez, une autre réflexion. On a coutume de dire que Windows fragmente
(beaucoup) et Linux non (ou peu). Mais est-ce qu'un volume FAT ou NTFS
monté sous Linux fragmente, et est-ce qu'un volume ext2/3 monté sous
Windows fragmente ? Autrement dit, le gène de la fragmentation est-il
dans la structure du système de fichiers ou seulement dans la façon de
l'utiliser ?
Allez, une autre réflexion. On a coutume de dire que Windows fragmente
(beaucoup) et Linux non (ou peu). Mais est-ce qu'un volume FAT ou NTFS
monté sous Linux fragmente, et est-ce qu'un volume ext2/3 monté sous
Windows fragmente ? Autrement dit, le gène de la fragmentation est-il
dans la structure du système de fichiers ou seulement dans la façon de
l'utiliser ?
Allez, une autre réflexion. On a coutume de dire que Windows fragmente
(beaucoup) et Linux non (ou peu). Mais est-ce qu'un volume FAT ou NTFS
monté sous Linux fragmente, et est-ce qu'un volume ext2/3 monté sous
Windows fragmente ? Autrement dit, le gène de la fragmentation est-il
dans la structure du système de fichiers ou seulement dans la façon de
l'utiliser ?
Pascal Hambourg wrote:
[...]Allez, une autre réflexion. On a coutume de dire que Windows fragmente
(beaucoup) et Linux non (ou peu). Mais est-ce qu'un volume FAT ou NTFS
monté sous Linux fragmente, et est-ce qu'un volume ext2/3 monté sous
Windows fragmente ? Autrement dit, le gène de la fragmentation est-il
dans la structure du système de fichiers ou seulement dans la façon de
l'utiliser ?
Si mes souvenirs sont bons la capacité à fragmenter (ou à ne pas fragmenter ;-) est intrinsèque au système de fichiers. Il me semble que les systèmes de fichiers ext* ou autres réservent un certains nombres de blocs adjacents lors de l'écriture d'un fichier (système de pré-allocation) ce qui explique la très faible fragmentation observée.
Pascal Hambourg wrote:
[...]
Allez, une autre réflexion. On a coutume de dire que Windows fragmente
(beaucoup) et Linux non (ou peu). Mais est-ce qu'un volume FAT ou NTFS
monté sous Linux fragmente, et est-ce qu'un volume ext2/3 monté sous
Windows fragmente ? Autrement dit, le gène de la fragmentation est-il
dans la structure du système de fichiers ou seulement dans la façon de
l'utiliser ?
Si mes souvenirs sont bons la capacité à fragmenter (ou à ne pas fragmenter ;-) est intrinsèque au système de fichiers. Il me semble que les systèmes de fichiers ext* ou autres réservent un certains nombres de blocs adjacents lors de l'écriture d'un fichier (système de pré-allocation) ce qui explique la très faible fragmentation observée.
Pascal Hambourg wrote:
[...]Allez, une autre réflexion. On a coutume de dire que Windows fragmente
(beaucoup) et Linux non (ou peu). Mais est-ce qu'un volume FAT ou NTFS
monté sous Linux fragmente, et est-ce qu'un volume ext2/3 monté sous
Windows fragmente ? Autrement dit, le gène de la fragmentation est-il
dans la structure du système de fichiers ou seulement dans la façon de
l'utiliser ?
Si mes souvenirs sont bons la capacité à fragmenter (ou à ne pas fragmenter ;-) est intrinsèque au système de fichiers. Il me semble que les systèmes de fichiers ext* ou autres réservent un certains nombres de blocs adjacents lors de l'écriture d'un fichier (système de pré-allocation) ce qui explique la très faible fragmentation observée.
Le 28-11-2008, ? propos de
Re: Linux fragmente pas ? Grotesque,
bruno666 ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :Pascal Hambourg wrote:
[...]Allez, une autre réflexion. On a coutume de dire que Windows fragmente
(beaucoup) et Linux non (ou peu). Mais est-ce qu'un volume FAT ou NTFS
monté sous Linux fragmente, et est-ce qu'un volume ext2/3 monté sous
Windows fragmente ? Autrement dit, le gène de la fragmentation est-il
dans la structure du système de fichiers ou seulement dans la façon de
l'utiliser ?
Si mes souvenirs sont bons la capacité à fragmenter (ou à ne pas
fragmenter ;-) est intrinsèque au système de fichiers. Il me semble que
les systèmes de fichiers ext* ou autres réservent un certains nombres de
blocs adjacents lors de l'écriture d'un fichier (système de
pré-allocation) ce qui explique la très faible fragmentation observée.
Pour information, NTFS fait ça aussi.
Autre chose, tes lignes sont
beaucoup trop longues...
Le 28-11-2008, ? propos de
Re: Linux fragmente pas ? Grotesque,
bruno666 ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Pascal Hambourg wrote:
[...]
Allez, une autre réflexion. On a coutume de dire que Windows fragmente
(beaucoup) et Linux non (ou peu). Mais est-ce qu'un volume FAT ou NTFS
monté sous Linux fragmente, et est-ce qu'un volume ext2/3 monté sous
Windows fragmente ? Autrement dit, le gène de la fragmentation est-il
dans la structure du système de fichiers ou seulement dans la façon de
l'utiliser ?
Si mes souvenirs sont bons la capacité à fragmenter (ou à ne pas
fragmenter ;-) est intrinsèque au système de fichiers. Il me semble que
les systèmes de fichiers ext* ou autres réservent un certains nombres de
blocs adjacents lors de l'écriture d'un fichier (système de
pré-allocation) ce qui explique la très faible fragmentation observée.
Pour information, NTFS fait ça aussi.
Autre chose, tes lignes sont
beaucoup trop longues...
Le 28-11-2008, ? propos de
Re: Linux fragmente pas ? Grotesque,
bruno666 ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :Pascal Hambourg wrote:
[...]Allez, une autre réflexion. On a coutume de dire que Windows fragmente
(beaucoup) et Linux non (ou peu). Mais est-ce qu'un volume FAT ou NTFS
monté sous Linux fragmente, et est-ce qu'un volume ext2/3 monté sous
Windows fragmente ? Autrement dit, le gène de la fragmentation est-il
dans la structure du système de fichiers ou seulement dans la façon de
l'utiliser ?
Si mes souvenirs sont bons la capacité à fragmenter (ou à ne pas
fragmenter ;-) est intrinsèque au système de fichiers. Il me semble que
les systèmes de fichiers ext* ou autres réservent un certains nombres de
blocs adjacents lors de l'écriture d'un fichier (système de
pré-allocation) ce qui explique la très faible fragmentation observée.
Pour information, NTFS fait ça aussi.
Autre chose, tes lignes sont
beaucoup trop longues...
Bizarre mon bousin est bien configuré pour des lignes à 76 caractères,
je ne vais regarder ce qui cloche
Bizarre mon bousin est bien configuré pour des lignes à 76 caractères,
je ne vais regarder ce qui cloche
Bizarre mon bousin est bien configuré pour des lignes à 76 caractères,
je ne vais regarder ce qui cloche
bruno666 écrivaitBizarre mon bousin est bien configuré pour des lignes à 76 caractères,
je ne vais regarder ce qui cloche
Voir aussi à utiliser "ISO-8859-15" et non pas "ISO 8859-15"
Il y a une discussion en cours sur fr.usenet.8bits là dessus.
bruno666 écrivait
Bizarre mon bousin est bien configuré pour des lignes à 76 caractères,
je ne vais regarder ce qui cloche
Voir aussi à utiliser "ISO-8859-15" et non pas "ISO 8859-15"
Il y a une discussion en cours sur fr.usenet.8bits là dessus.
bruno666 écrivaitBizarre mon bousin est bien configuré pour des lignes à 76 caractères,
je ne vais regarder ce qui cloche
Voir aussi à utiliser "ISO-8859-15" et non pas "ISO 8859-15"
Il y a une discussion en cours sur fr.usenet.8bits là dessus.
Stephan Peccini a écrit :
>
> Bon, je viens de faire un test avec un système de fichiers vieux de 4 ans
> en ext3 et aujourd'hui en ext4. Il n'arrête pas de bouger de manière
> intensive puisque j'y mets mes sauvegardes temporaires, mes espaces de
> travail, mes espaces de compilation et qu'il est régulièrement à 100%.
> Aujourd'hui il est à environ 80% et j'obtiens : 220000 fichiers dont
> 11500 sont fragmentés, soit 5,5% après 4 ans.
[...]
> Mon PC professionnel sous NTFS a déjà subi 2 defragmentations en 1 an car
> il avoisinait les 25% de fragmentation sans avoir dépassé 75% de
> remplissage et tout cela sans être mon disque de données.
>
> Donc quand on dit que Linux ne fragmente pas, cela a un sens car il ne
> sert à rien de défragmenter sauf gagner des pouillèmes en général.
Allez, une autre réflexion. On a coutume de dire que Windows fragmente
(beaucoup) et Linux non (ou peu). Mais est-ce qu'un volume FAT ou NTFS
monté sous Linux fragmente, et est-ce qu'un volume ext2/3 monté sous
Windows fragmente ? Autrement dit, le gène de la fragmentation est-il
dans la structure du système de fichiers ou seulement dans la façon de
l'utiliser ?
Stephan Peccini a écrit :
>
> Bon, je viens de faire un test avec un système de fichiers vieux de 4 ans
> en ext3 et aujourd'hui en ext4. Il n'arrête pas de bouger de manière
> intensive puisque j'y mets mes sauvegardes temporaires, mes espaces de
> travail, mes espaces de compilation et qu'il est régulièrement à 100%.
> Aujourd'hui il est à environ 80% et j'obtiens : 220000 fichiers dont
> 11500 sont fragmentés, soit 5,5% après 4 ans.
[...]
> Mon PC professionnel sous NTFS a déjà subi 2 defragmentations en 1 an car
> il avoisinait les 25% de fragmentation sans avoir dépassé 75% de
> remplissage et tout cela sans être mon disque de données.
>
> Donc quand on dit que Linux ne fragmente pas, cela a un sens car il ne
> sert à rien de défragmenter sauf gagner des pouillèmes en général.
Allez, une autre réflexion. On a coutume de dire que Windows fragmente
(beaucoup) et Linux non (ou peu). Mais est-ce qu'un volume FAT ou NTFS
monté sous Linux fragmente, et est-ce qu'un volume ext2/3 monté sous
Windows fragmente ? Autrement dit, le gène de la fragmentation est-il
dans la structure du système de fichiers ou seulement dans la façon de
l'utiliser ?
Stephan Peccini a écrit :
>
> Bon, je viens de faire un test avec un système de fichiers vieux de 4 ans
> en ext3 et aujourd'hui en ext4. Il n'arrête pas de bouger de manière
> intensive puisque j'y mets mes sauvegardes temporaires, mes espaces de
> travail, mes espaces de compilation et qu'il est régulièrement à 100%.
> Aujourd'hui il est à environ 80% et j'obtiens : 220000 fichiers dont
> 11500 sont fragmentés, soit 5,5% après 4 ans.
[...]
> Mon PC professionnel sous NTFS a déjà subi 2 defragmentations en 1 an car
> il avoisinait les 25% de fragmentation sans avoir dépassé 75% de
> remplissage et tout cela sans être mon disque de données.
>
> Donc quand on dit que Linux ne fragmente pas, cela a un sens car il ne
> sert à rien de défragmenter sauf gagner des pouillèmes en général.
Allez, une autre réflexion. On a coutume de dire que Windows fragmente
(beaucoup) et Linux non (ou peu). Mais est-ce qu'un volume FAT ou NTFS
monté sous Linux fragmente, et est-ce qu'un volume ext2/3 monté sous
Windows fragmente ? Autrement dit, le gène de la fragmentation est-il
dans la structure du système de fichiers ou seulement dans la façon de
l'utiliser ?
Allez, une autre réflexion. On a coutume de dire que Windows fragmente
(beaucoup) et Linux non (ou peu). Mais est-ce qu'un volume FAT ou NTFS
monté sous Linux fragmente, et est-ce qu'un volume ext2/3 monté sous
Windows fragmente ? Autrement dit, le gène de la fragmentation est-il
dans la structure du système de fichiers ou seulement dans la façon de
l'utiliser ?
Pourquoi les prises « informatique » ne sont pas sur onduleur ?
Parce que le poulet n'était pas sur onduleur quand il a traversé la route.
Allez, une autre réflexion. On a coutume de dire que Windows fragmente
(beaucoup) et Linux non (ou peu). Mais est-ce qu'un volume FAT ou NTFS
monté sous Linux fragmente, et est-ce qu'un volume ext2/3 monté sous
Windows fragmente ? Autrement dit, le gène de la fragmentation est-il
dans la structure du système de fichiers ou seulement dans la façon de
l'utiliser ?
Pourquoi les prises « informatique » ne sont pas sur onduleur ?
Parce que le poulet n'était pas sur onduleur quand il a traversé la route.
Allez, une autre réflexion. On a coutume de dire que Windows fragmente
(beaucoup) et Linux non (ou peu). Mais est-ce qu'un volume FAT ou NTFS
monté sous Linux fragmente, et est-ce qu'un volume ext2/3 monté sous
Windows fragmente ? Autrement dit, le gène de la fragmentation est-il
dans la structure du système de fichiers ou seulement dans la façon de
l'utiliser ?
Pourquoi les prises « informatique » ne sont pas sur onduleur ?
Parce que le poulet n'était pas sur onduleur quand il a traversé la route.
Allez, une autre réflexion. On a coutume de dire que Windows fragmente
(beaucoup) et Linux non (ou peu). Mais est-ce qu'un volume FAT ou NTFS
monté sous Linux fragmente, et est-ce qu'un volume ext2/3 monté sous
Windows fragmente ? Autrement dit, le gène de la fragmentation est-il
dans la structure du système de fichiers ou seulement dans la façon de
l'utiliser ?
Très bonne question. J'imagine que quelque soit la structure du
système de fichier, il y a des stratégies d'utilisation qui
peuvent faire la différence: first/best fit, statistiques sur
l'utilisation du fs, et même des trucs plus subtils...
Maintenant, certains de ces trucs plus "subtils" sont peut-être
inutilsables dans la vraie vie...
Allez, une autre réflexion. On a coutume de dire que Windows fragmente
(beaucoup) et Linux non (ou peu). Mais est-ce qu'un volume FAT ou NTFS
monté sous Linux fragmente, et est-ce qu'un volume ext2/3 monté sous
Windows fragmente ? Autrement dit, le gène de la fragmentation est-il
dans la structure du système de fichiers ou seulement dans la façon de
l'utiliser ?
Très bonne question. J'imagine que quelque soit la structure du
système de fichier, il y a des stratégies d'utilisation qui
peuvent faire la différence: first/best fit, statistiques sur
l'utilisation du fs, et même des trucs plus subtils...
Maintenant, certains de ces trucs plus "subtils" sont peut-être
inutilsables dans la vraie vie...
Allez, une autre réflexion. On a coutume de dire que Windows fragmente
(beaucoup) et Linux non (ou peu). Mais est-ce qu'un volume FAT ou NTFS
monté sous Linux fragmente, et est-ce qu'un volume ext2/3 monté sous
Windows fragmente ? Autrement dit, le gène de la fragmentation est-il
dans la structure du système de fichiers ou seulement dans la façon de
l'utiliser ?
Très bonne question. J'imagine que quelque soit la structure du
système de fichier, il y a des stratégies d'utilisation qui
peuvent faire la différence: first/best fit, statistiques sur
l'utilisation du fs, et même des trucs plus subtils...
Maintenant, certains de ces trucs plus "subtils" sont peut-être
inutilsables dans la vraie vie...