mais pourquoi est tu agressif ?
mais pourquoi est tu agressif ?
mais pourquoi est tu agressif ?
Question : si le site avait été jugé illicite, le FSI aurait pris quoi
comme condamnation ?
Après la LEN, boum le site (comptez pas sur l'hébergeur pour prendre le
risque d'allert défendre son client devant un tribunal). Et donc plus
Pas plus qu'avant, ni moins qu'avant
Un FSI qui aura pris le risque avant la LEN, ne le prendrait plus
maintenant ?
Le plaignant peut demander, dès coupure, le rétablissement de son site
via référé, non ?
Question : si le site avait été jugé illicite, le FSI aurait pris quoi
comme condamnation ?
Après la LEN, boum le site (comptez pas sur l'hébergeur pour prendre le
risque d'allert défendre son client devant un tribunal). Et donc plus
Pas plus qu'avant, ni moins qu'avant
Un FSI qui aura pris le risque avant la LEN, ne le prendrait plus
maintenant ?
Le plaignant peut demander, dès coupure, le rétablissement de son site
via référé, non ?
Question : si le site avait été jugé illicite, le FSI aurait pris quoi
comme condamnation ?
Après la LEN, boum le site (comptez pas sur l'hébergeur pour prendre le
risque d'allert défendre son client devant un tribunal). Et donc plus
Pas plus qu'avant, ni moins qu'avant
Un FSI qui aura pris le risque avant la LEN, ne le prendrait plus
maintenant ?
Le plaignant peut demander, dès coupure, le rétablissement de son site
via référé, non ?
non, évidemment et toi qui suis les jugements, tu le sais ...
Et le préjudice de la *victime* de diffamation, c'est pas grave, hein, y
a qu'à porter plainte pour retrouver son *droit* à ne pas être diffamé
et insulté.
Tu as l'indignation bien sélective ...
L'équilibre entre les droits de l'un et la liberté de l'autre est
toujours difficile à trouver
On a d'un coté, une période limitée où un site ne serait plus en ligne
(ce qui n'a rien d'un drame)
mais j'ai du mal à comprendre comment tu as pu applaudir la loi d'août 2000
non, évidemment et toi qui suis les jugements, tu le sais ...
Et le préjudice de la *victime* de diffamation, c'est pas grave, hein, y
a qu'à porter plainte pour retrouver son *droit* à ne pas être diffamé
et insulté.
Tu as l'indignation bien sélective ...
L'équilibre entre les droits de l'un et la liberté de l'autre est
toujours difficile à trouver
On a d'un coté, une période limitée où un site ne serait plus en ligne
(ce qui n'a rien d'un drame)
mais j'ai du mal à comprendre comment tu as pu applaudir la loi d'août 2000
non, évidemment et toi qui suis les jugements, tu le sais ...
Et le préjudice de la *victime* de diffamation, c'est pas grave, hein, y
a qu'à porter plainte pour retrouver son *droit* à ne pas être diffamé
et insulté.
Tu as l'indignation bien sélective ...
L'équilibre entre les droits de l'un et la liberté de l'autre est
toujours difficile à trouver
On a d'un coté, une période limitée où un site ne serait plus en ligne
(ce qui n'a rien d'un drame)
mais j'ai du mal à comprendre comment tu as pu applaudir la loi d'août 2000
Bien sûr que si. La loi d'aout 2000 le disait en toutes lettres. Que
certains jugements aient été contraires n'empêche pas le cas général
Bien sûr que si. La loi d'aout 2000 le disait en toutes lettres. Que
certains jugements aient été contraires n'empêche pas le cas général
Bien sûr que si. La loi d'aout 2000 le disait en toutes lettres. Que
certains jugements aient été contraires n'empêche pas le cas général
Dans l'article , Laurent Chemla
a promptement déclamé ...Même pas, d'ailleurs. Tous les jugements que tu cites montrent seulement
que certains hébergeurs se conduisaient en censeurs alors même que leur
responsabilité n'aurait pas été engagée s'ils n'avaient rien fait. De mon
justement ... cela ne serait donc pas un élément des attendus tel que
c'est présenté.
moins flou. Faudra sans doute encore de la jurisprudence et une nouvelle
loi pour arriver à quelque chose qui tienne mieux la route.
Dans l'article <2T19sugoIsd0Nv8@brasil.brainstorm.fr>, Laurent Chemla
<laurent@REMOVETHIS.eu.org> a promptement déclamé ...
Même pas, d'ailleurs. Tous les jugements que tu cites montrent seulement
que certains hébergeurs se conduisaient en censeurs alors même que leur
responsabilité n'aurait pas été engagée s'ils n'avaient rien fait. De mon
justement ... cela ne serait donc pas un élément des attendus tel que
c'est présenté.
moins flou. Faudra sans doute encore de la jurisprudence et une nouvelle
loi pour arriver à quelque chose qui tienne mieux la route.
Dans l'article , Laurent Chemla
a promptement déclamé ...Même pas, d'ailleurs. Tous les jugements que tu cites montrent seulement
que certains hébergeurs se conduisaient en censeurs alors même que leur
responsabilité n'aurait pas été engagée s'ils n'avaient rien fait. De mon
justement ... cela ne serait donc pas un élément des attendus tel que
c'est présenté.
moins flou. Faudra sans doute encore de la jurisprudence et une nouvelle
loi pour arriver à quelque chose qui tienne mieux la route.
La LEN ne change rien sur ce point, [...]
Si car le FAI qui devra en juger à la place de la justice tranchera
toujours dans le sens le moins risqué (c'est à dire contre celui qui ne
risque pas de lui faire un proces -le modeste client-)
Pas forcément d'une part parce que le FSI le faisait déjà avant (et le
fait toujours, la LEN n'étant pas promulguée) dans le flou le plus
total, d'autre part parce qu'il pourra examiner la *forme* de la
plainte.
[...] Rien ne l'empêche, dès suspension de faire une procédure judiciaire
pour le rétablissement et la condamnation du plaignant.
mais bien sûr (avec quels sous ?)
Justement.
La main-levée d'une saisie contrefaçon exige un référé en TGI (avec
avocat), par exemple
La demande de rétablissement d'un site devrait passer, amha, en référé
au TI (sans avocat).
La poursuite du plaignant est du ressort du pénal,
me semble-t-il, donc une plainte simplement à envoyer au Procureur de la
République en se portant partie civile si on désire des DI :
"Le fait, pour toute personne, de présenter aux personnes mentionnées au
2 un contenu ou une activité comme étant illicite dans le but d'en
obtenir le retrait ou d'en faire cesser la diffusion, alors qu'elle sait
cette information inexacte, est puni d'une peine d'un an
d'emprisonnement et de 15 000 ¤ d'amende."
On se retrouve aussi avec la même question que pour le piratage : est-ce
qu'il vaut mieux se faire taper sur les doigts en perdant simplement son
site ou est-ce que pour faire fermer le site, on doit être
obligatoirement condamné en correctionnelle
La LEN ne change rien sur ce point, [...]
Si car le FAI qui devra en juger à la place de la justice tranchera
toujours dans le sens le moins risqué (c'est à dire contre celui qui ne
risque pas de lui faire un proces -le modeste client-)
Pas forcément d'une part parce que le FSI le faisait déjà avant (et le
fait toujours, la LEN n'étant pas promulguée) dans le flou le plus
total, d'autre part parce qu'il pourra examiner la *forme* de la
plainte.
[...] Rien ne l'empêche, dès suspension de faire une procédure judiciaire
pour le rétablissement et la condamnation du plaignant.
mais bien sûr (avec quels sous ?)
Justement.
La main-levée d'une saisie contrefaçon exige un référé en TGI (avec
avocat), par exemple
La demande de rétablissement d'un site devrait passer, amha, en référé
au TI (sans avocat).
La poursuite du plaignant est du ressort du pénal,
me semble-t-il, donc une plainte simplement à envoyer au Procureur de la
République en se portant partie civile si on désire des DI :
"Le fait, pour toute personne, de présenter aux personnes mentionnées au
2 un contenu ou une activité comme étant illicite dans le but d'en
obtenir le retrait ou d'en faire cesser la diffusion, alors qu'elle sait
cette information inexacte, est puni d'une peine d'un an
d'emprisonnement et de 15 000 ¤ d'amende."
On se retrouve aussi avec la même question que pour le piratage : est-ce
qu'il vaut mieux se faire taper sur les doigts en perdant simplement son
site ou est-ce que pour faire fermer le site, on doit être
obligatoirement condamné en correctionnelle
La LEN ne change rien sur ce point, [...]
Si car le FAI qui devra en juger à la place de la justice tranchera
toujours dans le sens le moins risqué (c'est à dire contre celui qui ne
risque pas de lui faire un proces -le modeste client-)
Pas forcément d'une part parce que le FSI le faisait déjà avant (et le
fait toujours, la LEN n'étant pas promulguée) dans le flou le plus
total, d'autre part parce qu'il pourra examiner la *forme* de la
plainte.
[...] Rien ne l'empêche, dès suspension de faire une procédure judiciaire
pour le rétablissement et la condamnation du plaignant.
mais bien sûr (avec quels sous ?)
Justement.
La main-levée d'une saisie contrefaçon exige un référé en TGI (avec
avocat), par exemple
La demande de rétablissement d'un site devrait passer, amha, en référé
au TI (sans avocat).
La poursuite du plaignant est du ressort du pénal,
me semble-t-il, donc une plainte simplement à envoyer au Procureur de la
République en se portant partie civile si on désire des DI :
"Le fait, pour toute personne, de présenter aux personnes mentionnées au
2 un contenu ou une activité comme étant illicite dans le but d'en
obtenir le retrait ou d'en faire cesser la diffusion, alors qu'elle sait
cette information inexacte, est puni d'une peine d'un an
d'emprisonnement et de 15 000 ¤ d'amende."
On se retrouve aussi avec la même question que pour le piratage : est-ce
qu'il vaut mieux se faire taper sur les doigts en perdant simplement son
site ou est-ce que pour faire fermer le site, on doit être
obligatoirement condamné en correctionnelle
Si tu parles de la liberte d'expression, elle n'est JAMAIS totale.
Peut-être que tu pourrais relire la déclaration des droits de l'homme de
1789 pour, enfin, comprendre le sens du terme "liberté d'expression" :
Combien sont ceux qui font des amalgames douteux ?
On a bien vu avec la LEN, avec ceux agitant des dangers même pas contenu
dans le texte, combien cela a été utilisé.
Pas en le poussant à l'absurde, pas en interprétant le terme de
"fondamental" comme tu le fais : cela ne veut jamais dire "absolu", cela
ne veut pas dire que cela a le droit d'empiéter sur les droits d'autrui.
Sinon, tu attends quoi pour lutter contre toute la loi de 1881 ? Il n'y
que lorsque cela touche Internet que cela te semble scandaleux
Il en est de la publication via Internet comme de la publication sur
tout autre support. Il a toujours été possible d'empêcher une
publication (et non de la retirer de la consultation publique après
publication) via un référé d'heure à heure, suffit d'en avoir les moyens
et donc la LEN, dans les cas que tu cites, ne change RIEN du tout quant
au résultat car le requérant est alors quelqu'un qui a les moyens.
(il y a même eu un jugement interdisant la vente d'une publication de
Que de faire cesser rapidement un préjudice soit l'apanage de ceux qui
ont les moyens financiers pour le faire ?
Que ceux dérapant par ignorance ou inconscience se retrouvent
systématiquement en Correctionnelle, seul moyen restant, si on suit tes
principes, pour faire cesser le préjudice ?
Tu es donc pour l'application du Code Civil ?
Non, c'est vrai, tu es contre aussi.
Dis, tu es pour un quelconque régime de responsabilité, principe
fondamental dans un état de droit, dès qu'il s'agit d'Internet ou tu
défends encore la stupidité d'une zone de non-droit ?
Si tu parles de la liberte d'expression, elle n'est JAMAIS totale.
Peut-être que tu pourrais relire la déclaration des droits de l'homme de
1789 pour, enfin, comprendre le sens du terme "liberté d'expression" :
Combien sont ceux qui font des amalgames douteux ?
On a bien vu avec la LEN, avec ceux agitant des dangers même pas contenu
dans le texte, combien cela a été utilisé.
Pas en le poussant à l'absurde, pas en interprétant le terme de
"fondamental" comme tu le fais : cela ne veut jamais dire "absolu", cela
ne veut pas dire que cela a le droit d'empiéter sur les droits d'autrui.
Sinon, tu attends quoi pour lutter contre toute la loi de 1881 ? Il n'y
que lorsque cela touche Internet que cela te semble scandaleux
Il en est de la publication via Internet comme de la publication sur
tout autre support. Il a toujours été possible d'empêcher une
publication (et non de la retirer de la consultation publique après
publication) via un référé d'heure à heure, suffit d'en avoir les moyens
et donc la LEN, dans les cas que tu cites, ne change RIEN du tout quant
au résultat car le requérant est alors quelqu'un qui a les moyens.
(il y a même eu un jugement interdisant la vente d'une publication de
Que de faire cesser rapidement un préjudice soit l'apanage de ceux qui
ont les moyens financiers pour le faire ?
Que ceux dérapant par ignorance ou inconscience se retrouvent
systématiquement en Correctionnelle, seul moyen restant, si on suit tes
principes, pour faire cesser le préjudice ?
Tu es donc pour l'application du Code Civil ?
Non, c'est vrai, tu es contre aussi.
Dis, tu es pour un quelconque régime de responsabilité, principe
fondamental dans un état de droit, dès qu'il s'agit d'Internet ou tu
défends encore la stupidité d'une zone de non-droit ?
Si tu parles de la liberte d'expression, elle n'est JAMAIS totale.
Peut-être que tu pourrais relire la déclaration des droits de l'homme de
1789 pour, enfin, comprendre le sens du terme "liberté d'expression" :
Combien sont ceux qui font des amalgames douteux ?
On a bien vu avec la LEN, avec ceux agitant des dangers même pas contenu
dans le texte, combien cela a été utilisé.
Pas en le poussant à l'absurde, pas en interprétant le terme de
"fondamental" comme tu le fais : cela ne veut jamais dire "absolu", cela
ne veut pas dire que cela a le droit d'empiéter sur les droits d'autrui.
Sinon, tu attends quoi pour lutter contre toute la loi de 1881 ? Il n'y
que lorsque cela touche Internet que cela te semble scandaleux
Il en est de la publication via Internet comme de la publication sur
tout autre support. Il a toujours été possible d'empêcher une
publication (et non de la retirer de la consultation publique après
publication) via un référé d'heure à heure, suffit d'en avoir les moyens
et donc la LEN, dans les cas que tu cites, ne change RIEN du tout quant
au résultat car le requérant est alors quelqu'un qui a les moyens.
(il y a même eu un jugement interdisant la vente d'une publication de
Que de faire cesser rapidement un préjudice soit l'apanage de ceux qui
ont les moyens financiers pour le faire ?
Que ceux dérapant par ignorance ou inconscience se retrouvent
systématiquement en Correctionnelle, seul moyen restant, si on suit tes
principes, pour faire cesser le préjudice ?
Tu es donc pour l'application du Code Civil ?
Non, c'est vrai, tu es contre aussi.
Dis, tu es pour un quelconque régime de responsabilité, principe
fondamental dans un état de droit, dès qu'il s'agit d'Internet ou tu
défends encore la stupidité d'une zone de non-droit ?
Il en est de la publication via Internet comme de la publication
sur tout autre support. Il a toujours été possible d'empêcher une
publication (et non de la retirer de la consultation publique après
publication) via un référé d'heure à heure, suffit d'en avoir les
moyens et donc la LEN, dans les cas que tu cites, ne change RIEN du
tout quant au résultat car le requérant est alors quelqu'un qui a
les moyens.
Mais c'est un JUGE qui décide, pas un technicien.
et le plaignant qui n'a pas les moyens de faire une telle procédure,
lui, il peut crever, hein, tu t'en claques.
Il en est de la publication via Internet comme de la publication
sur tout autre support. Il a toujours été possible d'empêcher une
publication (et non de la retirer de la consultation publique après
publication) via un référé d'heure à heure, suffit d'en avoir les
moyens et donc la LEN, dans les cas que tu cites, ne change RIEN du
tout quant au résultat car le requérant est alors quelqu'un qui a
les moyens.
Mais c'est un JUGE qui décide, pas un technicien.
et le plaignant qui n'a pas les moyens de faire une telle procédure,
lui, il peut crever, hein, tu t'en claques.
Il en est de la publication via Internet comme de la publication
sur tout autre support. Il a toujours été possible d'empêcher une
publication (et non de la retirer de la consultation publique après
publication) via un référé d'heure à heure, suffit d'en avoir les
moyens et donc la LEN, dans les cas que tu cites, ne change RIEN du
tout quant au résultat car le requérant est alors quelqu'un qui a
les moyens.
Mais c'est un JUGE qui décide, pas un technicien.
et le plaignant qui n'a pas les moyens de faire une telle procédure,
lui, il peut crever, hein, tu t'en claques.
L'industriel devra qualifier les faits et notifier quelles lois sont
enfreintes, ça permet une limitation.
L'industriel devra qualifier les faits et notifier quelles lois sont
enfreintes, ça permet une limitation.
L'industriel devra qualifier les faits et notifier quelles lois sont
enfreintes, ça permet une limitation.