La spécialité de ma fille, c'est les RH. A défaut elle fait du recrutement pour une boite d'interim.
Si elle connait les RH et aime les chiffres, je lui conseillerais de devenir comptable-paie. C'est une spécialité assez difficile mais recherchée et plutÍ´t intéressante (Alf92 se tord de rire !). En cas de faillite, le comptable et la spécialiste de la paie sont les deux employés qui restent jusqu'au bout et au-delÍ . -- Et c'est ainsi que MELMOTH est infiniment Grand !
Le 03/12/2020 Í 17:29, Thierry Houx a écrit :
La spécialité de ma fille, c'est les RH. A défaut elle fait du
recrutement pour une boite d'interim.
Si elle connait les RH et aime les chiffres, je lui conseillerais de
devenir comptable-paie. C'est une spécialité assez difficile mais
recherchée et plutÍ´t intéressante (Alf92 se tord de rire !).
En cas de faillite, le comptable et la spécialiste de la paie sont les
deux employés qui restent jusqu'au bout et au-delÍ .
--
Et c'est ainsi que MELMOTH est infiniment Grand !
La spécialité de ma fille, c'est les RH. A défaut elle fait du recrutement pour une boite d'interim.
Si elle connait les RH et aime les chiffres, je lui conseillerais de devenir comptable-paie. C'est une spécialité assez difficile mais recherchée et plutÍ´t intéressante (Alf92 se tord de rire !). En cas de faillite, le comptable et la spécialiste de la paie sont les deux employés qui restent jusqu'au bout et au-delÍ . -- Et c'est ainsi que MELMOTH est infiniment Grand !
Ghost-Raider
Le 03/12/2020 Í 18:07, efji a écrit :
Le 03/12/2020 Í 16:55, Ghost-Raider a écrit :
Le 03/12/2020 Í 14:04, efji a écrit :
Le 03/12/2020 Í 14:02, Ghost-Raider a écrit :
Quand on sait, on est moins stressé.
Faux. La gestion du stress dans les examens et concours est une chose particulière. Certains n'y arrivent pas et perdent leurs moyens alors qu'ils réussissent très bien dans un cadre plus paisible.
Mais non, pas faux, d'ailleurs, tu dis toi-même "certains".
Ah, enfin un débat intéressant :)
Merci.
Nous partons donc de : "Quand on sait, on est moins stressé."
C'est l'hypothèse, mais ça reste une hypothèse non généralisable Í tous les individus, je le prouverai ci-après.
Cette assertion peut avoir plusieurs interprétations mathématiques. j'en vois au moins 3 : 1/ "Ceux qui savent ne sont pas stressés" : assertion binaire qui suppose la population partitionnée entre les "qui savent" et les "qui savent pÍ´" d'une part et entre les "stressés" et les "non stressés" d'autre part. L'assertion logique comprise dans ce sens dit alors "qui savent" = "non stressés" et implicitement aussi "qui savent pas" > "stressés". On rappelle ici au passage que pour prouver qu'un affirmation est fausse il suffit d’exhiber un contre-exemple. Dans ce cas c'est évident. On en a tous en tête.
Oui.
2/ "Il existe une corrélation entre "savoir" et "non stress"", autrement dit en bon français "plus on sait, moins on est stressé" et on peut même affirmer que le classement des étudiants par ordre stress est l'inverse du classement par ordre de savoir. Cette affirmation, si elle était vraie, permettrait de classer les étudiants en mesurant leur stress, ce qui serait beaucoup plus facile que de mesurer leur savoir. De nouveau il ne faut pas chercher bien loin pour trouver un contre-exemple et donc montrer que l'affirmation sous cette forme est fausse.
Pas "affirmer", "supposer". Et oui, affirmation fausse, supposition indéterminée.
3/ "Il existe une corrélation statistique entre "savoir" et "non stress"", autrement dit, en moyenne, ceux qui savent sont moins stressés que ceux qui ne savent pas. LÍ pour le coup on a plus de mal Í trouver un contre-exemple car du fait de l'introduction d'une variable statistique il faudrait pouvoir trouver un exemple de population qui contredise l'assertion. C'est plus long Í trouver, mais on peut en construire un, fictif, qui donnera l'esprit de la démonstration : soit une classe dite de pédagogie inclusive dans laquelle on a regroupé 15 surdoués et 15 cancres virés de tous les établissements de la région. Il est Í peu près clair que les cancres auront en moyenne moins de stress que les surdoués Í chaque interrogation. Il se peut même que dans certaines épreuves orales on ait exactement l'inverse : le plus stressé des cancres est moins stressé que le moins stressé des bons élèves.
VoilÍ , on y arrive. Exemple fictif en effet. La réalité, sur un échantillon suffisamment large, aura plutÍ´t l'aspect d'une distribution normale et non d'une segmentation binaire. Mais rien ne dit que les cancres ne seront pas les plus stressés car justement, leurs mauvais résultats sont la conséquence de leur stress. Inversion des causes et des conséquences pour certains individus et pas pour d'autres. Il vaut mieux ressortir aux constatations évidentes : un élève lambda, *soucieux de son avenir*, condition qu'il aurait fallu introduire dans le raisonnement ci-dessus, est généralement d'autant plus stressé qu'il est ignorant. La preuve ? Par le Sexe ! Les femmes, ignorant tout de la mécanique, sont plus stressées que les hommes lors de l'épreuve de conduite du permis de conduire. -- Et c'est ainsi que MELMOTH est infiniment Grand !
Le 03/12/2020 Í 18:07, efji a écrit :
Le 03/12/2020 Í 16:55, Ghost-Raider a écrit :
Le 03/12/2020 Í 14:04, efji a écrit :
Le 03/12/2020 Í 14:02, Ghost-Raider a écrit :
Quand on sait, on est moins stressé.
Faux. La gestion du stress dans les examens et concours est une chose
particulière. Certains n'y arrivent pas et perdent leurs moyens alors
qu'ils réussissent très bien dans un cadre plus paisible.
Mais non, pas faux, d'ailleurs, tu dis toi-même "certains".
Ah, enfin un débat intéressant :)
Merci.
Nous partons donc de : "Quand on sait, on est moins stressé."
C'est l'hypothèse, mais ça reste une hypothèse non généralisable Í tous
les individus, je le prouverai ci-après.
Cette assertion peut avoir plusieurs interprétations mathématiques. j'en
vois au moins 3 :
1/ "Ceux qui savent ne sont pas stressés" : assertion binaire qui
suppose la population partitionnée entre les "qui savent" et les "qui
savent pÍ´" d'une part et entre les "stressés" et les "non stressés"
d'autre part. L'assertion logique comprise dans ce sens dit alors "qui
savent" = "non stressés" et implicitement aussi "qui savent pas" > "stressés".
On rappelle ici au passage que pour prouver qu'un affirmation est fausse
il suffit d’exhiber un contre-exemple. Dans ce cas c'est évident. On en
a tous en tête.
Oui.
2/ "Il existe une corrélation entre "savoir" et "non stress"", autrement
dit en bon français "plus on sait, moins on est stressé" et on peut même
affirmer que le classement des étudiants par ordre stress est l'inverse
du classement par ordre de savoir. Cette affirmation, si elle était
vraie, permettrait de classer les étudiants en mesurant leur stress, ce
qui serait beaucoup plus facile que de mesurer leur savoir. De nouveau
il ne faut pas chercher bien loin pour trouver un contre-exemple et donc
montrer que l'affirmation sous cette forme est fausse.
Pas "affirmer", "supposer".
Et oui, affirmation fausse, supposition indéterminée.
3/ "Il existe une corrélation statistique entre "savoir" et "non
stress"", autrement dit, en moyenne, ceux qui savent sont moins stressés
que ceux qui ne savent pas. LÍ pour le coup on a plus de mal Í trouver
un contre-exemple car du fait de l'introduction d'une variable
statistique il faudrait pouvoir trouver un exemple de population qui
contredise l'assertion. C'est plus long Í trouver, mais on peut en
construire un, fictif, qui donnera l'esprit de la démonstration : soit
une classe dite de pédagogie inclusive dans laquelle on a regroupé 15
surdoués et 15 cancres virés de tous les établissements de la région. Il
est Í peu près clair que les cancres auront en moyenne moins de stress
que les surdoués Í chaque interrogation. Il se peut même que dans
certaines épreuves orales on ait exactement l'inverse : le plus stressé
des cancres est moins stressé que le moins stressé des bons élèves.
VoilÍ , on y arrive.
Exemple fictif en effet. La réalité, sur un échantillon suffisamment
large, aura plutÍ´t l'aspect d'une distribution normale et non d'une
segmentation binaire.
Mais rien ne dit que les cancres ne seront pas les plus stressés car
justement, leurs mauvais résultats sont la conséquence de leur stress.
Inversion des causes et des conséquences pour certains individus et pas
pour d'autres.
Il vaut mieux ressortir aux constatations évidentes : un élève lambda,
*soucieux de son avenir*, condition qu'il aurait fallu introduire dans
le raisonnement ci-dessus, est généralement d'autant plus stressé qu'il
est ignorant.
La preuve ? Par le Sexe !
Les femmes, ignorant tout de la mécanique, sont plus stressées que les
hommes lors de l'épreuve de conduite du permis de conduire.
--
Et c'est ainsi que MELMOTH est infiniment Grand !
Faux. La gestion du stress dans les examens et concours est une chose particulière. Certains n'y arrivent pas et perdent leurs moyens alors qu'ils réussissent très bien dans un cadre plus paisible.
Mais non, pas faux, d'ailleurs, tu dis toi-même "certains".
Ah, enfin un débat intéressant :)
Merci.
Nous partons donc de : "Quand on sait, on est moins stressé."
C'est l'hypothèse, mais ça reste une hypothèse non généralisable Í tous les individus, je le prouverai ci-après.
Cette assertion peut avoir plusieurs interprétations mathématiques. j'en vois au moins 3 : 1/ "Ceux qui savent ne sont pas stressés" : assertion binaire qui suppose la population partitionnée entre les "qui savent" et les "qui savent pÍ´" d'une part et entre les "stressés" et les "non stressés" d'autre part. L'assertion logique comprise dans ce sens dit alors "qui savent" = "non stressés" et implicitement aussi "qui savent pas" > "stressés". On rappelle ici au passage que pour prouver qu'un affirmation est fausse il suffit d’exhiber un contre-exemple. Dans ce cas c'est évident. On en a tous en tête.
Oui.
2/ "Il existe une corrélation entre "savoir" et "non stress"", autrement dit en bon français "plus on sait, moins on est stressé" et on peut même affirmer que le classement des étudiants par ordre stress est l'inverse du classement par ordre de savoir. Cette affirmation, si elle était vraie, permettrait de classer les étudiants en mesurant leur stress, ce qui serait beaucoup plus facile que de mesurer leur savoir. De nouveau il ne faut pas chercher bien loin pour trouver un contre-exemple et donc montrer que l'affirmation sous cette forme est fausse.
Pas "affirmer", "supposer". Et oui, affirmation fausse, supposition indéterminée.
3/ "Il existe une corrélation statistique entre "savoir" et "non stress"", autrement dit, en moyenne, ceux qui savent sont moins stressés que ceux qui ne savent pas. LÍ pour le coup on a plus de mal Í trouver un contre-exemple car du fait de l'introduction d'une variable statistique il faudrait pouvoir trouver un exemple de population qui contredise l'assertion. C'est plus long Í trouver, mais on peut en construire un, fictif, qui donnera l'esprit de la démonstration : soit une classe dite de pédagogie inclusive dans laquelle on a regroupé 15 surdoués et 15 cancres virés de tous les établissements de la région. Il est Í peu près clair que les cancres auront en moyenne moins de stress que les surdoués Í chaque interrogation. Il se peut même que dans certaines épreuves orales on ait exactement l'inverse : le plus stressé des cancres est moins stressé que le moins stressé des bons élèves.
VoilÍ , on y arrive. Exemple fictif en effet. La réalité, sur un échantillon suffisamment large, aura plutÍ´t l'aspect d'une distribution normale et non d'une segmentation binaire. Mais rien ne dit que les cancres ne seront pas les plus stressés car justement, leurs mauvais résultats sont la conséquence de leur stress. Inversion des causes et des conséquences pour certains individus et pas pour d'autres. Il vaut mieux ressortir aux constatations évidentes : un élève lambda, *soucieux de son avenir*, condition qu'il aurait fallu introduire dans le raisonnement ci-dessus, est généralement d'autant plus stressé qu'il est ignorant. La preuve ? Par le Sexe ! Les femmes, ignorant tout de la mécanique, sont plus stressées que les hommes lors de l'épreuve de conduite du permis de conduire. -- Et c'est ainsi que MELMOTH est infiniment Grand !
Alf92
Ghost-Raider (le 03/12/2020 Í 18:45:09) :
Le 03/12/2020 Í 17:29, Thierry Houx a écrit :
La spécialité de ma fille, c'est les RH. A défaut elle fait du recrutement pour une boite d'interim.
Si elle connait les RH et aime les chiffres, je lui conseillerais de devenir comptable-paie. C'est une spécialité assez difficile mais recherchée et plutÍ´t intéressante (Alf92 se tord de rire !).
j'ai vendu des solutions paie-GRH en "services-bureau" (on disait comme ça Í l'époque) pendant 4 ans :-) c'est pas inintéressant, la législation change tout le temps ce qui donne du boulot pour tout le monde : le service paie et le prestataire !
En cas de faillite, le comptable et la spécialiste de la paie sont les deux employés qui restent jusqu'au bout et au-delÍ .
il y aura toujours du taf !
Ghost-Raider (le 03/12/2020 Í 18:45:09) :
Le 03/12/2020 Í 17:29, Thierry Houx a écrit :
La spécialité de ma fille, c'est les RH. A défaut elle fait du
recrutement pour une boite d'interim.
Si elle connait les RH et aime les chiffres, je lui conseillerais de
devenir comptable-paie. C'est une spécialité assez difficile mais
recherchée et plutÍ´t intéressante (Alf92 se tord de rire !).
j'ai vendu des solutions paie-GRH en "services-bureau" (on disait comme
ça Í l'époque) pendant 4 ans :-)
c'est pas inintéressant, la législation change tout le temps ce qui donne
du boulot pour tout le monde : le service paie et le prestataire !
En cas de faillite, le comptable et la spécialiste de la paie sont les
deux employés qui restent jusqu'au bout et au-delÍ .
La spécialité de ma fille, c'est les RH. A défaut elle fait du recrutement pour une boite d'interim.
Si elle connait les RH et aime les chiffres, je lui conseillerais de devenir comptable-paie. C'est une spécialité assez difficile mais recherchée et plutÍ´t intéressante (Alf92 se tord de rire !).
j'ai vendu des solutions paie-GRH en "services-bureau" (on disait comme ça Í l'époque) pendant 4 ans :-) c'est pas inintéressant, la législation change tout le temps ce qui donne du boulot pour tout le monde : le service paie et le prestataire !
En cas de faillite, le comptable et la spécialiste de la paie sont les deux employés qui restent jusqu'au bout et au-delÍ .
il y aura toujours du taf !
Ghost-Raider
Le 03/12/2020 Í 18:42, Alf92 a écrit :
efji (le 03/12/2020 Í 18:14:22) :
(...) existent. L'agrégation d'économie a disparu récemment. A ma connaissance il ne faut pas d'HDR pour la passer mais juste un doctorat.
HDR... celui de mon GCam ? Í ce sujet je suis tombé (non en fait j'ai un peu cherché) sur ça : https://www.google.fr/search?source=hp&qÊmera+HDR+plus+site%3Aai.googleblog.com
Rh͢͢͢ lÍ lÍ ... Ces retours en charte, c'est d'un pénible ! -- Et c'est ainsi que MELMOTH est infiniment Grand !
Le 03/12/2020 Í 18:42, Alf92 a écrit :
efji (le 03/12/2020 Í 18:14:22) :
(...)
existent. L'agrégation d'économie a disparu récemment. A ma connaissance
il ne faut pas d'HDR pour la passer mais juste un doctorat.
HDR... celui de mon GCam ?
Í ce sujet je suis tombé (non en fait j'ai un peu cherché) sur ça :
https://www.google.fr/search?source=hp&qÊmera+HDR+plus+site%3Aai.googleblog.com
Rh͢͢͢ lÍ lÍ ... Ces retours en charte, c'est d'un pénible !
--
Et c'est ainsi que MELMOTH est infiniment Grand !
(...) existent. L'agrégation d'économie a disparu récemment. A ma connaissance il ne faut pas d'HDR pour la passer mais juste un doctorat.
HDR... celui de mon GCam ? Í ce sujet je suis tombé (non en fait j'ai un peu cherché) sur ça : https://www.google.fr/search?source=hp&qÊmera+HDR+plus+site%3Aai.googleblog.com
Rh͢͢͢ lÍ lÍ ... Ces retours en charte, c'est d'un pénible ! -- Et c'est ainsi que MELMOTH est infiniment Grand !
efji
Le 03/12/2020 Í 19:01, Ghost-Raider a écrit :
La preuve ? Par le Sexe ! Les femmes, ignorant tout de la mécanique, sont plus stressées que les hommes lors de l'épreuve de conduite du permis de conduire.
Excellente référence ! Il ne t'a pas échappé qu'il y a un problème de femmes dans les sciences en France et ailleurs (en Arabie Saoudite par exemple, elles sont totalement absentes!). Il y a une foule d'études qui essayent de comprendre pourquoi, avant le bac, elles sont plutÍ´t meilleures que les garçons en sciences, et après le bac elles disparaissent dans d'autres filières. En médecine, biologie, chimie (haha) elles sont majoritaires, alors qu'en maths, physique, et surtout informatique, elles sont très peu. Donc des sociologues ont étudié la question. Un résultat important est celui qui concerne la confiance en soi, que l'on peut corréler de façon assez sÍ»re avec le niveau de stress. Quand on demande Í des jeunes du niveau du bac de s'auto-évaluer en mathématiques sur une échelle de "très faible" Í "très fort", les garçons se surévaluent en moyenne par rapport Í leurs résultats réels et les filles se sous-évaluent. -- F.J.
Le 03/12/2020 Í 19:01, Ghost-Raider a écrit :
La preuve ? Par le Sexe !
Les femmes, ignorant tout de la mécanique, sont plus stressées que les
hommes lors de l'épreuve de conduite du permis de conduire.
Excellente référence !
Il ne t'a pas échappé qu'il y a un problème de femmes dans les sciences
en France et ailleurs (en Arabie Saoudite par exemple, elles sont
totalement absentes!). Il y a une foule d'études qui essayent de
comprendre pourquoi, avant le bac, elles sont plutÍ´t meilleures que les
garçons en sciences, et après le bac elles disparaissent dans d'autres
filières. En médecine, biologie, chimie (haha) elles sont majoritaires,
alors qu'en maths, physique, et surtout informatique, elles sont très peu.
Donc des sociologues ont étudié la question.
Un résultat important est celui qui concerne la confiance en soi, que
l'on peut corréler de façon assez sÍ»re avec le niveau de stress. Quand
on demande Í des jeunes du niveau du bac de s'auto-évaluer en
mathématiques sur une échelle de "très faible" Í "très fort", les
garçons se surévaluent en moyenne par rapport Í leurs résultats réels et
les filles se sous-évaluent.
La preuve ? Par le Sexe ! Les femmes, ignorant tout de la mécanique, sont plus stressées que les hommes lors de l'épreuve de conduite du permis de conduire.
Excellente référence ! Il ne t'a pas échappé qu'il y a un problème de femmes dans les sciences en France et ailleurs (en Arabie Saoudite par exemple, elles sont totalement absentes!). Il y a une foule d'études qui essayent de comprendre pourquoi, avant le bac, elles sont plutÍ´t meilleures que les garçons en sciences, et après le bac elles disparaissent dans d'autres filières. En médecine, biologie, chimie (haha) elles sont majoritaires, alors qu'en maths, physique, et surtout informatique, elles sont très peu. Donc des sociologues ont étudié la question. Un résultat important est celui qui concerne la confiance en soi, que l'on peut corréler de façon assez sÍ»re avec le niveau de stress. Quand on demande Í des jeunes du niveau du bac de s'auto-évaluer en mathématiques sur une échelle de "très faible" Í "très fort", les garçons se surévaluent en moyenne par rapport Í leurs résultats réels et les filles se sous-évaluent. -- F.J.
jdd
Le 03/12/2020 Í 14:25, Thierry Houx a écrit :
Le pire dans mon coin, ce sont les étudiants en médecine qui ont eu ce comportement. De futurs médecins ayant un éthique?
l'hypersélection forme des hyper individualistes, pas des bénévoles... :-( jdd -- http://dodin.org
Le 03/12/2020 Í 14:25, Thierry Houx a écrit :
Le pire dans mon coin, ce sont les étudiants en médecine qui ont eu ce
comportement.
De futurs médecins ayant un éthique?
l'hypersélection forme des hyper individualistes, pas des bénévoles...
Le pire dans mon coin, ce sont les étudiants en médecine qui ont eu ce comportement. De futurs médecins ayant un éthique?
l'hypersélection forme des hyper individualistes, pas des bénévoles... :-( jdd -- http://dodin.org
jdd
Le 03/12/2020 Í 16:54, Ghost-Raider a écrit :
Mais Efji l'a remarqué, les bancs de la fac s'éclaircissent très vite en première année
oui, pas qu'en première année, et pas qu'Í la fac quand ces étudiants ont leur sécurité sociale. Il ne
reste plus tard que les bons, ceux qui ont eu leur bac avec mention.
pas forcément. Les élèves vraiment bons s'ennuient en classe, forcément un prof est bien obligé de travailler pour les moins bons, même pas pour la moyenne, du coup ils n'ont pas forcément de bonnes notes un petit nombre part Í Katmandou (au propre ou au figuré) et sont perdus pour la société, les autres arrivent toujours Í se débrouiller ceux qui finissent doctorants ou chercheurs sont souvent les élèves moyens, besogneux pendant leurs études, mais qui, du coup, ont dÍ» apprendre Í travailler, et qui arrivent souvent très loin, parfois au prix d'un redoublement ou deux... on est tout surpris de les voir lÍ ... il n'y a que le travail qui paie *toujours* jdd -- http://dodin.org
Le 03/12/2020 Í 16:54, Ghost-Raider a écrit :
Mais Efji l'a remarqué, les bancs de la fac s'éclaircissent très vite en
première année
oui, pas qu'en première année, et pas qu'Í la fac
quand ces étudiants ont leur sécurité sociale. Il ne
reste plus tard que les bons, ceux qui ont eu leur bac avec mention.
pas forcément. Les élèves vraiment bons s'ennuient en classe, forcément
un prof est bien obligé de travailler pour les moins bons, même pas pour
la moyenne, du coup ils n'ont pas forcément de bonnes notes
un petit nombre part Í Katmandou (au propre ou au figuré) et sont perdus
pour la société, les autres arrivent toujours Í se débrouiller
ceux qui finissent doctorants ou chercheurs sont souvent les élèves
moyens, besogneux pendant leurs études, mais qui, du coup, ont dÍ»
apprendre Í travailler, et qui arrivent souvent très loin, parfois au
prix d'un redoublement ou deux... on est tout surpris de les voir lÍ ...
Mais Efji l'a remarqué, les bancs de la fac s'éclaircissent très vite en première année
oui, pas qu'en première année, et pas qu'Í la fac quand ces étudiants ont leur sécurité sociale. Il ne
reste plus tard que les bons, ceux qui ont eu leur bac avec mention.
pas forcément. Les élèves vraiment bons s'ennuient en classe, forcément un prof est bien obligé de travailler pour les moins bons, même pas pour la moyenne, du coup ils n'ont pas forcément de bonnes notes un petit nombre part Í Katmandou (au propre ou au figuré) et sont perdus pour la société, les autres arrivent toujours Í se débrouiller ceux qui finissent doctorants ou chercheurs sont souvent les élèves moyens, besogneux pendant leurs études, mais qui, du coup, ont dÍ» apprendre Í travailler, et qui arrivent souvent très loin, parfois au prix d'un redoublement ou deux... on est tout surpris de les voir lÍ ... il n'y a que le travail qui paie *toujours* jdd -- http://dodin.org
jdd
Le 03/12/2020 Í 17:18, Ghost-Raider a écrit :
les bons comptables gagnent bien leur vie, ne sont jamais au chÍ´mage et c'est un boulot passionnant.
ça, faut le dire vite :-))) jdd -- http://dodin.org
Le 03/12/2020 Í 17:18, Ghost-Raider a écrit :
les bons comptables gagnent bien leur vie, ne sont jamais au chÍ´mage et c'est un boulot passionnant.
ce serait possible de ne pas recopier 50 lignes de texte pour rajouter un mot? merci jdd -- http://dodin.org
efji
Le 03/12/2020 Í 19:53, jdd a écrit :
ceux qui finissent doctorants ou chercheurs sont souvent les élèves moyens, besogneux pendant leurs études, mais qui, du coup, ont dÍ» apprendre Í travailler, et qui arrivent souvent très loin, parfois au prix d'un redoublement ou deux... on est tout surpris de les voir lÍ ...
Certainement pas en sciences dures en tout cas. En maths et en physique il y a probablement moins de 10% des chercheurs qui ont fait le premier cycle de la fac de toute façon (la plupart ont fait prépa + école). -- F.J.
Le 03/12/2020 Í 19:53, jdd a écrit :
ceux qui finissent doctorants ou chercheurs sont souvent les élèves
moyens, besogneux pendant leurs études, mais qui, du coup, ont dÍ»
apprendre Í travailler, et qui arrivent souvent très loin, parfois au
prix d'un redoublement ou deux... on est tout surpris de les voir lÍ ...
Certainement pas en sciences dures en tout cas.
En maths et en physique il y a probablement moins de 10% des chercheurs
qui ont fait le premier cycle de la fac de toute façon (la plupart ont
fait prépa + école).
ceux qui finissent doctorants ou chercheurs sont souvent les élèves moyens, besogneux pendant leurs études, mais qui, du coup, ont dÍ» apprendre Í travailler, et qui arrivent souvent très loin, parfois au prix d'un redoublement ou deux... on est tout surpris de les voir lÍ ...
Certainement pas en sciences dures en tout cas. En maths et en physique il y a probablement moins de 10% des chercheurs qui ont fait le premier cycle de la fac de toute façon (la plupart ont fait prépa + école). -- F.J.