Ouais, les oiseaux, les mouches, les guêpabeilles, et même les papillons, j'ose tout, sans complexe...
http://cjoint.com/?ecxblWv53I
Olympus E10. Dominique va nous dire ce que c'est...
Photo superbe... mais je ne sais pas ce que c'est si ce n'est un papillon. Je suis nul en entomologie. Bonne journée, Dominique
dominique
Tu as tout compris. En général je ne recadre pas, car le temps que je le fasse, l'oiseau a bougé, et surtout, moi je bouge, donc je décale la mise au point, et donc, avec la grande ouverture, le flou est assuré. Comme l'oiseau est en général petit dans le cadre, on peut recadrer après si ça vaut la peine et si le piqué est suffisant. La stabilité est indispensable pour une double raison: d'une part pour éviter le flou de bougé, d'autre part et presque surtout, parce que ni l'appareil en autofocus, ni moi en manuel, n'arrivons à faire une mise au point correcte sur un sujet mouvant. J'ai mis du temps à m'en rendre compte. Depuis que j'utilise un support de caméra vidéo, l'appareil fait beaucoup mieux la mise au point en autofocus, et moi aussi en manuel.
Cordialement
Ghost Rider
Un faisan, au bois de Boulogne, qui met en évidence la nécessité de la MAP manuelle :
http://cjoint.com/?ecwW0JGdNy
Merci pour tes explications circonstanciées. J'ai un EOS 300D et un zoom Canon f 4,5 70-200 L. Je n'ai pas de doubleur de focale. il faudrait sans doute que je m'en offre un. Je pars dans le Massif Central ce week-end. Comme tout le monde fera la grasse matinée, je me vois bien seul à arpenter le secteur à 6 ou 7 h du matin. Je verrai ce que je peux faire d'intéressant. J'ai un mono-pied et un déclencheur souple... À suivre. Tu m'as donné envie d'abandonner mes jumelles pour quelques heures. j'ai souvent eu envie de photographier les oiseaux mais je trébuche toujours sur le dilemme : boîtier ou jumelles et comme ça fait plus de 20 ans que j'ai mes jumelles toujours avec moi... je laisse volontiers le boîtier à la maison. Il est vrai qu'on observe avec un confort incomparable avec des jumelles. La MAP est très rapide, lorsqu'on connaît son instrument. L'ouverture est très grande : 62 mm de diamètre pour la lentille frontale et le grossissement est important. Une mésange s'identifie correctement à une centaine de mètres. De là à voir les détails... Merci à toi et bonne journée, Dominique
Tu as tout compris. En général je ne recadre pas, car le temps que je le
fasse, l'oiseau a bougé, et surtout, moi je bouge, donc je décale la
mise au point, et donc, avec la grande ouverture, le flou est assuré.
Comme l'oiseau est en général petit dans le cadre, on peut recadrer
après si ça vaut la peine et si le piqué est suffisant.
La stabilité est indispensable pour une double raison: d'une part pour
éviter le flou de bougé, d'autre part et presque surtout, parce que ni
l'appareil en autofocus, ni moi en manuel, n'arrivons à faire une mise
au point correcte sur un sujet mouvant.
J'ai mis du temps à m'en rendre compte. Depuis que j'utilise un support
de caméra vidéo, l'appareil fait beaucoup mieux la mise au point en
autofocus, et moi aussi en manuel.
Cordialement
Ghost Rider
Un faisan, au bois de Boulogne, qui met en évidence la nécessité de la
MAP manuelle :
http://cjoint.com/?ecwW0JGdNy
Merci pour tes explications circonstanciées.
J'ai un EOS 300D et un zoom Canon f 4,5 70-200 L. Je n'ai pas de
doubleur de focale. il faudrait sans doute que je m'en offre un.
Je pars dans le Massif Central ce week-end. Comme tout le monde fera la
grasse matinée, je me vois bien seul à arpenter le secteur à 6 ou 7 h du
matin. Je verrai ce que je peux faire d'intéressant. J'ai un mono-pied
et un déclencheur souple... À suivre. Tu m'as donné envie d'abandonner
mes jumelles pour quelques heures.
j'ai souvent eu envie de photographier les oiseaux mais je trébuche
toujours sur le dilemme : boîtier ou jumelles et comme ça fait plus de
20 ans que j'ai mes jumelles toujours avec moi... je laisse volontiers
le boîtier à la maison. Il est vrai qu'on observe avec un confort
incomparable avec des jumelles. La MAP est très rapide, lorsqu'on
connaît son instrument. L'ouverture est très grande : 62 mm de diamètre
pour la lentille frontale et le grossissement est important. Une mésange
s'identifie correctement à une centaine de mètres. De là à voir les
détails...
Merci à toi et bonne journée,
Dominique
Tu as tout compris. En général je ne recadre pas, car le temps que je le fasse, l'oiseau a bougé, et surtout, moi je bouge, donc je décale la mise au point, et donc, avec la grande ouverture, le flou est assuré. Comme l'oiseau est en général petit dans le cadre, on peut recadrer après si ça vaut la peine et si le piqué est suffisant. La stabilité est indispensable pour une double raison: d'une part pour éviter le flou de bougé, d'autre part et presque surtout, parce que ni l'appareil en autofocus, ni moi en manuel, n'arrivons à faire une mise au point correcte sur un sujet mouvant. J'ai mis du temps à m'en rendre compte. Depuis que j'utilise un support de caméra vidéo, l'appareil fait beaucoup mieux la mise au point en autofocus, et moi aussi en manuel.
Cordialement
Ghost Rider
Un faisan, au bois de Boulogne, qui met en évidence la nécessité de la MAP manuelle :
http://cjoint.com/?ecwW0JGdNy
Merci pour tes explications circonstanciées. J'ai un EOS 300D et un zoom Canon f 4,5 70-200 L. Je n'ai pas de doubleur de focale. il faudrait sans doute que je m'en offre un. Je pars dans le Massif Central ce week-end. Comme tout le monde fera la grasse matinée, je me vois bien seul à arpenter le secteur à 6 ou 7 h du matin. Je verrai ce que je peux faire d'intéressant. J'ai un mono-pied et un déclencheur souple... À suivre. Tu m'as donné envie d'abandonner mes jumelles pour quelques heures. j'ai souvent eu envie de photographier les oiseaux mais je trébuche toujours sur le dilemme : boîtier ou jumelles et comme ça fait plus de 20 ans que j'ai mes jumelles toujours avec moi... je laisse volontiers le boîtier à la maison. Il est vrai qu'on observe avec un confort incomparable avec des jumelles. La MAP est très rapide, lorsqu'on connaît son instrument. L'ouverture est très grande : 62 mm de diamètre pour la lentille frontale et le grossissement est important. Une mésange s'identifie correctement à une centaine de mètres. De là à voir les détails... Merci à toi et bonne journée, Dominique
Bour-Brown
markorki a écrit ( 4611a4a9$0$27397$ )
si ma mémoire ne me fait pas défaut (des faux ?), c'est un "Paon du jour"
Excellent. Après ça un coup de Google, hop : http://perso.orange.fr/papillon.vulcain/paon_du_jour.htm
On dira ce qu'on veut, mais forum + Internet, on apprend toujours quelque chose : merci.
markorki a écrit
( 4611a4a9$0$27397$ba4acef3@news.orange.fr )
si ma mémoire ne me fait pas défaut (des faux ?),
c'est un "Paon du jour"
Excellent. Après ça un coup de Google, hop :
http://perso.orange.fr/papillon.vulcain/paon_du_jour.htm
On dira ce qu'on veut, mais forum + Internet, on apprend toujours quelque
chose : merci.
Et il fait pareil avec les guêpes, enfin les mouches et tout
Ouais, les oiseaux, les mouches, les guêpabeilles, et même les papillons, j'ose tout, sans complexe...
http://cjoint.com/?ecxblWv53I
Olympus E10. Dominique va nous dire ce que c'est...
C'est pas juste. Moi, les papillons m'évitent :(
Ghost-Rider
Merci pour tes explications circonstanciées.
Un doubleur de type barlow sur un 200 f4,5, ça va te donner un 400 f9 ! Oublie ça, tu ne verras pas grand chose dans ton viseur et tu n'arriveras pas à faire une bonne mise au point. Ton 200 multiplié par 1,6 je crois, pour le 300 D, ça fait 320, c'est pas mal du tout, c'est suffisant sauf pour les tout petits passereaux, mais si ta mise au point est correcte, tu peux recadrer. Avec ton mono-pied, tu es bien équipé. Le déclencheur souple ne te servira pas.
Dans mes conseils, j'en ai oublié un: le poids, c'est l'ennemi. Il faut partir avec le minimum de matériel, éviter le fourre-tout, les courroies, tout ce qui pèse et gêne, n'avoir en main que le fusil photographique, des batteries de rechange dans la poche et une paire de jumelle au cou. Pour les jumelles, après avoir essayé des grosses et de petites, je pars maintenant avec une toute petite paire de jumelles Nikon TravelLite, très légère. C'est suffisant pour repérer et identifier les oiseaux, mais ça ne me gêne pas et ça ne pèse rien. Pour la chasse photo, les jumelles très lumineuses ne servent réellement que la nuit, pas le jour, sauf pour admirer le paysage, mais c'est une autre activité.
Bon week-end, ramène-nous des photos.
Ghost Rider
http://cjoint.com/?edoNo1vpFf
Ibis Royal du Nil, Carnac (France) E20 + tripleur. Je passais en voiture, 2 ibis pataugeaient dans l'embouchure d'une rivière. Il y en a un certain nombre en Bretagne, sans doute échappés d'un zoo et bien acclimatés.
Merci pour tes explications circonstanciées.
Un doubleur de type barlow sur un 200 f4,5, ça va te donner un 400 f9 !
Oublie ça, tu ne verras pas grand chose dans ton viseur et tu
n'arriveras pas à faire une bonne mise au point.
Ton 200 multiplié par 1,6 je crois, pour le 300 D, ça fait 320, c'est
pas mal du tout, c'est suffisant sauf pour les tout petits passereaux,
mais si ta mise au point est correcte, tu peux recadrer.
Avec ton mono-pied, tu es bien équipé. Le déclencheur souple ne te
servira pas.
Dans mes conseils, j'en ai oublié un: le poids, c'est l'ennemi. Il faut
partir avec le minimum de matériel, éviter le fourre-tout, les
courroies, tout ce qui pèse et gêne, n'avoir en main que le fusil
photographique, des batteries de rechange dans la poche et une paire de
jumelle au cou. Pour les jumelles, après avoir essayé des grosses et de
petites, je pars maintenant avec une toute petite paire de jumelles
Nikon TravelLite, très légère. C'est suffisant pour repérer et
identifier les oiseaux, mais ça ne me gêne pas et ça ne pèse rien. Pour
la chasse photo, les jumelles très lumineuses ne servent réellement que
la nuit, pas le jour, sauf pour admirer le paysage, mais c'est une autre
activité.
Bon week-end, ramène-nous des photos.
Ghost Rider
http://cjoint.com/?edoNo1vpFf
Ibis Royal du Nil, Carnac (France) E20 + tripleur.
Je passais en voiture, 2 ibis pataugeaient dans l'embouchure d'une
rivière. Il y en a un certain nombre en Bretagne, sans doute échappés
d'un zoo et bien acclimatés.
Un doubleur de type barlow sur un 200 f4,5, ça va te donner un 400 f9 ! Oublie ça, tu ne verras pas grand chose dans ton viseur et tu n'arriveras pas à faire une bonne mise au point. Ton 200 multiplié par 1,6 je crois, pour le 300 D, ça fait 320, c'est pas mal du tout, c'est suffisant sauf pour les tout petits passereaux, mais si ta mise au point est correcte, tu peux recadrer. Avec ton mono-pied, tu es bien équipé. Le déclencheur souple ne te servira pas.
Dans mes conseils, j'en ai oublié un: le poids, c'est l'ennemi. Il faut partir avec le minimum de matériel, éviter le fourre-tout, les courroies, tout ce qui pèse et gêne, n'avoir en main que le fusil photographique, des batteries de rechange dans la poche et une paire de jumelle au cou. Pour les jumelles, après avoir essayé des grosses et de petites, je pars maintenant avec une toute petite paire de jumelles Nikon TravelLite, très légère. C'est suffisant pour repérer et identifier les oiseaux, mais ça ne me gêne pas et ça ne pèse rien. Pour la chasse photo, les jumelles très lumineuses ne servent réellement que la nuit, pas le jour, sauf pour admirer le paysage, mais c'est une autre activité.
Bon week-end, ramène-nous des photos.
Ghost Rider
http://cjoint.com/?edoNo1vpFf
Ibis Royal du Nil, Carnac (France) E20 + tripleur. Je passais en voiture, 2 ibis pataugeaient dans l'embouchure d'une rivière. Il y en a un certain nombre en Bretagne, sans doute échappés d'un zoo et bien acclimatés.
John Kelly
In news:46124c73$0$27367$, Ghost-Rider nous écrit:
Merci pour tes explications circonstanciées.
Un doubleur de type barlow sur un 200 f4,5, ça va te donner un 400 f9 ! Oublie ça, tu ne verras pas grand chose dans ton viseur et tu n'arriveras pas à faire une bonne mise au point. Ton 200 multiplié par 1,6 je crois, pour le 300 D, ça fait 320, c'est pas mal du tout, c'est suffisant sauf pour les tout petits passereaux, mais si ta mise au point est correcte, tu peux recadrer. Avec ton mono-pied, tu es bien équipé. Le déclencheur souple ne te servira pas.
Dans mes conseils, j'en ai oublié un: le poids, c'est l'ennemi. Il faut partir avec le minimum de matériel, éviter le fourre-tout, les courroies, tout ce qui pèse et gêne, n'avoir en main que le fusil photographique, des batteries de rechange dans la poche et une paire de jumelle au cou. Pour les jumelles, après avoir essayé des grosses et de petites, je pars maintenant avec une toute petite paire de jumelles Nikon TravelLite, très légère. C'est suffisant pour repérer et identifier les oiseaux, mais ça ne me gêne pas et ça ne pèse rien. Pour la chasse photo, les jumelles très lumineuses ne servent réellement que la nuit, pas le jour, sauf pour admirer le paysage, mais c'est une autre activité.
Bon week-end, ramène-nous des photos.
Ghost Rider
http://cjoint.com/?edoNo1vpFf
Ibis Royal du Nil, Carnac (France) E20 + tripleur. Je passais en voiture, 2 ibis pataugeaient dans l'embouchure d'une rivière. Il y en a un certain nombre en Bretagne, sans doute échappés d'un zoo et bien acclimatés.
oh il est ... royal!
In news:46124c73$0$27367$ba4acef3@news.orange.fr,
Ghost-Rider <ghost-rider@in-the-sky.net> nous écrit:
Merci pour tes explications circonstanciées.
Un doubleur de type barlow sur un 200 f4,5, ça va te donner un 400 f9
! Oublie ça, tu ne verras pas grand chose dans ton viseur et tu
n'arriveras pas à faire une bonne mise au point.
Ton 200 multiplié par 1,6 je crois, pour le 300 D, ça fait 320, c'est
pas mal du tout, c'est suffisant sauf pour les tout petits passereaux,
mais si ta mise au point est correcte, tu peux recadrer.
Avec ton mono-pied, tu es bien équipé. Le déclencheur souple ne te
servira pas.
Dans mes conseils, j'en ai oublié un: le poids, c'est l'ennemi. Il
faut partir avec le minimum de matériel, éviter le fourre-tout, les
courroies, tout ce qui pèse et gêne, n'avoir en main que le fusil
photographique, des batteries de rechange dans la poche et une paire
de jumelle au cou. Pour les jumelles, après avoir essayé des grosses
et de petites, je pars maintenant avec une toute petite paire de
jumelles Nikon TravelLite, très légère. C'est suffisant pour repérer
et identifier les oiseaux, mais ça ne me gêne pas et ça ne pèse rien.
Pour la chasse photo, les jumelles très lumineuses ne servent
réellement que la nuit, pas le jour, sauf pour admirer le paysage,
mais c'est une autre activité.
Bon week-end, ramène-nous des photos.
Ghost Rider
http://cjoint.com/?edoNo1vpFf
Ibis Royal du Nil, Carnac (France) E20 + tripleur.
Je passais en voiture, 2 ibis pataugeaient dans l'embouchure d'une
rivière. Il y en a un certain nombre en Bretagne, sans doute échappés
d'un zoo et bien acclimatés.
In news:46124c73$0$27367$, Ghost-Rider nous écrit:
Merci pour tes explications circonstanciées.
Un doubleur de type barlow sur un 200 f4,5, ça va te donner un 400 f9 ! Oublie ça, tu ne verras pas grand chose dans ton viseur et tu n'arriveras pas à faire une bonne mise au point. Ton 200 multiplié par 1,6 je crois, pour le 300 D, ça fait 320, c'est pas mal du tout, c'est suffisant sauf pour les tout petits passereaux, mais si ta mise au point est correcte, tu peux recadrer. Avec ton mono-pied, tu es bien équipé. Le déclencheur souple ne te servira pas.
Dans mes conseils, j'en ai oublié un: le poids, c'est l'ennemi. Il faut partir avec le minimum de matériel, éviter le fourre-tout, les courroies, tout ce qui pèse et gêne, n'avoir en main que le fusil photographique, des batteries de rechange dans la poche et une paire de jumelle au cou. Pour les jumelles, après avoir essayé des grosses et de petites, je pars maintenant avec une toute petite paire de jumelles Nikon TravelLite, très légère. C'est suffisant pour repérer et identifier les oiseaux, mais ça ne me gêne pas et ça ne pèse rien. Pour la chasse photo, les jumelles très lumineuses ne servent réellement que la nuit, pas le jour, sauf pour admirer le paysage, mais c'est une autre activité.
Bon week-end, ramène-nous des photos.
Ghost Rider
http://cjoint.com/?edoNo1vpFf
Ibis Royal du Nil, Carnac (France) E20 + tripleur. Je passais en voiture, 2 ibis pataugeaient dans l'embouchure d'une rivière. Il y en a un certain nombre en Bretagne, sans doute échappés d'un zoo et bien acclimatés.
oh il est ... royal!
dominique
Merci pour tes explications circonstanciées.
Ton 200 multiplié par 1,6 je crois, pour le 300 D, ça fait 320, c'est pas mal du tout, c'est suffisant sauf pour les tout petits passereaux, mais si ta mise au point est correcte, tu peux recadrer. Avec ton mono-pied, tu es bien équipé.
Je vais voir ça mais Canon ne fait pas cadeau de ses doubleurs...
Pour les jumelles, après avoir essayé des grosses et de petites, je pars maintenant avec une toute petite paire de jumelles Nikon TravelLite, très légère.
Il est vrai que mes jumelles, à la base, sont destinées à l'astronomie... Grande, puissantes, lumineuses... mais très lourdes. Ceci dit, j'y suis tellement habitué que je n'ai jamais réussi à franchir le pas pour de petites jumelles de poche... celles qui manquent quand, justement, on n'a pas les grosses :-) Accessoirement, comme autre plaisir, je visite les églises romanes à la recherche du petit bout de sculpture caché dans l'ombre. On apprécie alors des jumelles lumineuses.
Bon week-end, ramène-nous des photos.
À voir...
Ghost Rider
http://cjoint.com/?edoNo1vpFf
Ibis Royal du Nil, Carnac (France) E20 + tripleur. Je passais en voiture, 2 ibis pataugeaient dans l'embouchure d'une rivière. Il y en a un certain nombre en Bretagne, sans doute échappés d'un zoo et bien acclimatés.
Photo magnifique. Les ibis royal sont retournés à l'état sauvage en Bretagne où ils se développent maintenant gentiment. J'ai vu, il y a un ou deux ans sur le canal d'Orléans un très joli petit canard, un harle couronné. C'est un canard américain qui, échappé de jardins, s'adapte maintenant gentiment au canal d'Orléans et semble y vivre tranquillement. http://didier.collin.oiseaux.net/harle.couronne.1.html#fiche La photo n'est pas de moi :-( Dominique
Merci pour tes explications circonstanciées.
Ton 200 multiplié par 1,6 je crois, pour le 300 D, ça fait 320, c'est
pas mal du tout, c'est suffisant sauf pour les tout petits passereaux,
mais si ta mise au point est correcte, tu peux recadrer.
Avec ton mono-pied, tu es bien équipé.
Je vais voir ça mais Canon ne fait pas cadeau de ses doubleurs...
Pour les jumelles, après avoir essayé des grosses et de
petites, je pars maintenant avec une toute petite paire de jumelles
Nikon TravelLite, très légère.
Il est vrai que mes jumelles, à la base, sont destinées à
l'astronomie... Grande, puissantes, lumineuses... mais très lourdes.
Ceci dit, j'y suis tellement habitué que je n'ai jamais réussi à
franchir le pas pour de petites jumelles de poche... celles qui manquent
quand, justement, on n'a pas les grosses :-)
Accessoirement, comme autre plaisir, je visite les églises romanes à la
recherche du petit bout de sculpture caché dans l'ombre. On apprécie
alors des jumelles lumineuses.
Bon week-end, ramène-nous des photos.
À voir...
Ghost Rider
http://cjoint.com/?edoNo1vpFf
Ibis Royal du Nil, Carnac (France) E20 + tripleur.
Je passais en voiture, 2 ibis pataugeaient dans l'embouchure d'une
rivière. Il y en a un certain nombre en Bretagne, sans doute échappés
d'un zoo et bien acclimatés.
Photo magnifique. Les ibis royal sont retournés à l'état sauvage en
Bretagne où ils se développent maintenant gentiment.
J'ai vu, il y a un ou deux ans sur le canal d'Orléans un très joli petit
canard, un harle couronné. C'est un canard américain qui, échappé de
jardins, s'adapte maintenant gentiment au canal d'Orléans et semble y
vivre tranquillement.
http://didier.collin.oiseaux.net/harle.couronne.1.html#fiche
La photo n'est pas de moi :-(
Dominique
Ton 200 multiplié par 1,6 je crois, pour le 300 D, ça fait 320, c'est pas mal du tout, c'est suffisant sauf pour les tout petits passereaux, mais si ta mise au point est correcte, tu peux recadrer. Avec ton mono-pied, tu es bien équipé.
Je vais voir ça mais Canon ne fait pas cadeau de ses doubleurs...
Pour les jumelles, après avoir essayé des grosses et de petites, je pars maintenant avec une toute petite paire de jumelles Nikon TravelLite, très légère.
Il est vrai que mes jumelles, à la base, sont destinées à l'astronomie... Grande, puissantes, lumineuses... mais très lourdes. Ceci dit, j'y suis tellement habitué que je n'ai jamais réussi à franchir le pas pour de petites jumelles de poche... celles qui manquent quand, justement, on n'a pas les grosses :-) Accessoirement, comme autre plaisir, je visite les églises romanes à la recherche du petit bout de sculpture caché dans l'ombre. On apprécie alors des jumelles lumineuses.
Bon week-end, ramène-nous des photos.
À voir...
Ghost Rider
http://cjoint.com/?edoNo1vpFf
Ibis Royal du Nil, Carnac (France) E20 + tripleur. Je passais en voiture, 2 ibis pataugeaient dans l'embouchure d'une rivière. Il y en a un certain nombre en Bretagne, sans doute échappés d'un zoo et bien acclimatés.
Photo magnifique. Les ibis royal sont retournés à l'état sauvage en Bretagne où ils se développent maintenant gentiment. J'ai vu, il y a un ou deux ans sur le canal d'Orléans un très joli petit canard, un harle couronné. C'est un canard américain qui, échappé de jardins, s'adapte maintenant gentiment au canal d'Orléans et semble y vivre tranquillement. http://didier.collin.oiseaux.net/harle.couronne.1.html#fiche La photo n'est pas de moi :-( Dominique
anneleguennec
dominique wrote:
Photo magnifique. Les ibis royal sont retournés à l'état sauvage en Bretagne où ils se développent maintenant gentiment.
En fait, les premiers se sont échappés de Branféré, certains y reviennent même le soir pour y nicher au calme pour la nuit et ils pullulent dans tous les estuaires vaseux et calmes. Il est sérieusement envisagé des campagnes de réduction des effectifs et de stérilisation des oeufs, à la manière de ce qui se fait pour les goëlands qui viennnt nicher sur les toits des immeubles.
dominique <zzz@aol.com> wrote:
Photo magnifique. Les ibis royal sont retournés à l'état sauvage en
Bretagne où ils se développent maintenant gentiment.
En fait, les premiers se sont échappés de Branféré, certains y
reviennent même le soir pour y nicher au calme pour la nuit et ils
pullulent dans tous les estuaires vaseux et calmes. Il est sérieusement
envisagé des campagnes de réduction des effectifs et de stérilisation
des oeufs, à la manière de ce qui se fait pour les goëlands qui viennnt
nicher sur les toits des immeubles.
Photo magnifique. Les ibis royal sont retournés à l'état sauvage en Bretagne où ils se développent maintenant gentiment.
En fait, les premiers se sont échappés de Branféré, certains y reviennent même le soir pour y nicher au calme pour la nuit et ils pullulent dans tous les estuaires vaseux et calmes. Il est sérieusement envisagé des campagnes de réduction des effectifs et de stérilisation des oeufs, à la manière de ce qui se fait pour les goëlands qui viennnt nicher sur les toits des immeubles.
dominique
dominique wrote:
Photo magnifique. Les ibis royal sont retournés à l'état sauvage en Bretagne où ils se développent maintenant gentiment.
En fait, les premiers se sont échappés de Branféré, certains y reviennent même le soir pour y nicher au calme pour la nuit et ils pullulent dans tous les estuaires vaseux et calmes. Il est sérieusement envisagé des campagnes de réduction des effectifs et de stérilisation des oeufs, à la manière de ce qui se fait pour les goëlands qui viennnt nicher sur les toits des immeubles.
Ah ! j'ignorais que l'ibis devenais envahissant, un peu comme le grand cormoran en Loire. Il est vrai que les animaux exogènes n'ont jamais vraiment été vecteurs d'équilibrer (cf la tourterelle turque qui a à peu près totalement écrasé la tourterelle des bois). Dominique
dominique <zzz@aol.com> wrote:
Photo magnifique. Les ibis royal sont retournés à l'état sauvage en
Bretagne où ils se développent maintenant gentiment.
En fait, les premiers se sont échappés de Branféré, certains y
reviennent même le soir pour y nicher au calme pour la nuit et ils
pullulent dans tous les estuaires vaseux et calmes. Il est sérieusement
envisagé des campagnes de réduction des effectifs et de stérilisation
des oeufs, à la manière de ce qui se fait pour les goëlands qui viennnt
nicher sur les toits des immeubles.
Ah ! j'ignorais que l'ibis devenais envahissant, un peu comme le grand
cormoran en Loire.
Il est vrai que les animaux exogènes n'ont jamais vraiment été vecteurs
d'équilibrer (cf la tourterelle turque qui a à peu près totalement
écrasé la tourterelle des bois).
Dominique
Photo magnifique. Les ibis royal sont retournés à l'état sauvage en Bretagne où ils se développent maintenant gentiment.
En fait, les premiers se sont échappés de Branféré, certains y reviennent même le soir pour y nicher au calme pour la nuit et ils pullulent dans tous les estuaires vaseux et calmes. Il est sérieusement envisagé des campagnes de réduction des effectifs et de stérilisation des oeufs, à la manière de ce qui se fait pour les goëlands qui viennnt nicher sur les toits des immeubles.
Ah ! j'ignorais que l'ibis devenais envahissant, un peu comme le grand cormoran en Loire. Il est vrai que les animaux exogènes n'ont jamais vraiment été vecteurs d'équilibrer (cf la tourterelle turque qui a à peu près totalement écrasé la tourterelle des bois). Dominique