Nombreux abus (de position dominante, mais pas seulement)...
31 réponses
Fulminator
"Jean-Arnaud Leg***" a écrit :
> Connard, sans la Secu, les médecins seraient à la rue...
> c'est elle qui les engraisse, alors qu'ils n'aillent pas cracher dans la
> soupe.
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Crétin, elle les "engraisse" comme à Dachau on "engraissait"
les déportés...
Andouille, parlons des médecins américains. Ils ne sont pas
à la rue... Pourquoi ? Parce qu'ils déterminent eux-mêmes
le montant de leurs honoraires. Ils n'ont pas de "Sécu" qui
vient imposer à leurs patients une idéologie selon laquelle
tel tarif de consultation serait légitime et tel autre pas.
Les tarifs sont laissés à l'appréciation de chaque praticien,
selon ses compétences, son expérience, sa notoriété, etc.
Ils n'ont pas de sécu qui vient leur chercher des poux dans
la tête. Parlez-leur de "dépassements" ! Kézako ?, vous
diront-ils. "Depassment", what is that ?
Ils vous riront au nez.
Obama veut leur foutre une néosécu... Pas fous, ils savent
bien que ce serait la porte ouverte à la paupérisation de
leur profession, à sa dégradation, comme c'est le cas en
France. Allez leur dire que la néo-sécu obamienne va les
"engraisser" !... A mourir de rire ! Pays de tarés, pensent-ils
en ricanant de la France, qui fait depuis 70 ans de la
démagogie socialisante auprès de la population, afin de se
concilier ses bonnes grâces électorales.
Et ce, aux dépens des corps médical et paramédical,
prétendument "engraissés", selon monsieur Leg...
Ces bons dévots prétendent que nul n'est tenu de signer
un contrat (léonin) avec la Sécu. Sauf que celle-ci a passé
sept décennies à exercer sur la population une propagande
sournoise et permanente afin de la convaincre que seuls
ses tarifs - à elle - sont légitimes, que tout le reste n'est
qu'odieux et intolérable dépassement.
Ce qui fait que tout nouveau médecin, englué
psychologiquement dans les tentacules totalitaires
de la sécu, n'est pas en mesure de résister à la pression
morale qu'exerce sur lui la collectivité.
C'est en quoi si je parle d'abus de position dominante,
c'est psychologiquement, s'entend. Et non au sens
économique, comme l'imagine un petit finaud.
Au point que ce matraquage mental a fini par être intégré
par la population, laquelle s'imagine que les tarifs décrétés
par la sécu sont paroles d'Évangile... et que les corps
médical et paramédical n'ont qu'â faire génuflexion,
repentance, se donner le fouet, en pensant à la honte
d' être "engraissés" par monsieur Leg... et les marxistes
de la CGT... (Ces derniers sont d'ailleurs moins regardants
quand leurs dockers de Marseille empochent grâce à eux
des salaires mirobolants, sans commune mesure avec leurs
qualifications).
Puisqu'on parle de Marseille, nous allons y revenir.
Arrivés à ce stade, à court d'arguments, les dévots vont nous
sortir l' imparable (croient-ils) raisonnement : il n'y a pas
d'argent.
Pas d'argent ? Vous vous moquez ! Il y en a, et notamment à
Marseille :
Des parasites qui n'ont jamais versé un centime à la sécu, se font opérer
gratuitement dans nos bons hôpitaux, et c'est à nous de payer l'addition.
Le directeur des hôpitaux de Marseille, Guy Vallet, déclarait il y a
quelques années - littéralement - à la presse locale, je cite :
"L' administration des hôpitaux de Marseille est confrontée à d' insolubles
problèmes d'impayés".
"Parmi ces patients indélicats, on trouve notamment de nombreux
ressortissants de pays africains qui viennent se faire soigner à Marseille,
suite à des accords entre le gouvernement français et les gouvernements
de ces pays".
"Les caisses de sécurité sociale desdits pays "oublient" tout bonnement de
régler les factures, souvent après des interventions chirurgicales lourdes
et coûteuses".
"Rien que pour les hôpitaux de Marseille (La Timone, H. Nord, etc), le
montant total des dettes s'élevait au 31 décembre à 7.500.000 Euros.
Au nombre des mauvais payeurs, on remarque le Cameroun, Madagascar,
les Comores...
L' Algérie, à elle seule, doit aux hôpitaux marseillais 4.500.000 Euros".
Fin de citation.
(Ça, c'était il y a 10 ans. On multiplie par combien, aujourd'hui ?)
Et combien aux hôpitaux parisiens, lyonnais, strasbourgeois, lillois ?
(Sujet tabou, bien entendu, soigneusement escamoté par la plupart des
media pourris, avides de publicités-bidon gouvernementales (mais juteuses,
genre EDF) conçues pour remercier les serviteurs médiatiques zélés
et discrets du gouvernement).
Guy Vallet a affirmé au quotidien "La Provence" :
"Relancée depuis des années, la Caisse d' assurances sociales algérienne
n'a jamais donné suite"... [ !! ]
Si vous-même ne payez pas une dette à l'égard d'un hôpital, la sécu vous
poursuivra (vous et votre famille, jusqu' à la 25è génération), et saisira
vos biens sans pitié, si nécessaire.
C'est-y pas une odieuse discrimination (au faciès !), ça ?
Ohé, les "démocrates" ! Ça ne vous interpelle pas quelque part ?
Par contre, à Marseille et ailleurs, la sécu française paiera,
ne vous inquiétez pas, mes chéris...
Comme je disais, la situation calamiteuse qui règne dans les hôpitaux,
les délais outrageants pour obtenir une consultation, ne feront que
se dégrader encore davantage à l'avenir, du fait des choix catastrophiques
des électeurs français, indécrottables jobards et éternels cocus.
Il n'y a pas d'argent, nous disent les fidèles de l'église marxiste, en se
prosternant pieusement sous la statue de Saint Lénine.
Mon oeil, mais alors dans quelles poches a-t-on alors soutiré les
fonds suivants ? :
La France a décidé d'annuler la dette publique de la Guinée-Bissau : 10
millions ?.
La France efface la dette des Comores : montant inconnu.
La France efface la dette de Madagascar : 375 millions ?.
La France efface 90% de la dette ivoirienne : 2 milliards ?.
La France efface la moitié de la dette des Seychelles : 100 millions ?
La France efface la dette de la République du Congo : 700 millions ?
La France efface la dette du Malawi : 10 millions ?
La France efface la dette du Togo : 100 millions ?
La France prête au Maroc 625 millions ? à taux réduit, voire zéro. Dette
annulée
La France prête au Nigeria 70 millions ?. Dette annulée
La France prête 150 millions ? aux Philippines. Dette annulée
La France prête 20 millions ? au Vietnam. Dette annulée
La France prête 75 millions ? à l'Ouganda. Dette annulée
La France prête au Mexique 300 millions ?. Dette annulée
La France prête 45 millions ? à la Mauritanie. Dette annulée
La France prête 50 millions ? à l'Égypte. Dette annulée
La France prête 125 millions ? au Sénégal. Dette annulée
La France prête à débloquer 50 millions ? pour Mayotte. Dette effacée
La France dépense 500 millions ? pour le droit d'asile.
La France dépense 800 millions ? pour l'AME (sécu des étrangers
clandestins et/ou délinquants, etc.)
Quand les Français auront compris qu'ils sont pris pour des cons,
les poules auront des dents ... !!!
"Eric Demeester" <eric+ a écrit dans le message de news:
dans (in) fr.misc.droit, "." ecrivait (wrote) :
ben les mutuelles ce n'est pas du privé ?...
Pas que, certes, mais ça ne change pas grand-chose.
Le terme « mutuelles » porte effectivement à confusion, mais il s'agit d'assurances, finalement, et qu'elles soient mutuelles au sens premier, coopératives ou privées, elle mutualisent les risques.
C'est le principe fondateur des assurances, non ?
-- Eric
oh moi vous savez faut pas trop me poser de questions ;-)
ya encore une place dans la voiture balais ?
V
"Eric Demeester" <eric+usenet@galacsys.net> a écrit dans le message de news:
qvua98lemar3ban3piusk1ns05aajjjc6d@4ax.com...
dans (in) fr.misc.droit, "." <.@.> ecrivait (wrote) :
ben les mutuelles ce n'est pas du privé ?...
Pas que, certes, mais ça ne change pas grand-chose.
Le terme « mutuelles » porte effectivement à confusion, mais il s'agit
d'assurances, finalement, et qu'elles soient mutuelles au sens premier,
coopératives ou privées, elle mutualisent les risques.
C'est le principe fondateur des assurances, non ?
--
Eric
oh moi vous savez
faut pas trop me poser de questions ;-)
"Eric Demeester" <eric+ a écrit dans le message de news:
dans (in) fr.misc.droit, "." ecrivait (wrote) :
ben les mutuelles ce n'est pas du privé ?...
Pas que, certes, mais ça ne change pas grand-chose.
Le terme « mutuelles » porte effectivement à confusion, mais il s'agit d'assurances, finalement, et qu'elles soient mutuelles au sens premier, coopératives ou privées, elle mutualisent les risques.
C'est le principe fondateur des assurances, non ?
-- Eric
oh moi vous savez faut pas trop me poser de questions ;-)