Renaud RAKOTOMALALA <renaud+ écrit:non le courriel est un espace privatif ou seul l'interesser peut
intervenir (sauf autorisation de sa part). C'est à l'hebergeur de savoir
gérer ce type de trafic.
Faux, un virus n'est pas un "espace privatif" ou quoi que ce soit de
ce genre. Un relai par contre, est un service privé.
D'autre part, les relais ont depuis la nuit de temps des restrictions
sur ce qu'ils sont capables de relayer. Par exemple, ils refusent les
messages au delà d'une certaine taille.
Un relai n'a jamais été contraint de se battre jusqu'à la mort pour
relayer n'importe quoi, notement des messages directement ou
indirectement dangereux pour lui même.
Sauf à dire qu'il est inscrit dans les CGV et explicitement rappelé au
client lors de la souscription du contrat, que tous les mails sans
exception ferons l'objet d'un test antiviral, celui-ci pouvant conduire
à la destruction du message et donc perte d'information.
Ce procole (pas si bon, soit di en passant), n'est nullement
nessessaire.
Pour rappel l'analyse antiviral, tout comme celui du spam (dans une
moindre mesure) n'est pas fiable à 100% ce qui signifie qu'il ya un
risque de perte d'information et potentiellement de préjudice.
Comparez donc ce préjudice potentiel à celui que vont connaitre ceux
qui partent en vacances un mois et dont la boîte sera en dépassement
de quota et qui perdra à coup sûr bon nombre de messages.
Comparez le aussi au préjudice causé à tous les utilisateurs par l'un
d'eux qui saturera le relai et fera perdre ou ralentira les messages
de tout le monde.
N'oubliez pas de le comparer au surcoût que le relai de virus peut
engendrer, surcoût qui sera reporté sur les utilisateurs.
La mise en place d'un antivirus est une mesure proportionnée aux
risques actuels.
[../..]
Faux, la LCEN ne change rien au statut privé ou non d'un message.
Le conseil constitutionnel l'a rappelé.
Renaud RAKOTOMALALA <renaud+news@w-consulting.fr> écrit:
non le courriel est un espace privatif ou seul l'interesser peut
intervenir (sauf autorisation de sa part). C'est à l'hebergeur de savoir
gérer ce type de trafic.
Faux, un virus n'est pas un "espace privatif" ou quoi que ce soit de
ce genre. Un relai par contre, est un service privé.
D'autre part, les relais ont depuis la nuit de temps des restrictions
sur ce qu'ils sont capables de relayer. Par exemple, ils refusent les
messages au delà d'une certaine taille.
Un relai n'a jamais été contraint de se battre jusqu'à la mort pour
relayer n'importe quoi, notement des messages directement ou
indirectement dangereux pour lui même.
Sauf à dire qu'il est inscrit dans les CGV et explicitement rappelé au
client lors de la souscription du contrat, que tous les mails sans
exception ferons l'objet d'un test antiviral, celui-ci pouvant conduire
à la destruction du message et donc perte d'information.
Ce procole (pas si bon, soit di en passant), n'est nullement
nessessaire.
Pour rappel l'analyse antiviral, tout comme celui du spam (dans une
moindre mesure) n'est pas fiable à 100% ce qui signifie qu'il ya un
risque de perte d'information et potentiellement de préjudice.
Comparez donc ce préjudice potentiel à celui que vont connaitre ceux
qui partent en vacances un mois et dont la boîte sera en dépassement
de quota et qui perdra à coup sûr bon nombre de messages.
Comparez le aussi au préjudice causé à tous les utilisateurs par l'un
d'eux qui saturera le relai et fera perdre ou ralentira les messages
de tout le monde.
N'oubliez pas de le comparer au surcoût que le relai de virus peut
engendrer, surcoût qui sera reporté sur les utilisateurs.
La mise en place d'un antivirus est une mesure proportionnée aux
risques actuels.
[../..]
Faux, la LCEN ne change rien au statut privé ou non d'un message.
Le conseil constitutionnel l'a rappelé.
Renaud RAKOTOMALALA <renaud+ écrit:non le courriel est un espace privatif ou seul l'interesser peut
intervenir (sauf autorisation de sa part). C'est à l'hebergeur de savoir
gérer ce type de trafic.
Faux, un virus n'est pas un "espace privatif" ou quoi que ce soit de
ce genre. Un relai par contre, est un service privé.
D'autre part, les relais ont depuis la nuit de temps des restrictions
sur ce qu'ils sont capables de relayer. Par exemple, ils refusent les
messages au delà d'une certaine taille.
Un relai n'a jamais été contraint de se battre jusqu'à la mort pour
relayer n'importe quoi, notement des messages directement ou
indirectement dangereux pour lui même.
Sauf à dire qu'il est inscrit dans les CGV et explicitement rappelé au
client lors de la souscription du contrat, que tous les mails sans
exception ferons l'objet d'un test antiviral, celui-ci pouvant conduire
à la destruction du message et donc perte d'information.
Ce procole (pas si bon, soit di en passant), n'est nullement
nessessaire.
Pour rappel l'analyse antiviral, tout comme celui du spam (dans une
moindre mesure) n'est pas fiable à 100% ce qui signifie qu'il ya un
risque de perte d'information et potentiellement de préjudice.
Comparez donc ce préjudice potentiel à celui que vont connaitre ceux
qui partent en vacances un mois et dont la boîte sera en dépassement
de quota et qui perdra à coup sûr bon nombre de messages.
Comparez le aussi au préjudice causé à tous les utilisateurs par l'un
d'eux qui saturera le relai et fera perdre ou ralentira les messages
de tout le monde.
N'oubliez pas de le comparer au surcoût que le relai de virus peut
engendrer, surcoût qui sera reporté sur les utilisateurs.
La mise en place d'un antivirus est une mesure proportionnée aux
risques actuels.
[../..]
Faux, la LCEN ne change rien au statut privé ou non d'un message.
Le conseil constitutionnel l'a rappelé.
non le courriel est un espace privatif ou seul l'interesser peut
intervenir (sauf autorisation de sa part). C'est à l'hebergeur de savoir
gérer ce type de trafic.
Faux, un virus n'est pas un "espace privatif" ou quoi que ce soit de
ce genre. Un relai par contre, est un service privé.
D'autre part, les relais ont depuis la nuit de temps des restrictions
sur ce qu'ils sont capables de relayer. Par exemple, ils refusent les
messages au delà d'une certaine taille.
Un relai n'a jamais été contraint de se battre jusqu'à la mort pour
relayer n'importe quoi, notement des messages directement ou
indirectement dangereux pour lui même.
Sauf à dire qu'il est inscrit dans les CGV et explicitement rappelé au
client lors de la souscription du contrat, que tous les mails sans
exception ferons l'objet d'un test antiviral, celui-ci pouvant conduire
à la destruction du message et donc perte d'information.
Ce procole (pas si bon, soit di en passant), n'est nullement
nessessaire.
Pour rappel l'analyse antiviral, tout comme celui du spam (dans une
moindre mesure) n'est pas fiable à 100% ce qui signifie qu'il ya un
risque de perte d'information et potentiellement de préjudice.
Comparez donc ce préjudice potentiel à celui que vont connaitre ceux
qui partent en vacances un mois et dont la boîte sera en dépassement
de quota et qui perdra à coup sûr bon nombre de messages.
Comparez le aussi au préjudice causé à tous les utilisateurs par l'un
d'eux qui saturera le relai et fera perdre ou ralentira les messages
de tout le monde.
N'oubliez pas de le comparer au surcoût que le relai de virus peut
engendrer, surcoût qui sera reporté sur les utilisateurs.
La mise en place d'un antivirus est une mesure proportionnée aux
risques actuels.
Jusqu'à ce que la LCEN ne soit definitivement adopté (l'est elle ?) tout
trafic courriel est privé et sans exception ! La LCEN assoupli les
règles en la matière pour le plus grand bonheur de certain :(
Faux, la LCEN ne change rien au statut privé ou non d'un message.
Le conseil constitutionnel l'a rappelé.
non le courriel est un espace privatif ou seul l'interesser peut
intervenir (sauf autorisation de sa part). C'est à l'hebergeur de savoir
gérer ce type de trafic.
Faux, un virus n'est pas un "espace privatif" ou quoi que ce soit de
ce genre. Un relai par contre, est un service privé.
D'autre part, les relais ont depuis la nuit de temps des restrictions
sur ce qu'ils sont capables de relayer. Par exemple, ils refusent les
messages au delà d'une certaine taille.
Un relai n'a jamais été contraint de se battre jusqu'à la mort pour
relayer n'importe quoi, notement des messages directement ou
indirectement dangereux pour lui même.
Sauf à dire qu'il est inscrit dans les CGV et explicitement rappelé au
client lors de la souscription du contrat, que tous les mails sans
exception ferons l'objet d'un test antiviral, celui-ci pouvant conduire
à la destruction du message et donc perte d'information.
Ce procole (pas si bon, soit di en passant), n'est nullement
nessessaire.
Pour rappel l'analyse antiviral, tout comme celui du spam (dans une
moindre mesure) n'est pas fiable à 100% ce qui signifie qu'il ya un
risque de perte d'information et potentiellement de préjudice.
Comparez donc ce préjudice potentiel à celui que vont connaitre ceux
qui partent en vacances un mois et dont la boîte sera en dépassement
de quota et qui perdra à coup sûr bon nombre de messages.
Comparez le aussi au préjudice causé à tous les utilisateurs par l'un
d'eux qui saturera le relai et fera perdre ou ralentira les messages
de tout le monde.
N'oubliez pas de le comparer au surcoût que le relai de virus peut
engendrer, surcoût qui sera reporté sur les utilisateurs.
La mise en place d'un antivirus est une mesure proportionnée aux
risques actuels.
Jusqu'à ce que la LCEN ne soit definitivement adopté (l'est elle ?) tout
trafic courriel est privé et sans exception ! La LCEN assoupli les
règles en la matière pour le plus grand bonheur de certain :(
Faux, la LCEN ne change rien au statut privé ou non d'un message.
Le conseil constitutionnel l'a rappelé.
non le courriel est un espace privatif ou seul l'interesser peut
intervenir (sauf autorisation de sa part). C'est à l'hebergeur de savoir
gérer ce type de trafic.
Faux, un virus n'est pas un "espace privatif" ou quoi que ce soit de
ce genre. Un relai par contre, est un service privé.
D'autre part, les relais ont depuis la nuit de temps des restrictions
sur ce qu'ils sont capables de relayer. Par exemple, ils refusent les
messages au delà d'une certaine taille.
Un relai n'a jamais été contraint de se battre jusqu'à la mort pour
relayer n'importe quoi, notement des messages directement ou
indirectement dangereux pour lui même.
Sauf à dire qu'il est inscrit dans les CGV et explicitement rappelé au
client lors de la souscription du contrat, que tous les mails sans
exception ferons l'objet d'un test antiviral, celui-ci pouvant conduire
à la destruction du message et donc perte d'information.
Ce procole (pas si bon, soit di en passant), n'est nullement
nessessaire.
Pour rappel l'analyse antiviral, tout comme celui du spam (dans une
moindre mesure) n'est pas fiable à 100% ce qui signifie qu'il ya un
risque de perte d'information et potentiellement de préjudice.
Comparez donc ce préjudice potentiel à celui que vont connaitre ceux
qui partent en vacances un mois et dont la boîte sera en dépassement
de quota et qui perdra à coup sûr bon nombre de messages.
Comparez le aussi au préjudice causé à tous les utilisateurs par l'un
d'eux qui saturera le relai et fera perdre ou ralentira les messages
de tout le monde.
N'oubliez pas de le comparer au surcoût que le relai de virus peut
engendrer, surcoût qui sera reporté sur les utilisateurs.
La mise en place d'un antivirus est une mesure proportionnée aux
risques actuels.
Jusqu'à ce que la LCEN ne soit definitivement adopté (l'est elle ?) tout
trafic courriel est privé et sans exception ! La LCEN assoupli les
règles en la matière pour le plus grand bonheur de certain :(
Faux, la LCEN ne change rien au statut privé ou non d'un message.
Le conseil constitutionnel l'a rappelé.
Cela veut dire quoi 'un virus n'est pas un "espace privatif"' car un
virus n'est pas une carte postale, il ne se balade pas tout seul sur le
réseau (bon d'accord sauf concernant les virus utilisant directement le
réseau mais ça sort de la discution), il est contenu dans une enveloppe
nommé le courriel qui lui est un espace privatif.
Quand au relai, que l'on nommera smtp il s'agit d'un serveur qui oui est
privé, mais qui se compote comme un agent de la poste.
La nuit des temps ? Peut être avez vous la mémoire courte,
Un relai n'a jamais été contraint de se battre jusqu'à la mort pour
relayer n'importe quoi, notement des messages directement ou
indirectement dangereux pour lui même.
Il est tard et je dois être un peu trop fatigué pour comprendre le sens
exacte de cette notion.
Lorsque vous recevez du courrier postal nominatif, l'agent de la poste
est obligé de vous le livrer (même si vous mettez un papier indiquant ne
pas vouloir recevoir de publicité, celà va peut être changer avec les
nouvelles dispositions), sauf à faire une demande explicite à votre
bureau de poste pour vous y opposer.
Il en va de même pour le courriel, si vous ne donnez pas votre accord à
un tel traitement automatique de votre courriel vous n'avez pas le choix
de savoir si vous allez perdre des données importantes ou non.
En poussant votre logique jusqu'au bout, pourquoi ne pas filtrer
simplement le contenu au niveau réseau afin de diminuer ce cout. Mise en
place de règles qui permette même de contrer ces virus qui finalement
circule aussi de manière directe. En allant encore plus loin nous
pourrions installer des automates sur le SMTP permettant de filtrer le
contenu qui semble illegale aux yeux du FAI ...
Bref si votre explication est exacte il ne reste pas moins qu'il existe
des règles en la matière et que les administrateurs de messageries sont
tenus de les respecter.
[../..]
Faux, la LCEN ne change rien au statut privé ou non d'un message.
Le conseil constitutionnel l'a rappelé.
Exacte et c'est pourquoi cela rentre en pleine contradiction avec tes
propos précédent qui indiquent donc qu'un virus ne fait pas partie de la
correspondance privé. Celui-ci est véhiculé au sein d'un courriel qui
repond donc à cette notion.
Un fournisseur d'accès doit donc ouvrir le dit courrier au moyen d'un
automate afin d'en analyser le contenu et prendre une decision en
conséquence.
Cela veut dire quoi 'un virus n'est pas un "espace privatif"' car un
virus n'est pas une carte postale, il ne se balade pas tout seul sur le
réseau (bon d'accord sauf concernant les virus utilisant directement le
réseau mais ça sort de la discution), il est contenu dans une enveloppe
nommé le courriel qui lui est un espace privatif.
Quand au relai, que l'on nommera smtp il s'agit d'un serveur qui oui est
privé, mais qui se compote comme un agent de la poste.
La nuit des temps ? Peut être avez vous la mémoire courte,
Un relai n'a jamais été contraint de se battre jusqu'à la mort pour
relayer n'importe quoi, notement des messages directement ou
indirectement dangereux pour lui même.
Il est tard et je dois être un peu trop fatigué pour comprendre le sens
exacte de cette notion.
Lorsque vous recevez du courrier postal nominatif, l'agent de la poste
est obligé de vous le livrer (même si vous mettez un papier indiquant ne
pas vouloir recevoir de publicité, celà va peut être changer avec les
nouvelles dispositions), sauf à faire une demande explicite à votre
bureau de poste pour vous y opposer.
Il en va de même pour le courriel, si vous ne donnez pas votre accord à
un tel traitement automatique de votre courriel vous n'avez pas le choix
de savoir si vous allez perdre des données importantes ou non.
En poussant votre logique jusqu'au bout, pourquoi ne pas filtrer
simplement le contenu au niveau réseau afin de diminuer ce cout. Mise en
place de règles qui permette même de contrer ces virus qui finalement
circule aussi de manière directe. En allant encore plus loin nous
pourrions installer des automates sur le SMTP permettant de filtrer le
contenu qui semble illegale aux yeux du FAI ...
Bref si votre explication est exacte il ne reste pas moins qu'il existe
des règles en la matière et que les administrateurs de messageries sont
tenus de les respecter.
[../..]
Faux, la LCEN ne change rien au statut privé ou non d'un message.
Le conseil constitutionnel l'a rappelé.
Exacte et c'est pourquoi cela rentre en pleine contradiction avec tes
propos précédent qui indiquent donc qu'un virus ne fait pas partie de la
correspondance privé. Celui-ci est véhiculé au sein d'un courriel qui
repond donc à cette notion.
Un fournisseur d'accès doit donc ouvrir le dit courrier au moyen d'un
automate afin d'en analyser le contenu et prendre une decision en
conséquence.
Cela veut dire quoi 'un virus n'est pas un "espace privatif"' car un
virus n'est pas une carte postale, il ne se balade pas tout seul sur le
réseau (bon d'accord sauf concernant les virus utilisant directement le
réseau mais ça sort de la discution), il est contenu dans une enveloppe
nommé le courriel qui lui est un espace privatif.
Quand au relai, que l'on nommera smtp il s'agit d'un serveur qui oui est
privé, mais qui se compote comme un agent de la poste.
La nuit des temps ? Peut être avez vous la mémoire courte,
Un relai n'a jamais été contraint de se battre jusqu'à la mort pour
relayer n'importe quoi, notement des messages directement ou
indirectement dangereux pour lui même.
Il est tard et je dois être un peu trop fatigué pour comprendre le sens
exacte de cette notion.
Lorsque vous recevez du courrier postal nominatif, l'agent de la poste
est obligé de vous le livrer (même si vous mettez un papier indiquant ne
pas vouloir recevoir de publicité, celà va peut être changer avec les
nouvelles dispositions), sauf à faire une demande explicite à votre
bureau de poste pour vous y opposer.
Il en va de même pour le courriel, si vous ne donnez pas votre accord à
un tel traitement automatique de votre courriel vous n'avez pas le choix
de savoir si vous allez perdre des données importantes ou non.
En poussant votre logique jusqu'au bout, pourquoi ne pas filtrer
simplement le contenu au niveau réseau afin de diminuer ce cout. Mise en
place de règles qui permette même de contrer ces virus qui finalement
circule aussi de manière directe. En allant encore plus loin nous
pourrions installer des automates sur le SMTP permettant de filtrer le
contenu qui semble illegale aux yeux du FAI ...
Bref si votre explication est exacte il ne reste pas moins qu'il existe
des règles en la matière et que les administrateurs de messageries sont
tenus de les respecter.
[../..]
Faux, la LCEN ne change rien au statut privé ou non d'un message.
Le conseil constitutionnel l'a rappelé.
Exacte et c'est pourquoi cela rentre en pleine contradiction avec tes
propos précédent qui indiquent donc qu'un virus ne fait pas partie de la
correspondance privé. Celui-ci est véhiculé au sein d'un courriel qui
repond donc à cette notion.
Un fournisseur d'accès doit donc ouvrir le dit courrier au moyen d'un
automate afin d'en analyser le contenu et prendre une decision en
conséquence.
La mise en place d'un antivirus est une mesure proportionnée aux risques
actuels.
La mise en place d'un antivirus est une mesure proportionnée aux risques
actuels.
La mise en place d'un antivirus est une mesure proportionnée aux risques
actuels.
Rien à foutre. Si vous échangez volontairement des choses dangereuses
voir illégales, n'obligez pas un relai tiers à supporter vos trafics.
Rien à foutre. Si vous échangez volontairement des choses dangereuses
voir illégales, n'obligez pas un relai tiers à supporter vos trafics.
Rien à foutre. Si vous échangez volontairement des choses dangereuses
voir illégales, n'obligez pas un relai tiers à supporter vos trafics.
On Sun, 11 Jul 2004 20:48:24 +0000, Laurent Wacrenier wrote:
La mise en place d'un antivirus est une mesure proportionnée aux risques
actuels.
Tout à fait d'accord avec ça. En pratique actuellement, la rapidité
avec laquelle les virus évoluent (près d'un millier de nouveaux virus en
mai, d'après certaines statistiques) est telle qu'un utilisateur
individuel aura du mal à tenir son anti-virus suffisement à jour : il
faudrait pratiquement une mise à jour avant toute relève de courrier!
Seul un anti-virus au niveau du serveur de messagerie (relais,
passerelle...) peut assurer une mise à jour suffisement fréquente.
Quand au risque de perte de messages, je suis étonné que personne n'ait
relevé que ce risque est très exagéré. Rien n'oblige à ce qu'un
anti-virus supprime purement et simplement un message infecté :
- il peut se contenter d'insérer un en-tête et de modifier le sujet.
- il peut encapsuler le corps du message et les pièces-jointes dans une
ou plusieurs pièces jointes de façon à minimiser le risque d'ouverture
accidentelle.
- il peut placer le message et ses pièces jointes dans une zone de dépot
(quarantaine), où le destinataire pourra venir le récupérer, s'il y
tient (et c'est en fait ce qui se passe généralement).
En outre, l'anti-virus devrait être placé non seulement au niveau de
l'arrivée des messages, mais aussi au niveau de l'envoi : à ce niveau,
le relais peut en effet identifier la source de manière beaucoup plus
fiable, et l'aviser du problème, alors que ce n'est pas possible ailleurs.
D'autre part, il y a une chose qui m'a toujours étonné. Etant
utilisateur de Linux, je n'utilise pas d'anti-virus. Et je reçois
souvent des virus dans ma boîte personnelle, mais il se trouve que je les
identifie toujours du premier coup d'oeil! Alors, je ne crois pas que
l'anti-virus soit la seule protection, la première protection serait tout
de même la vigilance et l'information des utilisateur. Combiné avec un
anti-virus raisonnablement à jour, les virus ne devraient même plus
être un problème!
On Sun, 11 Jul 2004 20:48:24 +0000, Laurent Wacrenier wrote:
La mise en place d'un antivirus est une mesure proportionnée aux risques
actuels.
Tout à fait d'accord avec ça. En pratique actuellement, la rapidité
avec laquelle les virus évoluent (près d'un millier de nouveaux virus en
mai, d'après certaines statistiques) est telle qu'un utilisateur
individuel aura du mal à tenir son anti-virus suffisement à jour : il
faudrait pratiquement une mise à jour avant toute relève de courrier!
Seul un anti-virus au niveau du serveur de messagerie (relais,
passerelle...) peut assurer une mise à jour suffisement fréquente.
Quand au risque de perte de messages, je suis étonné que personne n'ait
relevé que ce risque est très exagéré. Rien n'oblige à ce qu'un
anti-virus supprime purement et simplement un message infecté :
- il peut se contenter d'insérer un en-tête et de modifier le sujet.
- il peut encapsuler le corps du message et les pièces-jointes dans une
ou plusieurs pièces jointes de façon à minimiser le risque d'ouverture
accidentelle.
- il peut placer le message et ses pièces jointes dans une zone de dépot
(quarantaine), où le destinataire pourra venir le récupérer, s'il y
tient (et c'est en fait ce qui se passe généralement).
En outre, l'anti-virus devrait être placé non seulement au niveau de
l'arrivée des messages, mais aussi au niveau de l'envoi : à ce niveau,
le relais peut en effet identifier la source de manière beaucoup plus
fiable, et l'aviser du problème, alors que ce n'est pas possible ailleurs.
D'autre part, il y a une chose qui m'a toujours étonné. Etant
utilisateur de Linux, je n'utilise pas d'anti-virus. Et je reçois
souvent des virus dans ma boîte personnelle, mais il se trouve que je les
identifie toujours du premier coup d'oeil! Alors, je ne crois pas que
l'anti-virus soit la seule protection, la première protection serait tout
de même la vigilance et l'information des utilisateur. Combiné avec un
anti-virus raisonnablement à jour, les virus ne devraient même plus
être un problème!
On Sun, 11 Jul 2004 20:48:24 +0000, Laurent Wacrenier wrote:
La mise en place d'un antivirus est une mesure proportionnée aux risques
actuels.
Tout à fait d'accord avec ça. En pratique actuellement, la rapidité
avec laquelle les virus évoluent (près d'un millier de nouveaux virus en
mai, d'après certaines statistiques) est telle qu'un utilisateur
individuel aura du mal à tenir son anti-virus suffisement à jour : il
faudrait pratiquement une mise à jour avant toute relève de courrier!
Seul un anti-virus au niveau du serveur de messagerie (relais,
passerelle...) peut assurer une mise à jour suffisement fréquente.
Quand au risque de perte de messages, je suis étonné que personne n'ait
relevé que ce risque est très exagéré. Rien n'oblige à ce qu'un
anti-virus supprime purement et simplement un message infecté :
- il peut se contenter d'insérer un en-tête et de modifier le sujet.
- il peut encapsuler le corps du message et les pièces-jointes dans une
ou plusieurs pièces jointes de façon à minimiser le risque d'ouverture
accidentelle.
- il peut placer le message et ses pièces jointes dans une zone de dépot
(quarantaine), où le destinataire pourra venir le récupérer, s'il y
tient (et c'est en fait ce qui se passe généralement).
En outre, l'anti-virus devrait être placé non seulement au niveau de
l'arrivée des messages, mais aussi au niveau de l'envoi : à ce niveau,
le relais peut en effet identifier la source de manière beaucoup plus
fiable, et l'aviser du problème, alors que ce n'est pas possible ailleurs.
D'autre part, il y a une chose qui m'a toujours étonné. Etant
utilisateur de Linux, je n'utilise pas d'anti-virus. Et je reçois
souvent des virus dans ma boîte personnelle, mais il se trouve que je les
identifie toujours du premier coup d'oeil! Alors, je ne crois pas que
l'anti-virus soit la seule protection, la première protection serait tout
de même la vigilance et l'information des utilisateur. Combiné avec un
anti-virus raisonnablement à jour, les virus ne devraient même plus
être un problème!
Renaud RAKOTOMALALA <renaud+ écrit:
[../..]
Renaud RAKOTOMALALA <renaud+news@w-consulting.fr> écrit:
[../..]
Renaud RAKOTOMALALA <renaud+ écrit:
[../..]
Quand au risque de perte de messages, je suis étonné que personne n'ait
relevé que ce risque est très exagéré. Rien n'oblige à ce qu'un
anti-virus supprime purement et simplement un message infecté :
- il peut se contenter d'insérer un en-tête et de modifier le sujet.
- il peut encapsuler le corps du message et les pièces-jointes dans une
ou plusieurs pièces jointes de façon à minimiser le risque d'ouverture
accidentelle.
- il peut placer le message et ses pièces jointes dans une zone de dépot
(quarantaine), où le destinataire pourra venir le récupérer, s'il y
tient (et c'est en fait ce qui se passe généralement).
En outre, l'anti-virus devrait être placé non seulement au niveau de
l'arrivée des messages, mais aussi au niveau de l'envoi : à ce niveau,
le relais peut en effet identifier la source de manière beaucoup plus
fiable, et l'aviser du problème, alors que ce n'est pas possible ailleurs.
Quand au risque de perte de messages, je suis étonné que personne n'ait
relevé que ce risque est très exagéré. Rien n'oblige à ce qu'un
anti-virus supprime purement et simplement un message infecté :
- il peut se contenter d'insérer un en-tête et de modifier le sujet.
- il peut encapsuler le corps du message et les pièces-jointes dans une
ou plusieurs pièces jointes de façon à minimiser le risque d'ouverture
accidentelle.
- il peut placer le message et ses pièces jointes dans une zone de dépot
(quarantaine), où le destinataire pourra venir le récupérer, s'il y
tient (et c'est en fait ce qui se passe généralement).
En outre, l'anti-virus devrait être placé non seulement au niveau de
l'arrivée des messages, mais aussi au niveau de l'envoi : à ce niveau,
le relais peut en effet identifier la source de manière beaucoup plus
fiable, et l'aviser du problème, alors que ce n'est pas possible ailleurs.
Quand au risque de perte de messages, je suis étonné que personne n'ait
relevé que ce risque est très exagéré. Rien n'oblige à ce qu'un
anti-virus supprime purement et simplement un message infecté :
- il peut se contenter d'insérer un en-tête et de modifier le sujet.
- il peut encapsuler le corps du message et les pièces-jointes dans une
ou plusieurs pièces jointes de façon à minimiser le risque d'ouverture
accidentelle.
- il peut placer le message et ses pièces jointes dans une zone de dépot
(quarantaine), où le destinataire pourra venir le récupérer, s'il y
tient (et c'est en fait ce qui se passe généralement).
En outre, l'anti-virus devrait être placé non seulement au niveau de
l'arrivée des messages, mais aussi au niveau de l'envoi : à ce niveau,
le relais peut en effet identifier la source de manière beaucoup plus
fiable, et l'aviser du problème, alors que ce n'est pas possible ailleurs.
il faudrait pratiquement une mise à jour avant toute relève de courrier!
il faudrait pratiquement une mise à jour avant toute relève de courrier!
il faudrait pratiquement une mise à jour avant toute relève de courrier!
Ce dont parle Laurent est très différent: il s'agit de refuser les
courriers dans lesquels on a détecté un virus. Là, on agit à coup sur
sans faux positif.
Ce dont parle Laurent est très différent: il s'agit de refuser les
courriers dans lesquels on a détecté un virus. Là, on agit à coup sur
sans faux positif.
Ce dont parle Laurent est très différent: il s'agit de refuser les
courriers dans lesquels on a détecté un virus. Là, on agit à coup sur
sans faux positif.