> Il va prendre ses 15 jours de suspension à partir de la semaine > prochaine, pendant les vacances scolaires, pour aller au ski.
même po... il était là ce soir le pujada.
:-)
Et en quoi ça me contredit ??
Pierre Cerf
Suite de l'affaire : on apprend que la démission de Mazerolle ne prendra effet qu'près les élections régionales du moi prochain.
Ce qui appelle quand même certaines remarques : - les journalistes vont encore être obligés de travailler sous les ordres de quelq'un dont ils ont rejeté l'autorité à bulletins secrets. Certes, cette consultation n'a aucune valeur juridique, mais à partir du moment où l'intéressé a déclaré qu'il s'y soumettrait, on ne voit pas bien pourquoi il se maintient un mois de plus.
- plus grave : le lien entre le maintien d'un directeur de l'information et l'approche d'une échéance électorale. Clairement, le temps où le monistère de l'Information téléphonait au redac chef du journal est terminé. Mais je ne peux m'empêcher que ce maintien est malsain : Mazerolle n'est pas réputé pour être un homme de gauche (voire réputé être "sûr"), les régionales s'annoncent difficiles pour le gouvernement, et Marc Tessier, président de Francetélévisions cherche à préparer le renouvellement de son mandat.
Je n'ose imaginer un marchandage du style : maintien de Mazerolle avant les élections (à l'iniative de Tessier), on continue à ne pas trop parler des affaires de la droite parisienne avant les élections, contre le renouvellement du mandat du président.
-- P. -- parano ?
Suite de l'affaire : on apprend que la démission de Mazerolle ne prendra
effet qu'près les élections régionales du moi prochain.
Ce qui appelle quand même certaines remarques :
- les journalistes vont encore être obligés de travailler sous les
ordres de quelq'un dont ils ont rejeté l'autorité à bulletins secrets.
Certes, cette consultation n'a aucune valeur juridique, mais à partir du
moment où l'intéressé a déclaré qu'il s'y soumettrait, on ne voit pas
bien pourquoi il se maintient un mois de plus.
- plus grave : le lien entre le maintien d'un directeur de l'information
et l'approche d'une échéance électorale. Clairement, le temps où le
monistère de l'Information téléphonait au redac chef du journal est
terminé. Mais je ne peux m'empêcher que ce maintien est malsain :
Mazerolle n'est pas réputé pour être un homme de gauche (voire réputé
être "sûr"), les régionales s'annoncent difficiles pour le gouvernement,
et Marc Tessier, président de Francetélévisions cherche à préparer le
renouvellement de son mandat.
Je n'ose imaginer un marchandage du style : maintien de Mazerolle avant
les élections (à l'iniative de Tessier), on continue à ne pas trop
parler des affaires de la droite parisienne avant les élections, contre
le renouvellement du mandat du président.
Suite de l'affaire : on apprend que la démission de Mazerolle ne prendra effet qu'près les élections régionales du moi prochain.
Ce qui appelle quand même certaines remarques : - les journalistes vont encore être obligés de travailler sous les ordres de quelq'un dont ils ont rejeté l'autorité à bulletins secrets. Certes, cette consultation n'a aucune valeur juridique, mais à partir du moment où l'intéressé a déclaré qu'il s'y soumettrait, on ne voit pas bien pourquoi il se maintient un mois de plus.
- plus grave : le lien entre le maintien d'un directeur de l'information et l'approche d'une échéance électorale. Clairement, le temps où le monistère de l'Information téléphonait au redac chef du journal est terminé. Mais je ne peux m'empêcher que ce maintien est malsain : Mazerolle n'est pas réputé pour être un homme de gauche (voire réputé être "sûr"), les régionales s'annoncent difficiles pour le gouvernement, et Marc Tessier, président de Francetélévisions cherche à préparer le renouvellement de son mandat.
Je n'ose imaginer un marchandage du style : maintien de Mazerolle avant les élections (à l'iniative de Tessier), on continue à ne pas trop parler des affaires de la droite parisienne avant les élections, contre le renouvellement du mandat du président.