Excellente explication (marketing ?) de la part d'Olympus :
> http://www.amateurphotographer.co.uk/latest/photo-news/exclusive-interview-setsuya-kataoka-olympus-95731
> The in-body stabilisation itself gives 5.5 steps, and the Sync IS gives 6.5 steps with OIS lenses. 6.5 stops is actually a theoretical limitation at the moment due to rotation of the earth interfering with gyro sensors.
Le piqué ne serait-il pas lié à la qualité de l'optique, et uniquement à cela ?
à l'époque de l'argentique oui. aujourd'hui c'est moins sûr.
Photo
Le 02/10/2016 à 14:37, Benoit a écrit :
xcomm wrote:
Lorsque je me suis équipé en F6, j'ai pris un soin tout particulier à m'équiper en objectif F spécialement optimisée pour le numérique, (et ce n'était pas chez Nikon qui n'avait rien à ce moment là au catalogue et trop cher pour mon budget, mais chez Sigma dans leur gamme PRO EX DG) car je savais (depuis mes débuts professionnel dans le numérique dans les années 90) que c'était un des points les plus important pour la qualité d'image très exigeante des capteurs numériques.
Oui, j'aimerai trouver un comparatif entre la qualité, le piqué possible, d'une pellicule argentique et celle d'un capteur numérique. Si le numérique a plus de pixels/cm (ou cm2 c'est pareil) que l'argentique, il doit avoir un objectif avec plus de piqué pour en tirer parti.
C'est différent de toute façon. Le numérique est un amoncellement de points alors que l'argentique c'est de l'analogique : en continu. Le rendu est différent. -- https://grenault.net/accueil.htm
Le 02/10/2016 à 14:37, Benoit a écrit :
xcomm <xcomm@club-internet.fr> wrote:
Lorsque je me suis équipé en F6, j'ai pris un soin tout particulier à
m'équiper en objectif F spécialement optimisée pour le numérique, (et ce
n'était pas chez Nikon qui n'avait rien à ce moment là au catalogue et
trop cher pour mon budget, mais chez Sigma dans leur gamme PRO EX DG)
car je savais (depuis mes débuts professionnel dans le numérique dans
les années 90) que c'était un des points les plus important pour la
qualité d'image très exigeante des capteurs numériques.
Oui, j'aimerai trouver un comparatif entre la qualité, le piqué
possible, d'une pellicule argentique et celle d'un capteur numérique. Si
le numérique a plus de pixels/cm (ou cm2 c'est pareil) que l'argentique,
il doit avoir un objectif avec plus de piqué pour en tirer parti.
C'est différent de toute façon. Le numérique est un amoncellement de
points alors que l'argentique c'est de l'analogique : en continu. Le
rendu est différent.
Lorsque je me suis équipé en F6, j'ai pris un soin tout particulier à m'équiper en objectif F spécialement optimisée pour le numérique, (et ce n'était pas chez Nikon qui n'avait rien à ce moment là au catalogue et trop cher pour mon budget, mais chez Sigma dans leur gamme PRO EX DG) car je savais (depuis mes débuts professionnel dans le numérique dans les années 90) que c'était un des points les plus important pour la qualité d'image très exigeante des capteurs numériques.
Oui, j'aimerai trouver un comparatif entre la qualité, le piqué possible, d'une pellicule argentique et celle d'un capteur numérique. Si le numérique a plus de pixels/cm (ou cm2 c'est pareil) que l'argentique, il doit avoir un objectif avec plus de piqué pour en tirer parti.
C'est différent de toute façon. Le numérique est un amoncellement de points alors que l'argentique c'est de l'analogique : en continu. Le rendu est différent. -- https://grenault.net/accueil.htm
Erwan David
Photo écrivait :
Le 02/10/2016 à 14:37, Benoit a écrit :
xcomm wrote:
Lorsque je me suis équipé en F6, j'ai pris un soin tout particulier à m'équiper en objectif F spécialement optimisée pour le numérique, (et ce n'était pas chez Nikon qui n'avait rien à ce moment là au catalogue et trop cher pour mon budget, mais chez Sigma dans leur gamme PRO EX DG) car je savais (depuis mes débuts professionnel dans le numérique dans les années 90) que c'était un des points les plus important pour la qualité d'image très exigeante des capteurs numériques.
Oui, j'aimerai trouver un comparatif entre la qualité, le piqué possible, d'une pellicule argentique et celle d'un capteur numérique. Si le numérique a plus de pixels/cm (ou cm2 c'est pareil) que l'argentique, il doit avoir un objectif avec plus de piqué pour en tirer parti.
C'est différent de toute façon. Le numérique est un amoncellement de points alors que l'argentique c'est de l'analogique : en continu. Le rendu est différent.
Pas vraiment : l'analogique ce sont des cristaux de sel d'argent qui ont une certaine taille, ce n'est pas du continu. -- Les simplifications c'est trop compliqué
Photo <contact@guy-renault.com> écrivait :
Le 02/10/2016 à 14:37, Benoit a écrit :
xcomm <xcomm@club-internet.fr> wrote:
Lorsque je me suis équipé en F6, j'ai pris un soin tout particulier à
m'équiper en objectif F spécialement optimisée pour le numérique, (et ce
n'était pas chez Nikon qui n'avait rien à ce moment là au catalogue et
trop cher pour mon budget, mais chez Sigma dans leur gamme PRO EX DG)
car je savais (depuis mes débuts professionnel dans le numérique dans
les années 90) que c'était un des points les plus important pour la
qualité d'image très exigeante des capteurs numériques.
Oui, j'aimerai trouver un comparatif entre la qualité, le piqué
possible, d'une pellicule argentique et celle d'un capteur numérique. Si
le numérique a plus de pixels/cm (ou cm2 c'est pareil) que l'argentique,
il doit avoir un objectif avec plus de piqué pour en tirer parti.
C'est différent de toute façon. Le numérique est un amoncellement de
points alors que l'argentique c'est de l'analogique : en continu. Le
rendu est différent.
Pas vraiment : l'analogique ce sont des cristaux de sel d'argent qui ont
une certaine taille, ce n'est pas du continu.
Lorsque je me suis équipé en F6, j'ai pris un soin tout particulier à m'équiper en objectif F spécialement optimisée pour le numérique, (et ce n'était pas chez Nikon qui n'avait rien à ce moment là au catalogue et trop cher pour mon budget, mais chez Sigma dans leur gamme PRO EX DG) car je savais (depuis mes débuts professionnel dans le numérique dans les années 90) que c'était un des points les plus important pour la qualité d'image très exigeante des capteurs numériques.
Oui, j'aimerai trouver un comparatif entre la qualité, le piqué possible, d'une pellicule argentique et celle d'un capteur numérique. Si le numérique a plus de pixels/cm (ou cm2 c'est pareil) que l'argentique, il doit avoir un objectif avec plus de piqué pour en tirer parti.
C'est différent de toute façon. Le numérique est un amoncellement de points alors que l'argentique c'est de l'analogique : en continu. Le rendu est différent.
Pas vraiment : l'analogique ce sont des cristaux de sel d'argent qui ont une certaine taille, ce n'est pas du continu. -- Les simplifications c'est trop compliqué
benoit
Alf92 wrote:
Benoit :
Le piqué ne serait-il pas lié à la qualité de l'optique, et uniquement à cela ?
à l'époque de l'argentique oui. aujourd'hui c'est moins sûr.
C'est vrai qu'ils doivent avoir des algos qui analysent les changements de tonalités et les renforcent pour accroître le piqué. Pour éviter que ça bave en quelque sorte. -- "On ne s'occupe pas de l'étiquette tant que les vendanges ne sont pas terminées" [Benoît]
Alf92 <alf921@gmail.com> wrote:
Benoit :
> Le piqué ne serait-il pas lié à la qualité de l'optique, et uniquement à
> cela ?
à l'époque de l'argentique oui.
aujourd'hui c'est moins sûr.
C'est vrai qu'ils doivent avoir des algos qui analysent les changements
de tonalités et les renforcent pour accroître le piqué. Pour éviter que
ça bave en quelque sorte.
--
"On ne s'occupe pas de l'étiquette tant que les vendanges ne sont pas
terminées" [Benoît]
Le piqué ne serait-il pas lié à la qualité de l'optique, et uniquement à cela ?
à l'époque de l'argentique oui. aujourd'hui c'est moins sûr.
C'est vrai qu'ils doivent avoir des algos qui analysent les changements de tonalités et les renforcent pour accroître le piqué. Pour éviter que ça bave en quelque sorte. -- "On ne s'occupe pas de l'étiquette tant que les vendanges ne sont pas terminées" [Benoît]
jdd
Le 02/10/2016 à 20:04, Erwan David a écrit :
Pas vraiment : l'analogique
l'argentique ce sont des cristaux de sel d'argent qui ont
une certaine taille, ce n'est pas du continu.
et on oublie trop souvent l'existence du traitement du film (révélateur, fixateur...) jdd
Le 02/10/2016 à 20:04, Erwan David a écrit :
Pas vraiment : l'analogique
l'argentique
ce sont des cristaux de sel d'argent qui ont
une certaine taille, ce n'est pas du continu.
et on oublie trop souvent l'existence du traitement du film (révélateur,
fixateur...)
l'argentique ce sont des cristaux de sel d'argent qui ont
une certaine taille, ce n'est pas du continu.
et on oublie trop souvent l'existence du traitement du film (révélateur, fixateur...) jdd
Charles Vassallo
xcomm a écrit :
Desmond a écrit : Tout dépend du besoin. Si par exemple je ne fais que du packshot, que que j'ai mieux avec un boîtier qu'un autre, pourquoi m'en priver, si je n'ai pas d'existant, ou que je ne trouve pas mon bonheur avec d'autres produits mieux pour d'autres besoin qui ne me concerne pas ? Je n'ai pas d'Olympus hybride, mais en ce qui concerne mon père, ce sont les deux points suivants : - Meilleur anti-tremblotte. - Meilleures qualité d'image. Le résultat : sa qualité de production s'en ait trouvé grandement améliorée. Il utilise sans arrière pensée son E-M1 jusqu'à 6400 ISO.
Mmmm... 6400, c'est tout de même un peu beaucoup. Mais il y avait d'autres arguments pour choisir Olympus, depuis le début : — compatibilité avec les vieille verroterie Zuiko (aimable plaisanterie, tout de même, mais ça a compté pour moi.) — sans doute la meilleure protection anti-poussière du marché. Je n'ai jamais eu à nettoyer mon capteur en une douzaine d'année -- je n'ai pas qu'un seul objectif et je m'en sers — une excellente qualité d'image dès l'époque du E-300. Quand je me suis lancé j'avais comparé les images plein format du E-300 et du Canon EOS20D (il y avait un site qui présentait les mêmes scènes prises avec différents appareils) ; les images brutes du Canon étaient légèrement meilleures, mais c'était un jeu d'enfant d'amener celles de l'Olympus au même niveau (évidemment, seulement les images à 100 ISO...) Et voilà, c'était parti. Le talon d'Achille était la faible dynamique du capteur Panasonic, mais l'arrivée du EM-1 (il a fallu être patient) avec ses 12 EV de dynamique a changé la donne. Il est certain que Pentax, Nikon et Sony font encore mieux, mais c'est déjà très bien. Et bien sûr, la stabilisation et la qualité d'image sont épatantes. Si on a des doutes, on peut aller voir des tas d'essais et d'images sur https://robinwong.blogspot.fr Cela dit, je ne doute pas que d'autres marques se trouveront des avocats tout aussi éloquents pour vanter leurs propres mérites et produire des images époustouflantes. charles
xcomm a écrit :
Desmond a écrit :
Tout dépend du besoin. Si par exemple je ne fais que du packshot, que
que j'ai mieux avec un boîtier qu'un autre, pourquoi m'en priver, si je
n'ai pas d'existant, ou que je ne trouve pas mon bonheur avec d'autres
produits mieux pour d'autres besoin qui ne me concerne pas ?
Je n'ai pas d'Olympus hybride, mais en ce qui concerne mon père, ce sont
les deux points suivants :
- Meilleur anti-tremblotte.
- Meilleures qualité d'image.
Le résultat : sa qualité de production s'en ait trouvé grandement
améliorée. Il utilise sans arrière pensée son E-M1 jusqu'à 6400 ISO.
Mmmm... 6400, c'est tout de même un peu beaucoup. Mais il y avait
d'autres arguments pour choisir Olympus, depuis le début :
— compatibilité avec les vieille verroterie Zuiko (aimable plaisanterie,
tout de même, mais ça a compté pour moi.)
— sans doute la meilleure protection anti-poussière du marché. Je n'ai
jamais eu à nettoyer mon capteur en une douzaine d'année -- je n'ai pas
qu'un seul objectif et je m'en sers
— une excellente qualité d'image dès l'époque du E-300. Quand je me suis
lancé j'avais comparé les images plein format du E-300 et du Canon
EOS20D (il y avait un site qui présentait les mêmes scènes prises avec
différents appareils) ; les images brutes du Canon étaient légèrement
meilleures, mais c'était un jeu d'enfant d'amener celles de l'Olympus au
même niveau (évidemment, seulement les images à 100 ISO...)
Et voilà, c'était parti. Le talon d'Achille était la faible dynamique du
capteur Panasonic, mais l'arrivée du EM-1 (il a fallu être patient) avec
ses 12 EV de dynamique a changé la donne. Il est certain que Pentax,
Nikon et Sony font encore mieux, mais c'est déjà très bien.
Et bien sûr, la stabilisation et la qualité d'image sont épatantes. Si
on a des doutes, on peut aller voir des tas d'essais et d'images sur
https://robinwong.blogspot.fr
Cela dit, je ne doute pas que d'autres marques se trouveront des avocats
tout aussi éloquents pour vanter leurs propres mérites et produire des
images époustouflantes.
Desmond a écrit : Tout dépend du besoin. Si par exemple je ne fais que du packshot, que que j'ai mieux avec un boîtier qu'un autre, pourquoi m'en priver, si je n'ai pas d'existant, ou que je ne trouve pas mon bonheur avec d'autres produits mieux pour d'autres besoin qui ne me concerne pas ? Je n'ai pas d'Olympus hybride, mais en ce qui concerne mon père, ce sont les deux points suivants : - Meilleur anti-tremblotte. - Meilleures qualité d'image. Le résultat : sa qualité de production s'en ait trouvé grandement améliorée. Il utilise sans arrière pensée son E-M1 jusqu'à 6400 ISO.
Mmmm... 6400, c'est tout de même un peu beaucoup. Mais il y avait d'autres arguments pour choisir Olympus, depuis le début : — compatibilité avec les vieille verroterie Zuiko (aimable plaisanterie, tout de même, mais ça a compté pour moi.) — sans doute la meilleure protection anti-poussière du marché. Je n'ai jamais eu à nettoyer mon capteur en une douzaine d'année -- je n'ai pas qu'un seul objectif et je m'en sers — une excellente qualité d'image dès l'époque du E-300. Quand je me suis lancé j'avais comparé les images plein format du E-300 et du Canon EOS20D (il y avait un site qui présentait les mêmes scènes prises avec différents appareils) ; les images brutes du Canon étaient légèrement meilleures, mais c'était un jeu d'enfant d'amener celles de l'Olympus au même niveau (évidemment, seulement les images à 100 ISO...) Et voilà, c'était parti. Le talon d'Achille était la faible dynamique du capteur Panasonic, mais l'arrivée du EM-1 (il a fallu être patient) avec ses 12 EV de dynamique a changé la donne. Il est certain que Pentax, Nikon et Sony font encore mieux, mais c'est déjà très bien. Et bien sûr, la stabilisation et la qualité d'image sont épatantes. Si on a des doutes, on peut aller voir des tas d'essais et d'images sur https://robinwong.blogspot.fr Cela dit, je ne doute pas que d'autres marques se trouveront des avocats tout aussi éloquents pour vanter leurs propres mérites et produire des images époustouflantes. charles
Erwan David
jdd écrivait :
Le 02/10/2016 à 20:04, Erwan David a écrit :
Pas vraiment : l'analogique
l'argentique
Oui tout à fait grossière erreur de ma part
ce sont des cristaux de sel d'argent qui ont
une certaine taille, ce n'est pas du continu.
et on oublie trop souvent l'existence du traitement du film (révélateur, fixateur...)
Aussi, oui. -- Les simplifications c'est trop compliqué
jdd <jdd@dodin.org> écrivait :
Le 02/10/2016 à 20:04, Erwan David a écrit :
Pas vraiment : l'analogique
l'argentique
Oui tout à fait grossière erreur de ma part
ce sont des cristaux de sel d'argent qui ont
une certaine taille, ce n'est pas du continu.
et on oublie trop souvent l'existence du traitement du film
(révélateur, fixateur...)
et on oublie trop souvent l'existence du traitement du film (révélateur, fixateur...)
Aussi, oui. -- Les simplifications c'est trop compliqué
xcomm
Benoit a écrit :
à l'époque de l'argentique oui. aujourd'hui c'est moins sûr.
C'est vrai qu'ils doivent avoir des algos qui analysent les changements de tonalités et les renforcent pour accroître le piqué. Pour éviter que ça bave en quelque sorte.
Je pense que l'on est plus proche de la réalité, dans la plus ou moins grande maîtrise du traitement et développement de la part du constructeur qui prends une place très importante dans la chaine complète. Il ne suffit pas simplement d'acheter un capteur de qualité à SONY et de le mettre en boîte pour que tout soit bon au final.
Benoit a écrit :
à l'époque de l'argentique oui.
aujourd'hui c'est moins sûr.
C'est vrai qu'ils doivent avoir des algos qui analysent les changements
de tonalités et les renforcent pour accroître le piqué. Pour éviter que
ça bave en quelque sorte.
Je pense que l'on est plus proche de la réalité, dans la plus ou moins
grande maîtrise du traitement et développement de la part du
constructeur qui prends une place très importante dans la chaine
complète. Il ne suffit pas simplement d'acheter un capteur de qualité à
SONY et de le mettre en boîte pour que tout soit bon au final.
à l'époque de l'argentique oui. aujourd'hui c'est moins sûr.
C'est vrai qu'ils doivent avoir des algos qui analysent les changements de tonalités et les renforcent pour accroître le piqué. Pour éviter que ça bave en quelque sorte.
Je pense que l'on est plus proche de la réalité, dans la plus ou moins grande maîtrise du traitement et développement de la part du constructeur qui prends une place très importante dans la chaine complète. Il ne suffit pas simplement d'acheter un capteur de qualité à SONY et de le mettre en boîte pour que tout soit bon au final.
xcomm
Charles Vassallo a écrit :
Mmmm... 6400, c'est tout de même un peu beaucoup. Mais il y avait d'autres arguments pour choisir Olympus, depuis le début :
On est bien d'accord, mais je parlais de mon père, vis à vis du boîtier sans miroir. La stabilisation 5 axes compense ses tremblements sans broncher, et ça c'est incomparable pour ne pas rater ses photos. En ce qui me concerne, j'ajouterai comme tu es un ancien : - l'anti poussière de cette qualité introuvable ailleurs (et déjà présente dès la sortie de l'E-1) - la compatibilité de l'AF par détection de phase avec mes Zuiko Digital télécentrique de très haute qualité (j'en ai une dizaine avec les convertisseurs associés) - La tropicalisation sans arrière pensée. La pluie d'orage n'a jamais fait peur à mon E-5 et à ses objectifs PRO. - La sensibilité de l'AF (le premier boîtier à accrocher à -2IL en détection de phase) Impressionnant pour accrocher l'inimaginable.
Charles Vassallo a écrit :
Mmmm... 6400, c'est tout de même un peu beaucoup. Mais il y avait
d'autres arguments pour choisir Olympus, depuis le début :
On est bien d'accord, mais je parlais de mon père, vis à vis du boîtier
sans miroir. La stabilisation 5 axes compense ses tremblements sans
broncher, et ça c'est incomparable pour ne pas rater ses photos.
En ce qui me concerne, j'ajouterai comme tu es un ancien :
- l'anti poussière de cette qualité introuvable ailleurs (et déjà
présente dès la sortie de l'E-1)
- la compatibilité de l'AF par détection de phase avec mes Zuiko Digital
télécentrique de très haute qualité (j'en ai une dizaine avec les
convertisseurs associés)
- La tropicalisation sans arrière pensée. La pluie d'orage n'a jamais
fait peur à mon E-5 et à ses objectifs PRO.
- La sensibilité de l'AF (le premier boîtier à accrocher à -2IL en
détection de phase) Impressionnant pour accrocher l'inimaginable.
Mmmm... 6400, c'est tout de même un peu beaucoup. Mais il y avait d'autres arguments pour choisir Olympus, depuis le début :
On est bien d'accord, mais je parlais de mon père, vis à vis du boîtier sans miroir. La stabilisation 5 axes compense ses tremblements sans broncher, et ça c'est incomparable pour ne pas rater ses photos. En ce qui me concerne, j'ajouterai comme tu es un ancien : - l'anti poussière de cette qualité introuvable ailleurs (et déjà présente dès la sortie de l'E-1) - la compatibilité de l'AF par détection de phase avec mes Zuiko Digital télécentrique de très haute qualité (j'en ai une dizaine avec les convertisseurs associés) - La tropicalisation sans arrière pensée. La pluie d'orage n'a jamais fait peur à mon E-5 et à ses objectifs PRO. - La sensibilité de l'AF (le premier boîtier à accrocher à -2IL en détection de phase) Impressionnant pour accrocher l'inimaginable.