Panthere Serveur, suite 24 juillet 2003 - 09:01
Système
Pour ceux qui n'auraient pas assisté à la conférence en ligne d'Apple &
MacosxLabs à propos de Mac OS X Serveur 10.3 voici un petit aperçu de ce
que ils ont manqué.
Automatic Setup : cette fonctionnalité permet à l'administrateur d'un
parc de serveurs de configurer de manière totalement automatique un ou
plusieurs serveurs. Il lui suffit pour cela de disposer d'un fichier de
configuration type sur un périphérique de son choix (disque dur, CD,
serveur LDAP, ou même iPod). Le ou les serveurs, pendant leur premier
boot, iront alors trouver ce fichier, et procéderont à leur propre
configuration automatiquement.
Outils d'administration : largement remaniés ou totalement recodés pour
certains, ces outils sont maintenant livrés avec des dixaines
d'applications en ligne de commande permettant d'assurer des tâches de
monitoring ou d'administration à la console. Douze nouveaux manuels sont
aussi fournis. Ils traitent chacun d'un sujet précis comme la
configuration du partage de fichier ou l'administration du serveur
d'impression. De plus, plus de cent pages "man" ont été rafraîchies par
Apple. Des outils GUI font aussi leur apparition pour administrer le
serveur DNS, le VPN, le Firewall, le NAT, etc.
OpenDirectory 2 : Cette seconde version d'OpenDirectory prend beaucoup
d'importance dans Panthere. Basée sur la conjugaison de LDAP/Berkeley DB
et de Kerberos, OP2 devient la solution centrale d'authentification.
NetInfo se trouve donc relégué à la simple authentification des
utilisateurs locaux de la machine. OP2 permet à Apple de mettre en place
le "single sign-on", ou "enregistrement unique". Ainsi, un utilisateur
distant peut se connecter au serveur, il reste ensuite identifié pour
toute la durée de sa session et peut relever son mail, se connecter en
ssh, accéder au partage de fichiers ou d'imprimantes sans fournir de
nouveau son mot de passe.
Connectivité : En terme de capacité d'échange de l'information, Panthere
apporte aussi de nombreuses améliorations. Samba 3 fait son apparition,
NFS est amélioré, le VPN est présent, et la distribution de mail est
totalement revue avec en rouage principal Postfix, épaulé par
cyrus-imap, et mailman. IP sur Firewire est aussi au rendez-vous, et le
NetBoot peut enfin être utilisé sans disque dur local, et via HTTP (à
quand le netboot par internet ?).
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Bonus : HFS+ est remanié, il apporte une option de formatage activant la
sensibilité à la casse.
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Y en a qui vont être content ....
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Le sage montre la lune, l'imbécile regarde le doigt.
D'après ce que j'ai compris, le journaling permet de remettre le fs dans un état normal sans faire de fsck ce qui permet de booter plus vite après un plantage.
J'utilise le journaling pour eviter de formater mon disque apres un kernel panic quand fsck ne sait pas reparer. Et finalement, je trouve que le duo fsck et le journaling marche bien, a condition que fsck fasse son boulot (avec -fy).
Patrick Stadelmann <Patrick.Stadelmann@unine.ch> wrote:
D'après ce que j'ai compris, le journaling permet de remettre le fs dans
un état normal sans faire de fsck ce qui permet de booter plus vite
après un plantage.
J'utilise le journaling pour eviter de formater mon disque apres un
kernel panic quand fsck ne sait pas reparer.
Et finalement, je trouve que le duo fsck et le journaling marche bien, a
condition que fsck fasse son boulot (avec -fy).
D'après ce que j'ai compris, le journaling permet de remettre le fs dans un état normal sans faire de fsck ce qui permet de booter plus vite après un plantage.
J'utilise le journaling pour eviter de formater mon disque apres un kernel panic quand fsck ne sait pas reparer. Et finalement, je trouve que le duo fsck et le journaling marche bien, a condition que fsck fasse son boulot (avec -fy).