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patate douce

48 réponses
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palmerclaude
...ou proverbe marin...
J'attends les réflexions salaces :-))
http://cjoint.com/?grpbBpLadC

En contrepartie, une recette de chapatis sud-américains.. à moins que ce ne
soit nigérian :

Prendre des patates douces, les cuire à la vapeur et en faire une purée. La
mélanger avec un tiers de farine, en faire des galettes. Faire griller dans
une poêle avec un peu d'huile d'olive...

Merci des retours d'expérience.

8 réponses

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delestaque
Markorki wrote:
Jean-Claude Ghislain a écrit :
"efji" a écrit :

La cataracte n'est pas une petite excuse. C'est une énorme.
Les couleurs que tu vois n'ont rien à voir avec la réalité.



Un photograveur, bien connu à l'époque, retouchait les photos
couleurs sur un écran monochrome, tout à la pipette et il avait
pourtant très bonne réputation dans son boulot.



... et Beethoven était sourd, certes, mais quand-même...



si tu contrôle des selections, tu n'as rien a faire de la couleur, elles
sont en gris les selections, l'encre est en couleur, aucune importance et
même, je crois même qu'il était sourd le photograveur.

--
--
Ricco
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palmerclaude
albert wrote:
"delestaque" a écrit :

moi ça ne m'étonne pas du tout,



Moi non plus. Il y a dix ans je suis allé voir un ophtalmo, il m'a
dit : "Monsieur il faut que vous portiez des lunettes". On a fait des
lunettes. Je les ai portées pendant une semaine, c'était des verres
progressifs, je me cassais la gueule sur les trottoirs et je
n'arrivais pas à lire, j'ai balancé les lunettes. Depuis ma vue c'est
nettement améliorée. C'est normal, je suis photographe.

Amitiés,
albert



Non tu es vieux et tu n'accomodes plus :-))
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palmerclaude
delestaque wrote:
Markorki wrote:
Jean-Claude Ghislain a écrit :
"efji" a écrit :

La cataracte n'est pas une petite excuse. C'est une énorme.
Les couleurs que tu vois n'ont rien à voir avec la réalité.



Un photograveur, bien connu à l'époque, retouchait les photos
couleurs sur un écran monochrome, tout à la pipette et il avait
pourtant très bonne réputation dans son boulot.



... et Beethoven était sourd, certes, mais quand-même...



si tu contrôle des selections, tu n'as rien a faire de la couleur,
elles sont en gris les selections, l'encre est en couleur, aucune
importance et même, je crois même qu'il était sourd le photograveur.



Non si on se réfère en parallèle avec Beethoven, il était aveugle.
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albert
Bonjour Claude,

"palmerclaude" a écrit :

Non tu es vieux et tu n'accomodes plus :-))



Ah ! Vieux moi ? Ca y est je suis un vieux ! Quand je me balade avec mon
fils de 4 ans je passe pour un grand père, et pourtant je vais être dans
quelques jours papa de ma troisième fille. Aie ! Aie! Que m'arrive-t-il ? Au
fait, mon deuxième fils s'appelle Ange, je voudrais appeler ma petite
dernière Fée, mais personne ne comprend.

Je n'accomode plus, donc. Pourtant je suis très accomodant, le monde est
toujours aussi beau sous le soleil couchant, j'arrive à distinguer les nuées
d'insectes qui volètent dans le contre-jour du soir de mon jardin, de ma vie
aussi, et tout ce que l'on voit est déjà le souvenir de ce que l'on voit. En
exergue d'un de ses derniers livres, Garcia Marquez dit : "La vie n'est pas
ce que l'on a vécu, mais ce dont on se souvient et comment on s'en
souvient."

Alors quand je photographie le monde, c'est déjà le monde de mon
souvenir, l'appareil est là pour la netteté, moi je suis juste là pour le
montrer.

Amitiés,
albert
----------------------------------------------------------
Photographies imaginaires
http://perso.orange.fr/albert.lemoine
----------------------------------------------------------
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delestaque
albert wrote:
Bonjour Claude,

"palmerclaude" a écrit :

Non tu es vieux et tu n'accomodes plus :-))



Ah ! Vieux moi ? Ca y est je suis un vieux ! Quand je me balade
avec mon fils de 4 ans je passe pour un grand père, et pourtant je
vais être dans quelques jours papa de ma troisième fille. Aie ! Aie!
Que m'arrive-t-il ? Au fait, mon deuxième fils s'appelle Ange, je
voudrais appeler ma petite dernière Fée, mais personne ne comprend.

Je n'accomode plus, donc. Pourtant je suis très accomodant, le
monde est toujours aussi beau sous le soleil couchant, j'arrive à
distinguer les nuées d'insectes qui volètent dans le contre-jour du
soir de mon jardin, de ma vie aussi, et tout ce que l'on voit est
déjà le souvenir de ce que l'on voit. En exergue d'un de ses derniers
livres, Garcia Marquez dit : "La vie n'est pas ce que l'on a vécu,
mais ce dont on se souvient et comment on s'en souvient."

Alors quand je photographie le monde, c'est déjà le monde de mon
souvenir, l'appareil est là pour la netteté, moi je suis juste là
pour le montrer.

Amitiés,
albert




LePalmé, la gueule qu'il va faire après avoir été opéré, quand il verra ses
propres photos, il va avoir du mal à s'en accommoder.

--
--
Ricco
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albert
Salut Ricco,

"delestaque" a écrit :

LePalmé, la gueule qu'il va faire après avoir été opéré, quand il verra
ses propres photos, il va avoir du mal à s'en accommoder.



Ouais ! C'est un peu ce que je voulais dire, en y mettant les gants.

On ne photographie que ce que l'on peut voir mais aussi et surtout ce
que l'on veut voir. Comme je le disais dans le message précédent, ce sont
nos souvenirs que l'on photographie, alors peu importe que l'image soit
floue ou mal exposée, les souvenirs enjolivent tout.

L'idée peut paraître bizarre mais quand Claude sera confronté à la dure
et nette réalité de sa photographie il ne pourra qu'en faire le constat. Si
il se met alors à faire des photos bien exposées avec une PDC maîtrisée
est-ce que cela changera quelque chose ? Non, car c'est la qualité des
souvenirs qui importe, et moi j'aime bien les souvenirs de palmerclaude.

Amitiés,
albert
----------------------------------------------------------
Photographies imaginaires
http://perso.orange.fr/albert.lemoine
----------------------------------------------------------
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delestaque
albert wrote:
Salut Ricco,

"delestaque" a écrit :

LePalmé, la gueule qu'il va faire après avoir été opéré, quand il
verra ses propres photos, il va avoir du mal à s'en accommoder.



Ouais ! C'est un peu ce que je voulais dire, en y mettant les
gants.



moi, je ne mets plus de gants avec lui, après ses quinze vie, il va se
retrouver aux Quinze-vingt, après, on va voir ce qu'il va voir, ce qui ne
m'interesse que très peu d'ailleurs.

On ne photographie que ce que l'on peut voir mais aussi et surtout
ce que l'on veut voir. Comme je le disais dans le message précédent,
ce sont nos souvenirs que l'on photographie, alors peu importe que
l'image soit floue ou mal exposée, les souvenirs enjolivent tout.




tu as probablement raison, dans mon cas, je photographie ce que je crois
voir, et ça ne correspond pas à ce que j'obtiens.

L'idée peut paraître bizarre mais quand Claude sera confronté à la
dure et nette réalité de sa photographie il ne pourra qu'en faire le
constat. Si il se met alors à faire des photos bien exposées avec une
PDC maîtrisée est-ce que cela changera quelque chose ? Non, car c'est
la qualité des souvenirs qui importe, et moi j'aime bien les
souvenirs de palmerclaude.



il survivra, il a survécu à tout, il a tout connu, il est comme les gens du
gouvernemt, "remarquable ".
--
Ricco
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palmerclaude
delestaque wrote:
albert wrote:
Bonjour Claude,

"palmerclaude" a écrit :

Non tu es vieux et tu n'accomodes plus :-))



Ah ! Vieux moi ? Ca y est je suis un vieux ! Quand je me balade
avec mon fils de 4 ans je passe pour un grand père, et pourtant je
vais être dans quelques jours papa de ma troisième fille. Aie ! Aie!
Que m'arrive-t-il ? Au fait, mon deuxième fils s'appelle Ange, je
voudrais appeler ma petite dernière Fée, mais personne ne comprend.

Je n'accomode plus, donc. Pourtant je suis très accomodant, le
monde est toujours aussi beau sous le soleil couchant, j'arrive à
distinguer les nuées d'insectes qui volètent dans le contre-jour du
soir de mon jardin, de ma vie aussi, et tout ce que l'on voit est
déjà le souvenir de ce que l'on voit. En exergue d'un de ses derniers
livres, Garcia Marquez dit : "La vie n'est pas ce que l'on a vécu,
mais ce dont on se souvient et comment on s'en souvient."

Alors quand je photographie le monde, c'est déjà le monde de mon
souvenir, l'appareil est là pour la netteté, moi je suis juste là
pour le montrer.

Amitiés,
albert




LePalmé, la gueule qu'il va faire après avoir été opéré, quand il
verra ses propres photos, il va avoir du mal à s'en accommoder.



Non, je vais trouver une solution pour passer à la vitesse supérieure en
moyens et en qualité. et je rajeunirai...
pas comme les vieux critiques.
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