C'est toujours renversant ces choses-là: les femmes se battent depuis longtemps pour ne pas se voir imposer un grossesse, et aujourd'hui c'est la situation inverse: une femme se laisse tomber volontairement enceinte malgré l'opposition de son homme, et puis elle va au tribunal pour déférer un test ADN, et le tribunal suit... Et l'homme se retrouve "père" avec des pensions alimentaires, etc...
Ça vient de se produire récemment: un couple de lesbiennes obtient d'une connaissance un don de sperme, et l'une d'entre elles s'insémine.
L'enfant né, elle défère un test d'ADN via le tribunal pour forcer la reconnaissance de paternité, et obtenir des pensions.
Par moments, on doute formellement de la clairvoyance des magistrats.
--
Laurent Jumet - Point de Chat, Liège, BELGIUM
KeyID: 0xCFAF704C
[Restore address to laurent.jumet for e-mail reply.]
Il me semblerait *juste* que, vu les progres en matiere de contraception et la situation de decideuse *exclusive* qui appartient a la femme: -un tel contrat sur l'avenir des enfants devienne legal et recommande avant naissance -par defaut, en cas d'absence de contrat l'autorite parentale revienne a la mere seule le pere est exempte de tout devoir d'aucune nature (comme un donneur de sperme au CECOS)
[Ce contrat pouvant etre modifie par la suite, de la volonte commune des 2 parents, mais en aucun cas par une decision de justice]
Je vote pour.
--
Lf.
Le 02/03/2011 15:27, XY a écrit :
Il me semblerait *juste* que, vu les progres en matiere de contraception et
la situation de decideuse *exclusive* qui appartient a la femme:
-un tel contrat sur l'avenir des enfants devienne legal et recommande avant
naissance
-par defaut, en cas d'absence de contrat
l'autorite parentale revienne a la mere seule
le pere est exempte de tout devoir d'aucune nature
(comme un donneur de sperme au CECOS)
[Ce contrat pouvant etre modifie par la suite,
de la volonte commune des 2 parents,
mais en aucun cas par une decision de justice]
Il me semblerait *juste* que, vu les progres en matiere de contraception et la situation de decideuse *exclusive* qui appartient a la femme: -un tel contrat sur l'avenir des enfants devienne legal et recommande avant naissance -par defaut, en cas d'absence de contrat l'autorite parentale revienne a la mere seule le pere est exempte de tout devoir d'aucune nature (comme un donneur de sperme au CECOS)
[Ce contrat pouvant etre modifie par la suite, de la volonte commune des 2 parents, mais en aucun cas par une decision de justice]
Je vote pour.
--
Lf.
Anne G
Le 02/03/11 23:14, Lf a écrit :
Le 02/03/2011 15:27, XY a écrit :
Il me semblerait *juste* que, vu les progres en matiere de contraception et la situation de decideuse *exclusive* qui appartient a la femme: -un tel contrat sur l'avenir des enfants devienne legal et recommande avant naissance -par defaut, en cas d'absence de contrat l'autorite parentale revienne a la mere seule le pere est exempte de tout devoir d'aucune nature (comme un donneur de sperme au CECOS)
Ah, je dirais l'inverse. En cas d'absence de contrat, les deux géniteurs acceptent la paternité.
Ah, ben tiens, c'est déjà le cas, et il y en a un des deux qui peut décider tout seul ;-)
Zut. On prend votre option, alors.
Mais je ne l'aime pas. Ça ressemble un peu trop à ce qui se passait avant que les pères aient à se soucier de leur contraception.
[Ce contrat pouvant etre modifie par la suite, de la volonte commune des 2 parents, mais en aucun cas par une decision de justice]
Je vote pour.
Le 02/03/11 23:14, Lf a écrit :
Le 02/03/2011 15:27, XY a écrit :
Il me semblerait *juste* que, vu les progres en matiere de
contraception et
la situation de decideuse *exclusive* qui appartient a la femme:
-un tel contrat sur l'avenir des enfants devienne legal et recommande
avant
naissance
-par defaut, en cas d'absence de contrat
l'autorite parentale revienne a la mere seule
le pere est exempte de tout devoir d'aucune nature
(comme un donneur de sperme au CECOS)
Ah, je dirais l'inverse.
En cas d'absence de contrat, les deux géniteurs acceptent la paternité.
Ah, ben tiens, c'est déjà le cas, et il y en a un des deux qui peut
décider tout seul ;-)
Zut. On prend votre option, alors.
Mais je ne l'aime pas. Ça ressemble un peu trop à ce qui se passait
avant que les pères aient à se soucier de leur contraception.
[Ce contrat pouvant etre modifie par la suite,
de la volonte commune des 2 parents,
mais en aucun cas par une decision de justice]
Il me semblerait *juste* que, vu les progres en matiere de contraception et la situation de decideuse *exclusive* qui appartient a la femme: -un tel contrat sur l'avenir des enfants devienne legal et recommande avant naissance -par defaut, en cas d'absence de contrat l'autorite parentale revienne a la mere seule le pere est exempte de tout devoir d'aucune nature (comme un donneur de sperme au CECOS)
Ah, je dirais l'inverse. En cas d'absence de contrat, les deux géniteurs acceptent la paternité.
Ah, ben tiens, c'est déjà le cas, et il y en a un des deux qui peut décider tout seul ;-)
Zut. On prend votre option, alors.
Mais je ne l'aime pas. Ça ressemble un peu trop à ce qui se passait avant que les pères aient à se soucier de leur contraception.
[Ce contrat pouvant etre modifie par la suite, de la volonte commune des 2 parents, mais en aucun cas par une decision de justice]
Je vote pour.
Lf
Le 03/03/2011 07:20, Anne G a écrit :
Le 02/03/11 23:14, Lf a écrit :
Le 02/03/2011 15:27, XY a écrit :
Il me semblerait *juste* que, vu les progres en matiere de contraception et la situation de decideuse *exclusive* qui appartient a la femme: -un tel contrat sur l'avenir des enfants devienne legal et recommande avant naissance -par defaut, en cas d'absence de contrat l'autorite parentale revienne a la mere seule le pere est exempte de tout devoir d'aucune nature (comme un donneur de sperme au CECOS)
Ah, je dirais l'inverse. En cas d'absence de contrat, les deux géniteurs acceptent la paternité.
Ca marcherait si les deux géniteurs avaient les moyens de savoir qu'ils ont fait un petit. Dans l'état actuel la femme peut être sûre d'avoir pris ses précautions, mais un homme est à la merci de la femme: elle peut non seulement lui faire un enfant dans le dos, mais encore lui en faire porter la responsabilité. C'est ça qui ne va pas.
Ah, ben tiens, c'est déjà le cas, et il y en a un des deux qui peut décider tout seul ;-)
Zut. On prend votre option, alors.
Mais je ne l'aime pas. Ça ressemble un peu trop à ce qui se passait avant que les pères aient à se soucier de leur contraception.
Non. Ce serait toujours à la mère de décider si elle veut ou non rester enceinte (ce qui me paraît la moindre des choses). Dans le cas où elle veut, elle n'a cependant pas à *imposer* la responsabilité de *sa* décision à l'autre, puisqu'elle avait les moyens de décider autre chose. Il faudrait donc que le géniteur 1) soit informé qu'il l'est 2) puisse décider s'il veut, lui aussi, être père. S'il ne veut pas, ça n'obligerait pas la femme à avorter, mais à élever l'enfant seule. Ca me paraît juste.
--
Lf.
Le 03/03/2011 07:20, Anne G a écrit :
Le 02/03/11 23:14, Lf a écrit :
Le 02/03/2011 15:27, XY a écrit :
Il me semblerait *juste* que, vu les progres en matiere de
contraception et
la situation de decideuse *exclusive* qui appartient a la femme:
-un tel contrat sur l'avenir des enfants devienne legal et recommande
avant
naissance
-par defaut, en cas d'absence de contrat
l'autorite parentale revienne a la mere seule
le pere est exempte de tout devoir d'aucune nature
(comme un donneur de sperme au CECOS)
Ah, je dirais l'inverse.
En cas d'absence de contrat, les deux géniteurs acceptent la paternité.
Ca marcherait si les deux géniteurs avaient les moyens de savoir qu'ils
ont fait un petit. Dans l'état actuel la femme peut être sûre d'avoir
pris ses précautions, mais un homme est à la merci de la femme: elle
peut non seulement lui faire un enfant dans le dos, mais encore lui en
faire porter la responsabilité. C'est ça qui ne va pas.
Ah, ben tiens, c'est déjà le cas, et il y en a un des deux qui peut
décider tout seul ;-)
Zut. On prend votre option, alors.
Mais je ne l'aime pas. Ça ressemble un peu trop à ce qui se passait
avant que les pères aient à se soucier de leur contraception.
Non. Ce serait toujours à la mère de décider si elle veut ou non rester
enceinte (ce qui me paraît la moindre des choses).
Dans le cas où elle veut, elle n'a cependant pas à *imposer* la
responsabilité de *sa* décision à l'autre, puisqu'elle avait les moyens
de décider autre chose. Il faudrait donc que le géniteur 1) soit informé
qu'il l'est 2) puisse décider s'il veut, lui aussi, être père. S'il ne
veut pas, ça n'obligerait pas la femme à avorter, mais à élever l'enfant
seule. Ca me paraît juste.
Il me semblerait *juste* que, vu les progres en matiere de contraception et la situation de decideuse *exclusive* qui appartient a la femme: -un tel contrat sur l'avenir des enfants devienne legal et recommande avant naissance -par defaut, en cas d'absence de contrat l'autorite parentale revienne a la mere seule le pere est exempte de tout devoir d'aucune nature (comme un donneur de sperme au CECOS)
Ah, je dirais l'inverse. En cas d'absence de contrat, les deux géniteurs acceptent la paternité.
Ca marcherait si les deux géniteurs avaient les moyens de savoir qu'ils ont fait un petit. Dans l'état actuel la femme peut être sûre d'avoir pris ses précautions, mais un homme est à la merci de la femme: elle peut non seulement lui faire un enfant dans le dos, mais encore lui en faire porter la responsabilité. C'est ça qui ne va pas.
Ah, ben tiens, c'est déjà le cas, et il y en a un des deux qui peut décider tout seul ;-)
Zut. On prend votre option, alors.
Mais je ne l'aime pas. Ça ressemble un peu trop à ce qui se passait avant que les pères aient à se soucier de leur contraception.
Non. Ce serait toujours à la mère de décider si elle veut ou non rester enceinte (ce qui me paraît la moindre des choses). Dans le cas où elle veut, elle n'a cependant pas à *imposer* la responsabilité de *sa* décision à l'autre, puisqu'elle avait les moyens de décider autre chose. Il faudrait donc que le géniteur 1) soit informé qu'il l'est 2) puisse décider s'il veut, lui aussi, être père. S'il ne veut pas, ça n'obligerait pas la femme à avorter, mais à élever l'enfant seule. Ca me paraît juste.
--
Lf.
Laurent Jumet
Hello Lf !
Lf wrote:
Non. Ce serait toujours à la mère de décider si elle veut ou non rester enceinte (ce qui me paraît la moindre des choses). Dans le cas où elle veut, elle n'a cependant pas à *imposer* la responsabilité de *sa* décision à l'autre, puisqu'elle avait les moyens de décider autre chose. Il faudrait donc que le géniteur 1) soit informé qu'il l'est 2) puisse décider s'il veut, lui aussi, être père. S'il ne veut pas, ça n'obligerait pas la femme à avorter, mais à élever l'enfant seule. Ca me paraît juste.
...oui, c'est cela qu'il faut faire. Reste la mise en forme pour ne pas tomber dans le délire bureaucratique. En attendant, la situation par défaut devrait être: pas de paternité forcée; or les tribunaux ont pris le chemin contraire pour l'instant, et ça c'est anormal.
-- Laurent Jumet - Point de Chat, Liège, BELGIUM KeyID: 0xCFAF704C [Restore address to laurent.jumet for e-mail reply.]
Hello Lf !
Lf <laure@lmaf.net> wrote:
Non. Ce serait toujours à la mère de décider si elle veut ou non rester
enceinte (ce qui me paraît la moindre des choses).
Dans le cas où elle veut, elle n'a cependant pas à *imposer* la
responsabilité de *sa* décision à l'autre, puisqu'elle avait les moyens
de décider autre chose. Il faudrait donc que le géniteur 1) soit informé
qu'il l'est 2) puisse décider s'il veut, lui aussi, être père. S'il ne
veut pas, ça n'obligerait pas la femme à avorter, mais à élever l'enfant
seule. Ca me paraît juste.
...oui, c'est cela qu'il faut faire.
Reste la mise en forme pour ne pas tomber dans le délire bureaucratique.
En attendant, la situation par défaut devrait être: pas de paternité forcée; or les tribunaux ont pris le chemin contraire pour l'instant, et ça c'est anormal.
--
Laurent Jumet - Point de Chat, Liège, BELGIUM
KeyID: 0xCFAF704C
[Restore address to laurent.jumet for e-mail reply.]
Non. Ce serait toujours à la mère de décider si elle veut ou non rester enceinte (ce qui me paraît la moindre des choses). Dans le cas où elle veut, elle n'a cependant pas à *imposer* la responsabilité de *sa* décision à l'autre, puisqu'elle avait les moyens de décider autre chose. Il faudrait donc que le géniteur 1) soit informé qu'il l'est 2) puisse décider s'il veut, lui aussi, être père. S'il ne veut pas, ça n'obligerait pas la femme à avorter, mais à élever l'enfant seule. Ca me paraît juste.
...oui, c'est cela qu'il faut faire. Reste la mise en forme pour ne pas tomber dans le délire bureaucratique. En attendant, la situation par défaut devrait être: pas de paternité forcée; or les tribunaux ont pris le chemin contraire pour l'instant, et ça c'est anormal.
-- Laurent Jumet - Point de Chat, Liège, BELGIUM KeyID: 0xCFAF704C [Restore address to laurent.jumet for e-mail reply.]
dmkgbt
Lf wrote:
Il faudrait donc que le géniteur 1) soit informé qu'il l'est 2) puisse décider s'il veut, lui aussi, être père. S'il ne veut pas, ça n'obligerait pas la femme à avorter, mais à élever l'enfant seule. Ca me paraît juste.
Ça me paraît très juste, en effet. Si, en plus, le géniteur ne peut plus revenir quelque temps après (pour quelque cause que ce soit), sur sa décision d'être père ou pas, je vote POUR :-)
Il faudrait donc que le géniteur 1) soit informé
qu'il l'est 2) puisse décider s'il veut, lui aussi, être père. S'il ne
veut pas, ça n'obligerait pas la femme à avorter, mais à élever l'enfant
seule. Ca me paraît juste.
Ça me paraît très juste, en effet.
Si, en plus, le géniteur ne peut plus revenir quelque temps après (pour
quelque cause que ce soit), sur sa décision d'être père ou pas, je vote
POUR :-)
Il faudrait donc que le géniteur 1) soit informé qu'il l'est 2) puisse décider s'il veut, lui aussi, être père. S'il ne veut pas, ça n'obligerait pas la femme à avorter, mais à élever l'enfant seule. Ca me paraît juste.
Ça me paraît très juste, en effet. Si, en plus, le géniteur ne peut plus revenir quelque temps après (pour quelque cause que ce soit), sur sa décision d'être père ou pas, je vote POUR :-)
Ce serait toujours à la mère de décider si elle veut ou non rester enceinte (ce qui me paraît la moindre des choses). Dans le cas où elle veut, elle n'a cependant pas à *imposer* la responsabilité de *sa* décision à l'autre, puisqu'elle avait les moyens de décider autre chose. Il faudrait donc que le géniteur 1) soit informé qu'il l'est
Dans la mesure où il baise sans se soucier de sa propre contraception, il l'est (informé), de facto.
Sauf si il ne sait pas comment on fait les bébés.
2) puisse décider s'il veut, lui aussi, être père.
D'accord avec ça. Mais vous conviendrez avec moi (enfin, euh, p't'ête pas) que la recherche sur les moyens de contraceptions masculine tirerait grand profit de la situation actuelle.
S'il ne veut pas, ça n'obligerait pas la femme à avorter, mais à élever l'enfant seule. Ca me paraît juste.
Ça me paraît juste aussi. C'est d'ailleurs ce que j'ai fait : le père avait avorté après la conception :)
Le 02/03/11 23:39, Lf a écrit :
Ce serait toujours à la mère de décider si elle veut ou non rester
enceinte (ce qui me paraît la moindre des choses).
Dans le cas où elle veut, elle n'a cependant pas à *imposer* la
responsabilité de *sa* décision à l'autre, puisqu'elle avait les moyens
de décider autre chose. Il faudrait donc que le géniteur 1) soit informé
qu'il l'est
Dans la mesure où il baise sans se soucier de sa propre contraception,
il l'est (informé), de facto.
Sauf si il ne sait pas comment on fait les bébés.
2) puisse décider s'il veut, lui aussi, être père.
D'accord avec ça.
Mais vous conviendrez avec moi (enfin, euh, p't'ête pas) que la
recherche sur les moyens de contraceptions masculine tirerait grand
profit de la situation actuelle.
S'il ne
veut pas, ça n'obligerait pas la femme à avorter, mais à élever l'enfant
seule. Ca me paraît juste.
Ça me paraît juste aussi. C'est d'ailleurs ce que j'ai fait : le père
avait avorté après la conception :)
Ce serait toujours à la mère de décider si elle veut ou non rester enceinte (ce qui me paraît la moindre des choses). Dans le cas où elle veut, elle n'a cependant pas à *imposer* la responsabilité de *sa* décision à l'autre, puisqu'elle avait les moyens de décider autre chose. Il faudrait donc que le géniteur 1) soit informé qu'il l'est
Dans la mesure où il baise sans se soucier de sa propre contraception, il l'est (informé), de facto.
Sauf si il ne sait pas comment on fait les bébés.
2) puisse décider s'il veut, lui aussi, être père.
D'accord avec ça. Mais vous conviendrez avec moi (enfin, euh, p't'ête pas) que la recherche sur les moyens de contraceptions masculine tirerait grand profit de la situation actuelle.
S'il ne veut pas, ça n'obligerait pas la femme à avorter, mais à élever l'enfant seule. Ca me paraît juste.
Ça me paraît juste aussi. C'est d'ailleurs ce que j'ai fait : le père avait avorté après la conception :)
Anne G
Le 03/03/11 04:40, Dominique Gobeaut a écrit :
Lf wrote:
Il faudrait donc que le géniteur 1) soit informé qu'il l'est 2) puisse décider s'il veut, lui aussi, être père. S'il ne veut pas, ça n'obligerait pas la femme à avorter, mais à élever l'enfant seule. Ca me paraît juste.
Ça me paraît très juste, en effet. Si, en plus, le géniteur ne peut plus revenir quelque temps après (pour quelque cause que ce soit), sur sa décision d'être père ou pas, je vote POUR :-)
C'est aussi mon avis aussi. Mais d'expérience, il est difficile d'appliquer cette prescription après un certain âge de l'enfant.
Le 03/03/11 04:40, Dominique Gobeaut a écrit :
Lf<laure@lmaf.net> wrote:
Il faudrait donc que le géniteur 1) soit informé
qu'il l'est 2) puisse décider s'il veut, lui aussi, être père. S'il ne
veut pas, ça n'obligerait pas la femme à avorter, mais à élever l'enfant
seule. Ca me paraît juste.
Ça me paraît très juste, en effet.
Si, en plus, le géniteur ne peut plus revenir quelque temps après (pour
quelque cause que ce soit), sur sa décision d'être père ou pas, je vote
POUR :-)
C'est aussi mon avis aussi.
Mais d'expérience, il est difficile d'appliquer cette prescription après
un certain âge de l'enfant.
Il faudrait donc que le géniteur 1) soit informé qu'il l'est 2) puisse décider s'il veut, lui aussi, être père. S'il ne veut pas, ça n'obligerait pas la femme à avorter, mais à élever l'enfant seule. Ca me paraît juste.
Ça me paraît très juste, en effet. Si, en plus, le géniteur ne peut plus revenir quelque temps après (pour quelque cause que ce soit), sur sa décision d'être père ou pas, je vote POUR :-)
C'est aussi mon avis aussi. Mais d'expérience, il est difficile d'appliquer cette prescription après un certain âge de l'enfant.