J'ai retrouvé une ancienne image, composée avec six diapositives
kodachrome PKR 64 (pour ceux qui se rappellent de l'excellence de cette
émulsion). La voici :
http://photo.imaginaire.free.fr/perspective-temporelle.htm
Ainsi qu'un "à propos" sur cette image :
http://photo.imaginaire.free.fr/pers-temp-a-propos.htm
Ne m'en voulez pas si le texte est un peu abstrait, enfin je me suis
bien amusé à l'écrire.
Amitiés,
albert
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Photographies imaginaires
http://photo.imaginaire.free.fr
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Le chat est soit mort, soit vivant, tu as raison, mais seulement une fois qu'on a ouvert la boite, ce qui ramène à une interprétation physique pour décrire un phénomène purement quantique. Or le chat n'a pas de propriété quantique, donc pour l'école de Copenhague cette expérience n'a pas de sens. Donc oublions le chat, comme je le dis plus haut. Je préfère utiliser dans mon image une lumière allumée et une lumière éteinte. Ce n'est pas la même lumière, alors qu'un chat répété dans l'image, c'est le même chat vivant. J'aurais été très malheureux de devoir tuer mon chat pour le mettre dans l'image à la fois mort et vivant. D'autres propositions sur cette expérience peuvent être rigolotes à mettre en scène : L'expérimentateur devant la boite fermée et plus loin devant la boite ouverte avec un chat qui en sort, ou pas. Ou alors l'expérimentateur répété devant sa boite, mais cette fois avec les deux boites ouvertes. Du point de vue du photographe, on ne peut pas voir ce qu'il y a dans les boites. Par contre on voit que d'une des boites sort un chat...
Je devrais plutôt dire "les boîtes", car, ce que l'on sait moins, c'est que Schrödinger est mort fou, et aucunement de la tuberculose, victime de son paradoxe, après avoir pendant des années consommé un nombre important de chats et fabriqué un grand nombre de boîtes pour essayer de le résoudre. J'ai retrouvé sa cachette secrète où l'on peut voir encore une colonie de chats et un amoncellement de boîtes, tristes témoins d'un cerveau dérangé. http://www.cjoint.com/doc/16_12/FLclhNQyKAd_D7000-19431-001.JPG
Le 01/12/2016 à 08:00, albert a écrit :
Le chat est soit mort, soit vivant, tu as raison, mais seulement une fois
qu'on a ouvert la boite, ce qui ramène à une interprétation physique pour
décrire un phénomène purement quantique. Or le chat n'a pas de propriété
quantique, donc pour l'école de Copenhague cette expérience n'a pas de
sens.
Donc oublions le chat, comme je le dis plus haut. Je préfère utiliser dans
mon image une lumière allumée et une lumière éteinte. Ce n'est pas la
même lumière, alors qu'un chat répété dans l'image, c'est le même chat
vivant. J'aurais été très malheureux de devoir tuer mon chat pour le mettre
dans l'image à la fois mort et vivant.
D'autres propositions sur cette expérience peuvent être rigolotes à mettre
en scène : L'expérimentateur devant la boite fermée et plus loin devant la
boite ouverte avec un chat qui en sort, ou pas. Ou alors l'expérimentateur
répété devant sa boite, mais cette fois avec les deux boites ouvertes. Du
point de vue du photographe, on ne peut pas voir ce qu'il y a dans les
boites. Par contre on voit que d'une des boites sort un chat...
Je devrais plutôt dire "les boîtes", car, ce que l'on sait moins, c'est
que Schrödinger est mort fou, et aucunement de la tuberculose, victime
de son paradoxe, après avoir pendant des années consommé un nombre
important de chats et fabriqué un grand nombre de boîtes pour essayer de
le résoudre.
J'ai retrouvé sa cachette secrète où l'on peut voir encore une colonie
de chats et un amoncellement de boîtes, tristes témoins d'un cerveau
dérangé.
http://www.cjoint.com/doc/16_12/FLclhNQyKAd_D7000-19431-001.JPG
Le chat est soit mort, soit vivant, tu as raison, mais seulement une fois qu'on a ouvert la boite, ce qui ramène à une interprétation physique pour décrire un phénomène purement quantique. Or le chat n'a pas de propriété quantique, donc pour l'école de Copenhague cette expérience n'a pas de sens. Donc oublions le chat, comme je le dis plus haut. Je préfère utiliser dans mon image une lumière allumée et une lumière éteinte. Ce n'est pas la même lumière, alors qu'un chat répété dans l'image, c'est le même chat vivant. J'aurais été très malheureux de devoir tuer mon chat pour le mettre dans l'image à la fois mort et vivant. D'autres propositions sur cette expérience peuvent être rigolotes à mettre en scène : L'expérimentateur devant la boite fermée et plus loin devant la boite ouverte avec un chat qui en sort, ou pas. Ou alors l'expérimentateur répété devant sa boite, mais cette fois avec les deux boites ouvertes. Du point de vue du photographe, on ne peut pas voir ce qu'il y a dans les boites. Par contre on voit que d'une des boites sort un chat...
Je devrais plutôt dire "les boîtes", car, ce que l'on sait moins, c'est que Schrödinger est mort fou, et aucunement de la tuberculose, victime de son paradoxe, après avoir pendant des années consommé un nombre important de chats et fabriqué un grand nombre de boîtes pour essayer de le résoudre. J'ai retrouvé sa cachette secrète où l'on peut voir encore une colonie de chats et un amoncellement de boîtes, tristes témoins d'un cerveau dérangé. http://www.cjoint.com/doc/16_12/FLclhNQyKAd_D7000-19431-001.JPG
Stephane Legras-Decussy
Le 02/12/2016 09:22, GhostRaider a écrit :
A partir de quel échelle de grandeur passe-t-on de la probabilité à la certitude ?
il n'y a pas de frontière, tout est probabilité, elle est juste parfois de 1.
Le 02/12/2016 09:22, GhostRaider a écrit :
A partir de quel échelle de grandeur passe-t-on de la probabilité à la
certitude ?
il n'y a pas de frontière, tout est probabilité, elle
est juste parfois de 1.
A partir de quel échelle de grandeur passe-t-on de la probabilité à la certitude ?
il n'y a pas de frontière, tout est probabilité, elle est juste parfois de 1.
Stephane Legras-Decussy
Le 02/12/2016 12:26, GhostRaider a écrit :
Je devrais plutôt dire "les boîtes", car, ce que l'on sait moins, c'est que Schrödinger est mort fou, et aucunement de la tuberculose, victime de son paradoxe,
tu plaisantes mais c'est le cas réel de nietzsche... le mec a passé sa vie à arriver à la conclusion qu'on ne peut rien postuler... pour finir par comprendre que ceci est un postulat. quel con...
Le 02/12/2016 12:26, GhostRaider a écrit :
Je devrais plutôt dire "les boîtes", car, ce que l'on sait moins, c'est
que Schrödinger est mort fou, et aucunement de la tuberculose, victime
de son paradoxe,
tu plaisantes mais c'est le cas réel de nietzsche...
le mec a passé sa vie à arriver à la conclusion
qu'on ne peut rien postuler... pour finir par
comprendre que ceci est un postulat.
Je devrais plutôt dire "les boîtes", car, ce que l'on sait moins, c'est que Schrödinger est mort fou, et aucunement de la tuberculose, victime de son paradoxe,
tu plaisantes mais c'est le cas réel de nietzsche... le mec a passé sa vie à arriver à la conclusion qu'on ne peut rien postuler... pour finir par comprendre que ceci est un postulat. quel con...