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Peut-on aimer une œuvre d'art sans la comprendre ?

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Mhd
Sujet philo de bac techno hier...

Mhd

10 réponses

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Ghost Rider
WEILL a écrit :

"Mézalor, mézalor, késkon nobtyen ! Sa dvyin incrouayab, pazordi nèr,
ranvèrsan, sa vouzaalors indsé drôldaspé dontonrvyin pas. On l rekonê
pudutou, lfransê, amésa pudutou, sa vou pran toudinkou unalur
ninvérsanbarbasé stupéfiant. Avrédir, sêmêm maran. Jérlu toutdsuit lé
kat lign sidsu, jépapu manpéché de mmaré. Mézifobyindir, sé un pur
kestion dabitud. On népa zabitué, sétou. Unfoua kon sra zabitué , saira
tousel. Epui sisaférir, tan mye : jécripa pour anmiélé lmond."






Le père Queneau a écrit un texte fort marrant, mais regarde bien l a
manière de couper les mots et l'utilisation sans justification des Y. ..

On n'a JAMAIS essayé de le faire correctement en fait



Ta remarque est juste, mais alors, comment traiter les liaisons ?
Doit-on écrire : mé-z-alor, méz-alor, mé-zalor ? Ou doit-on suppr imer la
liaison euphonique, piège insurmontable pour les étrangers et écrir e et
prononcer mé alor ? Et dans ce cas, c'est l'orthographe qui va commande r
la prononciation, juste le contraire de ce qu'on veut ! Cruelle dilemme.

Reprenons le texte de Queneau, supprimons les fantaisies et gardons les
mots eux-mêmes:

"Mé z alor, mé z alor, k és k on obtien ! Sa dviin incrouayabl, paz
ordinèr, ranvèrsan, sa vou z a alor in d sé drôl d aspé dont on rviin
pa. On l rekonê plu du tou, l fransê, a mé sa plu du tou, sa vou pr an
tou d in kou un alur invrésanblabl, asé stupéfiant. A vré dir, s ê mêm
maran. J é rlu tou d suit lé kat lign si dsu, j é pa pu m anpéché de m
maré. Mé z il fo biin dir, sé un pur kestion d abitud. On n é pa z
abitué, s é tou. Un foua kon sra abitué, sa ira tousel. E pui si sa fé
rir, tan mie : j écri pa pour anmiélé l mond."

Ouais, en lisant à voix haute on arrive à comprendre, au fond, tu as
peut-être raison... :-)

Ghost Rider
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Dark_T
WEILL wrote:

On m'objectera que
certains accords non prononcés en langue parlée aident à la
compréhension à l'écrit...



Et ce serait tout à fait juste. Si j'écris "Claude est tombée" je déduits
que Claude est une fille, alors que "Claude est tombé" je déduits que c'est
un garçon.

je répondrais que les Japonais se passent
depuis des siècles de tels raffinements et interprètent dans le contexte
(ce que nous faisons tous, inconsciemment, à l'oral)...



En Japonais, une fois de plus je ne sais pas, mais en Chinois par exemple on
fera la différence entre ? et ?, respectivement il et elle, qui se
prononcent tous les deux ta, mais le deuxième contient la clé de la femme,
? pour indiquer le féminin.


--
Alban
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WEILL
Dark_T a écrit :

Hum, en japonais je ne sais pas, mais pour les kanji(s?) je ne vois pas
pourquoi il y aurait moins de fautes au Japon qu'en Chine. Et bien sûr qu'il
y a des fautes en chinois... Un trait oublié par-ci par-là, ou pas dans le
bon sens, le bon ordre, ou tout simplement prendre un caractère pour un
autre.



En Japonais, il n'y a pas de conjugaison comme nous la connaissons ici:
passé ou futur etc... c'est un suffixe ou un préfixe et il n'y a pas de
variation du verbe suivant la personne employée. Le fautes de "dessin"
dont tu parles ne ressemblent qu'à des lettres mal tracées ici ...
Prendre un Kanji pour un autre çà doit arriver, mais surtout à nous,
pauvres "Gaijin" parce qu'un assemblage de deux idéogrammes a un sens
qui est la combinaison des deux sens de chacun des idéogrammes. Donc il
apparaît alors un problème de cohérence de sens. Il n'y a pas non plus
de pluriel ou de singulier ou de genre.


En fait, les ideogrammes Chinois sont finalement assez similaires aux mots
européens à ceci près qu'ils utilisent des traits (il y a un nombre limité
de traits utilisables) où nous utilisons des lettres, et qu'un idéogramme > un son (en chinois, pas en japonais), alors qu'en Français par exemple une
syllabe = un son.



Non, un idéogramme n'est pas un son unique en Japonais... le même
idéogramme avec la même signification a souvent deux prononciations
selon le contexte (ex l'idéogramme pour montagne qui est le même qu'en
Chinois : Chan, se prononce suivant les cas Yama ou Zan.

Je doute que tu puisses (mais cela dépasse mes compétences
linguistiques) assimiler les idéogramme chinois aux syllabiques que sont
les Hiragana et Katakana Japonais. Ces derniers sont représentatifs des
sons fondamentaux de la langue japonaises. Les premiers s'utilisent en
complément des Kanji pour former des mots japonais, les seconds pour une
transcription phonétique (mais déformée pour être réduite aux seuls sons
fondamentaux du Japonais) des mots étrangers passés dans la langue (ou
des noms des gaijin). Leur son ne transmet pas en lui une "idée"
contrairement au Kanji qui ont un sens en eux-mêmes.

Écrire un caractère chinois en traçant les traits dans le mauvais ordre
serait du même ordre qu'écrire en Français en étant dyslexique,



La dyslexie et la dysorthographie sont considérées comme des pathologies
différentes par les orthophonistes.

et dans le
même ordre d'idée, retenir l'ordre des traits facilite la mémorisation,
tout comme retenir que chat s'écrit chat et non pas hact, tahc ou chta.



Tu oublies le principes des "clefs" formant des familles d'idéogrammes...

Enfin, tout comme nous avons un système de racines et de suffixes, les
idéogrammes sont composés d'au moins une clé (avec un nombre fini de
variantes) qui renseignent sur le sens et/ou sur le son.

Quant aux Chinois, eux-aussi ont simplifié leur système d'écriture.



Bah a priori c'est pas tant une réussite que ça. Notamment parce que
justement certaines clés ont été tronquées, amalgamées ou simplifiées à en
être inreconnaissables. Noëlle parlait de la rupture d'avec les bases, là
on est en plein dedans. Pas étonnant que les Hong-Kongais et Cantonnais ne
parlent et n'écrivent mandarin/simplifié qu'avec beaucoup de réticences.



Ca n'a JAMAIS été la même langue ! Il n'y a jamais eu un seul
"Chinois"... On a simplement décidé que la langue officielle serait le
Mandarin (sans Curaçao :), malgré l'existence de Macao).

Quant aux gens de Hong-Kong, ca passera avec les générations...

Ma théorie sur la question, d'ailleurs, qui ne repose sur pas grand chose si
ce n'est l'expérience et l'intuition, c'est que la simplification a
renforcé l'importance (déjà grande) du "par coeur" chez les étudiants, et
donne des résultats assez spéctaculaires (au mauvais sens du terme) à la
sortie de l'école.



Possible... mais je n'en suis pas sûr. Je te dirais qu'à vue de nez je
pense que l'importance du par coeur a été renforcé partout par les
contrôles continus tatillons portant sur des points de détail et que
certains en ont profité pour éliminer toute trace de synthèse
intelligente et de compréhension vraie lors des examens (je ne suis pas
spécialiste en informatique et ne porterait donc pas de jugement sur
cette matière)... Ca sert d'avoir des gens transformés en machines et
répondant automatiquement ce qu'on leur a rentré dans le crâne sans
réfléchir à la pertinence de la chose vois-tu...

En tous cas dans les matières technologiques, genre en réseau, le nombre de
CCNA/CCNP (certifs cisco) fait rêver, mais laisser un jeune CCNA tout seul
devant un vrai réseau ça fait plutôt peur. Les exams étant des QCM, tu as
vite fait de faire le rapprochement...



Peut-être aussi parce qu'en France on a une fâcheuse tendance à diminuer
le rôle de l'expérience concrète en situation non ?

Et encore dans tout ça je ne parle même pas de l'écriture cursive, parce que
là c'est franchement le souk, ni du pinyin qui est truffé d'incohérences.



Je te crois sur parole

A tout ceci se rajoute l'utilisation massive de l'ordinateur avec des IME
pleins de raccourcis et de sélection préemptive des caractères, et pas
forcément (voire pas du tout) basés sur le pinyin, qui fait que l'écriture
manuelle est pas exactement sur la bonne voie...
Ca aide beaucoup à écrire, mais il est assez courant de voir un(e)
Chinois(e) ne plus se rappeler de comment on écrit tel ou tel caractère, de
l'ordre des traits voire de leur nombre. Quand on sait que la recherche
dans un dico se fait grâce au nombre de traits, ça inquiète ;)



Je ne sais pas pour le Chinois mais en Japonais tu as deux entrées
possibles : par nombre de trit ou par clef.

Pour tout te dire, faisant des recherches sur l'aviation japonaise, je
me heurte le plus souvent aux limitations introduites dans les dicos par
la règle des 1945 Kanji pour comprendre certaines choses même à l'aide
du dico.

Bon, c'est pas catastrophique non plus hein, mais de là à dire qu'il n'y a
pas de fautes en Chinois (ok tu as dit Japonais, disons en idéogrammes), il
y a un pas digne du grand bon en arrière ;)



Pas de faute d'accord, de conjugaison de pluriel ou de genre, donc de
grammaire au sens où nous les connaissons ici... Ce qui écarte beaucoup
de problèmes...

FPW
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WEILL
Ghost Rider a écrit :

L'exemple des pays scandinaves est patent, leurs langues sont très
vivaces, en dépit de l'anglais omniprésent dans les affaires. le
multilinguisme est naturel, sans problème.



Tu veux me dire quelle est l'importance internationale du Suédois, du
Norvégien ou du Danois ?

A mon avis 0, autant que le Ouigour (et je ne sais pas s'il n'y a pas
nettment plus de gens parlant le Ouigour dans le monde).

Contre-exemple: mes enfants ont toujours refusé à la maison de parler
l'anglais, langue de leur mère. Ils ne voulaient pas être différents des
autres.



Résultat de la pédagogie d'intégration précoce, tout le monde au même
niveau (le plus bas possible) tout le monde se ressemble... J'imagine ?

On a fini par laisser tomber. Ils s'y sont mis plus tard, et à
bien mieux parler l'anglais qu'on ne s'y attendait d'ailleurs.



Tant mieux pour eux.

Que font d'autre les Chinois au Tibet ?



Pas forcément ce qu'en dit l'officine de propagande de la CIA qu'est
RSF... Cela dit je ne tiens pas en haute estime les conneries de
dirigeants chinois.

Qu'ont essayé de faire les
Indonésiens au Timor Oriental ?



L'annexion d'un territoire qui, délivré de la colonisation portugaise
n'aspirait pas forcément à rejoindre l'Indonésie et sur lequel ils
n'avaient aucun droit... Vieille méthode que Jules César n'eût pas
désavouée :).

Avec les déplacements de populations qui
l'accompagnent, ça s'appelle un ethnocide. Assez généralement, ça rate.



Ce ne sont de toutes façons pas des tentatives de subjugation des
cultures nationales à l'échelon mondial comme le font les USA.

Oui. En France, tout à été fait pour faire disparaître les langues
régionales ; le plurilinguisme y est une idée très nouvelle.





Note: ce paragraphe comme quelques autres sont de Noëlle et pas de moi

Ethnocide manqué là aussi, presque.



Bof... Tu vois je vis aujourd'hui dans le Sud-Ouest, en Quercy ou une
partie de ma famille a de fortes attaches. mon grand père maternel
parlait encore un peu le patois d'ici (patois car c'était de l'Oc mais
incompréhensible au delà d'un rayon de 50Km dans le meilleur des cas).
Je regrette qu'il soit mort trop tôt pour me l'apprendre. Mais
franchement les efforts herculéens de certains universitaires de la fac
de Toulouse pour ressusciter "la langue d'Oc" me font bien marrer...
Elle n'a jamais été unique cette langue malgré ses bases communes. Et
moi, c'est le "Souillagais", langue de certains de mes ancêtres, qu'il
m'aurait intéressé de connaître et de pratiquer.

Cela dit, ce n'est pas avec ça que je me serais fait comprendre à
Brest-Litovsk... Faut pas rêver :)

Il y a peut-être trois régions en France où existe vraiment encore une
langue locale vivante et d'utilisation courante:

* La Bretagne dite bretonnante (le côté "Gallo" dont on vient
d'introduire une épreuve au bac, a depuis bien longtemps renoncé à
l'usage véhiculaire de son patois d'Oïl).

* L'Alsace (et la Moselle) : Langue "Hoch Deutsch" teintée d'expressions
(et parfois de prononciations) françaises dont l'usage reste très vivace.

* Le Pays-Basque.

Aucune de ces langues n'a une quelconque importance véhiculaire. Leur
préservation est une bonne chose en soi. Mais parler à leur propos de
multi-linguisme me semble une large exagération. Elles ont d'autres
raisons, autrement plus convaincantes, d'être préservées.

Ce qui est regrettable de mon point de vue, c'est qu'on leur redonne une
large importance (qui a dit disproportionnée?) dans un contexte de perte
de maîtrise de la langue française (vocabulaire, syntaxe) qui nous est
commune dans la masse de la population... Et là je parle de perte
massive à l'intérieur de nos frontières, pas seulement de place de notre
langue dans les échanges internationaux.

FPW
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WEILL
Jacques L'helgoualc'h a écrit :

D'après Pierre Dac, on a le choix entre l'hindi et le berrichon.



Oui, mais vu ton nom, ta naissance à Châteauroux - bien que possible -
est improbable :)

Donne-nous un indice : dînes-tu à l'huile ?

:)

Au tournant des années 60-70 de nombreux bateaux de pêche ont été
délocalisés, avec patron et mécanicien, sur la côte ouest de l'Afrique ;
l'équipage recruté sur place a alors été instruit dans la langue de
travail des formateurs. J'ignore si cet usage perdure encore...



Ce serait fichtrement intéressant à étudier.

FPW
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WEILL
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :

D'accord avec toi, c'est quand même moins cassant de rajouter un e de-ci
de-là que de faire quelque chose de vrai.



Pis ça coûte moins cher ma bonne dame :)

C'est un peu comme le coup des
caissières de surpermarchés qui sont promues hôtesses de caisse.



Note que là avant y'a eu les Technicien de Surface (balayeurs) et même
avant les OS (Ouvriers Spécialisés - autrefois Manoeuvres non
spécialisés)...

Elles
s'en foutent totalement, le boulot est toujours aussi nul et mal payé
avec des horaires à la con. Pourquoi il n'y a pas d'hôtes de caisse
tiens ?



Ben y'en a au Leclerc par chez moi... Mais c'est vrai que c'est rare.

Au moins, les sculpteurs de cheveux et capilliculteurs de tous
poils ce sont eux qui choisissent de s'appeler comme ça. Grand bien leur
fasse.



Sans compter les "sodomiseurs de dyptères" dont malgré tout les
"féminardistes" font partie (sans doute comme membres d'honneur) à mon
avis :)

FPW
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MELMOTH
Ce cher mammifère du nom de WEILL nous susurrait, le jeudi 19/06/2008,
dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales quand même, et
dans le message <485a5b77$0$889$, les doux
mélismes suivants :

Je proteste ! Selon une vieille chanson française c'est à Messines
que se pêche la sardine



Et le harENG à LoriENT...

--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science, accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant
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Dark_T
Bindarret wrote:

Quand FPW écrit "quant à leur orthographe...", il a raison, quant à toi
tu as tort quand tu le reprends en disant "là en l'occurence c'était un
quand au lieu d'un quant...". Il vaut mieux tourner sept fois son
clavier avant de...



Bah écoute, commence par toi-même hein :) Relis ce qu'il a écrit, relis ce
que j'ai répondu, relis-le encore pour bien comprendre ma phrase, et tu
veras que tu dis la même chose que moi :)

Évidement que FPW a raison, j'ai jamais dit le contraire ! J'ai dit que bien
qu'il ait raison, ce n'est pas une faute suffisement grave pour en faire u,
post, c'est pas comme s'il avait écrit en SMS.

Je me cite :

"là en l'occurence c'était un quand au lieu d'un quant, et si c'est une
faute que j'évite de faire, elle est quand même suffisement (suffisament ?
suffisemment ?) minime pour ne pas faire un post à son propos."

Si tu préfères je reformule :

"là en l'occurence il a écrit un quand au lieu d'un quant, et si c'est une
faute que j'évite de faire, elle est quand même suffisement (suffisament ?
suffisemment ?) minime pour ne pas faire un post à son propos."

Je dis donc bien qu'il a fait une faute, mais qu'elle est minime.

Il vaut mieux tourner sept fois son clavier avant de...

--
Alban
Avatar
WEILL
Ghost Rider a écrit :

Ta remarque est juste, mais alors, comment traiter les liaisons ?
Doit-on écrire : mé-z-alor, méz-alor, mé-zalor ? Ou doit-on supprimer la
liaison euphonique, piège insurmontable pour les étrangers et écrire et
prononcer mé alor ? Et dans ce cas, c'est l'orthographe qui va commander
la prononciation, juste le contraire de ce qu'on veut ! Cruelle dilemme.



Non, non, la petite apostrophe vient alors à notre secours (en rappelant
à certains présentateurs de JT l'existence de liaisons à propos et
d'autres "mal-t-à propos" au passage cette particularité de notre belle
langue)

Exemple : mé z'alor

:)


Reprenons le texte de Queneau, supprimons les fantaisies et gardons les
mots eux-mêmes:

"Mé z alor, mé z alor, k és k on obtien ! Sa dviin incrouayabl, paz
ordinèr, ranvèrsan, sa vou z a alor in d sé drôl d aspé dont on rviin
pa. On l rekonê plu du tou, l fransê, a mé sa plu du tou, sa vou pran
tou d in kou un alur invrésanblabl, asé stupéfiant. A vré dir, s ê mêm
maran. J é rlu tou d suit lé kat lign si dsu, j é pa pu m anpéché de m
maré. Mé z il fo biin dir, sé un pur kestion d abitud. On n é pa z
abitué, s é tou. Un foua kon sra abitué, sa ira tousel. E pui si sa fé
rir, tan mie : j écri pa pour anmiélé l mond."

Ouais, en lisant à voix haute on arrive à comprendre, au fond, tu as
peut-être raison... :-)



:)

FPW
Avatar
WEILL
Dark_T a écrit :

En Japonais, une fois de plus je ne sais pas, mais en Chinois par exemple on
fera la différence entre ? et ?, respectivement il et elle, qui se
prononcent tous les deux ta, mais le deuxième contient la clé de la femme,
? pour indiquer le féminin.



Et à l'oral tu fais comment pour distinguer, sinon par le contexte ?

FPW