Si j'utilise régulièrement Photoshop ou Autopano pro pour faire mes
panos, je suis paumé quand il s'agit de réaliser un pano avec focus
stacking.
J'ai essayé Hugin 2013 & 2014 mais ils plantent tous les deux à
l'ouverture des fichiers (CR2 ou TIFF) ou il analyse les images pour
dire qu'il n'y en a pas deux qui vont ensemble (une dizaine importée).
Y-a un truc ?
D'avance merci,
--
"La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La
pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi.
Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et
personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Alors le Focus Stacking dans une image panoramique par assemblage, c'est génial en théorie, mais insoluble en pratique. Je m'y suis essayé, pas en macro mais avec des paysages ayant des premiers plans très rapprochés et que je voulais aussi nets que le reste. Donc, pour chaque vue de l'assemblage, une photo avec MAP sur le premier plan et une autre avec MAP sur le fond. Pour réaliser le Focus Stacking de ces couples d'images, avec Zerene Stacker, Photo Acute, Combine ZP, etc... ce n'est même pas la peine. Ces logiciels sont dédiés pour des photos prises rigoureusement avec l'appareil monté sur rail, qui avance pour modifier la MAP, et non pas en changeant la MAP par l'objectif. Bien entendu ceci n'est possible que pour de la macrophoto très rapprochée. En changeant la MAP par l'objectif, même si les deux images sont en apparence identiques et alignées, en fait il y a des décalages importants, non pas entre les deux images, mais entre le premier plan et le fond des images. Quand les premiers plans coïncident entre les deux images, c'est le fond qui est décalé, et inversement. Insoluble, donc.
Salut Albert,
Ton article m'a intéressé. Il est clair. J'ai fait un essai de stacking paysage il y a quelques années. Le résultat ne m'avait pas emballé, mais il avait l'air de fonctionner. C'était avec un Canon 5D full frame et le Canon 24 x 105, à 105 mm. J'avais pris 13 vues en décalant la MàP. Le logiciel était Helicon Focus 6 (qui doit bien être dans tes "etc" !).
http://archaero.com/Stacking-paysage-9997.jpg
Merci.
-- Jacques DASSIÉ Toujours sçavoir plus http://archaero.com/
albert avait énoncé :
Alors le Focus Stacking dans une image panoramique par
assemblage, c'est génial en théorie, mais insoluble en pratique. Je
m'y suis essayé, pas en macro mais avec des paysages ayant des
premiers plans très rapprochés et que je voulais aussi nets que le
reste. Donc, pour chaque vue de l'assemblage, une photo avec MAP sur
le premier plan et une autre avec MAP sur le fond. Pour réaliser le
Focus Stacking de ces couples d'images, avec Zerene Stacker, Photo
Acute, Combine ZP, etc... ce n'est même pas la peine. Ces logiciels
sont dédiés pour des photos prises rigoureusement avec l'appareil
monté sur rail, qui avance pour modifier la MAP, et non pas en
changeant la MAP par l'objectif. Bien entendu ceci n'est possible que
pour de la macrophoto très rapprochée. En changeant la MAP par
l'objectif, même si les deux images sont en apparence identiques et
alignées, en fait il y a des décalages importants, non pas entre les
deux images, mais entre le premier plan et le fond des images. Quand
les premiers plans coïncident entre les deux images, c'est le fond
qui est décalé, et inversement. Insoluble, donc.
Salut Albert,
Ton article m'a intéressé. Il est clair.
J'ai fait un essai de stacking paysage il y a quelques années. Le
résultat ne m'avait pas emballé, mais il avait l'air de fonctionner.
C'était avec un Canon 5D full frame et le Canon 24 x 105, à 105 mm.
J'avais pris 13 vues en décalant la MàP. Le logiciel était Helicon
Focus 6 (qui doit bien être dans tes "etc" !).
http://archaero.com/Stacking-paysage-9997.jpg
Merci.
--
Jacques DASSIÉ
Toujours sçavoir plus
http://archaero.com/
Alors le Focus Stacking dans une image panoramique par assemblage, c'est génial en théorie, mais insoluble en pratique. Je m'y suis essayé, pas en macro mais avec des paysages ayant des premiers plans très rapprochés et que je voulais aussi nets que le reste. Donc, pour chaque vue de l'assemblage, une photo avec MAP sur le premier plan et une autre avec MAP sur le fond. Pour réaliser le Focus Stacking de ces couples d'images, avec Zerene Stacker, Photo Acute, Combine ZP, etc... ce n'est même pas la peine. Ces logiciels sont dédiés pour des photos prises rigoureusement avec l'appareil monté sur rail, qui avance pour modifier la MAP, et non pas en changeant la MAP par l'objectif. Bien entendu ceci n'est possible que pour de la macrophoto très rapprochée. En changeant la MAP par l'objectif, même si les deux images sont en apparence identiques et alignées, en fait il y a des décalages importants, non pas entre les deux images, mais entre le premier plan et le fond des images. Quand les premiers plans coïncident entre les deux images, c'est le fond qui est décalé, et inversement. Insoluble, donc.
Salut Albert,
Ton article m'a intéressé. Il est clair. J'ai fait un essai de stacking paysage il y a quelques années. Le résultat ne m'avait pas emballé, mais il avait l'air de fonctionner. C'était avec un Canon 5D full frame et le Canon 24 x 105, à 105 mm. J'avais pris 13 vues en décalant la MàP. Le logiciel était Helicon Focus 6 (qui doit bien être dans tes "etc" !).
http://archaero.com/Stacking-paysage-9997.jpg
Merci.
-- Jacques DASSIÉ Toujours sçavoir plus http://archaero.com/
Charles Vassallo
albert a écrit :
Alors le Focus Stacking dans une image panoramique par assemblage, c'est génial en théorie, mais insoluble en pratique. Je m'y suis essayé, pas en macro mais avec des paysages ayant des premiers plans très rapprochés et que je voulais aussi nets que le reste. Donc, pour chaque vue de l'assemblage, une photo avec MAP sur le premier plan et une autre avec MAP sur le fond. Pour réaliser le Focus Stacking de ces couples d'images, avec Zerene Stacker, Photo Acute, Combine ZP, etc... ce n'est même pas la peine. Ces logiciels sont dédiés pour des photos prises rigoureusement avec l'appareil monté sur rail, qui avance pour modifier la MAP, et non pas en changeant la MAP par l'objectif. Bien entendu ceci n'est possible que pour de la macrophoto très rapprochée. En changeant la MAP par l'objectif, même si les deux images sont en apparence identiques et alignées, en fait il y a des décalages importants, non pas entre les deux images, mais entre le premier plan et le fond des images. Quand les premiers plans coïncident entre les deux images, c'est le fond qui est décalé, et inversement. Insoluble, donc. A la limite, quand les écarts de MAP ne sont pas très importants, Photoshop ne s'en tire pas trop mal.
L'idéal serait que AutoPanoPro de chez Kolor fasse le boulot, car il aligne très bien les photos superposées et vire les fantômes, mais il ne sait pas choisir entre le flou et le net. J'avais posé la question afin qu'ils envisagent d'intégrer un algorithme pour se faire, merci, mais à l'époque cela n'avait pas eu l'air d'être dans leurs préoccupations. Peut-être un jour...
Bémol : le focus stacking marche très bien avec la bague de distance marche très bien. Je fais les miens indifféremment avec cette technique ou la technique du rail. Il y a toutefois une différence très sensible entre les deux approches sur la perspective de l'image composite. Je n'ai pas approfondi, mais il est évidement qu'une image de paysage depuis un rail sera, euh... bizarre.
charles
albert a écrit :
Alors le Focus Stacking dans une image panoramique par assemblage,
c'est génial en théorie, mais insoluble en pratique. Je m'y suis essayé,
pas en macro mais avec des paysages ayant des premiers plans très
rapprochés et que je voulais aussi nets que le reste. Donc, pour chaque
vue de l'assemblage, une photo avec MAP sur le premier plan et une autre
avec MAP sur le fond. Pour réaliser le Focus Stacking de ces couples
d'images, avec Zerene Stacker, Photo Acute, Combine ZP, etc... ce n'est
même pas la peine. Ces logiciels sont dédiés pour des photos prises
rigoureusement avec l'appareil monté sur rail, qui avance pour modifier
la MAP, et non pas en changeant la MAP par l'objectif. Bien entendu ceci
n'est possible que pour de la macrophoto très rapprochée. En changeant
la MAP par l'objectif, même si les deux images sont en apparence
identiques et alignées, en fait il y a des décalages importants, non pas
entre les deux images, mais entre le premier plan et le fond des images.
Quand les premiers plans coïncident entre les deux images, c'est le fond
qui est décalé, et inversement. Insoluble, donc. A la limite, quand les
écarts de MAP ne sont pas très importants, Photoshop ne s'en tire pas
trop mal.
L'idéal serait que AutoPanoPro de chez Kolor fasse le boulot, car il
aligne très bien les photos superposées et vire les fantômes, mais il ne
sait pas choisir entre le flou et le net. J'avais posé la question afin
qu'ils envisagent d'intégrer un algorithme pour se faire, merci, mais à
l'époque cela n'avait pas eu l'air d'être dans leurs préoccupations.
Peut-être un jour...
Bémol : le focus stacking marche très bien avec la bague de distance
marche très bien. Je fais les miens indifféremment avec cette technique
ou la technique du rail. Il y a toutefois une différence très sensible
entre les deux approches sur la perspective de l'image composite. Je
n'ai pas approfondi, mais il est évidement qu'une image de paysage
depuis un rail sera, euh... bizarre.
Alors le Focus Stacking dans une image panoramique par assemblage, c'est génial en théorie, mais insoluble en pratique. Je m'y suis essayé, pas en macro mais avec des paysages ayant des premiers plans très rapprochés et que je voulais aussi nets que le reste. Donc, pour chaque vue de l'assemblage, une photo avec MAP sur le premier plan et une autre avec MAP sur le fond. Pour réaliser le Focus Stacking de ces couples d'images, avec Zerene Stacker, Photo Acute, Combine ZP, etc... ce n'est même pas la peine. Ces logiciels sont dédiés pour des photos prises rigoureusement avec l'appareil monté sur rail, qui avance pour modifier la MAP, et non pas en changeant la MAP par l'objectif. Bien entendu ceci n'est possible que pour de la macrophoto très rapprochée. En changeant la MAP par l'objectif, même si les deux images sont en apparence identiques et alignées, en fait il y a des décalages importants, non pas entre les deux images, mais entre le premier plan et le fond des images. Quand les premiers plans coïncident entre les deux images, c'est le fond qui est décalé, et inversement. Insoluble, donc. A la limite, quand les écarts de MAP ne sont pas très importants, Photoshop ne s'en tire pas trop mal.
L'idéal serait que AutoPanoPro de chez Kolor fasse le boulot, car il aligne très bien les photos superposées et vire les fantômes, mais il ne sait pas choisir entre le flou et le net. J'avais posé la question afin qu'ils envisagent d'intégrer un algorithme pour se faire, merci, mais à l'époque cela n'avait pas eu l'air d'être dans leurs préoccupations. Peut-être un jour...
Bémol : le focus stacking marche très bien avec la bague de distance marche très bien. Je fais les miens indifféremment avec cette technique ou la technique du rail. Il y a toutefois une différence très sensible entre les deux approches sur la perspective de l'image composite. Je n'ai pas approfondi, mais il est évidement qu'une image de paysage depuis un rail sera, euh... bizarre.
charles
benoit
Charles Vassallo wrote:
Bémol : le focus stacking marche très bien avec la bague de distance marche très bien. Je fais les miens indifféremment avec cette technique ou la technique du rail. Il y a toutefois une différence très sensible entre les deux approches sur la perspective de l'image composite. Je n'ai pas approfondi, mais il est évidement qu'une image de paysage depuis un rail sera, euh... bizarre.
Je suis peut-être bête mais faire du focus stacking d'un paysage avec un rail signifie qu'on a sniffé le-dit rail, ou qu'on bosse à la SNCF et qu'on adore rater les photos. Pourquoi ?
Si on utilise un rail pour modifier la distance entre le sujet et l'objectif, pour un paysage on va modifier la distance en décamètres plutôt qu'en décimètres. Le résultat sera que les perspectives ne seront plus les mêmes et que des éléments seront masqués ou visibles suivant la distance à laquelle on se trouve. Pour ce qui est dans l'axe de la prise de vue, pas de soucis. Pour ce qui est sur les côtés, cela va se raprocher du centre de l'image au fur et à mesure qu'on recule. Un effet un peu à la Han Solo quand il plonge, ou sort de l'hyperespace.
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Charles Vassallo <Charles_V@waou.fr> wrote:
Bémol : le focus stacking marche très bien avec la bague de distance
marche très bien. Je fais les miens indifféremment avec cette technique
ou la technique du rail. Il y a toutefois une différence très sensible
entre les deux approches sur la perspective de l'image composite. Je
n'ai pas approfondi, mais il est évidement qu'une image de paysage
depuis un rail sera, euh... bizarre.
Je suis peut-être bête mais faire du focus stacking d'un paysage
avec un rail signifie qu'on a sniffé le-dit rail, ou qu'on bosse à la
SNCF et qu'on adore rater les photos. Pourquoi ?
Si on utilise un rail pour modifier la distance entre le sujet et
l'objectif, pour un paysage on va modifier la distance en décamètres
plutôt qu'en décimètres. Le résultat sera que les perspectives ne seront
plus les mêmes et que des éléments seront masqués ou visibles suivant la
distance à laquelle on se trouve. Pour ce qui est dans l'axe de la prise
de vue, pas de soucis. Pour ce qui est sur les côtés, cela va se
raprocher du centre de l'image au fur et à mesure qu'on recule. Un effet
un peu à la Han Solo quand il plonge, ou sort de l'hyperespace.
--
"La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La
pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi.
Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et
personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Bémol : le focus stacking marche très bien avec la bague de distance marche très bien. Je fais les miens indifféremment avec cette technique ou la technique du rail. Il y a toutefois une différence très sensible entre les deux approches sur la perspective de l'image composite. Je n'ai pas approfondi, mais il est évidement qu'une image de paysage depuis un rail sera, euh... bizarre.
Je suis peut-être bête mais faire du focus stacking d'un paysage avec un rail signifie qu'on a sniffé le-dit rail, ou qu'on bosse à la SNCF et qu'on adore rater les photos. Pourquoi ?
Si on utilise un rail pour modifier la distance entre le sujet et l'objectif, pour un paysage on va modifier la distance en décamètres plutôt qu'en décimètres. Le résultat sera que les perspectives ne seront plus les mêmes et que des éléments seront masqués ou visibles suivant la distance à laquelle on se trouve. Pour ce qui est dans l'axe de la prise de vue, pas de soucis. Pour ce qui est sur les côtés, cela va se raprocher du centre de l'image au fur et à mesure qu'on recule. Un effet un peu à la Han Solo quand il plonge, ou sort de l'hyperespace.
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Charles Vassallo
(Benoit) a écrit :
.... Le résultat sera que les perspectives ne seront plus les mêmes et que des éléments seront masqués ou visibles suivant la distance à laquelle on se trouve....
Sûr ! C'était un raisonnement «ad absurdio» et à l'emporte pièce pour faire sentir qu'il y a un problème.
En fait, je me demande si la perspective obtenue depuis un rail n'est pas plus ou moins mâtinée de perspective cavalière au lieu de la bonne vieille perspective conique attendue d'une photo. Encore une expérience à mener pour en avoir le coeur net.
charles
benoit@com.invalid (Benoit) a écrit :
.... Le résultat sera que les perspectives ne seront
plus les mêmes et que des éléments seront masqués ou visibles suivant la
distance à laquelle on se trouve....
Sûr !
C'était un raisonnement «ad absurdio» et à l'emporte pièce pour faire
sentir qu'il y a un problème.
En fait, je me demande si la perspective obtenue depuis un rail n'est
pas plus ou moins mâtinée de perspective cavalière au lieu de la bonne
vieille perspective conique attendue d'une photo. Encore une expérience
à mener pour en avoir le coeur net.
.... Le résultat sera que les perspectives ne seront plus les mêmes et que des éléments seront masqués ou visibles suivant la distance à laquelle on se trouve....
Sûr ! C'était un raisonnement «ad absurdio» et à l'emporte pièce pour faire sentir qu'il y a un problème.
En fait, je me demande si la perspective obtenue depuis un rail n'est pas plus ou moins mâtinée de perspective cavalière au lieu de la bonne vieille perspective conique attendue d'une photo. Encore une expérience à mener pour en avoir le coeur net.
charles
benoit
Charles Vassallo wrote:
En fait, je me demande si la perspective obtenue depuis un rail n'est pas plus ou moins mâtinée de perspective cavalière au lieu de la bonne vieille perspective conique attendue d'une photo. Encore une expérience à mener pour en avoir le coeur net.
Ce que je sais, c'est qu'il faut utiliser un objectif dont la taille de varie pas avec la mise au point quand on le fait en macro ; si on cherche la perfection.
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Charles Vassallo <Charles_V@waou.fr> wrote:
En fait, je me demande si la perspective obtenue depuis un rail n'est
pas plus ou moins mâtinée de perspective cavalière au lieu de la bonne
vieille perspective conique attendue d'une photo. Encore une expérience
à mener pour en avoir le coeur net.
Ce que je sais, c'est qu'il faut utiliser un objectif dont la taille
de varie pas avec la mise au point quand on le fait en macro ; si on
cherche la perfection.
--
"La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La
pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi.
Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et
personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
En fait, je me demande si la perspective obtenue depuis un rail n'est pas plus ou moins mâtinée de perspective cavalière au lieu de la bonne vieille perspective conique attendue d'une photo. Encore une expérience à mener pour en avoir le coeur net.
Ce que je sais, c'est qu'il faut utiliser un objectif dont la taille de varie pas avec la mise au point quand on le fait en macro ; si on cherche la perfection.
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Nul
Le dimanche 4 janvier 2015 15:39:32 UTC+1, Benoit a écrit :
Charles Vassallo wrote:
> En fait, je me demande si la perspective obtenue depuis un rail n'est > pas plus ou moins mâtinée de perspective cavalière au lieu de la bonne > vieille perspective conique attendue d'une photo. Encore une expérien ce > à mener pour en avoir le coeur net.
Ce que je sais, c'est qu'il faut utiliser un objectif dont la taille de varie pas avec la mise au point quand on le fait en macro ; si on cherche la perfection.
qu'est ce que la taille variable de l'objectif ? :-)
la mise au point pour un stacking est faite une seule fois pour l'ensemble des photos du même sujet, seul la distance varie, elle peut être de l'o rdre du dixième de mm ou du cm comme du mètre suivant ce que l'on photo graphie et le volume du sujet. C'est distance fixe de netteté donne la netteté sur les différentes c ouches d'épaisseur du sujet suivant le déplacement de l'appareil. Et alors là on peux empiler les photos, le logiciel gère lui même les déformations (grandeurs) des différents points de MAP
Le dimanche 4 janvier 2015 15:39:32 UTC+1, Benoit a écrit :
Charles Vassallo <Charles_V@waou.fr> wrote:
> En fait, je me demande si la perspective obtenue depuis un rail n'est
> pas plus ou moins mâtinée de perspective cavalière au lieu de la bonne
> vieille perspective conique attendue d'une photo. Encore une expérien ce
> à mener pour en avoir le coeur net.
Ce que je sais, c'est qu'il faut utiliser un objectif dont la taille
de varie pas avec la mise au point quand on le fait en macro ; si on
cherche la perfection.
qu'est ce que la taille variable de l'objectif ? :-)
la mise au point pour un stacking est faite une seule fois pour l'ensemble des photos du même sujet, seul la distance varie, elle peut être de l'o rdre du dixième de mm ou du cm comme du mètre suivant ce que l'on photo graphie et le volume du sujet.
C'est distance fixe de netteté donne la netteté sur les différentes c ouches d'épaisseur du sujet suivant le déplacement de l'appareil.
Et alors là on peux empiler les photos, le logiciel gère lui même les déformations (grandeurs) des différents points de MAP
Le dimanche 4 janvier 2015 15:39:32 UTC+1, Benoit a écrit :
Charles Vassallo wrote:
> En fait, je me demande si la perspective obtenue depuis un rail n'est > pas plus ou moins mâtinée de perspective cavalière au lieu de la bonne > vieille perspective conique attendue d'une photo. Encore une expérien ce > à mener pour en avoir le coeur net.
Ce que je sais, c'est qu'il faut utiliser un objectif dont la taille de varie pas avec la mise au point quand on le fait en macro ; si on cherche la perfection.
qu'est ce que la taille variable de l'objectif ? :-)
la mise au point pour un stacking est faite une seule fois pour l'ensemble des photos du même sujet, seul la distance varie, elle peut être de l'o rdre du dixième de mm ou du cm comme du mètre suivant ce que l'on photo graphie et le volume du sujet. C'est distance fixe de netteté donne la netteté sur les différentes c ouches d'épaisseur du sujet suivant le déplacement de l'appareil. Et alors là on peux empiler les photos, le logiciel gère lui même les déformations (grandeurs) des différents points de MAP
GhostRaider
Le 04/01/2015 15:39, Benoit a écrit :
Ce que je sais, c'est qu'il faut utiliser un objectif dont la taille de varie pas avec la mise au point quand on le fait en macro ; si on cherche la perfection.
Tu veux dire : la taille du sujet sur l'image ? Personnellement, je fais mes empilages en macro en tournant la bague de mise au point de mon zoom à MAP interne, jamais en déplaçant l'appareil. Cela semble limiter la variation de taille du sujet sur l'image par rapport à la méthode du déplacement de l'appareil et c'est beaucoup plus pratique puisque l'appareil est simplement fixé. Ceci dit, tous les logiciels d'empilage unifient la taille du sujet dans la suite d'images.
Le 04/01/2015 15:39, Benoit a écrit :
Ce que je sais, c'est qu'il faut utiliser un objectif dont la taille
de varie pas avec la mise au point quand on le fait en macro ; si on
cherche la perfection.
Tu veux dire : la taille du sujet sur l'image ?
Personnellement, je fais mes empilages en macro en tournant la bague de
mise au point de mon zoom à MAP interne, jamais en déplaçant l'appareil.
Cela semble limiter la variation de taille du sujet sur l'image par
rapport à la méthode du déplacement de l'appareil et c'est beaucoup plus
pratique puisque l'appareil est simplement fixé.
Ceci dit, tous les logiciels d'empilage unifient la taille du sujet dans
la suite d'images.
Ce que je sais, c'est qu'il faut utiliser un objectif dont la taille de varie pas avec la mise au point quand on le fait en macro ; si on cherche la perfection.
Tu veux dire : la taille du sujet sur l'image ? Personnellement, je fais mes empilages en macro en tournant la bague de mise au point de mon zoom à MAP interne, jamais en déplaçant l'appareil. Cela semble limiter la variation de taille du sujet sur l'image par rapport à la méthode du déplacement de l'appareil et c'est beaucoup plus pratique puisque l'appareil est simplement fixé. Ceci dit, tous les logiciels d'empilage unifient la taille du sujet dans la suite d'images.
GhostRaider
Le 04/01/2015 17:05, Nul a écrit :
Le dimanche 4 janvier 2015 15:39:32 UTC+1, Benoit a écrit :
Charles Vassallo wrote:
En fait, je me demande si la perspective obtenue depuis un rail n'est pas plus ou moins mâtinée de perspective cavalière au lieu de la bonne vieille perspective conique attendue d'une photo. Encore une expérience à mener pour en avoir le coeur net.
Ce que je sais, c'est qu'il faut utiliser un objectif dont la taille de varie pas avec la mise au point quand on le fait en macro ; si on cherche la perfection.
qu'est ce que la taille variable de l'objectif ? :-)
La taille des objectifs à mise au point interne ne varie pas en fonction de la mise au point car seul un élément interne se déplace. La taille des objectifs à mise au point externe varie puisque c'est alors l'ensemble de l'objectif qui se déplace dans le fût.
la mise au point pour un stacking est faite une seule fois pour l'ensemble des photos du même sujet, seul la distance varie, elle peut être de l'ordre du dixième de mm ou du cm comme du mètre suivant ce que l'on photographie et le volume du sujet.
Ça c'est une des deux méthodes, l'autre est de fixer l'appareil et de tourner la bague de mise au point. C'est celle que j'utilise car elle ne demande pas un rail mais un simple trépied, voire seulement un monopode ou même rien du tout si on n'est pas ravagé par un alcoolisme chronique ou des tremblements séniles.
C'est distance fixe de netteté donne la netteté sur les différentes couches d'épaisseur du sujet suivant le déplacement de l'appareil. Et alors là on peux empiler les photos, le logiciel gère lui même les déformations (grandeurs) des différents points de MAP
Dans les deux méthodes, les logiciels unifient la taille du sujet sur la photo, mais la méthode du rail introduit, par principe, une variation de la perspective. Ce n'est pas grave en macro puisque les plans retenus sont très proches les uns des autres, le reste étant flou. Ça le serait plus en paysage mais en pratique, on ne fait pas d'empilage de paysage avec un rail compte tenu des dimensions de celui-ci.
Le 04/01/2015 17:05, Nul a écrit :
Le dimanche 4 janvier 2015 15:39:32 UTC+1, Benoit a écrit :
Charles Vassallo <Charles_V@waou.fr> wrote:
En fait, je me demande si la perspective obtenue depuis un rail n'est
pas plus ou moins mâtinée de perspective cavalière au lieu de la bonne
vieille perspective conique attendue d'une photo. Encore une expérience
à mener pour en avoir le coeur net.
Ce que je sais, c'est qu'il faut utiliser un objectif dont la taille
de varie pas avec la mise au point quand on le fait en macro ; si on
cherche la perfection.
qu'est ce que la taille variable de l'objectif ? :-)
La taille des objectifs à mise au point interne ne varie pas en fonction
de la mise au point car seul un élément interne se déplace.
La taille des objectifs à mise au point externe varie puisque c'est
alors l'ensemble de l'objectif qui se déplace dans le fût.
la mise au point pour un stacking est faite une seule fois pour l'ensemble des photos du même sujet, seul la distance varie, elle peut être de l'ordre du dixième de mm ou du cm comme du mètre suivant ce que l'on photographie et le volume du sujet.
Ça c'est une des deux méthodes, l'autre est de fixer l'appareil et de
tourner la bague de mise au point. C'est celle que j'utilise car elle ne
demande pas un rail mais un simple trépied, voire seulement un monopode
ou même rien du tout si on n'est pas ravagé par un alcoolisme chronique
ou des tremblements séniles.
C'est distance fixe de netteté donne la netteté sur les différentes couches d'épaisseur du sujet suivant le déplacement de l'appareil.
Et alors là on peux empiler les photos, le logiciel gère lui même les déformations (grandeurs) des différents points de MAP
Dans les deux méthodes, les logiciels unifient la taille du sujet sur la
photo, mais la méthode du rail introduit, par principe, une variation de
la perspective.
Ce n'est pas grave en macro puisque les plans retenus sont très proches
les uns des autres, le reste étant flou. Ça le serait plus en paysage
mais en pratique, on ne fait pas d'empilage de paysage avec un rail
compte tenu des dimensions de celui-ci.
Le dimanche 4 janvier 2015 15:39:32 UTC+1, Benoit a écrit :
Charles Vassallo wrote:
En fait, je me demande si la perspective obtenue depuis un rail n'est pas plus ou moins mâtinée de perspective cavalière au lieu de la bonne vieille perspective conique attendue d'une photo. Encore une expérience à mener pour en avoir le coeur net.
Ce que je sais, c'est qu'il faut utiliser un objectif dont la taille de varie pas avec la mise au point quand on le fait en macro ; si on cherche la perfection.
qu'est ce que la taille variable de l'objectif ? :-)
La taille des objectifs à mise au point interne ne varie pas en fonction de la mise au point car seul un élément interne se déplace. La taille des objectifs à mise au point externe varie puisque c'est alors l'ensemble de l'objectif qui se déplace dans le fût.
la mise au point pour un stacking est faite une seule fois pour l'ensemble des photos du même sujet, seul la distance varie, elle peut être de l'ordre du dixième de mm ou du cm comme du mètre suivant ce que l'on photographie et le volume du sujet.
Ça c'est une des deux méthodes, l'autre est de fixer l'appareil et de tourner la bague de mise au point. C'est celle que j'utilise car elle ne demande pas un rail mais un simple trépied, voire seulement un monopode ou même rien du tout si on n'est pas ravagé par un alcoolisme chronique ou des tremblements séniles.
C'est distance fixe de netteté donne la netteté sur les différentes couches d'épaisseur du sujet suivant le déplacement de l'appareil. Et alors là on peux empiler les photos, le logiciel gère lui même les déformations (grandeurs) des différents points de MAP
Dans les deux méthodes, les logiciels unifient la taille du sujet sur la photo, mais la méthode du rail introduit, par principe, une variation de la perspective. Ce n'est pas grave en macro puisque les plans retenus sont très proches les uns des autres, le reste étant flou. Ça le serait plus en paysage mais en pratique, on ne fait pas d'empilage de paysage avec un rail compte tenu des dimensions de celui-ci.
jdd
Le 04/01/2015 17:26, GhostRaider a écrit :
Ceci dit, tous les logiciels d'empilage unifient la taille du sujet dans la suite d'images.
il y a forcément des problèmes de perspective, mais selon les sujets ça peut se voir ou pas. En macro d'insecte, la perspective...
jdd
Le 04/01/2015 17:26, GhostRaider a écrit :
Ceci dit, tous les logiciels d'empilage unifient la taille du sujet dans
la suite d'images.
il y a forcément des problèmes de perspective, mais selon les sujets ça
peut se voir ou pas. En macro d'insecte, la perspective...
Ceci dit, tous les logiciels d'empilage unifient la taille du sujet dans la suite d'images.
il y a forcément des problèmes de perspective, mais selon les sujets ça peut se voir ou pas. En macro d'insecte, la perspective...
jdd
benoit
GhostRaider wrote:
> Ce que je sais, c'est qu'il faut utiliser un objectif dont la taille > de varie pas avec la mise au point quand on le fait en macro ; si on > cherche la perfection. > Tu veux dire : la taille du sujet sur l'image ?
Nul l'explique bien. Tu as des objectifs dont la taille change en fonction de la mise au point (l'objectif s'allonge ou rétrécit suivant la distance de mise au point) tu as d'autres objectifs qui ne changent pas de taille, ce sont des éléments internes qui se déplacent pour la mise au point et non la lentille frontale.
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
GhostRaider <ghost-raider@compuserve.com> wrote:
> Ce que je sais, c'est qu'il faut utiliser un objectif dont la taille
> de varie pas avec la mise au point quand on le fait en macro ; si on
> cherche la perfection.
>
Tu veux dire : la taille du sujet sur l'image ?
Nul l'explique bien. Tu as des objectifs dont la taille change en
fonction de la mise au point (l'objectif s'allonge ou rétrécit suivant
la distance de mise au point) tu as d'autres objectifs qui ne changent
pas de taille, ce sont des éléments internes qui se déplacent pour la
mise au point et non la lentille frontale.
--
"La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La
pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi.
Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et
personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
> Ce que je sais, c'est qu'il faut utiliser un objectif dont la taille > de varie pas avec la mise au point quand on le fait en macro ; si on > cherche la perfection. > Tu veux dire : la taille du sujet sur l'image ?
Nul l'explique bien. Tu as des objectifs dont la taille change en fonction de la mise au point (l'objectif s'allonge ou rétrécit suivant la distance de mise au point) tu as d'autres objectifs qui ne changent pas de taille, ce sont des éléments internes qui se déplacent pour la mise au point et non la lentille frontale.
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]