Le Mon, 16 May 2011 00:42:38 +0200, "delestaque"
écrit:... tu imagines du KR en 8 x 10 ", quand on voit la définition que ça
avait en 135...
Si KR signifie Kodachrome, je me suis amusé à faire, dans les années 70,
de mesures de définition (microdensitomètre du labo de ma boîte). Il me
semble que le 24 x 36 mm Kodachrome 25 ASA résolvait plus de 120 traits
par mm (je n'ai pas dit "paires de traits"), ce qui, en notre langage
moderne, signifierait environ 2900 DPI. Ce qui permettait d'agrandir sur
papier, à 300 DPI, par les pros, une image d'environ 23 x 35 cm. Soit en
gros, une pleine page de "L'Illustration".
--
Jacques DASSIÉ
http://archaero.com/
Le Mon, 16 May 2011 00:42:38 +0200, "delestaque"
<r.delestaque@free.fr.nospam> écrit:
... tu imagines du KR en 8 x 10 ", quand on voit la définition que ça
avait en 135...
Si KR signifie Kodachrome, je me suis amusé à faire, dans les années 70,
de mesures de définition (microdensitomètre du labo de ma boîte). Il me
semble que le 24 x 36 mm Kodachrome 25 ASA résolvait plus de 120 traits
par mm (je n'ai pas dit "paires de traits"), ce qui, en notre langage
moderne, signifierait environ 2900 DPI. Ce qui permettait d'agrandir sur
papier, à 300 DPI, par les pros, une image d'environ 23 x 35 cm. Soit en
gros, une pleine page de "L'Illustration".
--
Jacques DASSIÉ
http://archaero.com/
Le Mon, 16 May 2011 00:42:38 +0200, "delestaque"
écrit:... tu imagines du KR en 8 x 10 ", quand on voit la définition que ça
avait en 135...
Si KR signifie Kodachrome, je me suis amusé à faire, dans les années 70,
de mesures de définition (microdensitomètre du labo de ma boîte). Il me
semble que le 24 x 36 mm Kodachrome 25 ASA résolvait plus de 120 traits
par mm (je n'ai pas dit "paires de traits"), ce qui, en notre langage
moderne, signifierait environ 2900 DPI. Ce qui permettait d'agrandir sur
papier, à 300 DPI, par les pros, une image d'environ 23 x 35 cm. Soit en
gros, une pleine page de "L'Illustration".
--
Jacques DASSIÉ
http://archaero.com/
Pour Olivier, revenir au message initial de Ricco et la lumière giclera.
Si on ne pouvait plus s'offrir quelques digressions de temps en temps,
tout de même...
non, attend, je suis pas contre les digressions, je m'interroge juste
sur le rapport avec la photo numerique dans le sens ou quelque chose
m'échappe peut etre, auquel cas je veux bien qu'on me l'explique.
Pour ce que j'en comprend on serait plutot dans le domaine de
l'impression ce qui est certe un prolongement de la photo, mais pas
que de la photo, et pas que numérique.
Pour Olivier, revenir au message initial de Ricco et la lumière giclera.
Si on ne pouvait plus s'offrir quelques digressions de temps en temps,
tout de même...
non, attend, je suis pas contre les digressions, je m'interroge juste
sur le rapport avec la photo numerique dans le sens ou quelque chose
m'échappe peut etre, auquel cas je veux bien qu'on me l'explique.
Pour ce que j'en comprend on serait plutot dans le domaine de
l'impression ce qui est certe un prolongement de la photo, mais pas
que de la photo, et pas que numérique.
Pour Olivier, revenir au message initial de Ricco et la lumière giclera.
Si on ne pouvait plus s'offrir quelques digressions de temps en temps,
tout de même...
non, attend, je suis pas contre les digressions, je m'interroge juste
sur le rapport avec la photo numerique dans le sens ou quelque chose
m'échappe peut etre, auquel cas je veux bien qu'on me l'explique.
Pour ce que j'en comprend on serait plutot dans le domaine de
l'impression ce qui est certe un prolongement de la photo, mais pas
que de la photo, et pas que numérique.
Olivier B. a écrit :Pour Olivier, revenir au message initial de Ricco et la lumière
giclera.
Si on ne pouvait plus s'offrir quelques digressions de temps en
temps,
tout de même...
non, attend, je suis pas contre les digressions, je m'interroge juste
sur le rapport avec la photo numerique dans le sens ou quelque chose
m'échappe peut etre, auquel cas je veux bien qu'on me l'explique.
Pour ce que j'en comprend on serait plutot dans le domaine de
l'impression ce qui est certe un prolongement de la photo, mais pas
que de la photo, et pas que numérique.
Mais l'impression est un aspect fondamental de la photo, numérique ou
pas. Et pour rester dans le sujet, redonnons la parole à Dominique
Laugé, de qui tout ce fil est parti (ricco aidant, bien sûr, mais
n'empêche :-) ). Bref :
« J’ai toujours considéré que le support qui accueille une image était
un élément fondamental du processus de création tant il en conditionne
le rendu et la lecture. Le papier sur lequel sont imprimées mes images
est produit en Sicile par le maître papetier Franco Conti. Sa mise au
point a nécessité plusieurs années de recherche et de nombreux essais.
Fabriquée à la main à partir de pur chiffon de coton, chaque feuille
est placée sur une surface absorbante et pressée en mouvement. Les
feuilles sont ensuite séchées à l’air libre sous le soleil du sud. Le
processus permet de contrôler la compacité du papier et par conséquent
la pénétration des pigments giclés sur celui-ci.
On obtient un papier vivant et riche qui permet une parfaite précision
dans les détails et une grande profondeur de la couleur et des noirs.
L’image devient un objet unique, non seulement parce qu’elle est
imprimée en un seul exemplaire mais aussi parce les qualités de son
support la rendent unique. »
(source
http://www.stap-lavaur.org/2010/04/22/dominique-lauge-photographe/ )
Je suppose que ce sont ces épreuves uniques que ricco a vues à
Marmottan. Si vous voulez en voir d'autres:
http://www.galerie-stella-vega.fr/spip.php?article5
charles
Olivier B. a écrit :
Pour Olivier, revenir au message initial de Ricco et la lumière
giclera.
Si on ne pouvait plus s'offrir quelques digressions de temps en
temps,
tout de même...
non, attend, je suis pas contre les digressions, je m'interroge juste
sur le rapport avec la photo numerique dans le sens ou quelque chose
m'échappe peut etre, auquel cas je veux bien qu'on me l'explique.
Pour ce que j'en comprend on serait plutot dans le domaine de
l'impression ce qui est certe un prolongement de la photo, mais pas
que de la photo, et pas que numérique.
Mais l'impression est un aspect fondamental de la photo, numérique ou
pas. Et pour rester dans le sujet, redonnons la parole à Dominique
Laugé, de qui tout ce fil est parti (ricco aidant, bien sûr, mais
n'empêche :-) ). Bref :
« J’ai toujours considéré que le support qui accueille une image était
un élément fondamental du processus de création tant il en conditionne
le rendu et la lecture. Le papier sur lequel sont imprimées mes images
est produit en Sicile par le maître papetier Franco Conti. Sa mise au
point a nécessité plusieurs années de recherche et de nombreux essais.
Fabriquée à la main à partir de pur chiffon de coton, chaque feuille
est placée sur une surface absorbante et pressée en mouvement. Les
feuilles sont ensuite séchées à l’air libre sous le soleil du sud. Le
processus permet de contrôler la compacité du papier et par conséquent
la pénétration des pigments giclés sur celui-ci.
On obtient un papier vivant et riche qui permet une parfaite précision
dans les détails et une grande profondeur de la couleur et des noirs.
L’image devient un objet unique, non seulement parce qu’elle est
imprimée en un seul exemplaire mais aussi parce les qualités de son
support la rendent unique. »
(source
http://www.stap-lavaur.org/2010/04/22/dominique-lauge-photographe/ )
Je suppose que ce sont ces épreuves uniques que ricco a vues à
Marmottan. Si vous voulez en voir d'autres:
http://www.galerie-stella-vega.fr/spip.php?article5
charles
Olivier B. a écrit :Pour Olivier, revenir au message initial de Ricco et la lumière
giclera.
Si on ne pouvait plus s'offrir quelques digressions de temps en
temps,
tout de même...
non, attend, je suis pas contre les digressions, je m'interroge juste
sur le rapport avec la photo numerique dans le sens ou quelque chose
m'échappe peut etre, auquel cas je veux bien qu'on me l'explique.
Pour ce que j'en comprend on serait plutot dans le domaine de
l'impression ce qui est certe un prolongement de la photo, mais pas
que de la photo, et pas que numérique.
Mais l'impression est un aspect fondamental de la photo, numérique ou
pas. Et pour rester dans le sujet, redonnons la parole à Dominique
Laugé, de qui tout ce fil est parti (ricco aidant, bien sûr, mais
n'empêche :-) ). Bref :
« J’ai toujours considéré que le support qui accueille une image était
un élément fondamental du processus de création tant il en conditionne
le rendu et la lecture. Le papier sur lequel sont imprimées mes images
est produit en Sicile par le maître papetier Franco Conti. Sa mise au
point a nécessité plusieurs années de recherche et de nombreux essais.
Fabriquée à la main à partir de pur chiffon de coton, chaque feuille
est placée sur une surface absorbante et pressée en mouvement. Les
feuilles sont ensuite séchées à l’air libre sous le soleil du sud. Le
processus permet de contrôler la compacité du papier et par conséquent
la pénétration des pigments giclés sur celui-ci.
On obtient un papier vivant et riche qui permet une parfaite précision
dans les détails et une grande profondeur de la couleur et des noirs.
L’image devient un objet unique, non seulement parce qu’elle est
imprimée en un seul exemplaire mais aussi parce les qualités de son
support la rendent unique. »
(source
http://www.stap-lavaur.org/2010/04/22/dominique-lauge-photographe/ )
Je suppose que ce sont ces épreuves uniques que ricco a vues à
Marmottan. Si vous voulez en voir d'autres:
http://www.galerie-stella-vega.fr/spip.php?article5
charles
Olivier B. a écrit :Pour Olivier, revenir au message initial de Ricco et la lumière giclera.
Si on ne pouvait plus s'offrir quelques digressions de temps en temps,
tout de même...
non, attend, je suis pas contre les digressions, je m'interroge juste
sur le rapport avec la photo numerique dans le sens ou quelque chose
m'échappe peut etre, auquel cas je veux bien qu'on me l'explique.
Pour ce que j'en comprend on serait plutot dans le domaine de
l'impression ce qui est certe un prolongement de la photo, mais pas
que de la photo, et pas que numérique.
Mais l'impression est un aspect fondamental de la photo, numérique ou
pas.
Et pour rester dans le sujet, redonnons la parole à Dominique
Laugé, de qui tout ce fil est parti (ricco aidant, bien sûr, mais
n'empêche :-) ). Bref :
« J’ai toujours considéré que le support qui accueille une image était
un élément fondamental du processus de création tant il en conditionne
le rendu et la lecture. Le papier sur lequel sont imprimées mes images
est produit en Sicile par le maître papetier Franco Conti. Sa mise au
point a nécessité plusieurs années de recherche et de nombreux essais.
Fabriquée à la main à partir de pur chiffon de coton, chaque feuille est
placée sur une surface absorbante et pressée en mouvement. Les feuilles
sont ensuite séchées à l’air libre sous le soleil du sud. Le processus
permet de contrôler la compacité du papier et par conséquent la
pénétration des pigments giclés sur celui-ci.
On obtient un papier vivant et riche qui permet une parfaite précision
dans les détails et une grande profondeur de la couleur et des noirs.
L’image devient un objet unique, non seulement parce qu’elle est
imprimée en un seul exemplaire mais aussi parce les qualités de son
support la rendent unique. »
(source http://www.stap-lavaur.org/2010/04/22/dominique-lauge-photographe/ )
Je suppose que ce sont ces épreuves uniques que ricco a vues à
Marmottan. Si vous voulez en voir d'autres:
http://www.galerie-stella-vega.fr/spip.php?article5
Olivier B. a écrit :
Pour Olivier, revenir au message initial de Ricco et la lumière giclera.
Si on ne pouvait plus s'offrir quelques digressions de temps en temps,
tout de même...
non, attend, je suis pas contre les digressions, je m'interroge juste
sur le rapport avec la photo numerique dans le sens ou quelque chose
m'échappe peut etre, auquel cas je veux bien qu'on me l'explique.
Pour ce que j'en comprend on serait plutot dans le domaine de
l'impression ce qui est certe un prolongement de la photo, mais pas
que de la photo, et pas que numérique.
Mais l'impression est un aspect fondamental de la photo, numérique ou
pas.
Et pour rester dans le sujet, redonnons la parole à Dominique
Laugé, de qui tout ce fil est parti (ricco aidant, bien sûr, mais
n'empêche :-) ). Bref :
« J’ai toujours considéré que le support qui accueille une image était
un élément fondamental du processus de création tant il en conditionne
le rendu et la lecture. Le papier sur lequel sont imprimées mes images
est produit en Sicile par le maître papetier Franco Conti. Sa mise au
point a nécessité plusieurs années de recherche et de nombreux essais.
Fabriquée à la main à partir de pur chiffon de coton, chaque feuille est
placée sur une surface absorbante et pressée en mouvement. Les feuilles
sont ensuite séchées à l’air libre sous le soleil du sud. Le processus
permet de contrôler la compacité du papier et par conséquent la
pénétration des pigments giclés sur celui-ci.
On obtient un papier vivant et riche qui permet une parfaite précision
dans les détails et une grande profondeur de la couleur et des noirs.
L’image devient un objet unique, non seulement parce qu’elle est
imprimée en un seul exemplaire mais aussi parce les qualités de son
support la rendent unique. »
(source http://www.stap-lavaur.org/2010/04/22/dominique-lauge-photographe/ )
Je suppose que ce sont ces épreuves uniques que ricco a vues à
Marmottan. Si vous voulez en voir d'autres:
http://www.galerie-stella-vega.fr/spip.php?article5
Olivier B. a écrit :Pour Olivier, revenir au message initial de Ricco et la lumière giclera.
Si on ne pouvait plus s'offrir quelques digressions de temps en temps,
tout de même...
non, attend, je suis pas contre les digressions, je m'interroge juste
sur le rapport avec la photo numerique dans le sens ou quelque chose
m'échappe peut etre, auquel cas je veux bien qu'on me l'explique.
Pour ce que j'en comprend on serait plutot dans le domaine de
l'impression ce qui est certe un prolongement de la photo, mais pas
que de la photo, et pas que numérique.
Mais l'impression est un aspect fondamental de la photo, numérique ou
pas.
Et pour rester dans le sujet, redonnons la parole à Dominique
Laugé, de qui tout ce fil est parti (ricco aidant, bien sûr, mais
n'empêche :-) ). Bref :
« J’ai toujours considéré que le support qui accueille une image était
un élément fondamental du processus de création tant il en conditionne
le rendu et la lecture. Le papier sur lequel sont imprimées mes images
est produit en Sicile par le maître papetier Franco Conti. Sa mise au
point a nécessité plusieurs années de recherche et de nombreux essais.
Fabriquée à la main à partir de pur chiffon de coton, chaque feuille est
placée sur une surface absorbante et pressée en mouvement. Les feuilles
sont ensuite séchées à l’air libre sous le soleil du sud. Le processus
permet de contrôler la compacité du papier et par conséquent la
pénétration des pigments giclés sur celui-ci.
On obtient un papier vivant et riche qui permet une parfaite précision
dans les détails et une grande profondeur de la couleur et des noirs.
L’image devient un objet unique, non seulement parce qu’elle est
imprimée en un seul exemplaire mais aussi parce les qualités de son
support la rendent unique. »
(source http://www.stap-lavaur.org/2010/04/22/dominique-lauge-photographe/ )
Je suppose que ce sont ces épreuves uniques que ricco a vues à
Marmottan. Si vous voulez en voir d'autres:
http://www.galerie-stella-vega.fr/spip.php?article5
La deuxieme question est de savoir, dans le cas ou il est répondu non
à la première, pourquoi alors proposer de voir ces impressions au
travers d'une représentation numérique ?
La deuxieme question est de savoir, dans le cas ou il est répondu non
à la première, pourquoi alors proposer de voir ces impressions au
travers d'une représentation numérique ?
La deuxieme question est de savoir, dans le cas ou il est répondu non
à la première, pourquoi alors proposer de voir ces impressions au
travers d'une représentation numérique ?
On Mon, 16 May 2011 11:24:34 +0200, Charles Vassallo
wrote:Olivier B. a écrit :
Je suppose que ce sont ces épreuves uniques que ricco a vues à
Marmottan. Si vous voulez en voir d'autres:
http://www.galerie-stella-vega.fr/spip.php?article5
je trouve le sujet interressant, mais je me pose deux questions.
La première est que, sauf erreur de ma part, on est plus véritablement
dans le domaine de la photo mais dans un post-traitement, la première
question est donc de savoir si un filtre sous bidulshop permet de
reproduire cela.
La deuxieme question est de savoir, dans le cas ou il est répondu non
à la première, pourquoi alors proposer de voir ces impressions au
travers d'une représentation numérique ?
--
pas de turlututu. apres l'@robase
On Mon, 16 May 2011 11:24:34 +0200, Charles Vassallo <cv@waou.fr>
wrote:
Olivier B. a écrit :
Je suppose que ce sont ces épreuves uniques que ricco a vues à
Marmottan. Si vous voulez en voir d'autres:
http://www.galerie-stella-vega.fr/spip.php?article5
je trouve le sujet interressant, mais je me pose deux questions.
La première est que, sauf erreur de ma part, on est plus véritablement
dans le domaine de la photo mais dans un post-traitement, la première
question est donc de savoir si un filtre sous bidulshop permet de
reproduire cela.
La deuxieme question est de savoir, dans le cas ou il est répondu non
à la première, pourquoi alors proposer de voir ces impressions au
travers d'une représentation numérique ?
--
pas de turlututu. apres l'@robase
On Mon, 16 May 2011 11:24:34 +0200, Charles Vassallo
wrote:Olivier B. a écrit :
Je suppose que ce sont ces épreuves uniques que ricco a vues à
Marmottan. Si vous voulez en voir d'autres:
http://www.galerie-stella-vega.fr/spip.php?article5
je trouve le sujet interressant, mais je me pose deux questions.
La première est que, sauf erreur de ma part, on est plus véritablement
dans le domaine de la photo mais dans un post-traitement, la première
question est donc de savoir si un filtre sous bidulshop permet de
reproduire cela.
La deuxieme question est de savoir, dans le cas ou il est répondu non
à la première, pourquoi alors proposer de voir ces impressions au
travers d'une représentation numérique ?
--
pas de turlututu. apres l'@robase
"Charles Vassallo" a écrit dans le message de news:
4dd0ed52$0$30775$Olivier B. a écrit :Pour Olivier, revenir au message initial de Ricco et la lumière giclera.
Si on ne pouvait plus s'offrir quelques digressions de temps en temps,
tout de même...
non, attend, je suis pas contre les digressions, je m'interroge juste
sur le rapport avec la photo numerique dans le sens ou quelque chose
m'échappe peut etre, auquel cas je veux bien qu'on me l'explique.
Pour ce que j'en comprend on serait plutot dans le domaine de
l'impression ce qui est certe un prolongement de la photo, mais pas
que de la photo, et pas que numérique.
Mais l'impression est un aspect fondamental de la photo, numérique ou pas. Et
pour rester dans le sujet, redonnons la parole à Dominique Laugé, de qui tout
ce fil est parti (ricco aidant, bien sûr, mais n'empêche :-) ). Bref :
« J'ai toujours considéré que le support qui accueille une image était un
élément fondamental du processus de création tant il en conditionne le rendu
et la lecture. Le papier sur lequel sont imprimées mes images est produit en
Sicile par le maître papetier Franco Conti. Sa mise au point a nécessité
plusieurs années de recherche et de nombreux essais. Fabriquée à la main à
partir de pur chiffon de coton, chaque feuille est placée sur une surface
absorbante et pressée en mouvement. Les feuilles sont ensuite séchées à l'air
libre sous le soleil du sud. Le processus permet de contrôler la compacité
du papier et par conséquent la pénétration des pigments giclés sur celui-ci.
On obtient un papier vivant et riche qui permet une parfaite précision dans
les détails et une grande profondeur de la couleur et des noirs. L'image
devient un objet unique, non seulement parce qu'elle est imprimée en un seul
exemplaire mais aussi parce les qualités de son support la rendent unique. »
(source http://www.stap-lavaur.org/2010/04/22/dominique-lauge-photographe/ )
Je suppose que ce sont ces épreuves uniques que ricco a vues à Marmottan. Si
vous voulez en voir d'autres:
http://www.galerie-stella-vega.fr/spip.php?article5
charles
AMHA, si l'exemplaire est unique, je veux bien, mais me dire que la "page" de
"papier" est unique, là je dis non.
Il est impossible de faire un profil pour un exemplaire unique de papier, car
il ne sert à RIEN puisque le papier est fait main et n'est en ce sens pas
possible d'avoir deux page de même texture, épaisseur, couleur, densité,
absorbtion, ....
Donc pour moi, c'est du flan, disons un beau et bon papier haut de game
spéciale, oui mais industriel, je veux dire par là de solution répétitive et
continue dans la qualité et critères.
£g
"Charles Vassallo" <cv@waou.fr> a écrit dans le message de news:
4dd0ed52$0$30775$ba4acef3@reader.news.orange.fr...
Olivier B. a écrit :
Pour Olivier, revenir au message initial de Ricco et la lumière giclera.
Si on ne pouvait plus s'offrir quelques digressions de temps en temps,
tout de même...
non, attend, je suis pas contre les digressions, je m'interroge juste
sur le rapport avec la photo numerique dans le sens ou quelque chose
m'échappe peut etre, auquel cas je veux bien qu'on me l'explique.
Pour ce que j'en comprend on serait plutot dans le domaine de
l'impression ce qui est certe un prolongement de la photo, mais pas
que de la photo, et pas que numérique.
Mais l'impression est un aspect fondamental de la photo, numérique ou pas. Et
pour rester dans le sujet, redonnons la parole à Dominique Laugé, de qui tout
ce fil est parti (ricco aidant, bien sûr, mais n'empêche :-) ). Bref :
« J'ai toujours considéré que le support qui accueille une image était un
élément fondamental du processus de création tant il en conditionne le rendu
et la lecture. Le papier sur lequel sont imprimées mes images est produit en
Sicile par le maître papetier Franco Conti. Sa mise au point a nécessité
plusieurs années de recherche et de nombreux essais. Fabriquée à la main à
partir de pur chiffon de coton, chaque feuille est placée sur une surface
absorbante et pressée en mouvement. Les feuilles sont ensuite séchées à l'air
libre sous le soleil du sud. Le processus permet de contrôler la compacité
du papier et par conséquent la pénétration des pigments giclés sur celui-ci.
On obtient un papier vivant et riche qui permet une parfaite précision dans
les détails et une grande profondeur de la couleur et des noirs. L'image
devient un objet unique, non seulement parce qu'elle est imprimée en un seul
exemplaire mais aussi parce les qualités de son support la rendent unique. »
(source http://www.stap-lavaur.org/2010/04/22/dominique-lauge-photographe/ )
Je suppose que ce sont ces épreuves uniques que ricco a vues à Marmottan. Si
vous voulez en voir d'autres:
http://www.galerie-stella-vega.fr/spip.php?article5
charles
AMHA, si l'exemplaire est unique, je veux bien, mais me dire que la "page" de
"papier" est unique, là je dis non.
Il est impossible de faire un profil pour un exemplaire unique de papier, car
il ne sert à RIEN puisque le papier est fait main et n'est en ce sens pas
possible d'avoir deux page de même texture, épaisseur, couleur, densité,
absorbtion, ....
Donc pour moi, c'est du flan, disons un beau et bon papier haut de game
spéciale, oui mais industriel, je veux dire par là de solution répétitive et
continue dans la qualité et critères.
£g
"Charles Vassallo" a écrit dans le message de news:
4dd0ed52$0$30775$Olivier B. a écrit :Pour Olivier, revenir au message initial de Ricco et la lumière giclera.
Si on ne pouvait plus s'offrir quelques digressions de temps en temps,
tout de même...
non, attend, je suis pas contre les digressions, je m'interroge juste
sur le rapport avec la photo numerique dans le sens ou quelque chose
m'échappe peut etre, auquel cas je veux bien qu'on me l'explique.
Pour ce que j'en comprend on serait plutot dans le domaine de
l'impression ce qui est certe un prolongement de la photo, mais pas
que de la photo, et pas que numérique.
Mais l'impression est un aspect fondamental de la photo, numérique ou pas. Et
pour rester dans le sujet, redonnons la parole à Dominique Laugé, de qui tout
ce fil est parti (ricco aidant, bien sûr, mais n'empêche :-) ). Bref :
« J'ai toujours considéré que le support qui accueille une image était un
élément fondamental du processus de création tant il en conditionne le rendu
et la lecture. Le papier sur lequel sont imprimées mes images est produit en
Sicile par le maître papetier Franco Conti. Sa mise au point a nécessité
plusieurs années de recherche et de nombreux essais. Fabriquée à la main à
partir de pur chiffon de coton, chaque feuille est placée sur une surface
absorbante et pressée en mouvement. Les feuilles sont ensuite séchées à l'air
libre sous le soleil du sud. Le processus permet de contrôler la compacité
du papier et par conséquent la pénétration des pigments giclés sur celui-ci.
On obtient un papier vivant et riche qui permet une parfaite précision dans
les détails et une grande profondeur de la couleur et des noirs. L'image
devient un objet unique, non seulement parce qu'elle est imprimée en un seul
exemplaire mais aussi parce les qualités de son support la rendent unique. »
(source http://www.stap-lavaur.org/2010/04/22/dominique-lauge-photographe/ )
Je suppose que ce sont ces épreuves uniques que ricco a vues à Marmottan. Si
vous voulez en voir d'autres:
http://www.galerie-stella-vega.fr/spip.php?article5
charles
AMHA, si l'exemplaire est unique, je veux bien, mais me dire que la "page" de
"papier" est unique, là je dis non.
Il est impossible de faire un profil pour un exemplaire unique de papier, car
il ne sert à RIEN puisque le papier est fait main et n'est en ce sens pas
possible d'avoir deux page de même texture, épaisseur, couleur, densité,
absorbtion, ....
Donc pour moi, c'est du flan, disons un beau et bon papier haut de game
spéciale, oui mais industriel, je veux dire par là de solution répétitive et
continue dans la qualité et critères.
£g
"Jacques Dassié" a écrit
dans le message de groupe de discussion :Le Mon, 16 May 2011 00:42:38 +0200, "delestaque"
écrit:... tu imagines du KR en 8 x 10 ", quand on voit la définition que
ça avait en 135...
Si KR signifie Kodachrome, je me suis amusé à faire, dans les années
70, de mesures de définition (microdensitomètre du labo de ma
boîte). Il me semble que le 24 x 36 mm Kodachrome 25 ASA résolvait
plus de 120 traits par mm (je n'ai pas dit "paires de traits"), ce
qui, en notre langage moderne, signifierait environ 2900 DPI. Ce qui
permettait d'agrandir sur papier, à 300 DPI, par les pros, une image
d'environ 23 x 35 cm. Soit en gros, une pleine page de
"L'Illustration". --
Jacques DASSIÉ
http://archaero.com/
Il s'agissait d'une époque pendant laquelle on reculait
progressivement par rapport au format examiné, maintenant il faut
pouvoir étudier à la loupe le détail d'un tirage d'un mètre carré, on
se replaçait dans la position que je nommerais " conditions d'examen
du cercle de confusion " mais un amateur actuel doit pouvoir regarder un
fragment 10 x 15
d'une affiche 400 x 300 et le percevoir net, tout simplement par ce
qu'il dit qu'il a le droit, j'ai lu ça ici il y a longtemps.
Les tirages que je regardais, à cette expo, sont en relation avec un
grand tableau, celui de Turpin, il est comme les peintures de cette
époque, détaillé à l'extrême :
http://cjoint.com/?AEqkIlaZ0MM
on peut s'approcher et regarder le détail des personnages qui doivent
faire 5 cm, on n'est pas arrivé à l'impressionisme, faut dire que
Turpin est mort en 1859.
Tu sais parfaitement bien que l'impression de netteté de l'image ne
changeait pas en fonction de son agrandissement.
On peut regarder les photos de D.Lauger aussi, très détaillées et
tirées sur un papier à grosse texture, une ultime précision sur une
texture galets de la plage de Dieppe, mais c'est la tendance
actuelle, vouloir détailler au maximum, je ne vois pas pourquoi ?
Ou plutôt si, en vertu du fait que " on a bien le droit " explication
sans appel.
"Jacques Dassié" <jacques.dassieSPAMSTOP@wanadoo.fr.INVALID> a écrit
dans le message de groupe de discussion :
q6a1t6p5cq3mmlk51cq0ssi6qhhmhmbndd@4ax.com...
Le Mon, 16 May 2011 00:42:38 +0200, "delestaque"
<r.delestaque@free.fr.nospam> écrit:
... tu imagines du KR en 8 x 10 ", quand on voit la définition que
ça avait en 135...
Si KR signifie Kodachrome, je me suis amusé à faire, dans les années
70, de mesures de définition (microdensitomètre du labo de ma
boîte). Il me semble que le 24 x 36 mm Kodachrome 25 ASA résolvait
plus de 120 traits par mm (je n'ai pas dit "paires de traits"), ce
qui, en notre langage moderne, signifierait environ 2900 DPI. Ce qui
permettait d'agrandir sur papier, à 300 DPI, par les pros, une image
d'environ 23 x 35 cm. Soit en gros, une pleine page de
"L'Illustration". --
Jacques DASSIÉ
http://archaero.com/
Il s'agissait d'une époque pendant laquelle on reculait
progressivement par rapport au format examiné, maintenant il faut
pouvoir étudier à la loupe le détail d'un tirage d'un mètre carré, on
se replaçait dans la position que je nommerais " conditions d'examen
du cercle de confusion " mais un amateur actuel doit pouvoir regarder un
fragment 10 x 15
d'une affiche 400 x 300 et le percevoir net, tout simplement par ce
qu'il dit qu'il a le droit, j'ai lu ça ici il y a longtemps.
Les tirages que je regardais, à cette expo, sont en relation avec un
grand tableau, celui de Turpin, il est comme les peintures de cette
époque, détaillé à l'extrême :
http://cjoint.com/?AEqkIlaZ0MM
on peut s'approcher et regarder le détail des personnages qui doivent
faire 5 cm, on n'est pas arrivé à l'impressionisme, faut dire que
Turpin est mort en 1859.
Tu sais parfaitement bien que l'impression de netteté de l'image ne
changeait pas en fonction de son agrandissement.
On peut regarder les photos de D.Lauger aussi, très détaillées et
tirées sur un papier à grosse texture, une ultime précision sur une
texture galets de la plage de Dieppe, mais c'est la tendance
actuelle, vouloir détailler au maximum, je ne vois pas pourquoi ?
Ou plutôt si, en vertu du fait que " on a bien le droit " explication
sans appel.
"Jacques Dassié" a écrit
dans le message de groupe de discussion :Le Mon, 16 May 2011 00:42:38 +0200, "delestaque"
écrit:... tu imagines du KR en 8 x 10 ", quand on voit la définition que
ça avait en 135...
Si KR signifie Kodachrome, je me suis amusé à faire, dans les années
70, de mesures de définition (microdensitomètre du labo de ma
boîte). Il me semble que le 24 x 36 mm Kodachrome 25 ASA résolvait
plus de 120 traits par mm (je n'ai pas dit "paires de traits"), ce
qui, en notre langage moderne, signifierait environ 2900 DPI. Ce qui
permettait d'agrandir sur papier, à 300 DPI, par les pros, une image
d'environ 23 x 35 cm. Soit en gros, une pleine page de
"L'Illustration". --
Jacques DASSIÉ
http://archaero.com/
Il s'agissait d'une époque pendant laquelle on reculait
progressivement par rapport au format examiné, maintenant il faut
pouvoir étudier à la loupe le détail d'un tirage d'un mètre carré, on
se replaçait dans la position que je nommerais " conditions d'examen
du cercle de confusion " mais un amateur actuel doit pouvoir regarder un
fragment 10 x 15
d'une affiche 400 x 300 et le percevoir net, tout simplement par ce
qu'il dit qu'il a le droit, j'ai lu ça ici il y a longtemps.
Les tirages que je regardais, à cette expo, sont en relation avec un
grand tableau, celui de Turpin, il est comme les peintures de cette
époque, détaillé à l'extrême :
http://cjoint.com/?AEqkIlaZ0MM
on peut s'approcher et regarder le détail des personnages qui doivent
faire 5 cm, on n'est pas arrivé à l'impressionisme, faut dire que
Turpin est mort en 1859.
Tu sais parfaitement bien que l'impression de netteté de l'image ne
changeait pas en fonction de son agrandissement.
On peut regarder les photos de D.Lauger aussi, très détaillées et
tirées sur un papier à grosse texture, une ultime précision sur une
texture galets de la plage de Dieppe, mais c'est la tendance
actuelle, vouloir détailler au maximum, je ne vois pas pourquoi ?
Ou plutôt si, en vertu du fait que " on a bien le droit " explication
sans appel.
"£g" a écrit dans le message de groupe de
discussion : 4dd10401$0$14263$
"Charles Vassallo" a écrit dans le message de news:
4dd0ed52$0$30775$Olivier B. a écrit :
AMHA, si l'exemplaire est unique, je veux bien, mais me dire que la
"page" de "papier" est unique, là je dis non.
Il est impossible de faire un profil pour un exemplaire unique de
papier, car il ne sert à RIEN puisque le papier est fait main et
n'est en ce sens pas possible d'avoir deux page de même texture,
épaisseur, couleur, densité, absorbtion, ....
Donc pour moi, c'est du flan, disons un beau et bon papier haut de
game spéciale, oui mais industriel, je veux dire par là de solution
répétitive et continue dans la qualité et critères.
£g
Pour moi, ce qui est du flan, c'est tout ce discours et ces papiers,
il y a vraiment sur le marché des choses merveilleuses et je me
demande pour combien de temps, parce que, même si on imagine que le
marché est mondial, ces papiers nobles ne doivent pas se vendre en
quantité.
Et si tout ça c'est pour produire des images plates, bleutées et
fadasses, je veux bien écouter ce beau discours, mais j'ai encore des
yeux pour voir, et j'ai eu une petite expérience de l'impression
numérique
Là, en fait, la conservatrice ne voulait visiblement pas que le terme
"imprimante " soit prononcé.
Pour le profil unique, bon, tu peux te faire un profil par feuille
toi-même si tu as le matériel, mis si c'est pour des photos de paysage
tout à fait ordinaires, je veux bien...
Bon, que ce monsieur gagne sa vie comme ça, tant mieux pour lui, grand
bien lui fasse, puisqu'il semble que c'était une commande de banquiers
suisse, en revanche, le discours, je ne suis pas obligé d'y souscrire.
--
Ricco
"£g" <l.gilbert@skynet.be> a écrit dans le message de groupe de
discussion : 4dd10401$0$14263$ba620e4c@news.skynet.be...
"Charles Vassallo" <cv@waou.fr> a écrit dans le message de news:
4dd0ed52$0$30775$ba4acef3@reader.news.orange.fr...
Olivier B. a écrit :
AMHA, si l'exemplaire est unique, je veux bien, mais me dire que la
"page" de "papier" est unique, là je dis non.
Il est impossible de faire un profil pour un exemplaire unique de
papier, car il ne sert à RIEN puisque le papier est fait main et
n'est en ce sens pas possible d'avoir deux page de même texture,
épaisseur, couleur, densité, absorbtion, ....
Donc pour moi, c'est du flan, disons un beau et bon papier haut de
game spéciale, oui mais industriel, je veux dire par là de solution
répétitive et continue dans la qualité et critères.
£g
Pour moi, ce qui est du flan, c'est tout ce discours et ces papiers,
il y a vraiment sur le marché des choses merveilleuses et je me
demande pour combien de temps, parce que, même si on imagine que le
marché est mondial, ces papiers nobles ne doivent pas se vendre en
quantité.
Et si tout ça c'est pour produire des images plates, bleutées et
fadasses, je veux bien écouter ce beau discours, mais j'ai encore des
yeux pour voir, et j'ai eu une petite expérience de l'impression
numérique
Là, en fait, la conservatrice ne voulait visiblement pas que le terme
"imprimante " soit prononcé.
Pour le profil unique, bon, tu peux te faire un profil par feuille
toi-même si tu as le matériel, mis si c'est pour des photos de paysage
tout à fait ordinaires, je veux bien...
Bon, que ce monsieur gagne sa vie comme ça, tant mieux pour lui, grand
bien lui fasse, puisqu'il semble que c'était une commande de banquiers
suisse, en revanche, le discours, je ne suis pas obligé d'y souscrire.
--
Ricco
"£g" a écrit dans le message de groupe de
discussion : 4dd10401$0$14263$
"Charles Vassallo" a écrit dans le message de news:
4dd0ed52$0$30775$Olivier B. a écrit :
AMHA, si l'exemplaire est unique, je veux bien, mais me dire que la
"page" de "papier" est unique, là je dis non.
Il est impossible de faire un profil pour un exemplaire unique de
papier, car il ne sert à RIEN puisque le papier est fait main et
n'est en ce sens pas possible d'avoir deux page de même texture,
épaisseur, couleur, densité, absorbtion, ....
Donc pour moi, c'est du flan, disons un beau et bon papier haut de
game spéciale, oui mais industriel, je veux dire par là de solution
répétitive et continue dans la qualité et critères.
£g
Pour moi, ce qui est du flan, c'est tout ce discours et ces papiers,
il y a vraiment sur le marché des choses merveilleuses et je me
demande pour combien de temps, parce que, même si on imagine que le
marché est mondial, ces papiers nobles ne doivent pas se vendre en
quantité.
Et si tout ça c'est pour produire des images plates, bleutées et
fadasses, je veux bien écouter ce beau discours, mais j'ai encore des
yeux pour voir, et j'ai eu une petite expérience de l'impression
numérique
Là, en fait, la conservatrice ne voulait visiblement pas que le terme
"imprimante " soit prononcé.
Pour le profil unique, bon, tu peux te faire un profil par feuille
toi-même si tu as le matériel, mis si c'est pour des photos de paysage
tout à fait ordinaires, je veux bien...
Bon, que ce monsieur gagne sa vie comme ça, tant mieux pour lui, grand
bien lui fasse, puisqu'il semble que c'était une commande de banquiers
suisse, en revanche, le discours, je ne suis pas obligé d'y souscrire.
--
Ricco
Ce que j'en disais, rien ne sert de courrir après un profil, un règlage ou
tout autres système, vu que le papier est unique, à la page, pas deux pareils.
Alors son giclé sur "matière imitation papier, fait en Sicile (???)" à la main
et au rendu complètement aléatoire c'est peau de balle et balai de crin, rien
que pour faire monter les enchère.
Donner une pseudo valeur au schimlblick à deux balles.
£g
Ce que j'en disais, rien ne sert de courrir après un profil, un règlage ou
tout autres système, vu que le papier est unique, à la page, pas deux pareils.
Alors son giclé sur "matière imitation papier, fait en Sicile (???)" à la main
et au rendu complètement aléatoire c'est peau de balle et balai de crin, rien
que pour faire monter les enchère.
Donner une pseudo valeur au schimlblick à deux balles.
£g
Ce que j'en disais, rien ne sert de courrir après un profil, un règlage ou
tout autres système, vu que le papier est unique, à la page, pas deux pareils.
Alors son giclé sur "matière imitation papier, fait en Sicile (???)" à la main
et au rendu complètement aléatoire c'est peau de balle et balai de crin, rien
que pour faire monter les enchère.
Donner une pseudo valeur au schimlblick à deux balles.
£g