"Marechal Nouvoilat" a écrit dans le message de news:
Facile, non ?
oui, facile pour que tu te casses, vieux grincheux à la ramasse
Marechal Nouvoilat
"Jean-Pierre Roche" a écrit dans le message de news:iojcma$2cr3$
Le 19/04/2011 09:07, Marechal Nouvoilat a écrit :
300 mm, en photo animalière c'est court... Et puis même avec des focales plus longues l'approche reste indispensable, les oiseaux te repèrent bien avant que tu puisses les cadrer convenablement avec un 500 mm, même monté sur un reflex APS-C ce qui fait tout de même un équivalent 750 mm...
Avec le pouvoir résolvant d'un 500, pas d'un 750. Pour avoir l'équivalent d'un 1500, on recadre. Facile, non ?
C'est une vision extrêmement simpliste et donc fausse de l'association d'une optique et d'un capteur. Sans même parler de la pratique (mise au point, expositon, etc.). Mais croire que tout est simple est plus facile. Yaka, faucon, étagère.
A simpliste simpliste et demi, s'il suffisait de faire varier les dimensions du capteur, comme vous le prétendez, pour avoir l'équivalent d'un changement de focale, tous les constructeurs auraient équipé leur boitier d'un cache à dimension variable, plus besoin de zooms complexes ou de téléobjectifs encombrants puisque le capteur à dimensions variables suffirait à résoudre tous les problèmes. Et si ce que vous soutenez était vrai, on verrait tous les utilisateurs de longues focales opter pour le format 4:3 au coeff. de 2X au lieu du 1.5X de l'APS-C.
"Jean-Pierre Roche" <jproche@sanspub.invalid> a écrit dans le message de
news:iojcma$2cr3$1@talisker.lacave.net...
Le 19/04/2011 09:07, Marechal Nouvoilat a écrit :
300 mm, en photo animalière c'est court...
Et puis même avec des focales plus longues l'approche
reste indispensable, les oiseaux te repèrent bien avant
que tu puisses les cadrer convenablement avec un 500 mm,
même monté sur un reflex APS-C ce qui fait tout de même un
équivalent 750 mm...
Avec le pouvoir résolvant d'un 500, pas d'un 750.
Pour avoir l'équivalent d'un 1500, on recadre.
Facile, non ?
C'est une vision extrêmement simpliste et donc fausse de l'association
d'une optique et d'un capteur. Sans même parler de la pratique (mise au
point, expositon, etc.). Mais croire que tout est simple est plus facile.
Yaka, faucon, étagère.
A simpliste simpliste et demi, s'il suffisait de faire varier les
dimensions du capteur, comme vous le prétendez, pour avoir
l'équivalent d'un changement de focale, tous les constructeurs
auraient équipé leur boitier d'un cache à dimension variable,
plus besoin de zooms complexes ou de téléobjectifs encombrants
puisque le capteur à dimensions variables suffirait à résoudre tous
les problèmes.
Et si ce que vous soutenez était vrai, on verrait tous les utilisateurs
de longues focales opter pour le format 4:3 au coeff. de 2X au lieu
du 1.5X de l'APS-C.
"Jean-Pierre Roche" a écrit dans le message de news:iojcma$2cr3$
Le 19/04/2011 09:07, Marechal Nouvoilat a écrit :
300 mm, en photo animalière c'est court... Et puis même avec des focales plus longues l'approche reste indispensable, les oiseaux te repèrent bien avant que tu puisses les cadrer convenablement avec un 500 mm, même monté sur un reflex APS-C ce qui fait tout de même un équivalent 750 mm...
Avec le pouvoir résolvant d'un 500, pas d'un 750. Pour avoir l'équivalent d'un 1500, on recadre. Facile, non ?
C'est une vision extrêmement simpliste et donc fausse de l'association d'une optique et d'un capteur. Sans même parler de la pratique (mise au point, expositon, etc.). Mais croire que tout est simple est plus facile. Yaka, faucon, étagère.
A simpliste simpliste et demi, s'il suffisait de faire varier les dimensions du capteur, comme vous le prétendez, pour avoir l'équivalent d'un changement de focale, tous les constructeurs auraient équipé leur boitier d'un cache à dimension variable, plus besoin de zooms complexes ou de téléobjectifs encombrants puisque le capteur à dimensions variables suffirait à résoudre tous les problèmes. Et si ce que vous soutenez était vrai, on verrait tous les utilisateurs de longues focales opter pour le format 4:3 au coeff. de 2X au lieu du 1.5X de l'APS-C.
delestaque
"Jean-Pierre Roche" a écrit dans le message de groupe de discussion : ioj9i2$26t6$
Le 19/04/2011 00:27, delestaque a écrit :
De fait le nid n'est pas visible depuis la Seine, on ne voit que le cygne. J'ai pris la photo depuis un petit chemin, genre halage. A 300mm, pas en macro.
Tu étais à quelle distance ? avec un 300 mm, je sais bien que les oiseaux ont de bons yeux, mais je suis quand même étonné.
300 mm, en photo animalière c'est court... Et puis même avec des focales plus longues l'approche reste indispensable, les oiseaux te repèrent bien avant que tu puisses les cadrer convenablement avec un 500 mm, même monté sur un reflex APS-C ce qui fait tout de même un équivalent 750 mm...
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
ce qui m'étonnait c'était le fait de dire que la bestiole le regardait, moi, vu la distance sujet photographe !
-- Ricco
"Jean-Pierre Roche" <jproche@sanspub.invalid> a écrit dans le message de groupe
de discussion : ioj9i2$26t6$1@talisker.lacave.net...
Le 19/04/2011 00:27, delestaque a écrit :
De fait le nid n'est pas visible depuis la Seine, on ne
voit que le cygne. J'ai pris la photo depuis un petit
chemin, genre halage. A 300mm, pas en macro.
Tu étais à quelle distance ?
avec un 300 mm, je sais bien que les oiseaux ont de bons
yeux, mais je suis quand même étonné.
300 mm, en photo animalière c'est court...
Et puis même avec des focales plus longues l'approche reste indispensable, les
oiseaux te repèrent bien avant que tu puisses les cadrer convenablement avec
un 500 mm, même monté sur un reflex APS-C ce qui fait tout de même un
équivalent 750 mm...
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubnumericable.com
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ce qui m'étonnait c'était le fait de dire que la bestiole le regardait, moi, vu
la distance sujet photographe !
"Jean-Pierre Roche" a écrit dans le message de groupe de discussion : ioj9i2$26t6$
Le 19/04/2011 00:27, delestaque a écrit :
De fait le nid n'est pas visible depuis la Seine, on ne voit que le cygne. J'ai pris la photo depuis un petit chemin, genre halage. A 300mm, pas en macro.
Tu étais à quelle distance ? avec un 300 mm, je sais bien que les oiseaux ont de bons yeux, mais je suis quand même étonné.
300 mm, en photo animalière c'est court... Et puis même avec des focales plus longues l'approche reste indispensable, les oiseaux te repèrent bien avant que tu puisses les cadrer convenablement avec un 500 mm, même monté sur un reflex APS-C ce qui fait tout de même un équivalent 750 mm...
-- Jean-Pierre Roche
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ce qui m'étonnait c'était le fait de dire que la bestiole le regardait, moi, vu la distance sujet photographe !
-- Ricco
Jean-Pierre Roche
Le 19/04/2011 09:48, Marechal Nouvoilat a écrit :
A simpliste simpliste et demi, s'il suffisait de faire varier les dimensions du capteur, comme vous le prétendez, pour avoir l'équivalent d'un changement de focale, tous les constructeurs auraient équipé leur boitier d'un cache à dimension variable, plus besoin de zooms complexes ou de téléobjectifs encombrants puisque le capteur à dimensions variables suffirait à résoudre tous les problèmes.
Justement il ne suffit pas car entre le fish-eye et le 500 mm il y a un gouffre. Mais la photo animalière et plus généralement la photo avec de très longues focales à main levée, n'a pas grand rapport avec la photo astronomique. Il est beaucoup plus important d'avoir un autofocus précis et rapide, un stabilisateur efficace que de s'interroger sur les limites théoriques du pouvoir séparateur de l'optique. Pour les gens qui font vraiment des photos...
Et si ce que vous soutenez était vrai, on verrait tous les utilisateurs de longues focales opter pour le format 4:3 au coeff. de 2X au lieu du 1.5X de l'APS-C.
Dans toute technique il y a des limites et des contraintes, ainsi qu'une valeur optimale pour certains paramètres... Jusqu'ici les capteurs 4:3 sont clairement inférieurs en termes de bruit aux APS-C. Par ailleurs les deux seuls fabricants de premier plan ne font pas de 4:3... Et, en pratique, de très nombreux utilisateurs de très longues focales ont bien fait le choix du capteur APS-C donc du facteur 1,5.
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
Le 19/04/2011 09:48, Marechal Nouvoilat a écrit :
A simpliste simpliste et demi, s'il suffisait de faire
varier les
dimensions du capteur, comme vous le prétendez, pour avoir
l'équivalent d'un changement de focale, tous les constructeurs
auraient équipé leur boitier d'un cache à dimension variable,
plus besoin de zooms complexes ou de téléobjectifs encombrants
puisque le capteur à dimensions variables suffirait à
résoudre tous
les problèmes.
Justement il ne suffit pas car entre le fish-eye et le 500
mm il y a un gouffre. Mais la photo animalière et plus
généralement la photo avec de très longues focales à main
levée, n'a pas grand rapport avec la photo astronomique. Il
est beaucoup plus important d'avoir un autofocus précis et
rapide, un stabilisateur efficace que de s'interroger sur
les limites théoriques du pouvoir séparateur de l'optique.
Pour les gens qui font vraiment des photos...
Et si ce que vous soutenez était vrai, on verrait tous les
utilisateurs
de longues focales opter pour le format 4:3 au coeff. de 2X
au lieu
du 1.5X de l'APS-C.
Dans toute technique il y a des limites et des contraintes,
ainsi qu'une valeur optimale pour certains paramètres...
Jusqu'ici les capteurs 4:3 sont clairement inférieurs en
termes de bruit aux APS-C. Par ailleurs les deux seuls
fabricants de premier plan ne font pas de 4:3... Et, en
pratique, de très nombreux utilisateurs de très longues
focales ont bien fait le choix du capteur APS-C donc du
facteur 1,5.
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubnumericable.com
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A simpliste simpliste et demi, s'il suffisait de faire varier les dimensions du capteur, comme vous le prétendez, pour avoir l'équivalent d'un changement de focale, tous les constructeurs auraient équipé leur boitier d'un cache à dimension variable, plus besoin de zooms complexes ou de téléobjectifs encombrants puisque le capteur à dimensions variables suffirait à résoudre tous les problèmes.
Justement il ne suffit pas car entre le fish-eye et le 500 mm il y a un gouffre. Mais la photo animalière et plus généralement la photo avec de très longues focales à main levée, n'a pas grand rapport avec la photo astronomique. Il est beaucoup plus important d'avoir un autofocus précis et rapide, un stabilisateur efficace que de s'interroger sur les limites théoriques du pouvoir séparateur de l'optique. Pour les gens qui font vraiment des photos...
Et si ce que vous soutenez était vrai, on verrait tous les utilisateurs de longues focales opter pour le format 4:3 au coeff. de 2X au lieu du 1.5X de l'APS-C.
Dans toute technique il y a des limites et des contraintes, ainsi qu'une valeur optimale pour certains paramètres... Jusqu'ici les capteurs 4:3 sont clairement inférieurs en termes de bruit aux APS-C. Par ailleurs les deux seuls fabricants de premier plan ne font pas de 4:3... Et, en pratique, de très nombreux utilisateurs de très longues focales ont bien fait le choix du capteur APS-C donc du facteur 1,5.
-- Jean-Pierre Roche
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Marechal Nouvoilat
"Jean-Pierre Roche" a écrit dans le message de news:iojfl6$2iin$
Le 19/04/2011 09:48, Marechal Nouvoilat a écrit :
A simpliste simpliste et demi, s'il suffisait de faire varier les dimensions du capteur, comme vous le prétendez, pour avoir l'équivalent d'un changement de focale, tous les constructeurs auraient équipé leur boitier d'un cache à dimension variable, plus besoin de zooms complexes ou de téléobjectifs encombrants puisque le capteur à dimensions variables suffirait à résoudre tous les problèmes.
Justement il ne suffit pas car entre le fish-eye et le 500 mm il y a un gouffre. Mais la photo animalière et plus généralement la photo avec de très longues focales à main levée, n'a pas grand rapport avec la photo astronomique. Il est beaucoup plus important d'avoir un autofocus précis et rapide, un stabilisateur efficace que de s'interroger sur les limites théoriques du pouvoir séparateur de l'optique. Pour les gens qui font vraiment des photos...
Les matheux calculeront à partir de quelle ouverture, la diffraction aidant, le nirvana des 15 et 18 megapixels retombe comme un soufflé, et par là-même la prétendue supériorité de L'APS-C. Une analyse détaillée pour les intrépides, où on apprend que le pouvoir de résolution est fonction de la densité du capteur, ce dont on se doutait un peu, mais pas obligatoirement à ses dimensions.
Et si ce que vous soutenez était vrai, on verrait tous les utilisateurs de longues focales opter pour le format 4:3 au coeff. de 2X au lieu du 1.5X de l'APS-C.
Dans toute technique il y a des limites et des contraintes, ainsi qu'une valeur optimale pour certains paramètres... Jusqu'ici les capteurs 4:3 sont clairement inférieurs en termes de bruit aux APS-C. Par ailleurs les deux seuls fabricants de premier plan ne font pas de 4:3... Et, en pratique, de très nombreux utilisateurs de très longues focales ont bien fait le choix du capteur APS-C donc du facteur 1,5.
Oui, mais la préférence pour l'APS-C est conditionnée avant tout pour la relative accessibilité de son prix et celui exhorbitant des téléobjectifs de qualité (F>400mm) que par une réelle supériorité en matière d'usage des longues focales, lequel argument ressemble plus à une consolation qu'à un fait réellement constaté. Un vrai argument d'économiste pour qui n'importe quelle conjecture peut être favorable si on sait la tourner à son avantage. En photo aussi être fauché peut avoir du bon si on a le placebo ad hoc.
"Jean-Pierre Roche" <jproche@sanspub.invalid> a écrit dans le message de
news:iojfl6$2iin$1@talisker.lacave.net...
Le 19/04/2011 09:48, Marechal Nouvoilat a écrit :
A simpliste simpliste et demi, s'il suffisait de faire
varier les
dimensions du capteur, comme vous le prétendez, pour avoir
l'équivalent d'un changement de focale, tous les constructeurs
auraient équipé leur boitier d'un cache à dimension variable,
plus besoin de zooms complexes ou de téléobjectifs encombrants
puisque le capteur à dimensions variables suffirait à
résoudre tous
les problèmes.
Justement il ne suffit pas car entre le fish-eye et le 500 mm il y a un
gouffre. Mais la photo animalière et plus généralement la photo avec de
très longues focales à main levée, n'a pas grand rapport avec la photo
astronomique. Il est beaucoup plus important d'avoir un autofocus précis
et rapide, un stabilisateur efficace que de s'interroger sur les limites
théoriques du pouvoir séparateur de l'optique. Pour les gens qui font
vraiment des photos...
Les matheux calculeront à partir de quelle ouverture, la diffraction aidant,
le nirvana des 15 et 18 megapixels retombe comme un soufflé, et par là-même
la prétendue supériorité de L'APS-C.
Une analyse détaillée pour les intrépides, où on apprend que le pouvoir
de résolution est fonction de la densité du capteur, ce dont on se doutait
un peu, mais pas obligatoirement à ses dimensions.
Et si ce que vous soutenez était vrai, on verrait tous les
utilisateurs
de longues focales opter pour le format 4:3 au coeff. de 2X
au lieu
du 1.5X de l'APS-C.
Dans toute technique il y a des limites et des contraintes, ainsi qu'une
valeur optimale pour certains paramètres... Jusqu'ici les capteurs 4:3
sont clairement inférieurs en termes de bruit aux APS-C. Par ailleurs les
deux seuls fabricants de premier plan ne font pas de 4:3... Et, en
pratique, de très nombreux utilisateurs de très longues focales ont bien
fait le choix du capteur APS-C donc du facteur 1,5.
Oui, mais la préférence pour l'APS-C est conditionnée avant tout
pour la relative accessibilité de son prix et celui exhorbitant
des téléobjectifs de qualité (F>400mm) que par une réelle supériorité
en matière d'usage des longues focales, lequel argument ressemble plus à
une consolation qu'à un fait réellement constaté.
Un vrai argument d'économiste pour qui n'importe quelle conjecture
peut être favorable si on sait la tourner à son avantage.
En photo aussi être fauché peut avoir du bon si on a le placebo ad hoc.
"Jean-Pierre Roche" a écrit dans le message de news:iojfl6$2iin$
Le 19/04/2011 09:48, Marechal Nouvoilat a écrit :
A simpliste simpliste et demi, s'il suffisait de faire varier les dimensions du capteur, comme vous le prétendez, pour avoir l'équivalent d'un changement de focale, tous les constructeurs auraient équipé leur boitier d'un cache à dimension variable, plus besoin de zooms complexes ou de téléobjectifs encombrants puisque le capteur à dimensions variables suffirait à résoudre tous les problèmes.
Justement il ne suffit pas car entre le fish-eye et le 500 mm il y a un gouffre. Mais la photo animalière et plus généralement la photo avec de très longues focales à main levée, n'a pas grand rapport avec la photo astronomique. Il est beaucoup plus important d'avoir un autofocus précis et rapide, un stabilisateur efficace que de s'interroger sur les limites théoriques du pouvoir séparateur de l'optique. Pour les gens qui font vraiment des photos...
Les matheux calculeront à partir de quelle ouverture, la diffraction aidant, le nirvana des 15 et 18 megapixels retombe comme un soufflé, et par là-même la prétendue supériorité de L'APS-C. Une analyse détaillée pour les intrépides, où on apprend que le pouvoir de résolution est fonction de la densité du capteur, ce dont on se doutait un peu, mais pas obligatoirement à ses dimensions.
Et si ce que vous soutenez était vrai, on verrait tous les utilisateurs de longues focales opter pour le format 4:3 au coeff. de 2X au lieu du 1.5X de l'APS-C.
Dans toute technique il y a des limites et des contraintes, ainsi qu'une valeur optimale pour certains paramètres... Jusqu'ici les capteurs 4:3 sont clairement inférieurs en termes de bruit aux APS-C. Par ailleurs les deux seuls fabricants de premier plan ne font pas de 4:3... Et, en pratique, de très nombreux utilisateurs de très longues focales ont bien fait le choix du capteur APS-C donc du facteur 1,5.
Oui, mais la préférence pour l'APS-C est conditionnée avant tout pour la relative accessibilité de son prix et celui exhorbitant des téléobjectifs de qualité (F>400mm) que par une réelle supériorité en matière d'usage des longues focales, lequel argument ressemble plus à une consolation qu'à un fait réellement constaté. Un vrai argument d'économiste pour qui n'importe quelle conjecture peut être favorable si on sait la tourner à son avantage. En photo aussi être fauché peut avoir du bon si on a le placebo ad hoc.
Jean-Pierre Roche
Le 19/04/2011 09:59, delestaque a écrit :
ce qui m'étonnait c'était le fait de dire que la bestiole le regardait, moi, vu la distance sujet photographe !
Les oiseaux sont très vigilants et, suivant les cas, ils peuvent fuir ou au contraire s'approcher, par exemple s'ils pensent que tu leur apporte de la nourriture. Les bons jours ils peuvent même poser pour toi !
Et pourtant j'étais assez loin (500 mm > 750 mm équivalents)
-- Jean-Pierre Roche
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Le 19/04/2011 09:59, delestaque a écrit :
ce qui m'étonnait c'était le fait de dire que la bestiole le
regardait, moi, vu la distance sujet photographe !
Les oiseaux sont très vigilants et, suivant les cas, ils
peuvent fuir ou au contraire s'approcher, par exemple s'ils
pensent que tu leur apporte de la nourriture.
Les bons jours ils peuvent même poser pour toi !
ce qui m'étonnait c'était le fait de dire que la bestiole le regardait, moi, vu la distance sujet photographe !
Les oiseaux sont très vigilants et, suivant les cas, ils peuvent fuir ou au contraire s'approcher, par exemple s'ils pensent que tu leur apporte de la nourriture. Les bons jours ils peuvent même poser pour toi !
Et pourtant j'étais assez loin (500 mm > 750 mm équivalents)
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
Jean-Pierre Roche
Le 19/04/2011 10:39, Marechal Nouvoilat a écrit :
Les matheux calculeront à partir de quelle ouverture, la diffraction aidant, le nirvana des 15 et 18 megapixels retombe comme un soufflé, et par là-même la prétendue supériorité de L'APS-C.
Il y a un site très bien fait qui permet le calcul à partir de données réalistes :
On y apprend qu'un 16 Mpixels permet d'obtenir des A3 dont la définition n'est pas limitée par la diffraction avec une ouverture de F/8. Perso, sam'suffit...
Une analyse détaillée pour les intrépides, où on apprend que le pouvoir de résolution est fonction de la densité du capteur, ce dont on se doutait un peu, mais pas obligatoirement à ses dimensions.
Sauf qu'on ne peut pas accéder aux photos pour le voir soi-même :-(
Oui, mais la préférence pour l'APS-C est conditionnée avant tout pour la relative accessibilité de son prix et celui exhorbitant des téléobjectifs de qualité (F>400mm) que par une réelle supériorité en matière d'usage des longues focales, lequel argument ressemble plus à une consolation qu'à un fait réellement constaté. Un vrai argument d'économiste pour qui n'importe quelle conjecture peut être favorable si on sait la tourner à son avantage. En photo aussi être fauché peut avoir du bon si on a le placebo ad hoc.
La photo, comme la plupart des activités humaines est affaire de compromis. Et pour l'instant, pour la plupart des photographes, le meilleur reste l'APS-C amha. Surtout pour faire de la prise de vue à distance avec un téléobjectif.
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
Le 19/04/2011 10:39, Marechal Nouvoilat a écrit :
Les matheux calculeront à partir de quelle ouverture, la
diffraction aidant,
le nirvana des 15 et 18 megapixels retombe comme un soufflé,
et par là-même
la prétendue supériorité de L'APS-C.
Il y a un site très bien fait qui permet le calcul à partir
de données réalistes :
On y apprend qu'un 16 Mpixels permet d'obtenir des A3 dont
la définition n'est pas limitée par la diffraction avec une
ouverture de F/8.
Perso, sam'suffit...
Une analyse détaillée pour les intrépides, où on apprend que
le pouvoir
de résolution est fonction de la densité du capteur, ce dont
on se doutait
un peu, mais pas obligatoirement à ses dimensions.
Sauf qu'on ne peut pas accéder aux photos pour le voir
soi-même :-(
Oui, mais la préférence pour l'APS-C est conditionnée avant
tout
pour la relative accessibilité de son prix et celui exhorbitant
des téléobjectifs de qualité (F>400mm) que par une réelle
supériorité
en matière d'usage des longues focales, lequel argument
ressemble plus à
une consolation qu'à un fait réellement constaté.
Un vrai argument d'économiste pour qui n'importe quelle
conjecture
peut être favorable si on sait la tourner à son avantage.
En photo aussi être fauché peut avoir du bon si on a le
placebo ad hoc.
La photo, comme la plupart des activités humaines est
affaire de compromis. Et pour l'instant, pour la plupart des
photographes, le meilleur reste l'APS-C amha. Surtout pour
faire de la prise de vue à distance avec un téléobjectif.
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubnumericable.com
enlever sanspub pour m'écrire...
Les matheux calculeront à partir de quelle ouverture, la diffraction aidant, le nirvana des 15 et 18 megapixels retombe comme un soufflé, et par là-même la prétendue supériorité de L'APS-C.
Il y a un site très bien fait qui permet le calcul à partir de données réalistes :
On y apprend qu'un 16 Mpixels permet d'obtenir des A3 dont la définition n'est pas limitée par la diffraction avec une ouverture de F/8. Perso, sam'suffit...
Une analyse détaillée pour les intrépides, où on apprend que le pouvoir de résolution est fonction de la densité du capteur, ce dont on se doutait un peu, mais pas obligatoirement à ses dimensions.
Sauf qu'on ne peut pas accéder aux photos pour le voir soi-même :-(
Oui, mais la préférence pour l'APS-C est conditionnée avant tout pour la relative accessibilité de son prix et celui exhorbitant des téléobjectifs de qualité (F>400mm) que par une réelle supériorité en matière d'usage des longues focales, lequel argument ressemble plus à une consolation qu'à un fait réellement constaté. Un vrai argument d'économiste pour qui n'importe quelle conjecture peut être favorable si on sait la tourner à son avantage. En photo aussi être fauché peut avoir du bon si on a le placebo ad hoc.
La photo, comme la plupart des activités humaines est affaire de compromis. Et pour l'instant, pour la plupart des photographes, le meilleur reste l'APS-C amha. Surtout pour faire de la prise de vue à distance avec un téléobjectif.
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
Vista
Jean-Pierre Roche avait énoncé :
Tu étais à quelle distance ? avec un 300 mm, je sais bien que les oiseaux ont de bons yeux, mais je suis quand même étonné.
Tu peux vérifier les exif, c'est bien 300. J'étais en léger surplomb, je dirai à environ 6 mètres. (l'EOS 400D est un APS-C, facteur 1.6)
300 mm, en photo animalière c'est court... Et puis même avec des focales plus longues l'approche reste indispensable,
Tranquillement et patiemment ... La photo perd vite de son intérêt si le sujet est dérangé.
les oiseaux te repèrent bien avant que tu puisses les cadrer convenablement
Tout à fait, et particulièrement dans leur environnement naturel. Dans un parc, l'habitude est là, et l'approche est plus facile.
avec un 500 mm, même monté sur un reflex APS-C ce qui fait tout de même un équivalent 750 mm...
300 -> 480 mm dans le cas présent
vista
Jean-Pierre Roche avait énoncé :
Tu étais à quelle distance ?
avec un 300 mm, je sais bien que les oiseaux ont de bons
yeux, mais je suis quand même étonné.
Tu peux vérifier les exif, c'est bien 300. J'étais en léger surplomb,
je dirai à environ 6 mètres. (l'EOS 400D est un APS-C, facteur 1.6)
300 mm, en photo animalière c'est court...
Et puis même avec des focales plus longues l'approche reste indispensable,
Tranquillement et patiemment ... La photo perd vite de son intérêt si
le sujet est dérangé.
les oiseaux te repèrent bien avant que tu puisses les cadrer convenablement
Tout à fait, et particulièrement dans leur environnement naturel. Dans
un parc, l'habitude est là, et l'approche est plus facile.
avec un 500 mm, même monté sur un reflex APS-C ce qui fait tout de même un
équivalent 750 mm...
Tu étais à quelle distance ? avec un 300 mm, je sais bien que les oiseaux ont de bons yeux, mais je suis quand même étonné.
Tu peux vérifier les exif, c'est bien 300. J'étais en léger surplomb, je dirai à environ 6 mètres. (l'EOS 400D est un APS-C, facteur 1.6)
300 mm, en photo animalière c'est court... Et puis même avec des focales plus longues l'approche reste indispensable,
Tranquillement et patiemment ... La photo perd vite de son intérêt si le sujet est dérangé.
les oiseaux te repèrent bien avant que tu puisses les cadrer convenablement
Tout à fait, et particulièrement dans leur environnement naturel. Dans un parc, l'habitude est là, et l'approche est plus facile.
avec un 500 mm, même monté sur un reflex APS-C ce qui fait tout de même un équivalent 750 mm...
300 -> 480 mm dans le cas présent
vista
Vista
Après mûre réflexion, markorki a écrit :
Le plumage "blanc" n'est souvent blanc que sous le soleil, et par contraste avec un décor plus sombre. Les graminées qui masquent l'arrière de la tête me paraissent très correctement exposées, pour des valeurs moyennes.
Merci de ton commentaire. Pour abonder en remettant la photo dans son contexte, cette femelle cygne est entrain de couver, et donc par conséquence beaucoup moins "propre et blanche" qu'un cygne sans cette contrainte ponctuelle.
vista
Après mûre réflexion, markorki a écrit :
Le plumage "blanc" n'est souvent blanc que sous le soleil, et par contraste
avec un décor plus sombre.
Les graminées qui masquent l'arrière de la tête me paraissent très
correctement exposées, pour des valeurs moyennes.
Merci de ton commentaire.
Pour abonder en remettant la photo dans son contexte, cette femelle
cygne est entrain de couver, et donc par conséquence beaucoup moins
"propre et blanche" qu'un cygne sans cette contrainte ponctuelle.
Le plumage "blanc" n'est souvent blanc que sous le soleil, et par contraste avec un décor plus sombre. Les graminées qui masquent l'arrière de la tête me paraissent très correctement exposées, pour des valeurs moyennes.
Merci de ton commentaire. Pour abonder en remettant la photo dans son contexte, cette femelle cygne est entrain de couver, et donc par conséquence beaucoup moins "propre et blanche" qu'un cygne sans cette contrainte ponctuelle.
vista
Ghost-Rider
Le 18/04/2011 10:56, delestaque a écrit :
Et aussi comme quoi, un cygne blanc, ce n'est pas forcément un plâtras blanc, creux, sans détail.
C'est ce que je me tue à dire mais personne n'écoute ! http://cjoint.com/11av/ADvoaVYMS4g_Cygne_Noir.jpg
-- Ghost Rider
"Aimez-vous les uns les autres". Jésus-Christ
Le 18/04/2011 10:56, delestaque a écrit :
Et aussi comme quoi, un cygne blanc, ce n'est pas forcément un plâtras
blanc, creux, sans détail.
C'est ce que je me tue à dire mais personne n'écoute !
http://cjoint.com/11av/ADvoaVYMS4g_Cygne_Noir.jpg