Mais non, vous n'admettez pas la latitude dont dispose le juge pour se
forger sa conviction.
Quoiqu'il en soit je remets simplement dans le contexte l'intérêt de ne
pas négliger les documents numériques pour différents prétextes.
C'est assurément s'exposer à des désillutions ultérieures.
Mais non, vous n'admettez pas la latitude dont dispose le juge pour se
forger sa conviction.
Quoiqu'il en soit je remets simplement dans le contexte l'intérêt de ne
pas négliger les documents numériques pour différents prétextes.
C'est assurément s'exposer à des désillutions ultérieures.
Mais non, vous n'admettez pas la latitude dont dispose le juge pour se
forger sa conviction.
Quoiqu'il en soit je remets simplement dans le contexte l'intérêt de ne
pas négliger les documents numériques pour différents prétextes.
C'est assurément s'exposer à des désillutions ultérieures.
On Tue, 19 Feb 2008 15:31:05 +0100, Moisse wrote:Mais non, vous n'admettez pas la latitude dont dispose le juge pour
se forger sa conviction.
Quoiqu'il en soit je remets simplement dans le contexte l'intérêt de
ne pas négliger les documents numériques pour différents prétextes.
C'est assurément s'exposer à des désillutions ultérieures.
Comme document numérique, un message sans les headers a exactement
la même valeur que s'il était écrit sur du papier par celui qui
fournit le document, il peut avoir été écrit par n'importe qui.
Qu'un juge l'apprécie comme il veut, c'est lui qui voit...
J'ai simplement dit que je n'y accorderais aucune attention /en tant
que preuve/, puisqu'il s'agit du sujet de ce fil.
Que ce soit un élément pour un juge pour se forger une conviction,
c'est le problème de la justice, pas le mien. C'est pour moi une
incitation à faire des faux pour gonfler son dossier.
On Tue, 19 Feb 2008 15:31:05 +0100, Moisse wrote:
Mais non, vous n'admettez pas la latitude dont dispose le juge pour
se forger sa conviction.
Quoiqu'il en soit je remets simplement dans le contexte l'intérêt de
ne pas négliger les documents numériques pour différents prétextes.
C'est assurément s'exposer à des désillutions ultérieures.
Comme document numérique, un message sans les headers a exactement
la même valeur que s'il était écrit sur du papier par celui qui
fournit le document, il peut avoir été écrit par n'importe qui.
Qu'un juge l'apprécie comme il veut, c'est lui qui voit...
J'ai simplement dit que je n'y accorderais aucune attention /en tant
que preuve/, puisqu'il s'agit du sujet de ce fil.
Que ce soit un élément pour un juge pour se forger une conviction,
c'est le problème de la justice, pas le mien. C'est pour moi une
incitation à faire des faux pour gonfler son dossier.
On Tue, 19 Feb 2008 15:31:05 +0100, Moisse wrote:Mais non, vous n'admettez pas la latitude dont dispose le juge pour
se forger sa conviction.
Quoiqu'il en soit je remets simplement dans le contexte l'intérêt de
ne pas négliger les documents numériques pour différents prétextes.
C'est assurément s'exposer à des désillutions ultérieures.
Comme document numérique, un message sans les headers a exactement
la même valeur que s'il était écrit sur du papier par celui qui
fournit le document, il peut avoir été écrit par n'importe qui.
Qu'un juge l'apprécie comme il veut, c'est lui qui voit...
J'ai simplement dit que je n'y accorderais aucune attention /en tant
que preuve/, puisqu'il s'agit du sujet de ce fil.
Que ce soit un élément pour un juge pour se forger une conviction,
c'est le problème de la justice, pas le mien. C'est pour moi une
incitation à faire des faux pour gonfler son dossier.
Dans le message , Rémi
Fasollasi exprime ceci:On Tue, 19 Feb 2008 15:31:05 +0100, Moisse wrote:Mais non, vous n'admettez pas la latitude dont dispose le juge pour
se forger sa conviction.
Quoiqu'il en soit je remets simplement dans le contexte l'intérêt de
ne pas négliger les documents numériques pour différents prétextes.
C'est assurément s'exposer à des désillutions ultérieures.
Comme document numérique, un message sans les headers a exactement
la même valeur que s'il était écrit sur du papier par celui qui
fournit le document, il peut avoir été écrit par n'importe qui.
Qu'un juge l'apprécie comme il veut, c'est lui qui voit...
J'ai simplement dit que je n'y accorderais aucune attention /en tant
que preuve/, puisqu'il s'agit du sujet de ce fil.
Mais j'insiste, vous pourriez aller aux devant de graves désillusions
puisque je vous répète que le juge peut accepter le document comme une
preuve.Que ce soit un élément pour un juge pour se forger une conviction,
c'est le problème de la justice, pas le mien. C'est pour moi une
incitation à faire des faux pour gonfler son dossier.
Peut-être, mais à charge pour vous de prouver le faux ou le faire
écarter du dossier.
C'est facile ou difficile ou impossible. Dans ce dernier cas ce n'est
plus un faux.
A+
--?
Moisse
Nospam : sans doute
Dans le message pan.2008.02.20.08.37.08.78000@invalid.invalid, Rémi
Fasollasi <invalid@invalid.invalid> exprime ceci:
On Tue, 19 Feb 2008 15:31:05 +0100, Moisse wrote:
Mais non, vous n'admettez pas la latitude dont dispose le juge pour
se forger sa conviction.
Quoiqu'il en soit je remets simplement dans le contexte l'intérêt de
ne pas négliger les documents numériques pour différents prétextes.
C'est assurément s'exposer à des désillutions ultérieures.
Comme document numérique, un message sans les headers a exactement
la même valeur que s'il était écrit sur du papier par celui qui
fournit le document, il peut avoir été écrit par n'importe qui.
Qu'un juge l'apprécie comme il veut, c'est lui qui voit...
J'ai simplement dit que je n'y accorderais aucune attention /en tant
que preuve/, puisqu'il s'agit du sujet de ce fil.
Mais j'insiste, vous pourriez aller aux devant de graves désillusions
puisque je vous répète que le juge peut accepter le document comme une
preuve.
Que ce soit un élément pour un juge pour se forger une conviction,
c'est le problème de la justice, pas le mien. C'est pour moi une
incitation à faire des faux pour gonfler son dossier.
Peut-être, mais à charge pour vous de prouver le faux ou le faire
écarter du dossier.
C'est facile ou difficile ou impossible. Dans ce dernier cas ce n'est
plus un faux.
A+
--?
Moisse
Nospam : sans doute
moisse@douteifrance.com
Dans le message , Rémi
Fasollasi exprime ceci:On Tue, 19 Feb 2008 15:31:05 +0100, Moisse wrote:Mais non, vous n'admettez pas la latitude dont dispose le juge pour
se forger sa conviction.
Quoiqu'il en soit je remets simplement dans le contexte l'intérêt de
ne pas négliger les documents numériques pour différents prétextes.
C'est assurément s'exposer à des désillutions ultérieures.
Comme document numérique, un message sans les headers a exactement
la même valeur que s'il était écrit sur du papier par celui qui
fournit le document, il peut avoir été écrit par n'importe qui.
Qu'un juge l'apprécie comme il veut, c'est lui qui voit...
J'ai simplement dit que je n'y accorderais aucune attention /en tant
que preuve/, puisqu'il s'agit du sujet de ce fil.
Mais j'insiste, vous pourriez aller aux devant de graves désillusions
puisque je vous répète que le juge peut accepter le document comme une
preuve.Que ce soit un élément pour un juge pour se forger une conviction,
c'est le problème de la justice, pas le mien. C'est pour moi une
incitation à faire des faux pour gonfler son dossier.
Peut-être, mais à charge pour vous de prouver le faux ou le faire
écarter du dossier.
C'est facile ou difficile ou impossible. Dans ce dernier cas ce n'est
plus un faux.
A+
--?
Moisse
Nospam : sans doute
Mais j'insiste, vous pourriez aller aux devant de graves désillusions
puisque je vous répète que le juge peut accepter le document comme une
preuve.
Que ce soit un élément pour un juge pour se forger une conviction,
c'est le problème de la justice, pas le mien. C'est pour moi une
incitation à faire des faux pour gonfler son dossier.
Peut-être, mais à charge pour vous de prouver le faux ou le faire
écarter du dossier.
C'est facile ou difficile ou impossible.
Dans ce dernier cas ce n'est plus un faux.
Mais j'insiste, vous pourriez aller aux devant de graves désillusions
puisque je vous répète que le juge peut accepter le document comme une
preuve.
Que ce soit un élément pour un juge pour se forger une conviction,
c'est le problème de la justice, pas le mien. C'est pour moi une
incitation à faire des faux pour gonfler son dossier.
Peut-être, mais à charge pour vous de prouver le faux ou le faire
écarter du dossier.
C'est facile ou difficile ou impossible.
Dans ce dernier cas ce n'est plus un faux.
Mais j'insiste, vous pourriez aller aux devant de graves désillusions
puisque je vous répète que le juge peut accepter le document comme une
preuve.
Que ce soit un élément pour un juge pour se forger une conviction,
c'est le problème de la justice, pas le mien. C'est pour moi une
incitation à faire des faux pour gonfler son dossier.
Peut-être, mais à charge pour vous de prouver le faux ou le faire
écarter du dossier.
C'est facile ou difficile ou impossible.
Dans ce dernier cas ce n'est plus un faux.
Que ce soit un élément pour un juge pour se forger une conviction,
c'est le problème de la justice, pas le mien. C'est pour moi une
incitation à faire des faux pour gonfler son dossier.
Peut-être, mais à charge pour vous de prouver le faux ou le faire
écarter du dossier.
C'est facile ou difficile ou impossible. Dans ce dernier cas ce n'est
plus un faux.
Question pour Moisse surtout
Si l'écrit est juste composé d'un pseudo qui n'identifie pas la
personne nominativement par exemple pseudo youplaboum et que c'est une
récupération d'un forum avec le pseudo d'un tas d'autres intervenants
tous avec des pseudos qui ne ressemblent à rien... Il n'y a rien
d'autre comme info.
Est-ce recevable ?
J'ai demandé aussi, s'il n'y avait pas un délai à respecter entre le
jour où l'écrit est fait et imprimé et le jour de la plainte ?
Que ce soit un élément pour un juge pour se forger une conviction,
c'est le problème de la justice, pas le mien. C'est pour moi une
incitation à faire des faux pour gonfler son dossier.
Peut-être, mais à charge pour vous de prouver le faux ou le faire
écarter du dossier.
C'est facile ou difficile ou impossible. Dans ce dernier cas ce n'est
plus un faux.
Question pour Moisse surtout
Si l'écrit est juste composé d'un pseudo qui n'identifie pas la
personne nominativement par exemple pseudo youplaboum et que c'est une
récupération d'un forum avec le pseudo d'un tas d'autres intervenants
tous avec des pseudos qui ne ressemblent à rien... Il n'y a rien
d'autre comme info.
Est-ce recevable ?
J'ai demandé aussi, s'il n'y avait pas un délai à respecter entre le
jour où l'écrit est fait et imprimé et le jour de la plainte ?
Que ce soit un élément pour un juge pour se forger une conviction,
c'est le problème de la justice, pas le mien. C'est pour moi une
incitation à faire des faux pour gonfler son dossier.
Peut-être, mais à charge pour vous de prouver le faux ou le faire
écarter du dossier.
C'est facile ou difficile ou impossible. Dans ce dernier cas ce n'est
plus un faux.
Question pour Moisse surtout
Si l'écrit est juste composé d'un pseudo qui n'identifie pas la
personne nominativement par exemple pseudo youplaboum et que c'est une
récupération d'un forum avec le pseudo d'un tas d'autres intervenants
tous avec des pseudos qui ne ressemblent à rien... Il n'y a rien
d'autre comme info.
Est-ce recevable ?
J'ai demandé aussi, s'il n'y avait pas un délai à respecter entre le
jour où l'écrit est fait et imprimé et le jour de la plainte ?
Peut-être, mais à charge pour vous de prouver le faux ou le faire
écarter du dossier.
Pour moi qui ne réfléchit pas beaucoup, les choses sont simples :
Montrer un document qui ne peut être authentifié en en attribuant
l'origine à une personne revient à dire "untel a dit cela" sans en
apporter aucune preuve.
Le juge peut en tirer les conclusions qu'ils veut, c'est son boulot,
mais je ne vois pas de raison pour laquelle il accorderait plus de
crédit à
un élément non authentifiable plutôt qu'à un autre en fonction du
support de ce document.C'est facile ou difficile ou impossible.
Vous ne me laissez guère de marge de manoeuvre pour vous contredire.Dans ce dernier cas ce n'est plus un faux.
Ce que vous dites est très intéressant dans ses implications en
logique formelle et ses rapports avec la réalité sensible, c'est
réellement
très intéressant.
Pour simplifier, dans les logiques conventionnelles, une proposition
est soit vraie soit fausse, dans les applications de ces logiques,
par exemple en informatique par des langages tels que prolog, la
vérité est définie dans un ensemble {0, 1} et est considéré comme
faux ce qui n'est pas vérifié. C'est limité, mais l'approche est
utile pour certains
problèmes.
Votre contribution introduit une nouvelle manière de considérer la
notion de vérité en disant que ce qui n'est pas faux est vrai, ce qui
peut aussi avoir une utilité, comme il n'est pas faux qu'il n'a pas
été prouvé que mon chien n'a pas la rage, je peux m'en débarasser.
C'est quand même dégueulasse de se débarasser de son chien
Peut-être, mais à charge pour vous de prouver le faux ou le faire
écarter du dossier.
Pour moi qui ne réfléchit pas beaucoup, les choses sont simples :
Montrer un document qui ne peut être authentifié en en attribuant
l'origine à une personne revient à dire "untel a dit cela" sans en
apporter aucune preuve.
Le juge peut en tirer les conclusions qu'ils veut, c'est son boulot,
mais je ne vois pas de raison pour laquelle il accorderait plus de
crédit à
un élément non authentifiable plutôt qu'à un autre en fonction du
support de ce document.
C'est facile ou difficile ou impossible.
Vous ne me laissez guère de marge de manoeuvre pour vous contredire.
Dans ce dernier cas ce n'est plus un faux.
Ce que vous dites est très intéressant dans ses implications en
logique formelle et ses rapports avec la réalité sensible, c'est
réellement
très intéressant.
Pour simplifier, dans les logiques conventionnelles, une proposition
est soit vraie soit fausse, dans les applications de ces logiques,
par exemple en informatique par des langages tels que prolog, la
vérité est définie dans un ensemble {0, 1} et est considéré comme
faux ce qui n'est pas vérifié. C'est limité, mais l'approche est
utile pour certains
problèmes.
Votre contribution introduit une nouvelle manière de considérer la
notion de vérité en disant que ce qui n'est pas faux est vrai, ce qui
peut aussi avoir une utilité, comme il n'est pas faux qu'il n'a pas
été prouvé que mon chien n'a pas la rage, je peux m'en débarasser.
C'est quand même dégueulasse de se débarasser de son chien
Peut-être, mais à charge pour vous de prouver le faux ou le faire
écarter du dossier.
Pour moi qui ne réfléchit pas beaucoup, les choses sont simples :
Montrer un document qui ne peut être authentifié en en attribuant
l'origine à une personne revient à dire "untel a dit cela" sans en
apporter aucune preuve.
Le juge peut en tirer les conclusions qu'ils veut, c'est son boulot,
mais je ne vois pas de raison pour laquelle il accorderait plus de
crédit à
un élément non authentifiable plutôt qu'à un autre en fonction du
support de ce document.C'est facile ou difficile ou impossible.
Vous ne me laissez guère de marge de manoeuvre pour vous contredire.Dans ce dernier cas ce n'est plus un faux.
Ce que vous dites est très intéressant dans ses implications en
logique formelle et ses rapports avec la réalité sensible, c'est
réellement
très intéressant.
Pour simplifier, dans les logiques conventionnelles, une proposition
est soit vraie soit fausse, dans les applications de ces logiques,
par exemple en informatique par des langages tels que prolog, la
vérité est définie dans un ensemble {0, 1} et est considéré comme
faux ce qui n'est pas vérifié. C'est limité, mais l'approche est
utile pour certains
problèmes.
Votre contribution introduit une nouvelle manière de considérer la
notion de vérité en disant que ce qui n'est pas faux est vrai, ce qui
peut aussi avoir une utilité, comme il n'est pas faux qu'il n'a pas
été prouvé que mon chien n'a pas la rage, je peux m'en débarasser.
C'est quand même dégueulasse de se débarasser de son chien
De mon temps en prépa, on parlait aussi de la théorie des ensembles
flous.
Je ne sais pas où cela en est, mais on pouvait considérer en gros qu'il
pouvait exister quelque chose entre Zéro et Un.
Votre contribution introduit une nouvelle manière de considérer la
notion de vérité en disant que ce qui n'est pas faux est vrai, ce qui
peut aussi avoir une utilité, comme il n'est pas faux qu'il n'a pas
été prouvé que mon chien n'a pas la rage, je peux m'en débarasser.
Ce n'est pas mon raisonnement.
Un exemple : il existait auparavant la certification d'un duplicata par
une autorité prouvant la conformité au document original.
Cette procédure a disparu, la copie est censée être identique à
l'original jusqu'à que quelqu'un prouve le contraire.
C'est quand même dégueulasse de se débarasser de son chien
????
De mon temps en prépa, on parlait aussi de la théorie des ensembles
flous.
Je ne sais pas où cela en est, mais on pouvait considérer en gros qu'il
pouvait exister quelque chose entre Zéro et Un.
Votre contribution introduit une nouvelle manière de considérer la
notion de vérité en disant que ce qui n'est pas faux est vrai, ce qui
peut aussi avoir une utilité, comme il n'est pas faux qu'il n'a pas
été prouvé que mon chien n'a pas la rage, je peux m'en débarasser.
Ce n'est pas mon raisonnement.
Un exemple : il existait auparavant la certification d'un duplicata par
une autorité prouvant la conformité au document original.
Cette procédure a disparu, la copie est censée être identique à
l'original jusqu'à que quelqu'un prouve le contraire.
C'est quand même dégueulasse de se débarasser de son chien
????
De mon temps en prépa, on parlait aussi de la théorie des ensembles
flous.
Je ne sais pas où cela en est, mais on pouvait considérer en gros qu'il
pouvait exister quelque chose entre Zéro et Un.
Votre contribution introduit une nouvelle manière de considérer la
notion de vérité en disant que ce qui n'est pas faux est vrai, ce qui
peut aussi avoir une utilité, comme il n'est pas faux qu'il n'a pas
été prouvé que mon chien n'a pas la rage, je peux m'en débarasser.
Ce n'est pas mon raisonnement.
Un exemple : il existait auparavant la certification d'un duplicata par
une autorité prouvant la conformité au document original.
Cette procédure a disparu, la copie est censée être identique à
l'original jusqu'à que quelqu'un prouve le contraire.
C'est quand même dégueulasse de se débarasser de son chien
????
Notre différence dans la compréhension du problème est peut-être dans
l'acception de "recevabilité d'une preuve". Arrêtez-moi si je me
trompe, mais selon vous on peut apporter un élément qualifié de
preuve sans
qu'il soit vérifié.
Dans ce cas la charge de la preuve serait inversée ? Ou suffirait-il
de nier cette preuve, à charge de celui qui la fournit de montrer sa
validité ?
Si par exemple, une personne produit un texte en disant que c'est un
email dont il n'a pas pensé garder les headers et dans lequel, chose
fantastique, je lui ferais cadeau de l'argent qu'il me doit. Est-ce
suffisant de nier l'avoir envoyé
comment, que je ne l'ai jamais envoyé ?
C'est quand même dégueulasse de se débarasser de son chien
????
C'est pas grave... :-)
Enfin si c'est quand même dégueulasse.
Notre différence dans la compréhension du problème est peut-être dans
l'acception de "recevabilité d'une preuve". Arrêtez-moi si je me
trompe, mais selon vous on peut apporter un élément qualifié de
preuve sans
qu'il soit vérifié.
Dans ce cas la charge de la preuve serait inversée ? Ou suffirait-il
de nier cette preuve, à charge de celui qui la fournit de montrer sa
validité ?
Si par exemple, une personne produit un texte en disant que c'est un
email dont il n'a pas pensé garder les headers et dans lequel, chose
fantastique, je lui ferais cadeau de l'argent qu'il me doit. Est-ce
suffisant de nier l'avoir envoyé
comment, que je ne l'ai jamais envoyé ?
C'est quand même dégueulasse de se débarasser de son chien
????
C'est pas grave... :-)
Enfin si c'est quand même dégueulasse.
Notre différence dans la compréhension du problème est peut-être dans
l'acception de "recevabilité d'une preuve". Arrêtez-moi si je me
trompe, mais selon vous on peut apporter un élément qualifié de
preuve sans
qu'il soit vérifié.
Dans ce cas la charge de la preuve serait inversée ? Ou suffirait-il
de nier cette preuve, à charge de celui qui la fournit de montrer sa
validité ?
Si par exemple, une personne produit un texte en disant que c'est un
email dont il n'a pas pensé garder les headers et dans lequel, chose
fantastique, je lui ferais cadeau de l'argent qu'il me doit. Est-ce
suffisant de nier l'avoir envoyé
comment, que je ne l'ai jamais envoyé ?
C'est quand même dégueulasse de se débarasser de son chien
????
C'est pas grave... :-)
Enfin si c'est quand même dégueulasse.
Si par exemple, une personne produit un texte en disant que c'est un
email dont il n'a pas pensé garder les headers et dans lequel, chose
fantastique, je lui ferais cadeau de l'argent qu'il me doit. Est-ce
suffisant de nier l'avoir envoyé
Oui
ou dois-je prouver, je ne sais
comment, que je ne l'ai jamais envoyé ?
On ne peut pas prouver l'inexistance.
Si par exemple, une personne produit un texte en disant que c'est un
email dont il n'a pas pensé garder les headers et dans lequel, chose
fantastique, je lui ferais cadeau de l'argent qu'il me doit. Est-ce
suffisant de nier l'avoir envoyé
Oui
ou dois-je prouver, je ne sais
comment, que je ne l'ai jamais envoyé ?
On ne peut pas prouver l'inexistance.
Si par exemple, une personne produit un texte en disant que c'est un
email dont il n'a pas pensé garder les headers et dans lequel, chose
fantastique, je lui ferais cadeau de l'argent qu'il me doit. Est-ce
suffisant de nier l'avoir envoyé
Oui
ou dois-je prouver, je ne sais
comment, que je ne l'ai jamais envoyé ?
On ne peut pas prouver l'inexistance.
Bonjour.Quelle peut être l'attitude d'un juge face à une preuve dite
electronique? la preuve electronique peut-elle être admise au même
titre que la preuve écrite.
Bonjour.Quelle peut être l'attitude d'un juge face à une preuve dite
electronique? la preuve electronique peut-elle être admise au même
titre que la preuve écrite.
Bonjour.Quelle peut être l'attitude d'un juge face à une preuve dite
electronique? la preuve electronique peut-elle être admise au même
titre que la preuve écrite.