Bonsoir à tous !
Un "banal" problème de voisinage :
Le fils de mon voisin (40 ans quand même le jeunôt), est le prototype du
parasite social : alcoolique, toxicomane, vivant aux crochets de son
père (il vit chez lui), de sa mère (elle vient régulièrement lui acheter
de la bouffe), et de la société par le biais du RMI et de la CMU (je ne
l'invente pas : c'est lui même qui me l'a hurlé une nuit vers 3 heures
du matin alors qu'il rentrait ivre comme la plupart des soirs quand son
papa est absent).
Bref, ce sympathique personnage rentre environ 4 nuit par semaine chez
lui - enfin chez son père - de sa cuite vespérale en "conduisant" sa
mobylette (mais il est casqué, probablement pour protéger l'unique
neurone non cirrhosé qui lui reste). A son arrivée dans l'impasse (vers
les 2-3 heures du matin), il se place devant mon portail (ou celui d'un
des autres habitants de l'impasse, mais dernièrement il montre une nette
préférence pour mon portillon...) et hurle des insultes et des
provocations - parfois des menaces de mort à l'aide d'une "22"-,
espérant qu'un jour je sortirais pour lui défoncer la mâchoire. Plutôt
du genre stoïque (il doit mesurer 1m-12 et peser 50kg tout mouillé ; je
dois en faire le double car j'ai plutôt la carrure d'un pilier de
rugby - poste que j'ai d'ailleurs occupé un temps), je me garde bien de
réagir. Probablement vexé - mais ça peut durer des heures -(et le larynx
peut-être fatigué) il rentre alors chez lui et fait hurler de la musique
(de 5 à 45 minutes en moyenne). Hier soir ça n'a été que 5 minutes et du
(bon) Joe Cocker : ça n'a donc pas réveillé mon fils âgé de 3
semaines...
J'ai décidé de ne pas commettre de nouveau l'erreur de demander aux
gendarmes de se déplacer : les rares fois ou ceux -ci l'ont fait, ils
n'ont réussi qu'à énerver le bonhomme avant de repartir la queue basse
1/2 heure après, me laissant l'autre galvanisé par son succés à avoir
fait fuir "même les gendarmes"... Sur le quartier nous devons en être à
une dizaine de plaintes : même le maire du village est au courant (pour
ceux qui ne l'auraient pas compris j'habite en province ;-) ).
Les mêmes gendarmes appelés hier soir m'ont conseillé de porter plainte
à chaque fois pour tapage ("parce que vous comprenez, on a souvent autre
chose à faire que de régler des problèmes de tapage..."), ces plaintes
répétées devant amener le procureur à réagir...
Donc mes questions :
- ces plaintes répétées peuvent-elles réellement amener le procureur à
réagir, et si oui de quelle façon (si c'est une simple amende, le gugus
n'étant pas solvable...) ?
- les plaintes pour tapage nocturne seront-elles suffisantes et quelles
sont les sanctions prévues pour ce type de problème ?
- puis-je "alourdir" le dossier (et y ai-je intérêt) en portant plainte
en plus pour "ivresse sur la voie publique" et "conduite en état
d'ivresse", sachant que bien évidemment, aucun gendarme ne viendra faire
le planton dans mon impasse pour constater les faits ?
- étant médecin, une hospitalisation d'office ou à la demande d'un tiers
est-elle envisageable dans ce contexte ?
- ai-je une autre solution à long terme (en dehors du déménagement ou de
l'isolation phonique parfaite avec climatisation - il fait 35° à l'ombre
en été dans ma région) que de défoncer la mâchoire - pour qu'il arrête
de hurler - et de fracasser les mains -pour l'empêcher d'allumer sa
chaine stéréo- du fils de mon voisin, actes qui bien sûr m'ameneront -
moi - directement en prison ?
Désolé pour la longueur (mais je préfère en rire pour l'instant, tant
qu'il ne réveille pas mon gosse...) et merci pour vos réponses !
Bonsoir à tous !
Un "banal" problème de voisinage :
Le fils de mon voisin (40 ans quand même le jeunôt), est le prototype du
parasite social : alcoolique, toxicomane, vivant aux crochets de son
père (il vit chez lui), de sa mère (elle vient régulièrement lui acheter
de la bouffe), et de la société par le biais du RMI et de la CMU (je ne
l'invente pas : c'est lui même qui me l'a hurlé une nuit vers 3 heures
du matin alors qu'il rentrait ivre comme la plupart des soirs quand son
papa est absent).
Bref, ce sympathique personnage rentre environ 4 nuit par semaine chez
lui - enfin chez son père - de sa cuite vespérale en "conduisant" sa
mobylette (mais il est casqué, probablement pour protéger l'unique
neurone non cirrhosé qui lui reste). A son arrivée dans l'impasse (vers
les 2-3 heures du matin), il se place devant mon portail (ou celui d'un
des autres habitants de l'impasse, mais dernièrement il montre une nette
préférence pour mon portillon...) et hurle des insultes et des
provocations - parfois des menaces de mort à l'aide d'une "22"-,
espérant qu'un jour je sortirais pour lui défoncer la mâchoire. Plutôt
du genre stoïque (il doit mesurer 1m-12 et peser 50kg tout mouillé ; je
dois en faire le double car j'ai plutôt la carrure d'un pilier de
rugby - poste que j'ai d'ailleurs occupé un temps), je me garde bien de
réagir. Probablement vexé - mais ça peut durer des heures -(et le larynx
peut-être fatigué) il rentre alors chez lui et fait hurler de la musique
(de 5 à 45 minutes en moyenne). Hier soir ça n'a été que 5 minutes et du
(bon) Joe Cocker : ça n'a donc pas réveillé mon fils âgé de 3
semaines...
J'ai décidé de ne pas commettre de nouveau l'erreur de demander aux
gendarmes de se déplacer : les rares fois ou ceux -ci l'ont fait, ils
n'ont réussi qu'à énerver le bonhomme avant de repartir la queue basse
1/2 heure après, me laissant l'autre galvanisé par son succés à avoir
fait fuir "même les gendarmes"... Sur le quartier nous devons en être à
une dizaine de plaintes : même le maire du village est au courant (pour
ceux qui ne l'auraient pas compris j'habite en province ;-) ).
Les mêmes gendarmes appelés hier soir m'ont conseillé de porter plainte
à chaque fois pour tapage ("parce que vous comprenez, on a souvent autre
chose à faire que de régler des problèmes de tapage..."), ces plaintes
répétées devant amener le procureur à réagir...
Donc mes questions :
- ces plaintes répétées peuvent-elles réellement amener le procureur à
réagir, et si oui de quelle façon (si c'est une simple amende, le gugus
n'étant pas solvable...) ?
- les plaintes pour tapage nocturne seront-elles suffisantes et quelles
sont les sanctions prévues pour ce type de problème ?
- puis-je "alourdir" le dossier (et y ai-je intérêt) en portant plainte
en plus pour "ivresse sur la voie publique" et "conduite en état
d'ivresse", sachant que bien évidemment, aucun gendarme ne viendra faire
le planton dans mon impasse pour constater les faits ?
- étant médecin, une hospitalisation d'office ou à la demande d'un tiers
est-elle envisageable dans ce contexte ?
- ai-je une autre solution à long terme (en dehors du déménagement ou de
l'isolation phonique parfaite avec climatisation - il fait 35° à l'ombre
en été dans ma région) que de défoncer la mâchoire - pour qu'il arrête
de hurler - et de fracasser les mains -pour l'empêcher d'allumer sa
chaine stéréo- du fils de mon voisin, actes qui bien sûr m'ameneront -
moi - directement en prison ?
Désolé pour la longueur (mais je préfère en rire pour l'instant, tant
qu'il ne réveille pas mon gosse...) et merci pour vos réponses !
Bonsoir à tous !
Un "banal" problème de voisinage :
Le fils de mon voisin (40 ans quand même le jeunôt), est le prototype du
parasite social : alcoolique, toxicomane, vivant aux crochets de son
père (il vit chez lui), de sa mère (elle vient régulièrement lui acheter
de la bouffe), et de la société par le biais du RMI et de la CMU (je ne
l'invente pas : c'est lui même qui me l'a hurlé une nuit vers 3 heures
du matin alors qu'il rentrait ivre comme la plupart des soirs quand son
papa est absent).
Bref, ce sympathique personnage rentre environ 4 nuit par semaine chez
lui - enfin chez son père - de sa cuite vespérale en "conduisant" sa
mobylette (mais il est casqué, probablement pour protéger l'unique
neurone non cirrhosé qui lui reste). A son arrivée dans l'impasse (vers
les 2-3 heures du matin), il se place devant mon portail (ou celui d'un
des autres habitants de l'impasse, mais dernièrement il montre une nette
préférence pour mon portillon...) et hurle des insultes et des
provocations - parfois des menaces de mort à l'aide d'une "22"-,
espérant qu'un jour je sortirais pour lui défoncer la mâchoire. Plutôt
du genre stoïque (il doit mesurer 1m-12 et peser 50kg tout mouillé ; je
dois en faire le double car j'ai plutôt la carrure d'un pilier de
rugby - poste que j'ai d'ailleurs occupé un temps), je me garde bien de
réagir. Probablement vexé - mais ça peut durer des heures -(et le larynx
peut-être fatigué) il rentre alors chez lui et fait hurler de la musique
(de 5 à 45 minutes en moyenne). Hier soir ça n'a été que 5 minutes et du
(bon) Joe Cocker : ça n'a donc pas réveillé mon fils âgé de 3
semaines...
J'ai décidé de ne pas commettre de nouveau l'erreur de demander aux
gendarmes de se déplacer : les rares fois ou ceux -ci l'ont fait, ils
n'ont réussi qu'à énerver le bonhomme avant de repartir la queue basse
1/2 heure après, me laissant l'autre galvanisé par son succés à avoir
fait fuir "même les gendarmes"... Sur le quartier nous devons en être à
une dizaine de plaintes : même le maire du village est au courant (pour
ceux qui ne l'auraient pas compris j'habite en province ;-) ).
Les mêmes gendarmes appelés hier soir m'ont conseillé de porter plainte
à chaque fois pour tapage ("parce que vous comprenez, on a souvent autre
chose à faire que de régler des problèmes de tapage..."), ces plaintes
répétées devant amener le procureur à réagir...
Donc mes questions :
- ces plaintes répétées peuvent-elles réellement amener le procureur à
réagir, et si oui de quelle façon (si c'est une simple amende, le gugus
n'étant pas solvable...) ?
- les plaintes pour tapage nocturne seront-elles suffisantes et quelles
sont les sanctions prévues pour ce type de problème ?
- puis-je "alourdir" le dossier (et y ai-je intérêt) en portant plainte
en plus pour "ivresse sur la voie publique" et "conduite en état
d'ivresse", sachant que bien évidemment, aucun gendarme ne viendra faire
le planton dans mon impasse pour constater les faits ?
- étant médecin, une hospitalisation d'office ou à la demande d'un tiers
est-elle envisageable dans ce contexte ?
- ai-je une autre solution à long terme (en dehors du déménagement ou de
l'isolation phonique parfaite avec climatisation - il fait 35° à l'ombre
en été dans ma région) que de défoncer la mâchoire - pour qu'il arrête
de hurler - et de fracasser les mains -pour l'empêcher d'allumer sa
chaine stéréo- du fils de mon voisin, actes qui bien sûr m'ameneront -
moi - directement en prison ?
Désolé pour la longueur (mais je préfère en rire pour l'instant, tant
qu'il ne réveille pas mon gosse...) et merci pour vos réponses !
Le Savanturier a exprimé avec précision :
> Bonsoir à tous !
>
> Un "banal" problème de voisinage :
>
> Le fils de mon voisin (40 ans quand même le jeunôt), est le prototype du
> parasite social : alcoolique, toxicomane, vivant aux crochets de son
> père (il vit chez lui), de sa mère (elle vient régulièrement lui acheter
> de la bouffe), et de la société par le biais du RMI et de la CMU (je ne
> l'invente pas : c'est lui même qui me l'a hurlé une nuit vers 3 heures
> du matin alors qu'il rentrait ivre comme la plupart des soirs quand son
> papa est absent).
>
> Bref, ce sympathique personnage rentre environ 4 nuit par semaine chez
> lui - enfin chez son père - de sa cuite vespérale en "conduisant" sa
> mobylette (mais il est casqué, probablement pour protéger l'unique
> neurone non cirrhosé qui lui reste). A son arrivée dans l'impasse (vers
> les 2-3 heures du matin), il se place devant mon portail (ou celui d'un
> des autres habitants de l'impasse, mais dernièrement il montre une nette
> préférence pour mon portillon...) et hurle des insultes et des
> provocations - parfois des menaces de mort à l'aide d'une "22"-,
> espérant qu'un jour je sortirais pour lui défoncer la mâchoire. Plutôt
> du genre stoïque (il doit mesurer 1m-12 et peser 50kg tout mouillé ; je
> dois en faire le double car j'ai plutôt la carrure d'un pilier de
> rugby - poste que j'ai d'ailleurs occupé un temps), je me garde bien de
> réagir. Probablement vexé - mais ça peut durer des heures -(et le larynx
> peut-être fatigué) il rentre alors chez lui et fait hurler de la musique
> (de 5 à 45 minutes en moyenne). Hier soir ça n'a été que 5 minutes et du
> (bon) Joe Cocker : ça n'a donc pas réveillé mon fils âgé de 3
> semaines...
>
> J'ai décidé de ne pas commettre de nouveau l'erreur de demander aux
> gendarmes de se déplacer : les rares fois ou ceux -ci l'ont fait, ils
> n'ont réussi qu'à énerver le bonhomme avant de repartir la queue basse
> 1/2 heure après, me laissant l'autre galvanisé par son succés à avoir
> fait fuir "même les gendarmes"... Sur le quartier nous devons en être à
> une dizaine de plaintes : même le maire du village est au courant (pour
> ceux qui ne l'auraient pas compris j'habite en province ;-) ).
>
> Les mêmes gendarmes appelés hier soir m'ont conseillé de porter plainte
> à chaque fois pour tapage ("parce que vous comprenez, on a souvent autre
> chose à faire que de régler des problèmes de tapage..."), ces plaintes
> répétées devant amener le procureur à réagir...
>
> Donc mes questions :
> - ces plaintes répétées peuvent-elles réellement amener le procureur à
> réagir, et si oui de quelle façon (si c'est une simple amende, le gugus
> n'étant pas solvable...) ?
> - les plaintes pour tapage nocturne seront-elles suffisantes et quelles
> sont les sanctions prévues pour ce type de problème ?
> - puis-je "alourdir" le dossier (et y ai-je intérêt) en portant plainte
> en plus pour "ivresse sur la voie publique" et "conduite en état
> d'ivresse", sachant que bien évidemment, aucun gendarme ne viendra faire
> le planton dans mon impasse pour constater les faits ?
> - étant médecin, une hospitalisation d'office ou à la demande d'un tiers
> est-elle envisageable dans ce contexte ?
> - ai-je une autre solution à long terme (en dehors du déménagement ou de
> l'isolation phonique parfaite avec climatisation - il fait 35° à l'ombre
> en été dans ma région) que de défoncer la mâchoire - pour qu'il arrête
> de hurler - et de fracasser les mains -pour l'empêcher d'allumer sa
> chaine stéréo- du fils de mon voisin, actes qui bien sûr m'ameneront -
> moi - directement en prison ?
le faire sans témoin.. il aurait pu tomber de sa mobylette, nan ???
:')
>
> Désolé pour la longueur (mais je préfère en rire pour l'instant, tant
> qu'il ne réveille pas mon gosse...) et merci pour vos réponses !
--
Luuuuuuuuuuuuuuuuuuzzzzzzzzzzzz
Larguer les PLOMBS pour répondre
Le Savanturier a exprimé avec précision :
> Bonsoir à tous !
>
> Un "banal" problème de voisinage :
>
> Le fils de mon voisin (40 ans quand même le jeunôt), est le prototype du
> parasite social : alcoolique, toxicomane, vivant aux crochets de son
> père (il vit chez lui), de sa mère (elle vient régulièrement lui acheter
> de la bouffe), et de la société par le biais du RMI et de la CMU (je ne
> l'invente pas : c'est lui même qui me l'a hurlé une nuit vers 3 heures
> du matin alors qu'il rentrait ivre comme la plupart des soirs quand son
> papa est absent).
>
> Bref, ce sympathique personnage rentre environ 4 nuit par semaine chez
> lui - enfin chez son père - de sa cuite vespérale en "conduisant" sa
> mobylette (mais il est casqué, probablement pour protéger l'unique
> neurone non cirrhosé qui lui reste). A son arrivée dans l'impasse (vers
> les 2-3 heures du matin), il se place devant mon portail (ou celui d'un
> des autres habitants de l'impasse, mais dernièrement il montre une nette
> préférence pour mon portillon...) et hurle des insultes et des
> provocations - parfois des menaces de mort à l'aide d'une "22"-,
> espérant qu'un jour je sortirais pour lui défoncer la mâchoire. Plutôt
> du genre stoïque (il doit mesurer 1m-12 et peser 50kg tout mouillé ; je
> dois en faire le double car j'ai plutôt la carrure d'un pilier de
> rugby - poste que j'ai d'ailleurs occupé un temps), je me garde bien de
> réagir. Probablement vexé - mais ça peut durer des heures -(et le larynx
> peut-être fatigué) il rentre alors chez lui et fait hurler de la musique
> (de 5 à 45 minutes en moyenne). Hier soir ça n'a été que 5 minutes et du
> (bon) Joe Cocker : ça n'a donc pas réveillé mon fils âgé de 3
> semaines...
>
> J'ai décidé de ne pas commettre de nouveau l'erreur de demander aux
> gendarmes de se déplacer : les rares fois ou ceux -ci l'ont fait, ils
> n'ont réussi qu'à énerver le bonhomme avant de repartir la queue basse
> 1/2 heure après, me laissant l'autre galvanisé par son succés à avoir
> fait fuir "même les gendarmes"... Sur le quartier nous devons en être à
> une dizaine de plaintes : même le maire du village est au courant (pour
> ceux qui ne l'auraient pas compris j'habite en province ;-) ).
>
> Les mêmes gendarmes appelés hier soir m'ont conseillé de porter plainte
> à chaque fois pour tapage ("parce que vous comprenez, on a souvent autre
> chose à faire que de régler des problèmes de tapage..."), ces plaintes
> répétées devant amener le procureur à réagir...
>
> Donc mes questions :
> - ces plaintes répétées peuvent-elles réellement amener le procureur à
> réagir, et si oui de quelle façon (si c'est une simple amende, le gugus
> n'étant pas solvable...) ?
> - les plaintes pour tapage nocturne seront-elles suffisantes et quelles
> sont les sanctions prévues pour ce type de problème ?
> - puis-je "alourdir" le dossier (et y ai-je intérêt) en portant plainte
> en plus pour "ivresse sur la voie publique" et "conduite en état
> d'ivresse", sachant que bien évidemment, aucun gendarme ne viendra faire
> le planton dans mon impasse pour constater les faits ?
> - étant médecin, une hospitalisation d'office ou à la demande d'un tiers
> est-elle envisageable dans ce contexte ?
> - ai-je une autre solution à long terme (en dehors du déménagement ou de
> l'isolation phonique parfaite avec climatisation - il fait 35° à l'ombre
> en été dans ma région) que de défoncer la mâchoire - pour qu'il arrête
> de hurler - et de fracasser les mains -pour l'empêcher d'allumer sa
> chaine stéréo- du fils de mon voisin, actes qui bien sûr m'ameneront -
> moi - directement en prison ?
le faire sans témoin.. il aurait pu tomber de sa mobylette, nan ???
:')
>
> Désolé pour la longueur (mais je préfère en rire pour l'instant, tant
> qu'il ne réveille pas mon gosse...) et merci pour vos réponses !
--
Luuuuuuuuuuuuuuuuuuzzzzzzzzzzzz
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Le Savanturier a exprimé avec précision :
> Bonsoir à tous !
>
> Un "banal" problème de voisinage :
>
> Le fils de mon voisin (40 ans quand même le jeunôt), est le prototype du
> parasite social : alcoolique, toxicomane, vivant aux crochets de son
> père (il vit chez lui), de sa mère (elle vient régulièrement lui acheter
> de la bouffe), et de la société par le biais du RMI et de la CMU (je ne
> l'invente pas : c'est lui même qui me l'a hurlé une nuit vers 3 heures
> du matin alors qu'il rentrait ivre comme la plupart des soirs quand son
> papa est absent).
>
> Bref, ce sympathique personnage rentre environ 4 nuit par semaine chez
> lui - enfin chez son père - de sa cuite vespérale en "conduisant" sa
> mobylette (mais il est casqué, probablement pour protéger l'unique
> neurone non cirrhosé qui lui reste). A son arrivée dans l'impasse (vers
> les 2-3 heures du matin), il se place devant mon portail (ou celui d'un
> des autres habitants de l'impasse, mais dernièrement il montre une nette
> préférence pour mon portillon...) et hurle des insultes et des
> provocations - parfois des menaces de mort à l'aide d'une "22"-,
> espérant qu'un jour je sortirais pour lui défoncer la mâchoire. Plutôt
> du genre stoïque (il doit mesurer 1m-12 et peser 50kg tout mouillé ; je
> dois en faire le double car j'ai plutôt la carrure d'un pilier de
> rugby - poste que j'ai d'ailleurs occupé un temps), je me garde bien de
> réagir. Probablement vexé - mais ça peut durer des heures -(et le larynx
> peut-être fatigué) il rentre alors chez lui et fait hurler de la musique
> (de 5 à 45 minutes en moyenne). Hier soir ça n'a été que 5 minutes et du
> (bon) Joe Cocker : ça n'a donc pas réveillé mon fils âgé de 3
> semaines...
>
> J'ai décidé de ne pas commettre de nouveau l'erreur de demander aux
> gendarmes de se déplacer : les rares fois ou ceux -ci l'ont fait, ils
> n'ont réussi qu'à énerver le bonhomme avant de repartir la queue basse
> 1/2 heure après, me laissant l'autre galvanisé par son succés à avoir
> fait fuir "même les gendarmes"... Sur le quartier nous devons en être à
> une dizaine de plaintes : même le maire du village est au courant (pour
> ceux qui ne l'auraient pas compris j'habite en province ;-) ).
>
> Les mêmes gendarmes appelés hier soir m'ont conseillé de porter plainte
> à chaque fois pour tapage ("parce que vous comprenez, on a souvent autre
> chose à faire que de régler des problèmes de tapage..."), ces plaintes
> répétées devant amener le procureur à réagir...
>
> Donc mes questions :
> - ces plaintes répétées peuvent-elles réellement amener le procureur à
> réagir, et si oui de quelle façon (si c'est une simple amende, le gugus
> n'étant pas solvable...) ?
> - les plaintes pour tapage nocturne seront-elles suffisantes et quelles
> sont les sanctions prévues pour ce type de problème ?
> - puis-je "alourdir" le dossier (et y ai-je intérêt) en portant plainte
> en plus pour "ivresse sur la voie publique" et "conduite en état
> d'ivresse", sachant que bien évidemment, aucun gendarme ne viendra faire
> le planton dans mon impasse pour constater les faits ?
> - étant médecin, une hospitalisation d'office ou à la demande d'un tiers
> est-elle envisageable dans ce contexte ?
> - ai-je une autre solution à long terme (en dehors du déménagement ou de
> l'isolation phonique parfaite avec climatisation - il fait 35° à l'ombre
> en été dans ma région) que de défoncer la mâchoire - pour qu'il arrête
> de hurler - et de fracasser les mains -pour l'empêcher d'allumer sa
> chaine stéréo- du fils de mon voisin, actes qui bien sûr m'ameneront -
> moi - directement en prison ?
le faire sans témoin.. il aurait pu tomber de sa mobylette, nan ???
:')
>
> Désolé pour la longueur (mais je préfère en rire pour l'instant, tant
> qu'il ne réveille pas mon gosse...) et merci pour vos réponses !
--
Luuuuuuuuuuuuuuuuuuzzzzzzzzzzzz
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pour la mobylette et quand même lui éviter qu'il se tue et qu'il
réveille ton enfant, une solution un peu de sucre dans le réservoir
ou mieux un bon antivol ca lui evitera de faire le con avec et
d'aller se bourrer la gueule...
Pour le reste je te souhaite bcp de courage
pour la mobylette et quand même lui éviter qu'il se tue et qu'il
réveille ton enfant, une solution un peu de sucre dans le réservoir
ou mieux un bon antivol ca lui evitera de faire le con avec et
d'aller se bourrer la gueule...
Pour le reste je te souhaite bcp de courage
pour la mobylette et quand même lui éviter qu'il se tue et qu'il
réveille ton enfant, une solution un peu de sucre dans le réservoir
ou mieux un bon antivol ca lui evitera de faire le con avec et
d'aller se bourrer la gueule...
Pour le reste je te souhaite bcp de courage
Bonsoir à tous !
Un "banal" problème de voisinage :
Le fils de mon voisin (40 ans quand même le jeunôt), est le prototype du
parasite social : alcoolique, toxicomane, vivant aux crochets de son
père (il vit chez lui), de sa mère (elle vient régulièrement lui acheter
de la bouffe), et de la société par le biais du RMI et de la CMU (je ne
l'invente pas : c'est lui même qui me l'a hurlé une nuit vers 3 heures
du matin alors qu'il rentrait ivre comme la plupart des soirs quand son
papa est absent).
Bref, ce sympathique personnage rentre environ 4 nuit par semaine chez
lui - enfin chez son père - de sa cuite vespérale en "conduisant" sa
mobylette (mais il est casqué, probablement pour protéger l'unique
neurone non cirrhosé qui lui reste). A son arrivée dans l'impasse (vers
les 2-3 heures du matin), il se place devant mon portail (ou celui d'un
des autres habitants de l'impasse, mais dernièrement il montre une nette
préférence pour mon portillon...) et hurle des insultes et des
provocations - parfois des menaces de mort à l'aide d'une "22"-,
espérant qu'un jour je sortirais pour lui défoncer la mâchoire. Plutôt
du genre stoïque (il doit mesurer 1m-12 et peser 50kg tout mouillé ; je
dois en faire le double car j'ai plutôt la carrure d'un pilier de
rugby - poste que j'ai d'ailleurs occupé un temps), je me garde bien de
réagir. Probablement vexé - mais ça peut durer des heures -(et le larynx
peut-être fatigué) il rentre alors chez lui et fait hurler de la musique
(de 5 à 45 minutes en moyenne). Hier soir ça n'a été que 5 minutes et du
(bon) Joe Cocker : ça n'a donc pas réveillé mon fils âgé de 3
semaines...
J'ai décidé de ne pas commettre de nouveau l'erreur de demander aux
gendarmes de se déplacer : les rares fois ou ceux -ci l'ont fait, ils
n'ont réussi qu'à énerver le bonhomme avant de repartir la queue basse
1/2 heure après, me laissant l'autre galvanisé par son succés à avoir
fait fuir "même les gendarmes"... Sur le quartier nous devons en être à
une dizaine de plaintes : même le maire du village est au courant (pour
ceux qui ne l'auraient pas compris j'habite en province ;-) ).
Les mêmes gendarmes appelés hier soir m'ont conseillé de porter plainte
à chaque fois pour tapage ("parce que vous comprenez, on a souvent autre
chose à faire que de régler des problèmes de tapage..."), ces plaintes
répétées devant amener le procureur à réagir...
Donc mes questions :
- ces plaintes répétées peuvent-elles réellement amener le procureur à
réagir, et si oui de quelle façon (si c'est une simple amende, le gugus
n'étant pas solvable...) ?
- les plaintes pour tapage nocturne seront-elles suffisantes et quelles
sont les sanctions prévues pour ce type de problème ?
- puis-je "alourdir" le dossier (et y ai-je intérêt) en portant plainte
en plus pour "ivresse sur la voie publique" et "conduite en état
d'ivresse", sachant que bien évidemment, aucun gendarme ne viendra faire
le planton dans mon impasse pour constater les faits ?
- étant médecin, une hospitalisation d'office ou à la demande d'un tiers
est-elle envisageable dans ce contexte ?
- ai-je une autre solution à long terme (en dehors du déménagement ou de
l'isolation phonique parfaite avec climatisation - il fait 35° à l'ombre
en été dans ma région) que de défoncer la mâchoire - pour qu'il arrête
de hurler - et de fracasser les mains -pour l'empêcher d'allumer sa
chaine stéréo- du fils de mon voisin, actes qui bien sûr m'ameneront -
moi - directement en prison ?
Désolé pour la longueur (mais je préfère en rire pour l'instant, tant
qu'il ne réveille pas mon gosse...) et merci pour vos réponses !
Bonsoir à tous !
Un "banal" problème de voisinage :
Le fils de mon voisin (40 ans quand même le jeunôt), est le prototype du
parasite social : alcoolique, toxicomane, vivant aux crochets de son
père (il vit chez lui), de sa mère (elle vient régulièrement lui acheter
de la bouffe), et de la société par le biais du RMI et de la CMU (je ne
l'invente pas : c'est lui même qui me l'a hurlé une nuit vers 3 heures
du matin alors qu'il rentrait ivre comme la plupart des soirs quand son
papa est absent).
Bref, ce sympathique personnage rentre environ 4 nuit par semaine chez
lui - enfin chez son père - de sa cuite vespérale en "conduisant" sa
mobylette (mais il est casqué, probablement pour protéger l'unique
neurone non cirrhosé qui lui reste). A son arrivée dans l'impasse (vers
les 2-3 heures du matin), il se place devant mon portail (ou celui d'un
des autres habitants de l'impasse, mais dernièrement il montre une nette
préférence pour mon portillon...) et hurle des insultes et des
provocations - parfois des menaces de mort à l'aide d'une "22"-,
espérant qu'un jour je sortirais pour lui défoncer la mâchoire. Plutôt
du genre stoïque (il doit mesurer 1m-12 et peser 50kg tout mouillé ; je
dois en faire le double car j'ai plutôt la carrure d'un pilier de
rugby - poste que j'ai d'ailleurs occupé un temps), je me garde bien de
réagir. Probablement vexé - mais ça peut durer des heures -(et le larynx
peut-être fatigué) il rentre alors chez lui et fait hurler de la musique
(de 5 à 45 minutes en moyenne). Hier soir ça n'a été que 5 minutes et du
(bon) Joe Cocker : ça n'a donc pas réveillé mon fils âgé de 3
semaines...
J'ai décidé de ne pas commettre de nouveau l'erreur de demander aux
gendarmes de se déplacer : les rares fois ou ceux -ci l'ont fait, ils
n'ont réussi qu'à énerver le bonhomme avant de repartir la queue basse
1/2 heure après, me laissant l'autre galvanisé par son succés à avoir
fait fuir "même les gendarmes"... Sur le quartier nous devons en être à
une dizaine de plaintes : même le maire du village est au courant (pour
ceux qui ne l'auraient pas compris j'habite en province ;-) ).
Les mêmes gendarmes appelés hier soir m'ont conseillé de porter plainte
à chaque fois pour tapage ("parce que vous comprenez, on a souvent autre
chose à faire que de régler des problèmes de tapage..."), ces plaintes
répétées devant amener le procureur à réagir...
Donc mes questions :
- ces plaintes répétées peuvent-elles réellement amener le procureur à
réagir, et si oui de quelle façon (si c'est une simple amende, le gugus
n'étant pas solvable...) ?
- les plaintes pour tapage nocturne seront-elles suffisantes et quelles
sont les sanctions prévues pour ce type de problème ?
- puis-je "alourdir" le dossier (et y ai-je intérêt) en portant plainte
en plus pour "ivresse sur la voie publique" et "conduite en état
d'ivresse", sachant que bien évidemment, aucun gendarme ne viendra faire
le planton dans mon impasse pour constater les faits ?
- étant médecin, une hospitalisation d'office ou à la demande d'un tiers
est-elle envisageable dans ce contexte ?
- ai-je une autre solution à long terme (en dehors du déménagement ou de
l'isolation phonique parfaite avec climatisation - il fait 35° à l'ombre
en été dans ma région) que de défoncer la mâchoire - pour qu'il arrête
de hurler - et de fracasser les mains -pour l'empêcher d'allumer sa
chaine stéréo- du fils de mon voisin, actes qui bien sûr m'ameneront -
moi - directement en prison ?
Désolé pour la longueur (mais je préfère en rire pour l'instant, tant
qu'il ne réveille pas mon gosse...) et merci pour vos réponses !
Bonsoir à tous !
Un "banal" problème de voisinage :
Le fils de mon voisin (40 ans quand même le jeunôt), est le prototype du
parasite social : alcoolique, toxicomane, vivant aux crochets de son
père (il vit chez lui), de sa mère (elle vient régulièrement lui acheter
de la bouffe), et de la société par le biais du RMI et de la CMU (je ne
l'invente pas : c'est lui même qui me l'a hurlé une nuit vers 3 heures
du matin alors qu'il rentrait ivre comme la plupart des soirs quand son
papa est absent).
Bref, ce sympathique personnage rentre environ 4 nuit par semaine chez
lui - enfin chez son père - de sa cuite vespérale en "conduisant" sa
mobylette (mais il est casqué, probablement pour protéger l'unique
neurone non cirrhosé qui lui reste). A son arrivée dans l'impasse (vers
les 2-3 heures du matin), il se place devant mon portail (ou celui d'un
des autres habitants de l'impasse, mais dernièrement il montre une nette
préférence pour mon portillon...) et hurle des insultes et des
provocations - parfois des menaces de mort à l'aide d'une "22"-,
espérant qu'un jour je sortirais pour lui défoncer la mâchoire. Plutôt
du genre stoïque (il doit mesurer 1m-12 et peser 50kg tout mouillé ; je
dois en faire le double car j'ai plutôt la carrure d'un pilier de
rugby - poste que j'ai d'ailleurs occupé un temps), je me garde bien de
réagir. Probablement vexé - mais ça peut durer des heures -(et le larynx
peut-être fatigué) il rentre alors chez lui et fait hurler de la musique
(de 5 à 45 minutes en moyenne). Hier soir ça n'a été que 5 minutes et du
(bon) Joe Cocker : ça n'a donc pas réveillé mon fils âgé de 3
semaines...
J'ai décidé de ne pas commettre de nouveau l'erreur de demander aux
gendarmes de se déplacer : les rares fois ou ceux -ci l'ont fait, ils
n'ont réussi qu'à énerver le bonhomme avant de repartir la queue basse
1/2 heure après, me laissant l'autre galvanisé par son succés à avoir
fait fuir "même les gendarmes"... Sur le quartier nous devons en être à
une dizaine de plaintes : même le maire du village est au courant (pour
ceux qui ne l'auraient pas compris j'habite en province ;-) ).
Les mêmes gendarmes appelés hier soir m'ont conseillé de porter plainte
à chaque fois pour tapage ("parce que vous comprenez, on a souvent autre
chose à faire que de régler des problèmes de tapage..."), ces plaintes
répétées devant amener le procureur à réagir...
Donc mes questions :
- ces plaintes répétées peuvent-elles réellement amener le procureur à
réagir, et si oui de quelle façon (si c'est une simple amende, le gugus
n'étant pas solvable...) ?
- les plaintes pour tapage nocturne seront-elles suffisantes et quelles
sont les sanctions prévues pour ce type de problème ?
- puis-je "alourdir" le dossier (et y ai-je intérêt) en portant plainte
en plus pour "ivresse sur la voie publique" et "conduite en état
d'ivresse", sachant que bien évidemment, aucun gendarme ne viendra faire
le planton dans mon impasse pour constater les faits ?
- étant médecin, une hospitalisation d'office ou à la demande d'un tiers
est-elle envisageable dans ce contexte ?
- ai-je une autre solution à long terme (en dehors du déménagement ou de
l'isolation phonique parfaite avec climatisation - il fait 35° à l'ombre
en été dans ma région) que de défoncer la mâchoire - pour qu'il arrête
de hurler - et de fracasser les mains -pour l'empêcher d'allumer sa
chaine stéréo- du fils de mon voisin, actes qui bien sûr m'ameneront -
moi - directement en prison ?
Désolé pour la longueur (mais je préfère en rire pour l'instant, tant
qu'il ne réveille pas mon gosse...) et merci pour vos réponses !
Même que si t'es dans la case "ami" de
son cerveau, il consentira à baisser sa musique la nuit, qui sait, je
répète, souvent ce sont des individus au cerveau délavé, proche en
fait de la débilité, alors il faut les prendre par la force ou la
ruse... Mais on n'est plus en liberté avec toutes ces lois étranges,
on ne peut pas mettre son poing dans la gueule d'un con sans risquer
des problèmes, alors il ne reste plus que la ruse :o)
Même que si t'es dans la case "ami" de
son cerveau, il consentira à baisser sa musique la nuit, qui sait, je
répète, souvent ce sont des individus au cerveau délavé, proche en
fait de la débilité, alors il faut les prendre par la force ou la
ruse... Mais on n'est plus en liberté avec toutes ces lois étranges,
on ne peut pas mettre son poing dans la gueule d'un con sans risquer
des problèmes, alors il ne reste plus que la ruse :o)
Même que si t'es dans la case "ami" de
son cerveau, il consentira à baisser sa musique la nuit, qui sait, je
répète, souvent ce sont des individus au cerveau délavé, proche en
fait de la débilité, alors il faut les prendre par la force ou la
ruse... Mais on n'est plus en liberté avec toutes ces lois étranges,
on ne peut pas mettre son poing dans la gueule d'un con sans risquer
des problèmes, alors il ne reste plus que la ruse :o)
le_troll me conseillait :
> Même que si t'es dans la case "ami" de
> son cerveau, il consentira à baisser sa musique la nuit, qui sait, je
> répète, souvent ce sont des individus au cerveau délavé, proche en
> fait de la débilité, alors il faut les prendre par la force ou la
> ruse... Mais on n'est plus en liberté avec toutes ces lois étranges,
> on ne peut pas mettre son poing dans la gueule d'un con sans risquer
> des problèmes, alors il ne reste plus que la ruse :o)
Merci mais dans le genre psychologie de poivrot, j'ai déjà suffisamment
donné quand je travaillais aux urgences ; et puis j'ai déjà fait ça avec
lui une nuit vers 3h du matin : mais j'ai vraiment autre chose à
faire... J'aimerais éviter l'action brutale quand même, bien que ça me
démange de plus en plus (la seule chose qui m'inquiète, c'est de savoir
s'il possède une arme à feu ou pas).
Et puis, il ne sort que pour aller picoler (vers 17h30) : le reste du
temps, il dort...
le_troll me conseillait :
> Même que si t'es dans la case "ami" de
> son cerveau, il consentira à baisser sa musique la nuit, qui sait, je
> répète, souvent ce sont des individus au cerveau délavé, proche en
> fait de la débilité, alors il faut les prendre par la force ou la
> ruse... Mais on n'est plus en liberté avec toutes ces lois étranges,
> on ne peut pas mettre son poing dans la gueule d'un con sans risquer
> des problèmes, alors il ne reste plus que la ruse :o)
Merci mais dans le genre psychologie de poivrot, j'ai déjà suffisamment
donné quand je travaillais aux urgences ; et puis j'ai déjà fait ça avec
lui une nuit vers 3h du matin : mais j'ai vraiment autre chose à
faire... J'aimerais éviter l'action brutale quand même, bien que ça me
démange de plus en plus (la seule chose qui m'inquiète, c'est de savoir
s'il possède une arme à feu ou pas).
Et puis, il ne sort que pour aller picoler (vers 17h30) : le reste du
temps, il dort...
le_troll me conseillait :
> Même que si t'es dans la case "ami" de
> son cerveau, il consentira à baisser sa musique la nuit, qui sait, je
> répète, souvent ce sont des individus au cerveau délavé, proche en
> fait de la débilité, alors il faut les prendre par la force ou la
> ruse... Mais on n'est plus en liberté avec toutes ces lois étranges,
> on ne peut pas mettre son poing dans la gueule d'un con sans risquer
> des problèmes, alors il ne reste plus que la ruse :o)
Merci mais dans le genre psychologie de poivrot, j'ai déjà suffisamment
donné quand je travaillais aux urgences ; et puis j'ai déjà fait ça avec
lui une nuit vers 3h du matin : mais j'ai vraiment autre chose à
faire... J'aimerais éviter l'action brutale quand même, bien que ça me
démange de plus en plus (la seule chose qui m'inquiète, c'est de savoir
s'il possède une arme à feu ou pas).
Et puis, il ne sort que pour aller picoler (vers 17h30) : le reste du
temps, il dort...
rollandm me conseillait :
> pour la mobylette et quand même lui éviter qu'il se tue et qu'il
> réveille ton enfant, une solution un peu de sucre dans le réservoir
> ou mieux un bon antivol ca lui evitera de faire le con avec et
> d'aller se bourrer la gueule...
> Pour le reste je te souhaite bcp de courage
J'y ai pensé, mais le bougre rentre rapidement sa mobylette au garage.
Ceci dit, les bistrots du village ne sont qu'à 200m à pied...
rollandm me conseillait :
> pour la mobylette et quand même lui éviter qu'il se tue et qu'il
> réveille ton enfant, une solution un peu de sucre dans le réservoir
> ou mieux un bon antivol ca lui evitera de faire le con avec et
> d'aller se bourrer la gueule...
> Pour le reste je te souhaite bcp de courage
J'y ai pensé, mais le bougre rentre rapidement sa mobylette au garage.
Ceci dit, les bistrots du village ne sont qu'à 200m à pied...
rollandm me conseillait :
> pour la mobylette et quand même lui éviter qu'il se tue et qu'il
> réveille ton enfant, une solution un peu de sucre dans le réservoir
> ou mieux un bon antivol ca lui evitera de faire le con avec et
> d'aller se bourrer la gueule...
> Pour le reste je te souhaite bcp de courage
J'y ai pensé, mais le bougre rentre rapidement sa mobylette au garage.
Ceci dit, les bistrots du village ne sont qu'à 200m à pied...
Etant donné que vous êtes partie prenante dans l'affaire, une HDT ne
semble pas possible à votre instigation.
Mais la chose principale qui fait "tilt" est que vous êtes médecin.
Et sans vouloir vous obliger à faire du social, en tant que
praticien, la souffrance d'autrui ne vous interpelle-t-elle pas ?
Car un tel comportement doit avoir pour cause une grande souffrance,
non ?
(Je ne veux pas dire par là que le simple fait d'être médecin
implique que vous soyez emmerdable plus que la moyenne)
N'y a-t-il pas des structures d'aide adaptées à ce genre de cas ?
Normalement vous devriez être, à priori, bien placé pour connaître
toutes les possibilités en ce domaine,
pour autant que vous puissiez dépasser ce stade du simple
inconvénient personnel.
Etant donné que vous êtes partie prenante dans l'affaire, une HDT ne
semble pas possible à votre instigation.
Mais la chose principale qui fait "tilt" est que vous êtes médecin.
Et sans vouloir vous obliger à faire du social, en tant que
praticien, la souffrance d'autrui ne vous interpelle-t-elle pas ?
Car un tel comportement doit avoir pour cause une grande souffrance,
non ?
(Je ne veux pas dire par là que le simple fait d'être médecin
implique que vous soyez emmerdable plus que la moyenne)
N'y a-t-il pas des structures d'aide adaptées à ce genre de cas ?
Normalement vous devriez être, à priori, bien placé pour connaître
toutes les possibilités en ce domaine,
pour autant que vous puissiez dépasser ce stade du simple
inconvénient personnel.
Etant donné que vous êtes partie prenante dans l'affaire, une HDT ne
semble pas possible à votre instigation.
Mais la chose principale qui fait "tilt" est que vous êtes médecin.
Et sans vouloir vous obliger à faire du social, en tant que
praticien, la souffrance d'autrui ne vous interpelle-t-elle pas ?
Car un tel comportement doit avoir pour cause une grande souffrance,
non ?
(Je ne veux pas dire par là que le simple fait d'être médecin
implique que vous soyez emmerdable plus que la moyenne)
N'y a-t-il pas des structures d'aide adaptées à ce genre de cas ?
Normalement vous devriez être, à priori, bien placé pour connaître
toutes les possibilités en ce domaine,
pour autant que vous puissiez dépasser ce stade du simple
inconvénient personnel.