Jusqu'à environ -15°C en ressenti, heureusement que nous avions prévu
cela. Cela ne se voit pas sur les photos, mais il a neigé dans les
Pyrénées à moins de 2000m. S'il y avait eu la moindre précipitations, il
aurait aussi neigé.
En tout cas, comme vous pourrez le voir sur une des photos, malgré la
neige importante de ce printemps, la sécheresse se fait sentir sur les
lacs les plus fragiles.
C'est marrant, on a déjà eu cette conversation et je me demande si ce n'est pas Papy Bernard, qui, à l'époque, s'était déjà élevé contre cette notion, absurde à ses yeux.
C'est marrant, on a déjà eu cette conversation et je me demande si ce
n'est pas Papy Bernard, qui, à l'époque, s'était déjà élevé contre cette
notion, absurde à ses yeux.
C'est marrant, on a déjà eu cette conversation et je me demande si ce n'est pas Papy Bernard, qui, à l'époque, s'était déjà élevé contre cette notion, absurde à ses yeux.
C'est marrant, on a déjà eu cette conversation et je me demande si ce n'est pas Papy Bernard, qui, à l'époque, s'était déjà élevé contre cette notion, absurde à ses yeux.
Probable.
Et la lecture de l'explication dans Wikipédia me conforte dans l'idée fantaisiste de l'approche.
// De retour à la base américaine de Little America III, avec son assistant Charles Passel, il note le taux de refroidissement d'une quantité d'eau dans un *cylindre* et le temps pour qu'elle gèle dans différentes conditions de température et de vent.//
Il se garde bien de préciser les dimensions du cylindre.
Quoi de plus normal, pour accélerer le refroidissement/réchauffement d'un liquide, à volume égal, d'en agrandir la surface, de l'étaler.
Or dans l'explication, il est question d'un *volume* = longueur x largeur x hauteur ! ! ! (exposé aux échanges thermiques) et non des surfaces. . . .
Et puis, si en plus d'un thermomètre, il faut un anémomètre, le tout relié à un ordinateur qui aura calculé la surface de peau exposée au "froid" . . . . . .. ! ! ! ! ! !
Je vais finir par trouver mes cours de thermodynamique bien simplistes ! !!
Et comme disait Fernand Raynaud : "Combien de temps le fût du canon met à se refroidir ? . Un certain temps ! ! Ca dépend. du vent ! ! !
De Ghost-Rider <Ghost-Rider@compuserve.com> typed:
C'est marrant, on a déjà eu cette conversation et je me demande si ce
n'est pas Papy Bernard, qui, à l'époque, s'était déjà élevé contre cette
notion, absurde à ses yeux.
Probable.
Et la lecture de l'explication dans Wikipédia me conforte dans l'idée
fantaisiste de l'approche.
// De retour à la base américaine de Little America III, avec son assistant
Charles Passel, il note le taux de refroidissement d'une quantité d'eau dans
un *cylindre* et le temps pour qu'elle gèle dans différentes conditions de
température et de vent.//
Il se garde bien de préciser les dimensions du cylindre.
Quoi de plus normal, pour accélerer le refroidissement/réchauffement d'un
liquide, à volume égal, d'en agrandir la surface, de l'étaler.
Or dans l'explication, il est question d'un *volume* = longueur x largeur x
hauteur ! ! ! (exposé aux échanges thermiques) et non des surfaces. . . .
Et puis, si en plus d'un thermomètre, il faut un anémomètre, le tout relié à
un ordinateur qui aura calculé la surface de peau exposée au "froid" . . . .
. .. ! ! ! ! ! !
Je vais finir par trouver mes cours de thermodynamique bien simplistes ! !!
Et comme disait Fernand Raynaud :
"Combien de temps le fût du canon met à se refroidir ? .
Un certain temps ! !
Ca dépend. du vent ! ! !
C'est marrant, on a déjà eu cette conversation et je me demande si ce n'est pas Papy Bernard, qui, à l'époque, s'était déjà élevé contre cette notion, absurde à ses yeux.
Probable.
Et la lecture de l'explication dans Wikipédia me conforte dans l'idée fantaisiste de l'approche.
// De retour à la base américaine de Little America III, avec son assistant Charles Passel, il note le taux de refroidissement d'une quantité d'eau dans un *cylindre* et le temps pour qu'elle gèle dans différentes conditions de température et de vent.//
Il se garde bien de préciser les dimensions du cylindre.
Quoi de plus normal, pour accélerer le refroidissement/réchauffement d'un liquide, à volume égal, d'en agrandir la surface, de l'étaler.
Or dans l'explication, il est question d'un *volume* = longueur x largeur x hauteur ! ! ! (exposé aux échanges thermiques) et non des surfaces. . . .
Et puis, si en plus d'un thermomètre, il faut un anémomètre, le tout relié à un ordinateur qui aura calculé la surface de peau exposée au "froid" . . . . . .. ! ! ! ! ! !
Je vais finir par trouver mes cours de thermodynamique bien simplistes ! !!
Et comme disait Fernand Raynaud : "Combien de temps le fût du canon met à se refroidir ? . Un certain temps ! ! Ca dépend. du vent ! ! !
Papy Bernard
De Ghost-Rider typed:
C'est marrant, on a déjà eu cette conversation et je me demande si ce n'est pas Papy Bernard, qui, à l'époque, s'était déjà élevé contre cette notion, absurde à ses yeux.
J'ajouterai à la connerie ambiante :
A Colomb Béchar (oui j'y ai passé quelques temps malgré moi), avec du 40° à l'ombre, on transpirait comme des malades. Le moindre souffle d'air nous rafraîchissait -un peu-. Question d'échanges themiques via les pressions partielles.
Pour ceux qui ont connu l'éther, dit sulfurique, vous souvenez-vous de l'impression de "froid" dûe à l'évaporation ? ? ?
De Ghost-Rider <Ghost-Rider@compuserve.com> typed:
C'est marrant, on a déjà eu cette conversation et je me demande si ce
n'est pas Papy Bernard, qui, à l'époque, s'était déjà élevé contre cette
notion, absurde à ses yeux.
J'ajouterai à la connerie ambiante :
A Colomb Béchar (oui j'y ai passé quelques temps malgré moi), avec du 40° à
l'ombre, on transpirait comme des malades. Le moindre souffle d'air nous
rafraîchissait -un peu-. Question d'échanges themiques via les pressions
partielles.
Pour ceux qui ont connu l'éther, dit sulfurique, vous souvenez-vous de
l'impression de "froid" dûe à l'évaporation ? ? ?
C'est marrant, on a déjà eu cette conversation et je me demande si ce n'est pas Papy Bernard, qui, à l'époque, s'était déjà élevé contre cette notion, absurde à ses yeux.
J'ajouterai à la connerie ambiante :
A Colomb Béchar (oui j'y ai passé quelques temps malgré moi), avec du 40° à l'ombre, on transpirait comme des malades. Le moindre souffle d'air nous rafraîchissait -un peu-. Question d'échanges themiques via les pressions partielles.
Pour ceux qui ont connu l'éther, dit sulfurique, vous souvenez-vous de l'impression de "froid" dûe à l'évaporation ? ? ?
Stephane Legras-Decussy
Le 06/09/2012 01:54, Papy Bernard a écrit :
Il se garde bien de préciser les dimensions du cylindre.
Quoi de plus normal, pour accélerer le refroidissement/réchauffement d'un liquide, à volume égal, d'en agrandir la surface, de l'étaler.
Or dans l'explication, il est question d'un *volume* = longueur x largeur x hauteur ! ! ! (exposé aux échanges thermiques) et non des surfaces. .. .
on s'en fout, c'est une référence pour calculer empiriquement une correction.
Et puis, si en plus d'un thermomètre, il faut un anémomètre, le tout relié à un ordinateur qui aura calculé la surface de peau exposée au "froid" . . . .
t'as rien compris, on s'en fout.
c'est la température ressentie par un mec en slip.
en slip, à 20° et avec 20km/h de vent, tu te cailles autant qu'avec quelle T° sans vent ? c'est ça la question.
il n'y avait pas un souffle de vent lors du naufrage du Titanic, avec 40Km/h de vent, on aurait eu combien de survivants à ton avis ?
Le 06/09/2012 01:54, Papy Bernard a écrit :
Il se garde bien de préciser les dimensions du cylindre.
Quoi de plus normal, pour accélerer le refroidissement/réchauffement d'un
liquide, à volume égal, d'en agrandir la surface, de l'étaler.
Or dans l'explication, il est question d'un *volume* = longueur x largeur x
hauteur ! ! ! (exposé aux échanges thermiques) et non des surfaces. .. .
on s'en fout, c'est une référence pour calculer empiriquement une
correction.
Et puis, si en plus d'un thermomètre, il faut un anémomètre, le tout relié à
un ordinateur qui aura calculé la surface de peau exposée au "froid" . . . .
t'as rien compris, on s'en fout.
c'est la température ressentie par un mec en slip.
en slip, à 20° et avec 20km/h de vent, tu te cailles autant qu'avec
quelle T° sans vent ? c'est ça la question.
il n'y avait pas un souffle de vent lors du naufrage du Titanic, avec
40Km/h de vent, on aurait eu combien de survivants à ton avis ?
Il se garde bien de préciser les dimensions du cylindre.
Quoi de plus normal, pour accélerer le refroidissement/réchauffement d'un liquide, à volume égal, d'en agrandir la surface, de l'étaler.
Or dans l'explication, il est question d'un *volume* = longueur x largeur x hauteur ! ! ! (exposé aux échanges thermiques) et non des surfaces. .. .
on s'en fout, c'est une référence pour calculer empiriquement une correction.
Et puis, si en plus d'un thermomètre, il faut un anémomètre, le tout relié à un ordinateur qui aura calculé la surface de peau exposée au "froid" . . . .
t'as rien compris, on s'en fout.
c'est la température ressentie par un mec en slip.
en slip, à 20° et avec 20km/h de vent, tu te cailles autant qu'avec quelle T° sans vent ? c'est ça la question.
il n'y avait pas un souffle de vent lors du naufrage du Titanic, avec 40Km/h de vent, on aurait eu combien de survivants à ton avis ?
Stephane Legras-Decussy
Le 06/09/2012 02:15, Papy Bernard a écrit :
A Colomb Béchar (oui j'y ai passé quelques temps malgré moi), avec du 40° à l'ombre, on transpirait comme des malades. Le moindre souffle d'air nous rafraîchissait -un peu-.
ah donc ça existe bien la T° ressentie... différente de celle du thermomètre.
ça mérite de la quantifier non ?
Question d'échanges themiques via les pressions partielles.
super...
Pour ceux qui ont connu l'éther, dit sulfurique, vous souvenez-vous de l'impression de "froid" dûe à l'évaporation ? ? ?
c'est pas une impression, changement d'etat, enthalpie de changement d'état ...
Le 06/09/2012 02:15, Papy Bernard a écrit :
A Colomb Béchar (oui j'y ai passé quelques temps malgré moi), avec du 40° à
l'ombre, on transpirait comme des malades. Le moindre souffle d'air nous
rafraîchissait -un peu-.
ah donc ça existe bien la T° ressentie... différente de celle du
thermomètre.
ça mérite de la quantifier non ?
Question d'échanges themiques via les pressions
partielles.
super...
Pour ceux qui ont connu l'éther, dit sulfurique, vous souvenez-vous de
l'impression de "froid" dûe à l'évaporation ? ? ?
c'est pas une impression, changement d'etat, enthalpie de changement
d'état ...
A Colomb Béchar (oui j'y ai passé quelques temps malgré moi), avec du 40° à l'ombre, on transpirait comme des malades. Le moindre souffle d'air nous rafraîchissait -un peu-.
ah donc ça existe bien la T° ressentie... différente de celle du thermomètre.
ça mérite de la quantifier non ?
Question d'échanges themiques via les pressions partielles.
super...
Pour ceux qui ont connu l'éther, dit sulfurique, vous souvenez-vous de l'impression de "froid" dûe à l'évaporation ? ? ?
c'est pas une impression, changement d'etat, enthalpie de changement d'état ...
Jacques DASSI
Stephane Legras-Decussy avait écrit le 06/09/2012 :
Le 06/09/2012 02:15, Papy Bernard a écrit :
A Colomb Béchar (oui j'y ai passé quelques temps malgré moi), avec du 40° à l'ombre, on transpirait comme des malades. Le moindre souffle d'air nous rafraîchissait -un peu-.
ah donc ça existe bien la T° ressentie... différente de celle du thermomètre.
ça mérite de la quantifier non ?
D'aucun ne t'ont pas attendu.
Personne n’évoque ici la bien connue température du thermomètre mouillé…
Je me souviens, dans les années 50, de ces météorologues, sur les terrains d’aviation, qui sortaient à l’extérieur, faire tourner leur thermomètre mouillé, au bout d’une ficelle. Cela leur permettait de calculer l’humidité relative.
Un résumé de Wikipédia, à visiter pour les formules :
La température du thermomètre mouillé ou température humide, est la température qu'une parcelle d'air, ayant une température Θ et un contenu en vapeur d'eau de Y, atteindrait si on y évaporait de l'eau liquide jusqu'à saturation tout en gardant la pression constante. Obtention : En utilisant directement un thermomètre dont la pointe est recouverte d'une mousseline mouillée et qu'on ventile pour faire évaporer l'eau.
C’est ultra-facile à essayer : un thermomètre à colonne liquide, un peu de ouate, de la flotte et une ficelle… Faire tourner le thermomètre mouillé au bout de la ficelle… et ça fonctionne à tous les coups.
Maintenant, si Papy préfère remplacer l'eau par de l'éther sulfurique, il faudra modifier la formule...
Amusez-vous les petits.
-- Jacques DASSIÉ http://archaero.com/
Stephane Legras-Decussy avait écrit le 06/09/2012 :
Le 06/09/2012 02:15, Papy Bernard a écrit :
A Colomb Béchar (oui j'y ai passé quelques temps malgré moi), avec du 40° à
l'ombre, on transpirait comme des malades. Le moindre souffle d'air nous
rafraîchissait -un peu-.
ah donc ça existe bien la T° ressentie... différente de celle du
thermomètre.
ça mérite de la quantifier non ?
D'aucun ne t'ont pas attendu.
Personne n’évoque ici la bien connue température du thermomètre
mouillé…
Je me souviens, dans les années 50, de ces météorologues, sur les
terrains d’aviation, qui sortaient à l’extérieur, faire tourner leur
thermomètre mouillé, au bout d’une ficelle. Cela leur permettait de
calculer l’humidité relative.
Un résumé de Wikipédia, à visiter pour les formules :
La température du thermomètre mouillé ou température humide, est la
température qu'une parcelle d'air, ayant une température Θ et un
contenu en vapeur d'eau de Y, atteindrait si on y évaporait de l'eau
liquide jusqu'à saturation tout en gardant la pression constante.
Obtention :
En utilisant directement un thermomètre dont la pointe est recouverte
d'une mousseline mouillée et qu'on ventile pour faire évaporer l'eau.
C’est ultra-facile à essayer : un thermomètre à colonne liquide, un peu
de ouate, de la flotte et une ficelle… Faire tourner le thermomètre
mouillé au bout de la ficelle… et ça fonctionne à tous les coups.
Maintenant, si Papy préfère remplacer l'eau par de l'éther sulfurique,
il faudra modifier la formule...
Stephane Legras-Decussy avait écrit le 06/09/2012 :
Le 06/09/2012 02:15, Papy Bernard a écrit :
A Colomb Béchar (oui j'y ai passé quelques temps malgré moi), avec du 40° à l'ombre, on transpirait comme des malades. Le moindre souffle d'air nous rafraîchissait -un peu-.
ah donc ça existe bien la T° ressentie... différente de celle du thermomètre.
ça mérite de la quantifier non ?
D'aucun ne t'ont pas attendu.
Personne n’évoque ici la bien connue température du thermomètre mouillé…
Je me souviens, dans les années 50, de ces météorologues, sur les terrains d’aviation, qui sortaient à l’extérieur, faire tourner leur thermomètre mouillé, au bout d’une ficelle. Cela leur permettait de calculer l’humidité relative.
Un résumé de Wikipédia, à visiter pour les formules :
La température du thermomètre mouillé ou température humide, est la température qu'une parcelle d'air, ayant une température Θ et un contenu en vapeur d'eau de Y, atteindrait si on y évaporait de l'eau liquide jusqu'à saturation tout en gardant la pression constante. Obtention : En utilisant directement un thermomètre dont la pointe est recouverte d'une mousseline mouillée et qu'on ventile pour faire évaporer l'eau.
C’est ultra-facile à essayer : un thermomètre à colonne liquide, un peu de ouate, de la flotte et une ficelle… Faire tourner le thermomètre mouillé au bout de la ficelle… et ça fonctionne à tous les coups.
Maintenant, si Papy préfère remplacer l'eau par de l'éther sulfurique, il faudra modifier la formule...
Amusez-vous les petits.
-- Jacques DASSIÉ http://archaero.com/
jean-daniel dodin
Le 06/09/2012 08:28, Jacques DASSIÉ a écrit :
C’est ultra-facile à essayer : un thermomètre à colonne liquide, un peu de ouate, de la flotte et une ficelle… Faire tourner le thermomètre mouillé au bout de la ficelle… et ça fonctionne à tous les coups.
ça n'est ni plus ni moins précis que le doigt mouillé :-))
jdd
Le 06/09/2012 08:28, Jacques DASSIÉ a écrit :
C’est ultra-facile à essayer : un thermomètre à colonne liquide, un
peu de ouate, de la flotte et une ficelle… Faire tourner le
thermomètre mouillé au bout de la ficelle… et ça fonctionne à tous les
coups.
ça n'est ni plus ni moins précis que le doigt mouillé :-))
C’est ultra-facile à essayer : un thermomètre à colonne liquide, un peu de ouate, de la flotte et une ficelle… Faire tourner le thermomètre mouillé au bout de la ficelle… et ça fonctionne à tous les coups.
ça n'est ni plus ni moins précis que le doigt mouillé :-))
jdd
palmerclaude
jean-daniel dodin wrote:
Le 06/09/2012 08:28, Jacques DASSIÉ a écrit :
C'est ultra-facile à essayer : un thermomètre à colonne liquide, un peu de ouate, de la flotte et une ficelle. Faire tourner le thermomètre mouillé au bout de la ficelle. et ça fonctionne à tous les coups.
ça n'est ni plus ni moins précis que le doigt mouillé :-))
jdd
Non, le doigt mouillé c'est un truc de marin pour voir l'orientation du vent ( ou du vent relatif sur un bateau). Personnellement je l'utilise maintenant souvent sur stand de tir quand il y a un peu de vent qui peut altérer la bonne tenue des plombs d'armes à air comprimé..
jean-daniel dodin wrote:
Le 06/09/2012 08:28, Jacques DASSIÉ a écrit :
C'est ultra-facile à essayer : un thermomètre à colonne liquide, un
peu de ouate, de la flotte et une ficelle. Faire tourner le
thermomètre mouillé au bout de la ficelle. et ça fonctionne à tous
les coups.
ça n'est ni plus ni moins précis que le doigt mouillé :-))
jdd
Non, le doigt mouillé c'est un truc de marin pour voir l'orientation du
vent ( ou du vent relatif sur un bateau). Personnellement je l'utilise
maintenant souvent sur stand de tir quand il y a un peu de vent qui peut
altérer la bonne tenue des plombs d'armes à air comprimé..
C'est ultra-facile à essayer : un thermomètre à colonne liquide, un peu de ouate, de la flotte et une ficelle. Faire tourner le thermomètre mouillé au bout de la ficelle. et ça fonctionne à tous les coups.
ça n'est ni plus ni moins précis que le doigt mouillé :-))
jdd
Non, le doigt mouillé c'est un truc de marin pour voir l'orientation du vent ( ou du vent relatif sur un bateau). Personnellement je l'utilise maintenant souvent sur stand de tir quand il y a un peu de vent qui peut altérer la bonne tenue des plombs d'armes à air comprimé..
Jacques DASSI
jean-daniel dodin a formulé ce jeudi :
Le 06/09/2012 08:28, Jacques DASSIÉ a écrit :
C’est ultra-facile à essayer : un thermomètre à colonne liquide, un peu de ouate, de la flotte et une ficelle… Faire tourner le thermomètre mouillé au bout de la ficelle… et ça fonctionne à tous les coups.
ça n'est ni plus ni moins précis que le doigt mouillé :-))
Voyons JDD, restons sérieux, avec le thermomètre mouillé, on effectue des mesures. Au fait, tu le places où, ton doigt mouillé ? (:o)
-- Jacques DASSIÉ http://archaero.com/
jean-daniel dodin a formulé ce jeudi :
Le 06/09/2012 08:28, Jacques DASSIÉ a écrit :
C’est ultra-facile à essayer : un thermomètre à colonne liquide, un
peu de ouate, de la flotte et une ficelle… Faire tourner le
thermomètre mouillé au bout de la ficelle… et ça fonctionne à tous les
coups.
ça n'est ni plus ni moins précis que le doigt mouillé :-))
Voyons JDD, restons sérieux, avec le thermomètre mouillé, on effectue
des mesures.
Au fait, tu le places où, ton doigt mouillé ? (:o)
C’est ultra-facile à essayer : un thermomètre à colonne liquide, un peu de ouate, de la flotte et une ficelle… Faire tourner le thermomètre mouillé au bout de la ficelle… et ça fonctionne à tous les coups.
ça n'est ni plus ni moins précis que le doigt mouillé :-))
Voyons JDD, restons sérieux, avec le thermomètre mouillé, on effectue des mesures. Au fait, tu le places où, ton doigt mouillé ? (:o)
-- Jacques DASSIÉ http://archaero.com/
£g
"jean-daniel dodin" a écrit dans le message de news: 50485e25$0$6465$
Le 06/09/2012 08:28, Jacques DASSIÉ a écrit :
C'est ultra-facile à essayer : un thermomètre à colonne liquide, un peu de ouate, de la flotte et une ficelle. Faire tourner le thermomètre mouillé au bout de la ficelle. et ça fonctionne à tous les coups.
ça n'est ni plus ni moins précis que le doigt mouillé :-))
Faut être complètement débile pour faire tourner son doigt au bout d'une ficelle, comme thermomètre.
ou, j'ais dû mal comprendre. {|);-)
-- £g
"jean-daniel dodin" <jdd@dodin.org> a écrit dans le message de news:
50485e25$0$6465$426a74cc@news.free.fr...
Le 06/09/2012 08:28, Jacques DASSIÉ a écrit :
C'est ultra-facile à essayer : un thermomètre à colonne liquide, un
peu de ouate, de la flotte et une ficelle. Faire tourner le
thermomètre mouillé au bout de la ficelle. et ça fonctionne à tous
les
coups.
ça n'est ni plus ni moins précis que le doigt mouillé :-))
Faut être complètement débile pour faire tourner son doigt au bout d'une
ficelle, comme thermomètre.
"jean-daniel dodin" a écrit dans le message de news: 50485e25$0$6465$
Le 06/09/2012 08:28, Jacques DASSIÉ a écrit :
C'est ultra-facile à essayer : un thermomètre à colonne liquide, un peu de ouate, de la flotte et une ficelle. Faire tourner le thermomètre mouillé au bout de la ficelle. et ça fonctionne à tous les coups.
ça n'est ni plus ni moins précis que le doigt mouillé :-))
Faut être complètement débile pour faire tourner son doigt au bout d'une ficelle, comme thermomètre.