Quand on est con on est con...
Sacré Brassens, il serait toujours vivant il écrirait une nouvelle
chanson, un truc du genre : "Quand on est Free-roquet, on est Free
roquet...'
Une juge d'instruction force un journaleux à venir fissa dans son bureau
pour s'expliquer comme la loi le lui commande et certain hurlent à la
mort de la liberté de la presse... Comme si se conformer à la loi
n'entrait pas dans les obligations de certains du seul fait qu'il
détiennent une carte de presse... Passons, on a vu pire et surtout plus
ridicule.
Non, le top c'est de voir le lâcher de Free-roquet qui s'abat sur ce
forum pour défendre la veuve, l'orphelin et un certain Xavier, dont je
tairai le nom patronymique ainsi que le nom de la société dont il est
l'actionnaire majoritaire, pure charité chrétienne de ma part...
Que le gars Xav ai un passé hilarant, tout le monde le sait, qu'il soit
aussi couillon que ses clients qui signent leurs contrats sans lire les
CGV, ça aussi on le sait. Alors pourquoi remettre sur le tapis des
histoires qui nous ont bien fait marrer à une certaine époque mais qui
deviennent franchement lourdingues en ce moment.
Donc, très cher Jilou, Aribaud, Agrippa, FILG et autres, s'il vous
plait, allez donc philosopher doctement sur un forum privé de la
nébuleuse Free, ça nous fera des vacances et vous éviterez de passer,
encore une fois, pour une bandes de lèche-bottes aux ordres
Le Mon, 01 Dec 2008 08:13:25 +0100, Guillaume a écrit :
Albert ARIBAUD a écrit :
C'est bien sûr une autre question s'il est éditeur, et l'appréciation de la justice à ce sujet est encore fluctuante, voir l'affaire Fuzz, mais il semble se dessiner, et c'est assez logique, une distinction simple fondée sur l'origine du choix éditorial d'espèce : si la décision de publier un contenu est faite par un utilisateur, alors le service agit en hébergeur quand bien même ce service fournit par exemple des rubrriques ou un cadre de présentation agrémenté de pubs de son cru.
Amicalement,
De même il pourrait être décidé que si le FAI à laissé accès aux contenus non légaux ....
Nul besoin de points de suspension ni de conditionnels. Lorsqu'un FAI est averti par un ayant-droit dans une demande respectant les formes de la LCEN et non sujette à doute, et n'agit pas promptement, sa responsabilité *est* engagée, point barre.
Amicalement, -- Albert.
Le Mon, 01 Dec 2008 08:13:25 +0100, Guillaume a écrit :
Albert ARIBAUD a écrit :
C'est bien sûr une autre question s'il est éditeur, et l'appréciation
de la justice à ce sujet est encore fluctuante, voir l'affaire Fuzz,
mais il semble se dessiner, et c'est assez logique, une distinction
simple fondée sur l'origine du choix éditorial d'espèce : si la
décision de publier un contenu est faite par un utilisateur, alors le
service agit en hébergeur quand bien même ce service fournit par
exemple des rubrriques ou un cadre de présentation agrémenté de pubs de
son cru.
Amicalement,
De même il pourrait être décidé que si le FAI à laissé accès aux
contenus non légaux ....
Nul besoin de points de suspension ni de conditionnels. Lorsqu'un FAI est
averti par un ayant-droit dans une demande respectant les formes de la
LCEN et non sujette à doute, et n'agit pas promptement, sa responsabilité
*est* engagée, point barre.
Le Mon, 01 Dec 2008 08:13:25 +0100, Guillaume a écrit :
Albert ARIBAUD a écrit :
C'est bien sûr une autre question s'il est éditeur, et l'appréciation de la justice à ce sujet est encore fluctuante, voir l'affaire Fuzz, mais il semble se dessiner, et c'est assez logique, une distinction simple fondée sur l'origine du choix éditorial d'espèce : si la décision de publier un contenu est faite par un utilisateur, alors le service agit en hébergeur quand bien même ce service fournit par exemple des rubrriques ou un cadre de présentation agrémenté de pubs de son cru.
Amicalement,
De même il pourrait être décidé que si le FAI à laissé accès aux contenus non légaux ....
Nul besoin de points de suspension ni de conditionnels. Lorsqu'un FAI est averti par un ayant-droit dans une demande respectant les formes de la LCEN et non sujette à doute, et n'agit pas promptement, sa responsabilité *est* engagée, point barre.
Amicalement, -- Albert.
Xavier Dupeyré
Molotov a écrit le 30/11/2008 :
Non, le top c'est de voir le lâcher de Free-roquet qui s'abat sur ce forum pour défendre la veuve, l'orphelin et un certain Xavier, dont je tairai le nom patronymique
You're talking to me ???
-- Xavier
Molotov a écrit le 30/11/2008 :
Non, le top c'est de voir le lâcher de Free-roquet qui s'abat sur ce
forum pour défendre la veuve, l'orphelin et un certain Xavier, dont je
tairai le nom patronymique
Non, le top c'est de voir le lâcher de Free-roquet qui s'abat sur ce forum pour défendre la veuve, l'orphelin et un certain Xavier, dont je tairai le nom patronymique
You're talking to me ???
-- Xavier
Albert ARIBAUD
Le Mon, 01 Dec 2008 14:25:47 +0100, Xavier Dupeyré a écrit :
Molotov a écrit le 30/11/2008 :
Non, le top c'est de voir le lâcher de Free-roquet qui s'abat sur ce forum pour défendre la veuve, l'orphelin et un certain Xavier, dont je tairai le nom patronymique
You're talking to me ???
Non, pas la suite !
Amicalement, -- Albert.
Le Mon, 01 Dec 2008 14:25:47 +0100, Xavier Dupeyré a écrit :
Molotov a écrit le 30/11/2008 :
Non, le top c'est de voir le lâcher de Free-roquet qui s'abat sur ce
forum pour défendre la veuve, l'orphelin et un certain Xavier, dont je
tairai le nom patronymique
Le Mon, 01 Dec 2008 14:25:47 +0100, Xavier Dupeyré a écrit :
Molotov a écrit le 30/11/2008 :
Non, le top c'est de voir le lâcher de Free-roquet qui s'abat sur ce forum pour défendre la veuve, l'orphelin et un certain Xavier, dont je tairai le nom patronymique
You're talking to me ???
Non, pas la suite !
Amicalement, -- Albert.
Xavier Dupeyré
Albert ARIBAUD a écrit le 01/12/2008 :
Le Mon, 01 Dec 2008 14:25:47 +0100, Xavier Dupeyré a écrit :
Molotov a écrit le 30/11/2008 :
Non, le top c'est de voir le lâcher de Free-roquet qui s'abat sur ce forum pour défendre la veuve, l'orphelin et un certain Xavier, dont je tairai le nom patronymique
You're talking to me ???
Non, pas la suite !
:-)
-- Xavier
Albert ARIBAUD a écrit le 01/12/2008 :
Le Mon, 01 Dec 2008 14:25:47 +0100, Xavier Dupeyré a écrit :
Molotov a écrit le 30/11/2008 :
Non, le top c'est de voir le lâcher de Free-roquet qui s'abat sur ce
forum pour défendre la veuve, l'orphelin et un certain Xavier, dont je
tairai le nom patronymique
Le Mon, 01 Dec 2008 14:25:47 +0100, Xavier Dupeyré a écrit :
Molotov a écrit le 30/11/2008 :
Non, le top c'est de voir le lâcher de Free-roquet qui s'abat sur ce forum pour défendre la veuve, l'orphelin et un certain Xavier, dont je tairai le nom patronymique
You're talking to me ???
Non, pas la suite !
:-)
-- Xavier
Molotov
Xavier Dupeyré a écrit :
Molotov a écrit le 30/11/2008 :
Non, le top c'est de voir le lâcher de Free-roquet qui s'abat sur ce forum pour défendre la veuve, l'orphelin et un certain Xavier, dont je tairai le nom patronymique
You're talking to me ???
It's allright... Sorry for inconveniences Xav...
Xavier Dupeyré a écrit :
Molotov a écrit le 30/11/2008 :
Non, le top c'est de voir le lâcher de Free-roquet qui s'abat sur ce
forum pour défendre la veuve, l'orphelin et un certain Xavier, dont je
tairai le nom patronymique
Non, le top c'est de voir le lâcher de Free-roquet qui s'abat sur ce forum pour défendre la veuve, l'orphelin et un certain Xavier, dont je tairai le nom patronymique
You're talking to me ???
It's allright... Sorry for inconveniences Xav...
Jil S
Jil S vient de nous annoncer :
Dans son message précédent, Molotov a écrit :
Quand on est con on est con...
tous devenus fous, plutôt:
LE JOURNALISME D'INVESTIGATION EN DANGER?
Martine Aubry, qui a pris les rênes du Parti socialiste cette semaine, a demandé à Nicolas Sarkozy que "la lumière soit faite dans les plus brefs délais sur cette affaire qui constitue manifestement une grave atteinte à la liberté de la presse et aux libertés individuelles".
Le Syndicat national des journalistes (SNJ) a dénoncé la "démesure avec laquelle sont désormais instruits certains délits de presse" et y voit une "manoeuvre de plus" pour "intimider" les journalistes.
"Une intimidation de plus, une intimidation de trop", s'élève également l'Union syndicale des journalistes CFDT.
"Cette interpellation vient s'ajouter à la tentative de perquisition dans les locaux du Canard Enchaîné, à la très contestée loi sur le secret des sources d'information des journalistes, ou encore aux dix procédures en diffamation récemment engagées par les dirigeants du groupe Caisse d'Epargne contre le site internet d'informations Médiapart", rappelle le syndicat.
Pour Reporters sans Frontières, "traiter un journaliste comme un criminel et recourir à des procédés tels que la fouille au corps est non seulement choquant, mais aussi indigne de la justice française".
et ça continue: De Filippis déclare sur BFM TV que un mandat d'amener c'est pour les criminels, pas pour une histoire de diffamation qui coute un PV
ahlalala, on vit une époque fantastique où on a les journalistes les plus ignares de l'Histoire
-- Coût estimé d'une reconduite à la frontière : 20.970 euros par personne reconduite. maitre-eolas.fr
Jil S vient de nous annoncer :
Dans son message précédent, Molotov a écrit :
Quand on est con on est con...
tous devenus fous, plutôt:
LE JOURNALISME D'INVESTIGATION EN DANGER?
Martine Aubry, qui a pris les rênes du Parti socialiste cette semaine, a
demandé à Nicolas Sarkozy que "la lumière soit faite dans les plus brefs
délais sur cette affaire qui constitue manifestement une grave atteinte à la
liberté de la presse et aux libertés individuelles".
Le Syndicat national des journalistes (SNJ) a dénoncé la "démesure avec
laquelle sont désormais instruits certains délits de presse" et y voit une
"manoeuvre de plus" pour "intimider" les journalistes.
"Une intimidation de plus, une intimidation de trop", s'élève également
l'Union syndicale des journalistes CFDT.
"Cette interpellation vient s'ajouter à la tentative de perquisition dans les
locaux du Canard Enchaîné, à la très contestée loi sur le secret des sources
d'information des journalistes, ou encore aux dix procédures en diffamation
récemment engagées par les dirigeants du groupe Caisse d'Epargne contre le
site internet d'informations Médiapart", rappelle le syndicat.
Pour Reporters sans Frontières, "traiter un journaliste comme un criminel et
recourir à des procédés tels que la fouille au corps est non seulement
choquant, mais aussi indigne de la justice française".
Martine Aubry, qui a pris les rênes du Parti socialiste cette semaine, a demandé à Nicolas Sarkozy que "la lumière soit faite dans les plus brefs délais sur cette affaire qui constitue manifestement une grave atteinte à la liberté de la presse et aux libertés individuelles".
Le Syndicat national des journalistes (SNJ) a dénoncé la "démesure avec laquelle sont désormais instruits certains délits de presse" et y voit une "manoeuvre de plus" pour "intimider" les journalistes.
"Une intimidation de plus, une intimidation de trop", s'élève également l'Union syndicale des journalistes CFDT.
"Cette interpellation vient s'ajouter à la tentative de perquisition dans les locaux du Canard Enchaîné, à la très contestée loi sur le secret des sources d'information des journalistes, ou encore aux dix procédures en diffamation récemment engagées par les dirigeants du groupe Caisse d'Epargne contre le site internet d'informations Médiapart", rappelle le syndicat.
Pour Reporters sans Frontières, "traiter un journaliste comme un criminel et recourir à des procédés tels que la fouille au corps est non seulement choquant, mais aussi indigne de la justice française".