Je viens d'installer "unix 3.5" sur une machine MS et sa marche , d'ou
quel avantage de ne prendre que du LL, alors que pour la m=EAme chose on
a deux fois plus ?
Le Wed, 06 Jul 2005 20:28:17 +0200, Benjamin VINSARD a écrit :
Non sunt multiplicanda entia praeter necessitatem. L'auteur l'a tout de même cité ainsi.
Désolé, mais en latin la position des mots n'a pas d'importance. Donc soit Occam l'a écrit d'une façon, soit de l'autre, mais le sens de la phrase n'est en rien modifié...
-- Toutes les organisations ont leur règles, et les Femmes Algériennes doivent avoir aussi leurs règles. Aït Ahmed.
Le Wed, 06 Jul 2005 20:28:17 +0200, Benjamin VINSARD a écrit :
Non sunt multiplicanda entia praeter necessitatem. L'auteur l'a
tout de même cité ainsi.
Désolé, mais en latin la position des mots n'a pas d'importance. Donc
soit Occam l'a écrit d'une façon, soit de l'autre, mais le sens de la
phrase n'est en rien modifié...
--
Toutes les organisations ont leur règles, et les Femmes Algériennes
doivent avoir aussi leurs règles.
Aït Ahmed.
Le Wed, 06 Jul 2005 20:28:17 +0200, Benjamin VINSARD a écrit :
Non sunt multiplicanda entia praeter necessitatem. L'auteur l'a tout de même cité ainsi.
Désolé, mais en latin la position des mots n'a pas d'importance. Donc soit Occam l'a écrit d'une façon, soit de l'autre, mais le sens de la phrase n'est en rien modifié...
-- Toutes les organisations ont leur règles, et les Femmes Algériennes doivent avoir aussi leurs règles. Aït Ahmed.
ptilou
Bonjour,
Non sunt multiplicanda entia praeter necessitatem. L'auteur l'a tout de même cité ainsi.
Désolé, mais en latin la position des mots n'a pas d'importance. Donc soit Occam l'a écrit d'une façon, soit de l'autre, mais le sens de la phrase n'est en rien modifié...
Que des co*****S, "Non liquet."
Ptilou
Bonjour,
Non sunt multiplicanda entia praeter necessitatem. L'auteur l'a
tout de même cité ainsi.
Désolé, mais en latin la position des mots n'a pas d'importance. Donc
soit Occam l'a écrit d'une façon, soit de l'autre, mais le sens de la
phrase n'est en rien modifié...
Non sunt multiplicanda entia praeter necessitatem. L'auteur l'a tout de même cité ainsi.
Désolé, mais en latin la position des mots n'a pas d'importance. Donc soit Occam l'a écrit d'une façon, soit de l'autre, mais le sens de la phrase n'est en rien modifié...
Que des co*****S, "Non liquet."
Ptilou
Benjamin VINSARD
Non sunt multiplicanda entia praeter necessitatem. L'auteur l'a tout de même cité ainsi.
Désolé, mais en latin la position des mots n'a pas d'importance. Donc soit Occam l'a écrit d'une façon, soit de l'autre, mais le sens de la phrase n'est en rien modifié...
Bonjour,
Tu n'as pas lu ce que j'ai dit, c'est simplifier les choses que de dire que la position des mots n'a pas d'importance en Latin. Lorsqu'on commente un texte Latin, on s'attache également à l'ordre des mots. Par exemple, si Non sunt multiplicanda est au début de la phrase, cela veut dire que l'auteur attache beaucoup d'importance à la valeur de son verbe. Ce qui est vrai, en effet, Occam emploie un adjectif verbal avec le verbe esse. Et dans ce cas, le sujet a valeur secondaire. Par contre, si le sujet entia est placé au début, c'est le contraire qui s'applique. Mais ce que tu dis est juste, dans le sens où la signification globale de la phrase est la même. Je chipote, c'est tout. Mais je chipote car il me semblait que Michel Billaud ne comprenait pas tout à fait la signification de sa citation. Je pense qu'il ne la comprenait pas sur le plan de la langue latin et sur le plan de son sens (pour preuve il ne connaissait pas le nom de son auteur, je pouvais donc en déduire qu'il ne connaissait pas le contexte dans lequel la phrase avait été dit). De plus, Michel Billaud applique sa citation, non pas à des entités premières qui selon Guillaume d'Ockam ne doivent pas être multipliée mais à des entités secondaires qui elle peuvent être multipliées. Milchel Billaud se trompe ainsi de citation. :) Je n'envisageais que deux cas possibles (je suis con, l'auteur du message est con), si l'un était vrai, l'autre était faux.
Benjamin VINSARD
Non sunt multiplicanda entia praeter necessitatem. L'auteur l'a
tout de même cité ainsi.
Désolé, mais en latin la position des mots n'a pas d'importance. Donc
soit Occam l'a écrit d'une façon, soit de l'autre, mais le sens de la
phrase n'est en rien modifié...
Bonjour,
Tu n'as pas lu ce que j'ai dit, c'est simplifier les choses que de dire
que la position des mots n'a pas d'importance en Latin.
Lorsqu'on commente un texte Latin, on s'attache également à l'ordre des
mots.
Par exemple, si Non sunt multiplicanda est au début de la phrase, cela
veut dire que l'auteur attache beaucoup d'importance à la valeur de son
verbe. Ce qui est vrai, en effet, Occam emploie un adjectif verbal avec
le verbe esse. Et dans ce cas, le sujet a valeur secondaire.
Par contre, si le sujet entia est placé au début, c'est le contraire qui
s'applique.
Mais ce que tu dis est juste, dans le sens où la signification globale
de la phrase est la même.
Je chipote, c'est tout. Mais je chipote car il me semblait que Michel
Billaud ne comprenait pas tout à fait la signification de sa citation.
Je pense qu'il ne la comprenait pas sur le plan de la langue latin et
sur le plan de son sens (pour preuve il ne connaissait pas le nom de son
auteur, je pouvais donc en déduire qu'il ne connaissait pas le contexte
dans lequel la phrase avait été dit).
De plus, Michel Billaud applique sa citation, non pas à des entités
premières qui selon Guillaume d'Ockam ne doivent pas être multipliée
mais à des entités secondaires qui elle peuvent être multipliées.
Milchel Billaud se trompe ainsi de citation. :) Je n'envisageais que
deux cas possibles (je suis con, l'auteur du message est con), si l'un
était vrai, l'autre était faux.
Non sunt multiplicanda entia praeter necessitatem. L'auteur l'a tout de même cité ainsi.
Désolé, mais en latin la position des mots n'a pas d'importance. Donc soit Occam l'a écrit d'une façon, soit de l'autre, mais le sens de la phrase n'est en rien modifié...
Bonjour,
Tu n'as pas lu ce que j'ai dit, c'est simplifier les choses que de dire que la position des mots n'a pas d'importance en Latin. Lorsqu'on commente un texte Latin, on s'attache également à l'ordre des mots. Par exemple, si Non sunt multiplicanda est au début de la phrase, cela veut dire que l'auteur attache beaucoup d'importance à la valeur de son verbe. Ce qui est vrai, en effet, Occam emploie un adjectif verbal avec le verbe esse. Et dans ce cas, le sujet a valeur secondaire. Par contre, si le sujet entia est placé au début, c'est le contraire qui s'applique. Mais ce que tu dis est juste, dans le sens où la signification globale de la phrase est la même. Je chipote, c'est tout. Mais je chipote car il me semblait que Michel Billaud ne comprenait pas tout à fait la signification de sa citation. Je pense qu'il ne la comprenait pas sur le plan de la langue latin et sur le plan de son sens (pour preuve il ne connaissait pas le nom de son auteur, je pouvais donc en déduire qu'il ne connaissait pas le contexte dans lequel la phrase avait été dit). De plus, Michel Billaud applique sa citation, non pas à des entités premières qui selon Guillaume d'Ockam ne doivent pas être multipliée mais à des entités secondaires qui elle peuvent être multipliées. Milchel Billaud se trompe ainsi de citation. :) Je n'envisageais que deux cas possibles (je suis con, l'auteur du message est con), si l'un était vrai, l'autre était faux.
Benjamin VINSARD
Benjamin VINSARD
Bonjour,
Non sunt multiplicanda entia praeter necessitatem. L'auteur l'a tout de même cité ainsi.
Désolé, mais en latin la position des mots n'a pas d'importance. Donc soit Occam l'a écrit d'une façon, soit de l'autre, mais le sens de la phrase n'est en rien modifié...
Que des co*****S, "Non liquet."
Ptilou
Bien sur qui si, c'est clair et limpide, tout du moins il me semble.
Bonjour,
Non sunt multiplicanda entia praeter necessitatem. L'auteur l'a
tout de même cité ainsi.
Désolé, mais en latin la position des mots n'a pas d'importance. Donc
soit Occam l'a écrit d'une façon, soit de l'autre, mais le sens de la
phrase n'est en rien modifié...
Que des co*****S, "Non liquet."
Ptilou
Bien sur qui si, c'est clair et limpide, tout du moins il me semble.
Non sunt multiplicanda entia praeter necessitatem. L'auteur l'a tout de même cité ainsi.
Désolé, mais en latin la position des mots n'a pas d'importance. Donc soit Occam l'a écrit d'une façon, soit de l'autre, mais le sens de la phrase n'est en rien modifié...
Que des co*****S, "Non liquet."
Ptilou
Bien sur qui si, c'est clair et limpide, tout du moins il me semble.
Emmanuel Florac
Le Thu, 07 Jul 2005 01:01:50 -0700, a écrit :
Que des co*****S, "Non liquet."
Tu ne sais même pas aligner deux mots en français sans faute d'orthographe, et tu veux nous faire croire que tu n'as ne serait-ce qu'un vernis de latin? Mort de rire.
-- In girum imus nocte ecce et consumimur igni
Le Thu, 07 Jul 2005 01:01:50 -0700, ptilou@gmail.com a écrit :
Que des co*****S, "Non liquet."
Tu ne sais même pas aligner deux mots en français sans faute
d'orthographe, et tu veux nous faire croire que tu n'as ne serait-ce qu'un
vernis de latin? Mort de rire.
Tu ne sais même pas aligner deux mots en français sans faute d'orthographe, et tu veux nous faire croire que tu n'as ne serait-ce qu'un vernis de latin? Mort de rire.
-- In girum imus nocte ecce et consumimur igni
ptilou
Bonjour,
Emmanuel Florac wrote:
Que des co*****S, "Non liquet."
Tu ne sais même pas aligner deux mots en français sans faute d'orthographe, et tu veux nous faire croire que tu n'as ne serait-ce qu'un vernis de latin? Mort de rire.
Oui, oui, en Latin, comme en Français l'ordre des mots à son importence, mes propos non jamais sous entendu que j'étais un vernis de latin, mais que tu étais une grosse bille dans cette langue ... Lex est quod notamus !
Ptilou
Bonjour,
Emmanuel Florac wrote:
Que des co*****S, "Non liquet."
Tu ne sais même pas aligner deux mots en français sans faute
d'orthographe, et tu veux nous faire croire que tu n'as ne serait-ce qu'un
vernis de latin? Mort de rire.
Oui, oui, en Latin, comme en Français l'ordre des mots à son
importence, mes propos non jamais sous entendu que j'étais un vernis
de latin, mais que tu étais une grosse bille dans cette langue ...
Lex est quod notamus !
Tu ne sais même pas aligner deux mots en français sans faute d'orthographe, et tu veux nous faire croire que tu n'as ne serait-ce qu'un vernis de latin? Mort de rire.
Oui, oui, en Latin, comme en Français l'ordre des mots à son importence, mes propos non jamais sous entendu que j'étais un vernis de latin, mais que tu étais une grosse bille dans cette langue ... Lex est quod notamus !
Ptilou
Benjamin VINSARD
Bonjour,
Emmanuel Florac wrote:
Que des co*****S, "Non liquet."
Tu ne sais même pas aligner deux mots en français sans faute d'orthographe, et tu veux nous faire croire que tu n'as ne serait-ce qu'un vernis de latin? Mort de rire.
Oui, oui, en Latin, comme en Français l'ordre des mots à son importence, mes propos non jamais sous entendu que j'étais un vernis de latin, mais que tu étais une grosse bille dans cette langue ... Lex est quod notamus !
Ptilou
Non mais l'importance des mots est tout de même mineure. Ma critique
précédente était simplement histoire de faire des histoires justement. L'ordre des mots ne change de toute façon pas grand chose à la compréhension globale de la phrase.
Bonjour,
Emmanuel Florac wrote:
Que des co*****S, "Non liquet."
Tu ne sais même pas aligner deux mots en français sans faute
d'orthographe, et tu veux nous faire croire que tu n'as ne serait-ce qu'un
vernis de latin? Mort de rire.
Oui, oui, en Latin, comme en Français l'ordre des mots à son
importence, mes propos non jamais sous entendu que j'étais un vernis
de latin, mais que tu étais une grosse bille dans cette langue ...
Lex est quod notamus !
Ptilou
Non mais l'importance des mots est tout de même mineure. Ma critique
précédente était simplement histoire de faire des histoires justement.
L'ordre des mots ne change de toute façon pas grand chose à la
compréhension globale de la phrase.
Tu ne sais même pas aligner deux mots en français sans faute d'orthographe, et tu veux nous faire croire que tu n'as ne serait-ce qu'un vernis de latin? Mort de rire.
Oui, oui, en Latin, comme en Français l'ordre des mots à son importence, mes propos non jamais sous entendu que j'étais un vernis de latin, mais que tu étais une grosse bille dans cette langue ... Lex est quod notamus !
Ptilou
Non mais l'importance des mots est tout de même mineure. Ma critique
précédente était simplement histoire de faire des histoires justement. L'ordre des mots ne change de toute façon pas grand chose à la compréhension globale de la phrase.
Emmanuel Florac
Le Thu, 07 Jul 2005 10:04:11 +0200, Benjamin VINSARD a écrit :
Je n'envisageais que deux cas possibles (je suis con, l'auteur du message est con), si l'un était vrai, l'autre était faux.
Là tu simplifies un peu vite pour le besoin de la démonstration :)
-- L'Algérie était au bord du gouffre, aujourd'hui elle a fait un grand pas en avant. Aït Ahmed.
Le Thu, 07 Jul 2005 10:04:11 +0200, Benjamin VINSARD a écrit :
Je n'envisageais que
deux cas possibles (je suis con, l'auteur du message est con), si l'un
était vrai, l'autre était faux.
Là tu simplifies un peu vite pour le besoin de la démonstration :)
--
L'Algérie était au bord du gouffre, aujourd'hui elle a fait un grand pas
en avant.
Aït Ahmed.
Le Thu, 07 Jul 2005 10:04:11 +0200, Benjamin VINSARD a écrit :
Je n'envisageais que deux cas possibles (je suis con, l'auteur du message est con), si l'un était vrai, l'autre était faux.
Là tu simplifies un peu vite pour le besoin de la démonstration :)
-- L'Algérie était au bord du gouffre, aujourd'hui elle a fait un grand pas en avant. Aït Ahmed.
Benjamin VINSARD
Je n'envisageais que deux cas possibles (je suis con, l'auteur du message est con), si l'un était vrai, l'autre était faux.
Là tu simplifies un peu vite pour le besoin de la démonstration :)
oui c'est vrai :)
Bon j'avoue que je faisais exprès, de toute façon, on s'en fout un peu de l'ordre des mots, tout le monde a compris la citation maintenant de toute façon. Mais je maintiens que la citation de Michèle Billaud ne s'appliquait pas étant donné que je n'évoquais pas un certain nombre d'entités premières toutes vraies en même temps mais seulement des entités secondaires qui n'était pas toute vraies en même temps. De toute façon, personne n'e encore compris ce que voulait dire
Benjamin VINSARD
Je n'envisageais que
deux cas possibles (je suis con, l'auteur du message est con), si l'un
était vrai, l'autre était faux.
Là tu simplifies un peu vite pour le besoin de la démonstration :)
oui c'est vrai :)
Bon j'avoue que je faisais exprès, de toute façon, on s'en fout un peu
de l'ordre des mots, tout le monde a compris la citation maintenant de
toute façon.
Mais je maintiens que la citation de Michèle Billaud ne s'appliquait pas
étant donné que je n'évoquais pas un certain nombre d'entités premières
toutes vraies en même temps mais seulement des entités secondaires qui
n'était pas toute vraies en même temps.
De toute façon, personne n'e encore compris ce que voulait dire
ptilou@gmail.com
Je n'envisageais que deux cas possibles (je suis con, l'auteur du message est con), si l'un était vrai, l'autre était faux.
Là tu simplifies un peu vite pour le besoin de la démonstration :)
oui c'est vrai :)
Bon j'avoue que je faisais exprès, de toute façon, on s'en fout un peu de l'ordre des mots, tout le monde a compris la citation maintenant de toute façon. Mais je maintiens que la citation de Michèle Billaud ne s'appliquait pas étant donné que je n'évoquais pas un certain nombre d'entités premières toutes vraies en même temps mais seulement des entités secondaires qui n'était pas toute vraies en même temps. De toute façon, personne n'e encore compris ce que voulait dire
Benjamin VINSARD
Stephane Zuckerman
De toute façon, personne n'e encore compris ce que voulait dire
En fait, le plonkage ne sert à rien, puisque je suis obligé de supporter ptilou par l'intermédiaire des gens qui ne le plonkent pas et qui lui font de la publicité :-(
-- "Je deteste les ordinateurs : ils font toujours ce que je dis, jamais ce que je veux !" "The obvious mathematical breakthrough would be development of an easy way to factor large prime numbers." (Bill Gates, The Road Ahead)
De toute façon, personne n'e encore compris ce que voulait dire
ptilou@gmail.com
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ptilou par l'intermédiaire des gens qui ne le plonkent pas et qui lui font
de la publicité :-(
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"Je deteste les ordinateurs : ils font toujours ce que je dis, jamais ce
que je veux !"
"The obvious mathematical breakthrough would be development of an easy
way to factor large prime numbers." (Bill Gates, The Road Ahead)
De toute façon, personne n'e encore compris ce que voulait dire
En fait, le plonkage ne sert à rien, puisque je suis obligé de supporter ptilou par l'intermédiaire des gens qui ne le plonkent pas et qui lui font de la publicité :-(
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