Je continue frénétiquement à prendre des photos de fleurs et de les
utiliser pour faire une trace.
Voici quelques exemples avec des photos de fleurs hors contexte, sur
fond blanc :
http://www.octav.fr/quotidien/10-04-05/05.html
http://www.octav.fr/quotidien/10-04-05/22.html
http://www.octav.fr/quotidien/10-04-05/31.html
http://www.octav.fr/quotidien/10-04-05/35.html
D'autres, avec photos prises avant de toucher quoi que ce soit :
Je trouve ça intéressant, un peu comme l'évolution d'un cadavre d'animal qui disparaît peu à peu.
Merci.
Un côté morbide! Un truc que j'ai souvent lu et entendu à propos de la photographie. Je ne saisissais pas trop, jeune. Maintenant, c'est un fait qui me paraît évident.
je ne vois pas ce qui est " morbide " ?
-- G.Ricco
Octave wrote:
Ghost-Rider a écrit :
Je trouve ça intéressant, un peu comme l'évolution d'un cadavre
d'animal qui disparaît peu à peu.
Merci.
Un côté morbide! Un truc que j'ai souvent lu et entendu à propos de la
photographie. Je ne saisissais pas trop, jeune. Maintenant, c'est un
fait qui me paraît évident.
Je trouve ça intéressant, un peu comme l'évolution d'un cadavre d'animal qui disparaît peu à peu.
Merci.
Un côté morbide! Un truc que j'ai souvent lu et entendu à propos de la photographie. Je ne saisissais pas trop, jeune. Maintenant, c'est un fait qui me paraît évident.
je ne vois pas ce qui est " morbide " ?
-- G.Ricco
filh
Delestaque wrote:
qaund on a trouvé un filon, en général ça dure un moment, pour ceratins, toute la vie,
Un peu comme Ricco et sa pulutions sur frp...
FiLH -- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Delestaque <1@1.com> wrote:
qaund on a trouvé un filon, en général ça dure un moment, pour ceratins,
toute la vie,
Un peu comme Ricco et sa pulutions sur frp...
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
qaund on a trouvé un filon, en général ça dure un moment, pour ceratins, toute la vie,
Un peu comme Ricco et sa pulutions sur frp...
FiLH -- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
filh
Octave wrote:
Je continue frénétiquement à prendre des photos de fleurs et de les utiliser pour faire une trace. Voici quelques exemples avec des photos de fleurs hors contexte, sur fond blanc :
http://www.octav.fr/quotidien/10-04-05/05.html
http://www.octav.fr/quotidien/10-04-05/22.html
http://www.octav.fr/quotidien/10-04-05/31.html
http://www.octav.fr/quotidien/10-04-05/35.html
D'autres, avec photos prises avant de toucher quoi que ce soit :
http://www.octav.fr/quotidien/10-03-27/04.html
http://www.octav.fr/quotidien/10-03-29/05.html
http://www.octav.fr/quotidien/10-04-04/16.html
C'est bien tout ça, j'aime beaucoup les parallèles graphiques. Danger pour les répétitions bien sûr
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Octave <octavpas-spam@octav.fr> wrote:
Je continue frénétiquement à prendre des photos de fleurs et de les
utiliser pour faire une trace.
Voici quelques exemples avec des photos de fleurs hors contexte, sur
fond blanc :
http://www.octav.fr/quotidien/10-04-05/05.html
http://www.octav.fr/quotidien/10-04-05/22.html
http://www.octav.fr/quotidien/10-04-05/31.html
http://www.octav.fr/quotidien/10-04-05/35.html
D'autres, avec photos prises avant de toucher quoi que ce soit :
http://www.octav.fr/quotidien/10-03-27/04.html
http://www.octav.fr/quotidien/10-03-29/05.html
http://www.octav.fr/quotidien/10-04-04/16.html
C'est bien tout ça, j'aime beaucoup les parallèles graphiques.
Danger pour les répétitions bien sûr
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Je continue frénétiquement à prendre des photos de fleurs et de les utiliser pour faire une trace. Voici quelques exemples avec des photos de fleurs hors contexte, sur fond blanc :
http://www.octav.fr/quotidien/10-04-05/05.html
http://www.octav.fr/quotidien/10-04-05/22.html
http://www.octav.fr/quotidien/10-04-05/31.html
http://www.octav.fr/quotidien/10-04-05/35.html
D'autres, avec photos prises avant de toucher quoi que ce soit :
http://www.octav.fr/quotidien/10-03-27/04.html
http://www.octav.fr/quotidien/10-03-29/05.html
http://www.octav.fr/quotidien/10-04-04/16.html
C'est bien tout ça, j'aime beaucoup les parallèles graphiques. Danger pour les répétitions bien sûr
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Octave
Delestaque a écrit :
Octave wrote:
Ghost-Rider a écrit :
Je trouve ça intéressant, un peu comme l'évolution d'un cadavre d'animal qui disparaît peu à peu.
Merci.
Un côté morbide! Un truc que j'ai souvent lu et entendu à propos de la photographie. Je ne saisissais pas trop, jeune. Maintenant, c'est un fait qui me paraît évident.
je ne vois pas ce qui est " morbide " ?
Non seulement les photos montrent du "passé" mais en plus les traces donnent la preuve que la fleur a disparu dans le frottement sur le papier.
Delestaque a écrit :
Octave wrote:
Ghost-Rider a écrit :
Je trouve ça intéressant, un peu comme l'évolution d'un cadavre
d'animal qui disparaît peu à peu.
Merci.
Un côté morbide! Un truc que j'ai souvent lu et entendu à propos de la
photographie. Je ne saisissais pas trop, jeune. Maintenant, c'est un
fait qui me paraît évident.
je ne vois pas ce qui est " morbide " ?
Non seulement les photos montrent du "passé" mais en plus les traces
donnent la preuve que la fleur a disparu dans le frottement sur le papier.
Je trouve ça intéressant, un peu comme l'évolution d'un cadavre d'animal qui disparaît peu à peu.
Merci.
Un côté morbide! Un truc que j'ai souvent lu et entendu à propos de la photographie. Je ne saisissais pas trop, jeune. Maintenant, c'est un fait qui me paraît évident.
je ne vois pas ce qui est " morbide " ?
Non seulement les photos montrent du "passé" mais en plus les traces donnent la preuve que la fleur a disparu dans le frottement sur le papier.
Octave
Delestaque a écrit :
DM wrote:
C'est clair, c'est une bonne idée. Mais bon, y a quand même pas matière à passer des années sur le concept. Phil
qaund on a trouvé un filon, en général ça dure un moment, pour ceratins, toute la vie, et là, des traces de fleurs, pour bien draguer, super, cet homme est un artiste qui fait des traces de fleurs, Ô, merveilleux d'ailleurs certaines de ces traces ressemblent à des têtes de chien. On a Octave, Rocha, et Roschart, quel news group passionnant. Catastrophe, j'ai vu des têtes de chien dans les traces.
On peut appeler ça un filon. J'ai tout de suite trouvé ça beau, ces traces. Je saute dessus, jusqu'à l'épuiser ?! En tout cas, tant que l'envie me vient en marchant, en voyant une fleur pouvant faire une photo et une trace, tant qu'est là l'envie de faire une trace nouvelle. Et puis, je ne fais presque plus d'autres photos, pris par ce rapport d'images. C'est un plaisir vertigineux d'imaginer cela sans fin. Mais je sais qu'il y aura autre chose, bientôt. Ou que ça s'arrêtera, simplement. Pour l'instant, j'y trouve de la variété et je le fais avec gourmandise.
Delestaque a écrit :
DM wrote:
C'est clair, c'est une bonne idée.
Mais bon, y a quand même pas matière à passer des années sur le
concept.
Phil
qaund on a trouvé un filon, en général ça dure un moment, pour ceratins,
toute la vie, et là, des traces de fleurs, pour bien draguer, super, cet
homme est un artiste qui fait des traces de fleurs, Ô, merveilleux
d'ailleurs certaines de ces traces ressemblent à des têtes de chien.
On a Octave, Rocha, et Roschart, quel news group passionnant.
Catastrophe, j'ai vu des têtes de chien dans les traces.
On peut appeler ça un filon.
J'ai tout de suite trouvé ça beau, ces traces.
Je saute dessus, jusqu'à l'épuiser ?!
En tout cas, tant que l'envie me vient en marchant, en voyant une fleur
pouvant faire une photo et une trace, tant qu'est là l'envie de faire
une trace nouvelle.
Et puis, je ne fais presque plus d'autres photos, pris par ce rapport
d'images.
C'est un plaisir vertigineux d'imaginer cela sans fin. Mais je sais
qu'il y aura autre chose, bientôt. Ou que ça s'arrêtera, simplement.
Pour l'instant, j'y trouve de la variété et je le fais avec gourmandise.
C'est clair, c'est une bonne idée. Mais bon, y a quand même pas matière à passer des années sur le concept. Phil
qaund on a trouvé un filon, en général ça dure un moment, pour ceratins, toute la vie, et là, des traces de fleurs, pour bien draguer, super, cet homme est un artiste qui fait des traces de fleurs, Ô, merveilleux d'ailleurs certaines de ces traces ressemblent à des têtes de chien. On a Octave, Rocha, et Roschart, quel news group passionnant. Catastrophe, j'ai vu des têtes de chien dans les traces.
On peut appeler ça un filon. J'ai tout de suite trouvé ça beau, ces traces. Je saute dessus, jusqu'à l'épuiser ?! En tout cas, tant que l'envie me vient en marchant, en voyant une fleur pouvant faire une photo et une trace, tant qu'est là l'envie de faire une trace nouvelle. Et puis, je ne fais presque plus d'autres photos, pris par ce rapport d'images. C'est un plaisir vertigineux d'imaginer cela sans fin. Mais je sais qu'il y aura autre chose, bientôt. Ou que ça s'arrêtera, simplement. Pour l'instant, j'y trouve de la variété et je le fais avec gourmandise.
albert
"Octave" a écrit :
C'est un plaisir vertigineux d'imaginer cela sans fin. Mais je sais qu'il y aura autre chose, bientôt. Ou que ça s'arrêtera, simplement.
Une autre façon d'aborder le temps : http://www.artpointfrance.over-blog.com/article-26543012.html
Amitiés, albert
"Octave" <octavpas-spam@octav.fr> a écrit :
C'est un plaisir vertigineux d'imaginer cela sans fin. Mais je sais qu'il
y aura autre chose, bientôt. Ou que ça s'arrêtera, simplement.
Une autre façon d'aborder le temps :
http://www.artpointfrance.over-blog.com/article-26543012.html
C'est un plaisir vertigineux d'imaginer cela sans fin. Mais je sais qu'il y aura autre chose, bientôt. Ou que ça s'arrêtera, simplement.
Une autre façon d'aborder le temps : http://www.artpointfrance.over-blog.com/article-26543012.html
Amitiés, albert
Octave
Ghost-Rider a écrit :
Le 08/04/2010 08:47, Octave a écrit :
Ghost-Rider a écrit :
Je trouve ça intéressant, un peu comme l'évolution d'un cadavre d'animal qui disparaît peu à peu.
Un côté morbide! Un truc que j'ai souvent lu et entendu à propos de la photographie. Je ne saisissais pas trop, jeune. Maintenant, c'est un fait qui me paraît évident.
Pour moi, pas vraiment morbide ici, car si les formes s'estompent, il reste la couleur. Plutôt un côté "essentiel".
"essentiel", ça me va. Ce serait le sens de ces traces, comme on pourrait dire "l'essence" de cette fleur. Ce serait exactement ça que je cherche, ni plus ni moins. Ca passe dans la naïveté du geste, mais est-ce que ça passera dans la maîtrise du geste ?!
Ghost-Rider a écrit :
Le 08/04/2010 08:47, Octave a écrit :
Ghost-Rider a écrit :
Je trouve ça intéressant, un peu comme l'évolution d'un cadavre
d'animal qui disparaît peu à peu.
Un côté morbide! Un truc que j'ai souvent lu et entendu à propos de la
photographie. Je ne saisissais pas trop, jeune. Maintenant, c'est un
fait qui me paraît évident.
Pour moi, pas vraiment morbide ici, car si les formes s'estompent, il
reste la couleur. Plutôt un côté "essentiel".
"essentiel", ça me va. Ce serait le sens de ces traces, comme on
pourrait dire "l'essence" de cette fleur.
Ce serait exactement ça que je cherche, ni plus ni moins. Ca passe dans
la naïveté du geste, mais est-ce que ça passera dans la maîtrise du geste ?!
Je trouve ça intéressant, un peu comme l'évolution d'un cadavre d'animal qui disparaît peu à peu.
Un côté morbide! Un truc que j'ai souvent lu et entendu à propos de la photographie. Je ne saisissais pas trop, jeune. Maintenant, c'est un fait qui me paraît évident.
Pour moi, pas vraiment morbide ici, car si les formes s'estompent, il reste la couleur. Plutôt un côté "essentiel".
"essentiel", ça me va. Ce serait le sens de ces traces, comme on pourrait dire "l'essence" de cette fleur. Ce serait exactement ça que je cherche, ni plus ni moins. Ca passe dans la naïveté du geste, mais est-ce que ça passera dans la maîtrise du geste ?!
Octave
albert a écrit :
"Octave" a écrit :
C'est un plaisir vertigineux d'imaginer cela sans fin. Mais je sais qu'il y aura autre chose, bientôt. Ou que ça s'arrêtera, simplement.
Une autre façon d'aborder le temps : http://www.artpointfrance.over-blog.com/article-26543012.html
Amitiés, albert
Oui, le plus absurde des artistes, le plus vertigineux. Si vide. Depuis des années au bord de la folie. J'ai adoré être dans cet espace (aux Abattoirs de Toulouse) avec trois toiles remplies de l'énumération de ce nombre qui grossi, d'un ou deux autoportraits et de sa voix disant ces nombres sans fin. On pourrait dire qu'il est coincé, qu'il s'est coincé en décidant cela un jour et en s'y tenant. Mais cela maintenant parait libre, toujours plus libre, toujours plus fou, toujours plus pure.
albert a écrit :
"Octave" <octavpas-spam@octav.fr> a écrit :
C'est un plaisir vertigineux d'imaginer cela sans fin. Mais je sais qu'il
y aura autre chose, bientôt. Ou que ça s'arrêtera, simplement.
Une autre façon d'aborder le temps :
http://www.artpointfrance.over-blog.com/article-26543012.html
Amitiés,
albert
Oui, le plus absurde des artistes, le plus vertigineux. Si vide. Depuis
des années au bord de la folie. J'ai adoré être dans cet espace (aux
Abattoirs de Toulouse) avec trois toiles remplies de l'énumération de ce
nombre qui grossi, d'un ou deux autoportraits et de sa voix disant ces
nombres sans fin.
On pourrait dire qu'il est coincé, qu'il s'est coincé en décidant cela
un jour et en s'y tenant. Mais cela maintenant parait libre, toujours
plus libre, toujours plus fou, toujours plus pure.
C'est un plaisir vertigineux d'imaginer cela sans fin. Mais je sais qu'il y aura autre chose, bientôt. Ou que ça s'arrêtera, simplement.
Une autre façon d'aborder le temps : http://www.artpointfrance.over-blog.com/article-26543012.html
Amitiés, albert
Oui, le plus absurde des artistes, le plus vertigineux. Si vide. Depuis des années au bord de la folie. J'ai adoré être dans cet espace (aux Abattoirs de Toulouse) avec trois toiles remplies de l'énumération de ce nombre qui grossi, d'un ou deux autoportraits et de sa voix disant ces nombres sans fin. On pourrait dire qu'il est coincé, qu'il s'est coincé en décidant cela un jour et en s'y tenant. Mais cela maintenant parait libre, toujours plus libre, toujours plus fou, toujours plus pure.
Octave
FiLH a écrit :
Octave wrote:
C'est bien tout ça, j'aime beaucoup les parallèles graphiques. Danger pour les répétitions bien sûr
FiLH
Merci. Le parallèle graphique est La question. Entre dessiner la fleur, ou simplement imiter la dynamique, ou frotter (dessiner) le moins possible, ou en ne laissant que le contour se colorer avec le pétale en creux.
FiLH a écrit :
Octave <octavpas-spam@octav.fr> wrote:
C'est bien tout ça, j'aime beaucoup les parallèles graphiques.
Danger pour les répétitions bien sûr
FiLH
Merci.
Le parallèle graphique est La question.
Entre dessiner la fleur, ou simplement imiter la dynamique, ou frotter
(dessiner) le moins possible, ou en ne laissant que le contour se
colorer avec le pétale en creux.
C'est bien tout ça, j'aime beaucoup les parallèles graphiques. Danger pour les répétitions bien sûr
FiLH
Merci. Le parallèle graphique est La question. Entre dessiner la fleur, ou simplement imiter la dynamique, ou frotter (dessiner) le moins possible, ou en ne laissant que le contour se colorer avec le pétale en creux.
Delestaque
Octave wrote:
Delestaque a écrit :
Octave wrote:
Ghost-Rider a écrit :
Je trouve ça intéressant, un peu comme l'évolution d'un cadavre d'animal qui disparaît peu à peu.
Merci.
Un côté morbide! Un truc que j'ai souvent lu et entendu à propos de la photographie. Je ne saisissais pas trop, jeune. Maintenant, c'est un fait qui me paraît évident.
je ne vois pas ce qui est " morbide " ?
Non seulement les photos montrent du "passé" mais en plus les traces donnent la preuve que la fleur a disparu dans le frottement sur le papier.
" morbide " c'est "maladif " le sens , je ne vois pas ce qu'il y a de maladif dans tout ça ? je pense que tu te trompes de terminologie.
-- G.Ricco
Octave wrote:
Delestaque a écrit :
Octave wrote:
Ghost-Rider a écrit :
Je trouve ça intéressant, un peu comme l'évolution d'un cadavre
d'animal qui disparaît peu à peu.
Merci.
Un côté morbide! Un truc que j'ai souvent lu et entendu à propos de
la photographie. Je ne saisissais pas trop, jeune. Maintenant,
c'est un fait qui me paraît évident.
je ne vois pas ce qui est " morbide " ?
Non seulement les photos montrent du "passé" mais en plus les traces
donnent la preuve que la fleur a disparu dans le frottement sur le
papier.
" morbide " c'est "maladif " le sens , je ne vois pas ce qu'il y a de
maladif dans tout ça ?
je pense que tu te trompes de terminologie.
Je trouve ça intéressant, un peu comme l'évolution d'un cadavre d'animal qui disparaît peu à peu.
Merci.
Un côté morbide! Un truc que j'ai souvent lu et entendu à propos de la photographie. Je ne saisissais pas trop, jeune. Maintenant, c'est un fait qui me paraît évident.
je ne vois pas ce qui est " morbide " ?
Non seulement les photos montrent du "passé" mais en plus les traces donnent la preuve que la fleur a disparu dans le frottement sur le papier.
" morbide " c'est "maladif " le sens , je ne vois pas ce qu'il y a de maladif dans tout ça ? je pense que tu te trompes de terminologie.