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Sarko : le hasard fait bien les choses ;-)

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Beep Beep
Sarko présentera son avant-projet de loi antiterroriste ce soir (Fr3)
dans /pièces à conviction/ : *Terrorisme, la nouvelle menace* et
voilà-t-y pas qu'on apprend que ce matin l'AFP nous apprend ce matin
l'are-station de sept personnes soupçonnées d'appartenir à un groupe
islamiste
:http://www.edicom.ch/news/international/050926114822.mo.shtml

C'est-t-y pas beau ;-)

--
Beep Beep

10 réponses

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greg
treve de plaisanteries, sarko est une menace pour l'humanité c est un
fait avéré. Il faut en prendre conscience maintenant, avant que le
peuple se rallie a sa quête du graal.
il n y a jamais de terrorisme en france comparable a se que vivent les
orientaux. alors la propagande devrait s arreter la point final
a moins qu un genie plombe se connard !!! ben on est dans la merde.
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roaringriri
Anne Ass a écrit :
Beep Beep avait écrit le 26/09/2005 :

Sarko présentera son avant-projet de loi antiterroriste ce soir (Fr3)
dans /pièces à conviction/ : *Terrorisme, la nouvelle menace* et
voilà-t-y pas qu'on apprend que ce matin l'AFP nous apprend ce matin
l'are-station de sept personnes soupçonnées d'appartenir à un groupe
islamiste
:http://www.edicom.ch/news/international/050926114822.mo.shtml

C'est-t-y pas beau ;-)




On a souvent dit que l'incendie du Reichstag était le fait des nazis,
s'offrant ainsi une occasion d'organiser des rafles dans le "milieu"
communiste.
Et bien le travail d'historiens a fait la lumière sur cette page de
l'histoire. Marinus van der Lubbe, militant communiste avait bel et bien
foutu le feu au Reichtag!
Alors, avant d'accuser Sarko de... faudrait faire attention. Bon
d'accord il va bientôt supprimer nos libertés individuelles, puis
installer des caméras à chaque coin de rue, puis fliquer notre
téléphone, puis censurer Internet. Mais c'était prévu depuis longtemps,
bien avant le terrorisme politique.



Ca ne vous suffit pas de l'avoir torturé et décapité, il faut que vous
lui chiez dessus 70 ans après sa mort.




IL Y A 70 ANS : LE REICHSTAG EN FLAMMES
Ou de la réhabilitation de Marinus Van Der Lubbe, militant
révolutionnaire injustement calomnié


Le 27 février 1933 Marinus Van Der Lubbe, jeune chômeur
hollandais, proche du communisme de conseils, incendie, seul, le
Reichstag à Berlin pour « réveiller les travailleurs allemands » après
la nomination de Hitler comme chancelier le 30 janvier précédent. Pour
les nazis pas de doute : l’incendiaire est le bras armé d’un complot
communiste d’autant que trois jours auparavant, le ministre de
l’Intérieur, Goering, après une perquisition « musclée » intervenue au
siège du parti communiste - le KPD, alors le plus puissant d’Europe
hors l’URSS - , a annoncé « la découverte d’un plan insurrectionnel avec
prise d’otages d’enfants de dirigeants, attentats et empoisonnement
massif ». L’état d’urgence est aussitôt instauré et des milliers d’élus
et de permanents communistes arrêtés…grâce aux listes constituées depuis
dix ans par les gouvernements sociaux-démocrates et de centre-droit
successifs. Le KPD est mis hors-la-loi et Ernst Torgler, chef du groupe
communiste au Reichstag, accusé d’être l’instigateur du complot, se
constitue prisonnier le 29. Cinq jours après l’incendie, trois bulgares,
dont Georgi Dimitrov (1) dirigeant du bureau du Komintern à Berlin, sont
arrêtés et inculpés pour « tentative de subversion de l’Etat et
complicité d’incendie sur un édifice public ». Pourtant, lors de son
interrogatoire par les services de police, Van der Lubbe affirme avec
force avoir agi seul : « Je ne connais ni de nom ni de vue le dirigeant
communiste Torgler auquel je viens d’être confronté. » Il décrit
précisément comment il a réussi à s’introduire dans le Reichstag « en
escaladant la façade par la gauche en grimpant sur une corniche à
hauteur d’homme » pour arriver sur un petit balcon dont il a forcé la
porte-fenêtre, et comment , une fois à l’intérieur, il a parcouru
plusieurs pièces allumant des foyers d’incendie avec ses allume-feux
(2), mais sans trop de succès jusqu’à ce qu’il pénètre dans la grande
salle des délibérations et réussisse à embraser les lourdes tentures qui
propageront le feu dans tout le bâtiment. Il a beau insister « J’ai pris
ma décision de venir en Allemagne absolument seul… Personne ne m’a aidé
dans mon action et je n’ai rencontré personne dans le bâtiment du
Reichstag », les nazis le somment de dénoncer ses complices car l’idée
que quelqu’un puisse agir de façon autonome est totalement impensable au
regard de leur schéma de fonctionnement basé sur le « fuhrer prinzip ».
Quoiqu’il en soit l’objectif est atteint : lors des élections
législatives du 5 mars, les nazis obtiennent 44 % des voix et 288 sièges
soit la majorité absolue face aux 212 sièges du SPD et du Zentrum (3),
les 81 députés communistes étant hors-la-loi. Dès le 23 mars, avec
l’appui du Zentrum, Hitler obtient les pleins pouvoirs et début juillet,
la léthargie des sociaux-démocrates aidant, l’Allemagne est sous la
botte d’un régime de parti unique.
Face à ce rouleau compresseur, le Komintern se décide enfin à réagir
et, par l’intermédiaire de Willi Muzenberg, fondateur du Secours Rouge
international, crée à Paris un « Comité d’aide international aux
victimes du fascisme hitlérien » qui va publier, début août, traduit en
quinze langues et diffusé par millions, un « Livre Brun sur l’incendie
du Reichstag et la terreur hitlérienne » lequel « aura un impact
considérable sur les opinions publiques du monde entier, ses
affirmations prenant force de vérité face au déni de justice de la
répression nazie » . Trois lignes de force sont développées : Des S.A.
(4) envoyés par Goering ont aidé Van der Lubbe à propager l’incendie en
empruntant un passage souterrain ; un député du parti national-allemand
- mais qui s’est suicidé en mai -, Oberfuhren, atteste de la réalité du
complot nazi ; l’ « enquête » menée en Hollande fait de Van der Lubbe
un « fils de petit-bourgeois », un « jeune pédéraste à moitié aveugle »
qui aurait été le mignon de haut-responsables des S.A. Face à un tel
déferlement de propagande et des ragots aussi abjects, ce dernier ne
peut compter que sur de rares appuis extérieurs (5) et une poignée
d’amis fidèles qui publient le 21 septembre à Amsterdam « Le Livre
Rouge, Van der Lubbe et l’incendie du Reichstag » qui démonte point par
point les préjugés conspirationnistes du Livre Brun mais ne rencontre
guère d’écho, étant donné en outre son tirage confidentiel. Le même jour
le « procès des incendiaires » s’ouvre à Leipzig devant la Cour Suprême
en présence de 125 journalistes accrédités en provenance du monde
entier, le régime nazi, sûr de lui, assurant un semblant de respect
formel des règles de droit et de liberté des débats. Ceux-ci vont mettre
en lumière les failles des deux thèses en présence mais la presse
internationale prend parti pour les bulgares d’autant que Dimitrov se
montre incisif et affronte Goering avec succès, alors que Van der Lubbe
- qui a été torturé en prison et a entrepris une grève de la faim en
protestation - reste prostré, ne répondant que par monosyllabes,
accréditant la thèse du « semi-débile » manipulé par les uns ou par les
autres. Le 23 décembre les trois bulgares et Torgler sont acquittés et
Marinus, condamné à mort, sera décapité le 10 janvier 1934. Pourtant le
21 avril 1967 le tribunal de Berlin cassera le jugement de Leipzig, ne
retenant qu’ « une tentative d’incendie avec effraction », et condamnera
le jeune hollandais post mortem à huit ans de prison. Et en 1998 s’est
constituée en Hollande la fondation « Une sépulture pour Marinus Van der
Lubbe », en hommage à la « première victime anti-fasciste hollandaise
tombée en Allemagne hitlérienne ».

Cette réhabilitation, Yves Pagès et Charles Reeve l’ont
remarquablement mise en situation en présentant et annotant ces
« Carnets de route de l’incendiaire du Reichstag et autres récits » que
viennent de publier les éditions Verticales. A l’opposé du portrait à
charge du pauvre hère manipulé, nous est au contraire révélée la
personnalité d’un ouvrier du bâtiment victime très tôt d’un accident du
travail, un amateur de randonnées au long cours et sportif accompli à
ses heures. A partir de 1928,il fait plusieurs voyages à pied et en
auto-stop à travers l’Europe et projette notamment, muni pour tout
viatique de deux florins et un demi-mark allemand, de se rendre à
Constantinople, envisageant même de pousser jusqu’à la Chine ! Parti de
Leyde le 7 septembre 1931, il va traverser toute l’Allemagne,
l’Autriche, la Yougoslavie et la Hongrie, mais arrivé à Budapest le 24
octobre il décide finalement de rentrer. Les gestes simples d’entraide
dont il a fait l’objet le long de la route - un cordonnier qui recoud
ses chaussures, un paysan qui lui offre du pain et du café - alimentent
sa réflexion : « Voilà qui est typique de l’humain. Nous n’avons pas
besoin de chercher une occasion pour faire du bien. Nous le faisons
lorsque la situation se présente, pas par philanthropie mais parce que
c’est bon tout simplement et parce que le moment, les circonstances sont
là pour faire le bien. »
Marinus est un ennemi de tout préjugé nationaliste épris d’entraide
sociale, aux précoces activités militantes, qui va s’éloigner
progressivement du parti communiste pour se rapprocher du « communisme
de conseil » sur la base de trois idées-force : spontanéité, autonomie
et auto-organisation des luttes, développées notamment dans les trois
numéros du « Journal des chômeurs » qu’il fait paraître dans sa ville de
Leyde en octobre et novembre 1932. Il ne supporte plus un parti
communiste défenseur inconditionnel de l’URSS et refusant toute
initiative des militants de base alors que la situation sociale se
durcit, et s’inquiète de la résistible montée du nazisme en Allemagne,
critiquant le fait que « la lutte acharnée contre le fascisme
meurtrier », qui devrait constituer la préoccupation première, soit
détournée de son but par des tactiques électorales qui vont entraîner la
chute du KPD, en considérant les « sociaux-traîtres » (6) du SPD comme
l’ennemi principal : « Ne concentrez pas vos efforts sur Hitler. Suivez
la ligne tracée. Nous devons frapper nos coups les plus violents contre
les sociaux-fascistes du parti social-démocrate. C’est eux et leurs
syndicats que nous devons anéantir si nous voulons amener la majorité
des travailleurs à la toute-puissance du prolétariat. » Et Thaelmann, le
chef du KPD, va jusqu’à dire : « Il faut discuter avec les fascistes
pour les ramener sur nos positions…Il faut s’incliner devant le nouveau
rapport de force et laisser le fascisme s’user au pouvoir. Tout acte de
violence sera dénoncé par le parti communiste comme une provocation et
ses auteurs seront mis au ban du prolétariat comme agents du fascisme. » (7)
Pour Van der Lubbe, au contraire, « il faut faire quelque chose ». Et
c’est influencé par l’idée de l’ « acte exemplaire » que prône la revue
conseilliste « Spartacus » - c’est à dire des actions minoritaires,
violentes ou non, censées radicaliser la lutte de classes -, qu’il
entreprend à partir du 2 février 1933 sa longue marche solitaire sur
Berlin où il arrive le 18 et découvre une atmosphère de résignation
dans les quartiers populaires. En réaction il va proposer le 22 aux
chômeurs présents devant le Bureau d’Aide aux Chômeurs de Neukölln
d’organiser une manifestation mais on lui rétorque qu’il faut pour cela
une autorisation du KPD. Le soir du 23, il assiste au Sportpalast à un
meeting du KPD pour lequel il avait préparé une intervention mais à
peine commencée la réunion est interrompue par l’arrivée de la police
sans la moindre réaction de la salle et des orateurs. Convaincu
désormais que les travailleurs allemands, et leurs dirigeants
communistes et social-démocrates, ne veulent plus rien entreprendre, il
décide d’agir lui-même : provoquer l’incendie de « quelque chose qui
appartienne au système » lui apparaît comme un « acte de protestation »,
un « signal destiné à inciter le mouvement ouvrier à sortir de son état
de résignation et de passivité défaitiste où l’ont entraîné ses
dirigeants ». Après s’en être pris sans succès le 25 février au Bureau
d’Aide aux Chômeurs puis à l’Hôtel de Ville, il se fixe le 27 sur le
Reichstag choisi «comme centre du système ».

Cet ouvrage vient à son heure pour combler un vide dans
l’édition française qui n’a jamais pris la peine de traduire le livre de
Fritz Tobias paru en Allemagne dès 1962 « Der Reichstag brand. Legende
und Wicklichkert » qui démontre que rien parmi les témoignages et
documents produits n’infirme les aveux détaillés de Marinus Van der
Lubbe. Idéaliste naïf probablement, mais « voix discordante »
certainement qui « en s’attaquant au siège symbolique du jeu électoral
en cours affirmait à sa façon l’urgente nécessité d’une insurrection
contre le fascisme meurtrier ».



Marinus Van der Lubbe Carnets de route de
l’incendiaire du Reichstag
Documents traduits du néerlandais par H.
Papot ; présentés et annotés par
Y. Pagès et C.Reeve
Editions Verticales 2003 300 p. 18 euros
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Nitouche
clavier a écrit:
Fait avéré ...?
menace pour l'humanité ...?
Tu 'est vu quand tu as bu ...?
Encore un millionnaire en connerie......



Pourriez vous avoir pitié des lecteurs
qui vous lisent en mettant un petit
morceau du post de votre interlocuteur
afin qu'ils puissent avoir une idée de
à "qui" ou à "quoi" vous répondez ? Merci.
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clavier
Fait avéré ...?
menace pour l'humanité ...?
Tu 'est vu quand tu as bu ...?
Encore un millionnaire en connerie......
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greg
ce point de vue est tres objectif, peut etre un peu pro k lol, mais ce n
est pas le tiens, c est une interpretation.
pour juger, il faut ecouter ou lire ici plutot les deux opinions.
en fait sur qui pense tu que l on crache ici ??
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Loic
"greg" wrote in message
news:433816bd$0$27411$
treve de plaisanteries, sarko est une menace pour l'humanité c est un
fait avéré.



Et ta connerie, tu crois que ce n'est pas un "fait avéré" peut-être ?
Sarkozy, lui au moins, il agit et ne reste pas planté au chaud dans son
bureau.
Les abrutis de ton espèce qui ne savent pas de quoi ils parlent, oui, c'est
une menace contre l'humanité.
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greg
les pro sarko sont des fascos , c est sur quand on lit leurs commentaires.
ou des israeliens peut etre ?
lol
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Loic
"greg" wrote in message
news:433826f6$0$5377$
les pro sarko sont des fascos , c est sur quand on lit leurs commentaires.
ou des israeliens peut etre ?
lol



Commence par aller à l'école pour apprendre le français petit gregory, et
http://www.giromini.org/usenet-fr/repondre.html
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Beep Beep wrote:
Sarko présentera son avant-projet de loi antiterroriste ce soir (Fr3)
dans /pièces à conviction/ : *Terrorisme, la nouvelle menace* et
voilà-t-y pas qu'on apprend que ce matin l'AFP nous apprend ce matin
l'are-station de sept personnes soupçonnées d'appartenir à un groupe
islamiste
:http://www.edicom.ch/news/international/050926114822.mo.shtml

C'est-t-y pas beau ;-)

--
Beep Beep



le machiavelisme de ce personnage ainsi que tout ceux qui sont autour
de lui ou au dessus de lui...est sans limite...
l'essentiel etant de tout mettre en oeuvre pour installer
definitivement une dictature...qu'importe si ce sont des innocents qui
payent la facture...ils sont sacrifié sur l'hotel des immondes
interets d'une caste d'eminences grises qui dirigent notre societe a
travers leur puissance financiere, religieuse ou politique.

thom
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greg
Loic a écrit :
"greg" wrote in message
news:433826f6$0$5377$

les pro sarko sont des fascos , c est sur quand on lit leurs commentaires.
ou des israeliens peut etre ?
lol




Commence par aller à l'école pour apprendre le français petit gregory, et
http://www.giromini.org/usenet-fr/repondre.html




tu ne fais jamais de faute de frappe a ecrire vite ?
en tout cas le fait de repondre par l absurde demontre ma theorie,
tu peux m insulter, je m en fous le pire serait que "ton juif
integriste" sarko arrive au pouvoir
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