J'utilise actuellement Slackware mais je songe à changer pour Libranet
pour l'avantage de apt-get. Mais voilà que swaret et slapt-get arrivent
sur la scène.
Ces utilitaires s'occupent apparemment des dépendances. Ça fonctionne?
Il ne semble pas y avoir d'option pour désinstaller, dans swaret, en
tout cas.Est-ce que le système finit par être emcombré?
Est-ce vraiment possible de passer d'une version à l'autre de Slack en
cliquant un bouton comem swaret le prétend? Il y en a qui disent que
c'est un tout petit peu tiré par les cheveux, que l'auteur est un
abominable "péteux de broue".
Ensuite, il y a checkinstall qui permet apparemment de faire des tgz.
"Instead of the usual "make install" after compiling something, just do
a "checkinstall -S" and it will create and install the .tgz package for
you!"
Cf.: http://www.osnews.com/story.php?news_id=5307
Ici, le problème des dépendance n'est pas réglé, mais celui d'enlever
les paquets, oui... apparemment.
Ce qui inquéte un peu dans tout ça, c'est que ces outils se développent
indépendamment et que Volkerding ne donne jamais son opinion. Ça beau
être de l'open source, je doute qu'il soit toujours lu et strictement
contrôlé.
En d'autres mots, en plus d'être un soft plus sous contrôle, est-ce que
apt-get a des années-lumières d'avance ou seulement une année ou deux :)
D'autre part, le boot SysV m'a l'air terriblement compliqué et je ne
vois pas ce que ça donne de plus. TOUT m'a l'air plus compliqué, même
les scripts. Dans Slackware ils se lisent presque comme du français, en
comparaison.
Je sais que je n'opterai pas pour Mandrake, Suse, Lindows ou quelque
merde du genre, mais entre Slack et Libranet,je suis paire plexe :)
GP
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/tmp/slack $ gpg --verify libusb-0.1.7-i386-1.tgz.asc gpg: Signature made Fri Feb 28 02:58:12 2003 CET using DSA key ID 40102233 gpg: Good signature from "Slackware Linux Project " gpg: WARNING: This key is not certified with a trusted signature! gpg: There is no indication that the signature belongs to the owner. Primary key fingerprint: EC56 49DA 401E 22AB FA67 36EF 6A44 63C0 4010 2233
Voilà, je sais que la signature est valide, émise par une clef se prétendant « Slackware Linux Project ». Mais n'importe qui peut émttre une telle clef, je n'ai aucune garantie que ce soit *la* clef de la vraie distribution Slackware.
Si n'importe qui peut émettre une telle clé, en quoi est-on plus avancé qu'avec un md5sum? Y a-t-il moyen de récupérer une clé appartenant à , comme sur le cd Slack que j'ai téléchargé?
Quel est le moyen d'avoir une clé certifiée et de ne pas recevoir le message:
gpg: WARNING: This key is not certified with a trusted signature! gpg: There is no indication that the signature belongs to the owner.
Cependant, si j'ai de vrais CD officiels, la clef est peut-être dessus.
La clé est même sur les CD téléchargés, mais naturellement, il faut d'abord se fier au nd5sum avant d'obtenir la clé.
Merci de ta réponse!
GP
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Nicolas George wrote:
cigaes@ssecem /tmp/slack $ gpg --verify libusb-0.1.7-i386-1.tgz.asc
gpg: Signature made Fri Feb 28 02:58:12 2003 CET using DSA key ID 40102233
gpg: Good signature from "Slackware Linux Project <security@slackware.com>"
gpg: WARNING: This key is not certified with a trusted signature!
gpg: There is no indication that the signature belongs to the owner.
Primary key fingerprint: EC56 49DA 401E 22AB FA67 36EF 6A44 63C0 4010 2233
Voilà, je sais que la signature est valide, émise par une clef se
prétendant « Slackware Linux Project ». Mais n'importe qui peut émttre
une telle clef, je n'ai aucune garantie que ce soit *la* clef de la
vraie distribution Slackware.
Si n'importe qui peut émettre une telle clé, en quoi est-on plus
avancé qu'avec un md5sum? Y a-t-il moyen de récupérer une clé
appartenant à security@slackware.com , comme sur le cd Slack que j'ai
téléchargé?
Quel est le moyen d'avoir une clé certifiée et de ne pas recevoir le
message:
gpg: WARNING: This key is not certified with a trusted signature!
gpg: There is no indication that the signature belongs to the owner.
Cependant, si j'ai de vrais CD officiels,
la clef est peut-être dessus.
La clé est même sur les CD téléchargés, mais naturellement, il faut
d'abord se fier au nd5sum avant d'obtenir la clé.
Merci de ta réponse!
GP
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Voilà, je sais que la signature est valide, émise par une clef se prétendant « Slackware Linux Project ». Mais n'importe qui peut émttre une telle clef, je n'ai aucune garantie que ce soit *la* clef de la vraie distribution Slackware.
Si n'importe qui peut émettre une telle clé, en quoi est-on plus avancé qu'avec un md5sum? Y a-t-il moyen de récupérer une clé appartenant à , comme sur le cd Slack que j'ai téléchargé?
Quel est le moyen d'avoir une clé certifiée et de ne pas recevoir le message:
gpg: WARNING: This key is not certified with a trusted signature! gpg: There is no indication that the signature belongs to the owner.
Cependant, si j'ai de vrais CD officiels, la clef est peut-être dessus.
La clé est même sur les CD téléchargés, mais naturellement, il faut d'abord se fier au nd5sum avant d'obtenir la clé.
Merci de ta réponse!
GP
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Emmanuel Florac
Dans article , disait...
Alors je tiens à te rassurer : régulièrement je mets à jour mon système en faisant "swaret --update && swaret --up-all", et jamais de problème. Hier j'ai même upgradé mon noyau.
C'est extraordinaire.
Certes non, mais sur la slack c'est relativement nouveau. Ca reste plus sportif que sur la Debian quand même : aujourd'hui j'ai rebooté avec mon nouveau noyau, mais à la désinstallation le driver du modem adsl (que je désinstallais avant de le recompiler pour le 2.4.23) a malencontreusement effacé /etc/inittab... Petite sueur du Dimanche au reboot...
-- Quis, quid, ubi, quibus auxiliis, cur, quomodo, quando?
Dans article <m3r7zgbj2q.fsf@neo.loria>, vince@khabale.org disait...
Alors je tiens à te rassurer : régulièrement je mets à jour mon système
en faisant "swaret --update && swaret --up-all", et jamais de problème.
Hier j'ai même upgradé mon noyau.
C'est extraordinaire.
Certes non, mais sur la slack c'est relativement nouveau. Ca reste plus
sportif que sur la Debian quand même : aujourd'hui j'ai rebooté avec mon
nouveau noyau, mais à la désinstallation le driver du modem adsl (que je
désinstallais avant de le recompiler pour le 2.4.23) a malencontreusement
effacé /etc/inittab... Petite sueur du Dimanche au reboot...
--
Quis, quid, ubi, quibus auxiliis, cur, quomodo, quando?
Alors je tiens à te rassurer : régulièrement je mets à jour mon système en faisant "swaret --update && swaret --up-all", et jamais de problème. Hier j'ai même upgradé mon noyau.
C'est extraordinaire.
Certes non, mais sur la slack c'est relativement nouveau. Ca reste plus sportif que sur la Debian quand même : aujourd'hui j'ai rebooté avec mon nouveau noyau, mais à la désinstallation le driver du modem adsl (que je désinstallais avant de le recompiler pour le 2.4.23) a malencontreusement effacé /etc/inittab... Petite sueur du Dimanche au reboot...
-- Quis, quid, ubi, quibus auxiliis, cur, quomodo, quando?
GP
Emmanuel Florac wrote:
Dans article <bqv83s$2bui$, disait...
Je viens de récupérer deux packages sur ftp.slackware.com (qu'il est lent !) :
ftp.slackware.at et ftp.slackware.no sont très rapides.
Oui, il y a peut-être 7 ou 8 serveurs qui fonctionnent. Alors, pourquoi demander à l'utilisateur de chercher les pommes saines dans le barils de pommes pourries? Pour faire croire que Slack a vraiment autant d'utilisateurs que PV le prétend d'après ses divagations sur les chiffres de linuxCounter?
C'est décourageant! On a vraiment l'impression de sombrer dans la décadence.
GP
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Emmanuel Florac wrote:
Dans article <bqv83s$2bui$1@nef.ens.fr>, george@clipper.ens.fr disait...
Je viens de récupérer deux packages sur ftp.slackware.com (qu'il est
lent !) :
ftp.slackware.at et ftp.slackware.no sont très rapides.
Oui, il y a peut-être 7 ou 8 serveurs qui fonctionnent. Alors,
pourquoi demander à l'utilisateur de chercher les pommes saines dans
le barils de pommes pourries? Pour faire croire que Slack a vraiment
autant d'utilisateurs que PV le prétend d'après ses divagations sur
les chiffres de linuxCounter?
C'est décourageant! On a vraiment l'impression de sombrer dans la
décadence.
GP
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Je viens de récupérer deux packages sur ftp.slackware.com (qu'il est lent !) :
ftp.slackware.at et ftp.slackware.no sont très rapides.
Oui, il y a peut-être 7 ou 8 serveurs qui fonctionnent. Alors, pourquoi demander à l'utilisateur de chercher les pommes saines dans le barils de pommes pourries? Pour faire croire que Slack a vraiment autant d'utilisateurs que PV le prétend d'après ses divagations sur les chiffres de linuxCounter?
C'est décourageant! On a vraiment l'impression de sombrer dans la décadence.
GP
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GP
Emmanuel Florac wrote:
Dans article , disait...
D'autre part, alors que je projette d'écrire un didacticiel pour mettre le premier échelon sous le pied de l'hyper-newbie, je sais que, sur un système qui n'iffre pas des mises à jour faciles, les mises à jour ne se feront pas.C'est pourquoi je m'interroge tant au sujet de swaret et compagnie.
Alors je tiens à te rassurer : régulièrement je mets à jour mon système en faisant "swaret --update && swaret --up-all", et jamais de problème. Hier j'ai même upgradé mon noyau.
Il y a bien une option:
--upgrade Upgrade all installed Packages
mais pas de --up-all .
Cest du "undocumented" :)
GP
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Emmanuel Florac wrote:
Dans article <3FD28D20.5050105@altermmm.org>, gil@altermmm.org disait...
D'autre part, alors que je projette d'écrire un didacticiel pour mettre
le premier échelon sous le pied de l'hyper-newbie, je sais que, sur un
système qui n'iffre pas des mises à jour faciles, les mises à jour ne se
feront pas.C'est pourquoi je m'interroge tant au sujet de swaret et
compagnie.
Alors je tiens à te rassurer : régulièrement je mets à jour mon système
en faisant "swaret --update && swaret --up-all", et jamais de problème.
Hier j'ai même upgradé mon noyau.
Il y a bien une option:
--upgrade
Upgrade all installed Packages
mais pas de --up-all .
Cest du "undocumented" :)
GP
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D'autre part, alors que je projette d'écrire un didacticiel pour mettre le premier échelon sous le pied de l'hyper-newbie, je sais que, sur un système qui n'iffre pas des mises à jour faciles, les mises à jour ne se feront pas.C'est pourquoi je m'interroge tant au sujet de swaret et compagnie.
Alors je tiens à te rassurer : régulièrement je mets à jour mon système en faisant "swaret --update && swaret --up-all", et jamais de problème. Hier j'ai même upgradé mon noyau.
Il y a bien une option:
--upgrade Upgrade all installed Packages
mais pas de --up-all .
Cest du "undocumented" :)
GP
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Nicolas Chuche
Emmanuel Florac disait le 12/07/03 que :
Certes non, mais sur la slack c'est relativement nouveau. Ca reste plus sportif que sur la Debian quand même : aujourd'hui j'ai rebooté avec mon nouveau noyau, mais à la désinstallation le driver du modem adsl (que je désinstallais avant de le recompiler pour le 2.4.23) a malencontreusement effacé /etc/inittab... Petite sueur du Dimanche au reboot...
Paf ? Comme ça ? Effacé /etc/inittab ?
Au moins c'est efficace : la distribution, se rendant compte qu'elle était vieille, moche et dépassée, a préféré abréger ses jours en se supprimant /etc/inittab.
Emmanuel Florac <eflorac@verisign.com> disait le 12/07/03 que :
Certes non, mais sur la slack c'est relativement nouveau. Ca reste plus
sportif que sur la Debian quand même : aujourd'hui j'ai rebooté avec mon
nouveau noyau, mais à la désinstallation le driver du modem adsl (que je
désinstallais avant de le recompiler pour le 2.4.23) a malencontreusement
effacé /etc/inittab... Petite sueur du Dimanche au reboot...
Paf ? Comme ça ? Effacé /etc/inittab ?
Au moins c'est efficace : la distribution, se rendant compte qu'elle
était vieille, moche et dépassée, a préféré abréger ses jours en se
supprimant /etc/inittab.
Certes non, mais sur la slack c'est relativement nouveau. Ca reste plus sportif que sur la Debian quand même : aujourd'hui j'ai rebooté avec mon nouveau noyau, mais à la désinstallation le driver du modem adsl (que je désinstallais avant de le recompiler pour le 2.4.23) a malencontreusement effacé /etc/inittab... Petite sueur du Dimanche au reboot...
Paf ? Comme ça ? Effacé /etc/inittab ?
Au moins c'est efficace : la distribution, se rendant compte qu'elle était vieille, moche et dépassée, a préféré abréger ses jours en se supprimant /etc/inittab.
george
GP , dans le message <3fd3bec2$, a écrit :
Si n'importe qui peut émettre une telle clé, en quoi est-on plus avancé qu'avec un md5sum? Y a-t-il moyen de récupérer une clé appartenant à , comme sur le cd Slack que j'ai téléchargé?
Tu as la garantie que la clef qui a signé les paquets est toujours la même, ce que ne t'apporte pas MD5. Par exemple si tu as déjà installé le noyau signé par cette clef, c'est que tu lui fais confiance, et donc tu peux installer d'autres packages signés par la même clef sans plus de crainte.
Quel est le moyen d'avoir une clé certifiée et de ne pas recevoir le message:
gpg: WARNING: This key is not certified with a trusted signature! gpg: There is no indication that the signature belongs to the owner.
PGP est basé sur un réseau de confiance : A a une clef, B connaît A et certifie que la clef de A appartient bien à A, C connaît B et certifie que la clef de B appartient bien à B, D connaît bien C et certifie que la clef de B appartient bie n à B, et toi tu connais bien D.
Si tu n'arrives pas à faire avancer ton réseau jusque là bas, il n'y aura rien d'automatique pour te certifier la clef. Cependant, si tu as d'autres moyens d'être sûr de l'authenticité de la clef (c'est la même depuis dix ans, et tu n'as jamais eu à t'en plaindre), tu peux régler le niveau de confiance :
gpg --edit-key slack trust
Si tu as vraiment bien vérifié leur authenticité, tu peux signer leur clef avec ta propre clef, de sorte que tous ceux qui te connaissent puissent ensuite profiter de ta certification.
GP , dans le message <3fd3bec2$1_4@corp.newsgroups.com>, a écrit :
Si n'importe qui peut émettre une telle clé, en quoi est-on plus
avancé qu'avec un md5sum? Y a-t-il moyen de récupérer une clé
appartenant à security@slackware.com , comme sur le cd Slack que j'ai
téléchargé?
Tu as la garantie que la clef qui a signé les paquets est toujours la
même, ce que ne t'apporte pas MD5. Par exemple si tu as déjà installé le
noyau signé par cette clef, c'est que tu lui fais confiance, et donc tu
peux installer d'autres packages signés par la même clef sans plus de
crainte.
Quel est le moyen d'avoir une clé certifiée et de ne pas recevoir le
message:
gpg: WARNING: This key is not certified with a trusted signature!
gpg: There is no indication that the signature belongs to the owner.
PGP est basé sur un réseau de confiance : A a une clef, B connaît A et
certifie que la clef de A appartient bien à A, C connaît B et certifie
que la clef de B appartient bien à B, D connaît bien C et certifie que
la clef de B appartient bie n à B, et toi tu connais bien D.
Si tu n'arrives pas à faire avancer ton réseau jusque là bas, il n'y
aura rien d'automatique pour te certifier la clef. Cependant, si tu as
d'autres moyens d'être sûr de l'authenticité de la clef (c'est la même
depuis dix ans, et tu n'as jamais eu à t'en plaindre), tu peux régler le
niveau de confiance :
gpg --edit-key slack
trust
Si tu as vraiment bien vérifié leur authenticité, tu peux signer leur
clef avec ta propre clef, de sorte que tous ceux qui te connaissent
puissent ensuite profiter de ta certification.
Si n'importe qui peut émettre une telle clé, en quoi est-on plus avancé qu'avec un md5sum? Y a-t-il moyen de récupérer une clé appartenant à , comme sur le cd Slack que j'ai téléchargé?
Tu as la garantie que la clef qui a signé les paquets est toujours la même, ce que ne t'apporte pas MD5. Par exemple si tu as déjà installé le noyau signé par cette clef, c'est que tu lui fais confiance, et donc tu peux installer d'autres packages signés par la même clef sans plus de crainte.
Quel est le moyen d'avoir une clé certifiée et de ne pas recevoir le message:
gpg: WARNING: This key is not certified with a trusted signature! gpg: There is no indication that the signature belongs to the owner.
PGP est basé sur un réseau de confiance : A a une clef, B connaît A et certifie que la clef de A appartient bien à A, C connaît B et certifie que la clef de B appartient bien à B, D connaît bien C et certifie que la clef de B appartient bie n à B, et toi tu connais bien D.
Si tu n'arrives pas à faire avancer ton réseau jusque là bas, il n'y aura rien d'automatique pour te certifier la clef. Cependant, si tu as d'autres moyens d'être sûr de l'authenticité de la clef (c'est la même depuis dix ans, et tu n'as jamais eu à t'en plaindre), tu peux régler le niveau de confiance :
gpg --edit-key slack trust
Si tu as vraiment bien vérifié leur authenticité, tu peux signer leur clef avec ta propre clef, de sorte que tous ceux qui te connaissent puissent ensuite profiter de ta certification.
GP
Emmanuel Florac wrote:
Certes non, mais sur la slack c'est relativement nouveau. Ca reste plus sportif que sur la Debian quand même : aujourd'hui j'ai rebooté avec mon nouveau noyau, mais à la désinstallation le driver du modem adsl (que je désinstallais avant de le recompiler pour le 2.4.23) a malencontreusement effacé /etc/inittab... Petite sueur du Dimanche au reboot...
Perdon??? Il faut désinstaller le driver du modem adsl avant d'installer un nouveau noyau ??? C'est écrit quelque part, ça? Et quel est le rapport entre un driver de modem et /etc/inittab ? Il n'aurait pas pu t'efface tout le disque quant à y être?
Et c'est quoi un driver de modem? Quand j'ai installè mon Gnet BB0060, la première fois, je me suis servi de rp-pppoe, mais ce n'est pas un driver de modem, en autant que je sache.
Depuis, j'ai configuré le modem en mode router et quand il est connecté, il fonctionne: toujours pas de "driver".
Par contre, il y a des petits ports à fermer ici et là. Après une visite chez Sygatetech, je me suis rendu que j'avais les ports 21, 23 et 80 ouverts. Chez Gnet, on m'a expliqué que ces ports étaient laissés ouverts pour faire du "remote administration". Et, comme le tarla d'utilisateur a tendance à oublier son mot de passe, nulle part n'est-il dit que c'est une merveilleuse idée que de changer le mot de passe par défault.
Mais c'est vendu comme un modem très sécure, avec router, firewall et tout. Autrement, ça ne fonctionne pas trop mal: 179 kBps avant d'installer le mode router, avec seulement mon petit firewall soft. Environ 175 depuis... toujours quand l'autre bout veut fournir, évidemment.
Faut dire que j'ai une chic carte eth D-Link à 15$ :)
GP -- La Masse critique http:/www.enter-net.com/~gpelleti
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Emmanuel Florac wrote:
Certes non, mais sur la slack c'est relativement nouveau. Ca reste plus
sportif que sur la Debian quand même : aujourd'hui j'ai rebooté avec mon
nouveau noyau, mais à la désinstallation le driver du modem adsl (que je
désinstallais avant de le recompiler pour le 2.4.23) a malencontreusement
effacé /etc/inittab... Petite sueur du Dimanche au reboot...
Perdon??? Il faut désinstaller le driver du modem adsl avant
d'installer un nouveau noyau ??? C'est écrit quelque part, ça? Et quel
est le rapport entre un driver de modem et /etc/inittab ? Il n'aurait
pas pu t'efface tout le disque quant à y être?
Et c'est quoi un driver de modem? Quand j'ai installè mon Gnet BB0060,
la première fois, je me suis servi de rp-pppoe, mais ce n'est pas un
driver de modem, en autant que je sache.
Depuis, j'ai configuré le modem en mode router et quand il est
connecté, il fonctionne: toujours pas de "driver".
Par contre, il y a des petits ports à fermer ici et là. Après une
visite chez Sygatetech, je me suis rendu que j'avais les ports 21, 23
et 80 ouverts. Chez Gnet, on m'a expliqué que ces ports étaient
laissés ouverts pour faire du "remote administration". Et, comme le
tarla d'utilisateur a tendance à oublier son mot de passe, nulle part
n'est-il dit que c'est une merveilleuse idée que de changer le mot de
passe par défault.
Mais c'est vendu comme un modem très sécure, avec router, firewall et
tout. Autrement, ça ne fonctionne pas trop mal: 179 kBps avant
d'installer le mode router, avec seulement mon petit firewall soft.
Environ 175 depuis... toujours quand l'autre bout veut fournir,
évidemment.
Faut dire que j'ai une chic carte eth D-Link à 15$ :)
GP
--
La Masse critique
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Certes non, mais sur la slack c'est relativement nouveau. Ca reste plus sportif que sur la Debian quand même : aujourd'hui j'ai rebooté avec mon nouveau noyau, mais à la désinstallation le driver du modem adsl (que je désinstallais avant de le recompiler pour le 2.4.23) a malencontreusement effacé /etc/inittab... Petite sueur du Dimanche au reboot...
Perdon??? Il faut désinstaller le driver du modem adsl avant d'installer un nouveau noyau ??? C'est écrit quelque part, ça? Et quel est le rapport entre un driver de modem et /etc/inittab ? Il n'aurait pas pu t'efface tout le disque quant à y être?
Et c'est quoi un driver de modem? Quand j'ai installè mon Gnet BB0060, la première fois, je me suis servi de rp-pppoe, mais ce n'est pas un driver de modem, en autant que je sache.
Depuis, j'ai configuré le modem en mode router et quand il est connecté, il fonctionne: toujours pas de "driver".
Par contre, il y a des petits ports à fermer ici et là. Après une visite chez Sygatetech, je me suis rendu que j'avais les ports 21, 23 et 80 ouverts. Chez Gnet, on m'a expliqué que ces ports étaient laissés ouverts pour faire du "remote administration". Et, comme le tarla d'utilisateur a tendance à oublier son mot de passe, nulle part n'est-il dit que c'est une merveilleuse idée que de changer le mot de passe par défault.
Mais c'est vendu comme un modem très sécure, avec router, firewall et tout. Autrement, ça ne fonctionne pas trop mal: 179 kBps avant d'installer le mode router, avec seulement mon petit firewall soft. Environ 175 depuis... toujours quand l'autre bout veut fournir, évidemment.
Faut dire que j'ai une chic carte eth D-Link à 15$ :)
GP -- La Masse critique http:/www.enter-net.com/~gpelleti
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GP
Nicolas George wrote:
Si tu as vraiment bien vérifié leur authenticité, tu peux signer leur clef avec ta propre clef, de sorte que tous ceux qui te connaissent puissent ensuite profiter de ta certification.
Alors, pour revenir à nos moutons:
gpg: WARNING: This key is not certified with a trusted signature! gpg: There is no indication that the signature belongs to the owner.
Est-ce à dire que personne n'a signé la clé de Slackware ou que les "trusted signatures" sont des personnes particulières reconnues par les autorités du serveur de clés et qu'aucune d'elles n'a signé la clé de Slackware?
Sur mon système Slack, sur le quel je suis de retour, j'ai tapé gpg en tant que USER pour savoir si le soft était installé. Voici ce qui, à ma grande surprise, est apparu:
gpg: WARNING: using insecure memory! gpg: please see http://www.gnupg.org/faq.html for more information
Ce qui donne:
6.1) Why do I get "gpg: Warning: using insecure memory!"
On many systems this program should be installed as setuid(root). This is necessary to lock memory pages. Locking memory pages prevents the operating system from writing them to disk and thereby keeping your secret keys really secret. If you get no warning message about insecure memory your operating system supports locking without being root. The program drops root privileges as soon as locked memory is allocated.
To setuid(root) permissions on the gpg binary you can either use:
$ chmod u+s /path/to/gpg
or
$ chmod 4755 /path/to/gpg
Note: Si je comprends bien, il faut installer le programme en tant que root et non en tant que user comme je l'ai fait par inadvertance, puis chmoder le path 4755, ce qui permet aux users de l'utiliser. C'est ça?
Some refrain from using setuid(root) unless absolutely required for security reasons.
Alors? On joue ça à pile ou face? Pas trop clair!
gpg: /home/gp/.gnupg: directory created gpg: new configuration file `/home/gp/.gnupg/gpg.conf' created
Ça, ça crée le fichier de configuration... qu'il faut éditer
gpg: keyblock resource `/home/gp/.gnupg/secring.gpg': file open error
Ça, je suppose que c'est parce que je n'ai pas ma clé privée, puisque selon la dernière ligne, il s'agit de composer un message rapido-presto et que la clé privée est nécessaire.
gpg: keyring `/home/gp/.gnupg/pubring.gpg' created
Le fichier est vide. Je suppose qu'il faut la clé privée avant d'obtenir la privée? Dans ce cas, n'aurait-il pas été mieux d'émettre un message d'erreur. Puis, je suppose qu'il faut publier la clé sur le serveur?
gpg: Go ahead and type your message ...
Là, j'ai fait un CTRL-C. Je n'ai pas de encore message si précieux à envoyer. Mais je suppose que ça va ensuite demande l'adresse du destimataire qui devrait récupérer ma clé publique pour me lire?
Bon. Je ne sais même pas si mes questions ont du bon sens. Tu ferais peut-être mieux de ne pas y répondre pour me faire un topo qui se suit comme avec la vérification de fichiers.
Quand tu auras fini, tu auras une FAQ utilisable pour le commun des mortels. Tu imagines un peu quelqu'un qui arrive du monde windows et qui se retrouve face à des instructions comme celle-là?
Merci!
GP
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Nicolas George wrote:
Si tu as vraiment bien vérifié leur authenticité, tu peux signer leur
clef avec ta propre clef, de sorte que tous ceux qui te connaissent
puissent ensuite profiter de ta certification.
Alors, pour revenir à nos moutons:
gpg: WARNING: This key is not certified with a trusted signature!
gpg: There is no indication that the signature belongs to the owner.
Est-ce à dire que personne n'a signé la clé de Slackware ou que les
"trusted signatures" sont des personnes particulières reconnues par
les autorités du serveur de clés et qu'aucune d'elles n'a signé la clé
de Slackware?
Sur mon système Slack, sur le quel je suis de retour, j'ai tapé gpg en
tant que USER pour savoir si le soft était installé. Voici ce qui, à
ma grande surprise, est apparu:
gpg: WARNING: using insecure memory!
gpg: please see http://www.gnupg.org/faq.html for more information
Ce qui donne:
6.1) Why do I get "gpg: Warning: using insecure memory!"
On many systems this program should be installed as setuid(root). This
is necessary to lock memory pages. Locking memory pages prevents the
operating system from writing them to disk and thereby keeping your
secret keys really secret. If you get no warning message about
insecure memory your operating system supports locking without being
root. The program drops root privileges as soon as locked memory is
allocated.
To setuid(root) permissions on the gpg binary you can either use:
$ chmod u+s /path/to/gpg
or
$ chmod 4755 /path/to/gpg
Note: Si je comprends bien, il faut installer le programme en tant que
root et non en tant que user comme je l'ai fait par inadvertance, puis
chmoder le path 4755, ce qui permet aux users de l'utiliser. C'est ça?
Some refrain from using setuid(root) unless absolutely required for
security reasons.
Alors? On joue ça à pile ou face? Pas trop clair!
gpg: /home/gp/.gnupg: directory created
gpg: new configuration file `/home/gp/.gnupg/gpg.conf' created
Ça, ça crée le fichier de configuration... qu'il faut éditer
gpg: keyblock resource `/home/gp/.gnupg/secring.gpg': file open error
Ça, je suppose que c'est parce que je n'ai pas ma clé privée, puisque
selon la dernière ligne, il s'agit de composer un message
rapido-presto et que la clé privée est nécessaire.
gpg: keyring `/home/gp/.gnupg/pubring.gpg' created
Le fichier est vide. Je suppose qu'il faut la clé privée avant
d'obtenir la privée? Dans ce cas, n'aurait-il pas été mieux d'émettre
un message d'erreur. Puis, je suppose qu'il faut publier la clé sur le
serveur?
gpg: Go ahead and type your message ...
Là, j'ai fait un CTRL-C. Je n'ai pas de encore message si précieux à
envoyer. Mais je suppose que ça va ensuite demande l'adresse du
destimataire qui devrait récupérer ma clé publique pour me lire?
Bon. Je ne sais même pas si mes questions ont du bon sens. Tu ferais
peut-être mieux de ne pas y répondre pour me faire un topo qui se suit
comme avec la vérification de fichiers.
Quand tu auras fini, tu auras une FAQ utilisable pour le commun des
mortels. Tu imagines un peu quelqu'un qui arrive du monde windows et
qui se retrouve face à des instructions comme celle-là?
Merci!
GP
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Si tu as vraiment bien vérifié leur authenticité, tu peux signer leur clef avec ta propre clef, de sorte que tous ceux qui te connaissent puissent ensuite profiter de ta certification.
Alors, pour revenir à nos moutons:
gpg: WARNING: This key is not certified with a trusted signature! gpg: There is no indication that the signature belongs to the owner.
Est-ce à dire que personne n'a signé la clé de Slackware ou que les "trusted signatures" sont des personnes particulières reconnues par les autorités du serveur de clés et qu'aucune d'elles n'a signé la clé de Slackware?
Sur mon système Slack, sur le quel je suis de retour, j'ai tapé gpg en tant que USER pour savoir si le soft était installé. Voici ce qui, à ma grande surprise, est apparu:
gpg: WARNING: using insecure memory! gpg: please see http://www.gnupg.org/faq.html for more information
Ce qui donne:
6.1) Why do I get "gpg: Warning: using insecure memory!"
On many systems this program should be installed as setuid(root). This is necessary to lock memory pages. Locking memory pages prevents the operating system from writing them to disk and thereby keeping your secret keys really secret. If you get no warning message about insecure memory your operating system supports locking without being root. The program drops root privileges as soon as locked memory is allocated.
To setuid(root) permissions on the gpg binary you can either use:
$ chmod u+s /path/to/gpg
or
$ chmod 4755 /path/to/gpg
Note: Si je comprends bien, il faut installer le programme en tant que root et non en tant que user comme je l'ai fait par inadvertance, puis chmoder le path 4755, ce qui permet aux users de l'utiliser. C'est ça?
Some refrain from using setuid(root) unless absolutely required for security reasons.
Alors? On joue ça à pile ou face? Pas trop clair!
gpg: /home/gp/.gnupg: directory created gpg: new configuration file `/home/gp/.gnupg/gpg.conf' created
Ça, ça crée le fichier de configuration... qu'il faut éditer
gpg: keyblock resource `/home/gp/.gnupg/secring.gpg': file open error
Ça, je suppose que c'est parce que je n'ai pas ma clé privée, puisque selon la dernière ligne, il s'agit de composer un message rapido-presto et que la clé privée est nécessaire.
gpg: keyring `/home/gp/.gnupg/pubring.gpg' created
Le fichier est vide. Je suppose qu'il faut la clé privée avant d'obtenir la privée? Dans ce cas, n'aurait-il pas été mieux d'émettre un message d'erreur. Puis, je suppose qu'il faut publier la clé sur le serveur?
gpg: Go ahead and type your message ...
Là, j'ai fait un CTRL-C. Je n'ai pas de encore message si précieux à envoyer. Mais je suppose que ça va ensuite demande l'adresse du destimataire qui devrait récupérer ma clé publique pour me lire?
Bon. Je ne sais même pas si mes questions ont du bon sens. Tu ferais peut-être mieux de ne pas y répondre pour me faire un topo qui se suit comme avec la vérification de fichiers.
Quand tu auras fini, tu auras une FAQ utilisable pour le commun des mortels. Tu imagines un peu quelqu'un qui arrive du monde windows et qui se retrouve face à des instructions comme celle-là?
Merci!
GP
-----= Posted via Newsfeeds.Com, Uncensored Usenet News =----- http://www.newsfeeds.com - The #1 Newsgroup Service in the World! -----== Over 100,000 Newsgroups - 19 Different Servers! =-----
Emmanuel Florac
Dans article , disait...
Oui, il y a peut-être 7 ou 8 serveurs qui fonctionnent. Alors, pourquoi demander à l'utilisateur de chercher les pommes saines dans le barils de pommes pourries? Pour faire croire que Slack a vraiment autant d'utilisateurs que PV le prétend d'après ses divagations sur les chiffres de linuxCounter?
Je n'ai pas l'impression que les utilisateurs de slack soient rares. En fait en ce moment ils sont même de toute évidence de plus en plus nombreux. Slack rete une distrib assez élitiste, elle n'aura pas de sitôt les mêmes clients que MDK ou même RH, voire Debian packagée sauce débutant (façon lindows, lycoris et autres libranet), ça n' l'empèche pas d'exister.
-- Quis, quid, ubi, quibus auxiliis, cur, quomodo, quando?
Dans article <3fd3bec5_4@corp.newsgroups.com>, gilpel@inverse.nretla.org
disait...
Oui, il y a peut-être 7 ou 8 serveurs qui fonctionnent. Alors,
pourquoi demander à l'utilisateur de chercher les pommes saines dans
le barils de pommes pourries? Pour faire croire que Slack a vraiment
autant d'utilisateurs que PV le prétend d'après ses divagations sur
les chiffres de linuxCounter?
Je n'ai pas l'impression que les utilisateurs de slack soient rares. En
fait en ce moment ils sont même de toute évidence de plus en plus
nombreux. Slack rete une distrib assez élitiste, elle n'aura pas de sitôt
les mêmes clients que MDK ou même RH, voire Debian packagée sauce
débutant (façon lindows, lycoris et autres libranet), ça n' l'empèche pas
d'exister.
--
Quis, quid, ubi, quibus auxiliis, cur, quomodo, quando?
Oui, il y a peut-être 7 ou 8 serveurs qui fonctionnent. Alors, pourquoi demander à l'utilisateur de chercher les pommes saines dans le barils de pommes pourries? Pour faire croire que Slack a vraiment autant d'utilisateurs que PV le prétend d'après ses divagations sur les chiffres de linuxCounter?
Je n'ai pas l'impression que les utilisateurs de slack soient rares. En fait en ce moment ils sont même de toute évidence de plus en plus nombreux. Slack rete une distrib assez élitiste, elle n'aura pas de sitôt les mêmes clients que MDK ou même RH, voire Debian packagée sauce débutant (façon lindows, lycoris et autres libranet), ça n' l'empèche pas d'exister.
-- Quis, quid, ubi, quibus auxiliis, cur, quomodo, quando?
Emmanuel Florac
Dans article , disait...
Paf ? Comme ça ? Effacé /etc/inittab ?
Oui. Ce n'est pas la faute de la distrib; en fait apparemment c'est le driver sagem 1.0.4 qui a merdé (quand on l'installe il essaie de modifier /etc/inittab, et a priori j'ai l'impression qu'il s'est emmellé les pinceaux).
Au moins c'est efficace : la distribution, se rendant compte qu'elle était vieille, moche et dépassée, a préféré abréger ses jours en se supprimant /etc/inittab.
En fait j'ai redémarré la machine via le réseau, puis voyons qu'au bout de 1 ou 2 minutes qu'elle ne répondait pas, je suis allé voir en direct elle là ça disait : "enter runlevel:". Bon, ben j'ai mis "s", ensuite j'ai fait "/etc/rc.d/rc.M", puis "swaret --reinstall sysvinit" et voilà.
La distribution est vieille, pas plus moche qu'une autre, et absolument pas dépassée. En fait pour ceux qui aiment Gnme c'est certainement la plus jolie (à moins d'opter pour ximian desktop) grâce à Dropline.
-- Quis, quid, ubi, quibus auxiliis, cur, quomodo, quando?
Dans article <m37k18qk46.fsf@soda.teaser.fr>, nchuche@teaser.fr disait...
Paf ? Comme ça ? Effacé /etc/inittab ?
Oui. Ce n'est pas la faute de la distrib; en fait apparemment c'est le
driver sagem 1.0.4 qui a merdé (quand on l'installe il essaie de modifier
/etc/inittab, et a priori j'ai l'impression qu'il s'est emmellé les
pinceaux).
Au moins c'est efficace : la distribution, se rendant compte qu'elle
était vieille, moche et dépassée, a préféré abréger ses jours en se
supprimant /etc/inittab.
En fait j'ai redémarré la machine via le réseau, puis voyons qu'au bout
de 1 ou 2 minutes qu'elle ne répondait pas, je suis allé voir en direct
elle là ça disait : "enter runlevel:". Bon, ben j'ai mis "s", ensuite
j'ai fait "/etc/rc.d/rc.M", puis "swaret --reinstall sysvinit" et voilà.
La distribution est vieille, pas plus moche qu'une autre, et absolument
pas dépassée. En fait pour ceux qui aiment Gnme c'est certainement la
plus jolie (à moins d'opter pour ximian desktop) grâce à Dropline.
--
Quis, quid, ubi, quibus auxiliis, cur, quomodo, quando?
Oui. Ce n'est pas la faute de la distrib; en fait apparemment c'est le driver sagem 1.0.4 qui a merdé (quand on l'installe il essaie de modifier /etc/inittab, et a priori j'ai l'impression qu'il s'est emmellé les pinceaux).
Au moins c'est efficace : la distribution, se rendant compte qu'elle était vieille, moche et dépassée, a préféré abréger ses jours en se supprimant /etc/inittab.
En fait j'ai redémarré la machine via le réseau, puis voyons qu'au bout de 1 ou 2 minutes qu'elle ne répondait pas, je suis allé voir en direct elle là ça disait : "enter runlevel:". Bon, ben j'ai mis "s", ensuite j'ai fait "/etc/rc.d/rc.M", puis "swaret --reinstall sysvinit" et voilà.
La distribution est vieille, pas plus moche qu'une autre, et absolument pas dépassée. En fait pour ceux qui aiment Gnme c'est certainement la plus jolie (à moins d'opter pour ximian desktop) grâce à Dropline.
-- Quis, quid, ubi, quibus auxiliis, cur, quomodo, quando?
