Parce que le truc que tu vas faire sera très surement moins bien que
l'existant, et que si ton but c'est d'apprendre les différences entre
les deux, il y a des moyens plus efficaces.
Pourrais-tu en dire plus sur ces moyens ?
Parce que le truc que tu vas faire sera très surement moins bien que
l'existant, et que si ton but c'est d'apprendre les différences entre
les deux, il y a des moyens plus efficaces.
Pourrais-tu en dire plus sur ces moyens ?
Parce que le truc que tu vas faire sera très surement moins bien que
l'existant, et que si ton but c'est d'apprendre les différences entre
les deux, il y a des moyens plus efficaces.
Pourrais-tu en dire plus sur ces moyens ?
Ael Rowen Terence wrote:
Chacun fait suivant sa sensibilité, et c'est bien ainsi.
Pourquoi ce diktat : ne pas réécrire ... alors que ce qui nous entoure
est renouvellement, même la roue des origines a été maintes fois
réinventée.
Je proteste, la roue n'a été inventée qu'une seule fois. Ensuite ce sont
des améliorations techniques.
Ensuite "pourquoi ne pas réécrire ?": comme tu le dis, chacun est libre de
perdre son temps mais il y a certains avantages à utiliser une
bibliothèque testée, pensée et raffinée par plusieurs centaines
d'utilisateurs.
Ael Rowen Terence wrote:
Chacun fait suivant sa sensibilité, et c'est bien ainsi.
Pourquoi ce diktat : ne pas réécrire ... alors que ce qui nous entoure
est renouvellement, même la roue des origines a été maintes fois
réinventée.
Je proteste, la roue n'a été inventée qu'une seule fois. Ensuite ce sont
des améliorations techniques.
Ensuite "pourquoi ne pas réécrire ?": comme tu le dis, chacun est libre de
perdre son temps mais il y a certains avantages à utiliser une
bibliothèque testée, pensée et raffinée par plusieurs centaines
d'utilisateurs.
Ael Rowen Terence wrote:
Chacun fait suivant sa sensibilité, et c'est bien ainsi.
Pourquoi ce diktat : ne pas réécrire ... alors que ce qui nous entoure
est renouvellement, même la roue des origines a été maintes fois
réinventée.
Je proteste, la roue n'a été inventée qu'une seule fois. Ensuite ce sont
des améliorations techniques.
Ensuite "pourquoi ne pas réécrire ?": comme tu le dis, chacun est libre de
perdre son temps mais il y a certains avantages à utiliser une
bibliothèque testée, pensée et raffinée par plusieurs centaines
d'utilisateurs.
Se tromper, buter, pour au final comprendre son erreur, cela coute du
temps, c'est apprendre par soi, et apprendre sur soi (je pense que nous en
sommes tous passer par là).
Serait-ce mieux d'apprendre que par les autres ?
Se tromper, buter, pour au final comprendre son erreur, cela coute du
temps, c'est apprendre par soi, et apprendre sur soi (je pense que nous en
sommes tous passer par là).
Serait-ce mieux d'apprendre que par les autres ?
Se tromper, buter, pour au final comprendre son erreur, cela coute du
temps, c'est apprendre par soi, et apprendre sur soi (je pense que nous en
sommes tous passer par là).
Serait-ce mieux d'apprendre que par les autres ?
A cote de ca, une approche "lisez du code" ou "reutilisez du code existant
dans vos projets" est bien plus lourde a implementer, et reclame une certaine
honnetete intellectuelle des dits etudiants. Au lieu de juste corriger du
code, il faut mettre en place des soutenances, s'assurer que l'etudiant a bien
assimile les trucs et astuces du code qu'il emprunte... ca reclame plus de
moyens, qui ne sont souvent pas disponibles.
L'interet de reprendre des choses existantes, c'est que ca permet d'ecrire
du code qui sera lisible par d'autres personnes, parce qu'on a integre des
conventions correctes, et pas du code idiosyncratique qui ne sera lisible QUE
par son auteur. A une epoque ou tous les projets a valeur ajoutee sont de
gros projets, ou un grand nombre de developpeurs collaborent (et ou le
projet final est toujours attendu pour avant-hier), ca permet de former
l'etudiant au metier de developpeur... au lieu de lui laisser ramasser ses
dents a la premiere confrontation avec la realite du metier.
A cote de ca, une approche "lisez du code" ou "reutilisez du code existant
dans vos projets" est bien plus lourde a implementer, et reclame une certaine
honnetete intellectuelle des dits etudiants. Au lieu de juste corriger du
code, il faut mettre en place des soutenances, s'assurer que l'etudiant a bien
assimile les trucs et astuces du code qu'il emprunte... ca reclame plus de
moyens, qui ne sont souvent pas disponibles.
L'interet de reprendre des choses existantes, c'est que ca permet d'ecrire
du code qui sera lisible par d'autres personnes, parce qu'on a integre des
conventions correctes, et pas du code idiosyncratique qui ne sera lisible QUE
par son auteur. A une epoque ou tous les projets a valeur ajoutee sont de
gros projets, ou un grand nombre de developpeurs collaborent (et ou le
projet final est toujours attendu pour avant-hier), ca permet de former
l'etudiant au metier de developpeur... au lieu de lui laisser ramasser ses
dents a la premiere confrontation avec la realite du metier.
A cote de ca, une approche "lisez du code" ou "reutilisez du code existant
dans vos projets" est bien plus lourde a implementer, et reclame une certaine
honnetete intellectuelle des dits etudiants. Au lieu de juste corriger du
code, il faut mettre en place des soutenances, s'assurer que l'etudiant a bien
assimile les trucs et astuces du code qu'il emprunte... ca reclame plus de
moyens, qui ne sont souvent pas disponibles.
L'interet de reprendre des choses existantes, c'est que ca permet d'ecrire
du code qui sera lisible par d'autres personnes, parce qu'on a integre des
conventions correctes, et pas du code idiosyncratique qui ne sera lisible QUE
par son auteur. A une epoque ou tous les projets a valeur ajoutee sont de
gros projets, ou un grand nombre de developpeurs collaborent (et ou le
projet final est toujours attendu pour avant-hier), ca permet de former
l'etudiant au metier de developpeur... au lieu de lui laisser ramasser ses
dents a la premiere confrontation avec la realite du metier.
Mais justement ! Si on veut favoriser la réutilisation du code, on ne
peut pas demander que l'étudiant ou le programmeur comprenne et
assimile les trucs et astuces duc ode qu'il emprunte. C'est
justement l'intérêt de l'utilisation de bibliothèque: ça permet de ne
pas comprendre comment elle est implémentée mais cependant l'utiliser.
L'analogie classique est la grand-mêre, ou même le chirurgien, qui ne
connaissant rien à la mécanique automobile, sont quand même capables
d'utiliser une voiture et de la conduire.
L'interet de reprendre des choses existantes, c'est que ca permet d'ecrire
du code qui sera lisible par d'autres personnes, parce qu'on a integre des
conventions correctes, et pas du code idiosyncratique qui ne sera lisible QUE
par son auteur. A une epoque ou tous les projets a valeur ajoutee sont de
gros projets, ou un grand nombre de developpeurs collaborent (et ou le
projet final est toujours attendu pour avant-hier), ca permet de former
l'etudiant au metier de developpeur... au lieu de lui laisser ramasser ses
dents a la premiere confrontation avec la realite du metier.
C'est là où je ne suis plus d'accord. Il n'y a plus UN métier. il y en
a plusieurs.
Il y a le métier d'algorithmicien créateur de bibliothèques et de
programmes partant de zéro, et il y a le métier d'intégrateur
d'application utilisant et réutilisant des bibliothèques les
aggrégeant en des applications. Sans compter d'innombrables autres
métiers. Il me parait de moins en moins sensé de les regrouper sous
le même chapiteau de "programmeur".
Mais justement ! Si on veut favoriser la réutilisation du code, on ne
peut pas demander que l'étudiant ou le programmeur comprenne et
assimile les trucs et astuces duc ode qu'il emprunte. C'est
justement l'intérêt de l'utilisation de bibliothèque: ça permet de ne
pas comprendre comment elle est implémentée mais cependant l'utiliser.
L'analogie classique est la grand-mêre, ou même le chirurgien, qui ne
connaissant rien à la mécanique automobile, sont quand même capables
d'utiliser une voiture et de la conduire.
L'interet de reprendre des choses existantes, c'est que ca permet d'ecrire
du code qui sera lisible par d'autres personnes, parce qu'on a integre des
conventions correctes, et pas du code idiosyncratique qui ne sera lisible QUE
par son auteur. A une epoque ou tous les projets a valeur ajoutee sont de
gros projets, ou un grand nombre de developpeurs collaborent (et ou le
projet final est toujours attendu pour avant-hier), ca permet de former
l'etudiant au metier de developpeur... au lieu de lui laisser ramasser ses
dents a la premiere confrontation avec la realite du metier.
C'est là où je ne suis plus d'accord. Il n'y a plus UN métier. il y en
a plusieurs.
Il y a le métier d'algorithmicien créateur de bibliothèques et de
programmes partant de zéro, et il y a le métier d'intégrateur
d'application utilisant et réutilisant des bibliothèques les
aggrégeant en des applications. Sans compter d'innombrables autres
métiers. Il me parait de moins en moins sensé de les regrouper sous
le même chapiteau de "programmeur".
Mais justement ! Si on veut favoriser la réutilisation du code, on ne
peut pas demander que l'étudiant ou le programmeur comprenne et
assimile les trucs et astuces duc ode qu'il emprunte. C'est
justement l'intérêt de l'utilisation de bibliothèque: ça permet de ne
pas comprendre comment elle est implémentée mais cependant l'utiliser.
L'analogie classique est la grand-mêre, ou même le chirurgien, qui ne
connaissant rien à la mécanique automobile, sont quand même capables
d'utiliser une voiture et de la conduire.
L'interet de reprendre des choses existantes, c'est que ca permet d'ecrire
du code qui sera lisible par d'autres personnes, parce qu'on a integre des
conventions correctes, et pas du code idiosyncratique qui ne sera lisible QUE
par son auteur. A une epoque ou tous les projets a valeur ajoutee sont de
gros projets, ou un grand nombre de developpeurs collaborent (et ou le
projet final est toujours attendu pour avant-hier), ca permet de former
l'etudiant au metier de developpeur... au lieu de lui laisser ramasser ses
dents a la premiere confrontation avec la realite du metier.
C'est là où je ne suis plus d'accord. Il n'y a plus UN métier. il y en
a plusieurs.
Il y a le métier d'algorithmicien créateur de bibliothèques et de
programmes partant de zéro, et il y a le métier d'intégrateur
d'application utilisant et réutilisant des bibliothèques les
aggrégeant en des applications. Sans compter d'innombrables autres
métiers. Il me parait de moins en moins sensé de les regrouper sous
le même chapiteau de "programmeur".
Michael DOUBEZ wrote:
> Alexandre BACQUART wrote:
>> Michael DOUBEZ wrote:
>>> Sylvain SF wrote:
>>>> Michael DOUBEZ a écrit :
>>>>> Bien sûr, c'est jusqu'à preuve du contraire.
>>>> ou comprendre ce que l'on lit.
>> Ce n'est pas un manque d'ingéniosité qui a empêché les
>> amérindiens d'utiliser la roue, mais leur ascétisme. La
>> roue était pour eux "quelque-chose qu'il est inutile de
>> mettre en oeuvre", à défaut d'inventer. Qu'y a-t-il
>> d'avantageux à avoir des brouettes quand on est un peuple
>> sédentaire et ascétique, qu'on a des chevaux et si peu
>> d'attaches matérielles ?
Cette réflexion me vient essentiellement de là :
http://cetcopra.univ-paris1.fr/Documents/Illusion_de_la_fatalite.pdf
> Les peuples précolombiens avaient des chevaux ? Les
> amérindiens sûrement mais je ne vois pas le rapport, ils
> avaient des travois qui transportaient leurs possessions
> (comme leurs tentes).
Ca doit sûrement expliquer le fait qu'ils parlaient de "cheval
de fer" plutôt que de "brouette infernale"...
Sans rire, au nom de quoi la non-utilisation d'un outil est
synonyme de l'ignorance de son existence ? (on est pas si loin
de la programmation au fond, ce troll a peut-être une petite
chance de revenir en charte !).
Je ne doute pas que les précolombiens aient pu être surpris de
voir les différentes utilisations que les colons avaient de la
roue. Mais je doute qu'ils en aient découvert le principe de
la sorte.
> Même dans une société sédentaire, la roue est utile ne
> serait-ce que pour pousser une brouette.
Définir "utile" chez les précolombiens. Pourquoi pousser une
brouette quand on peut se contenter de tirer un travois ou un
traîneau ?
Ces gens n'étaient pas simplement sédentaires, le point
crucial, je crois l'avoir dis, était leur ascétisme, pour bien
des choses sans doute, et notamment pour la roue qu'ils
connaissaient vraisemblablement déjà.
On ne sait finalement pas grand-chose de ces gens,
on a littéralement atomisé leurs cultures millénaires en moins
d'un siècle et 500 ans plus tard, on ramasse des morceaux
de-ci de-là. Mais on a avancé quand-même, car la question
n'est plus de savoir s'il étaient capables d'inventer la roue,
ni même de savoir s'il l'ont vraiment fait à un moment donné
(manifestement oui), mais plutôt pourquoi ne l'ont-ils pas
utilisé ? Et l'explication qui me semble être la plus
raisonnable, c'est déjà qu'ils ne voulaient pas, ils n'en
ressentaient pas le besoin.
Michael DOUBEZ wrote:
> Alexandre BACQUART wrote:
>> Michael DOUBEZ wrote:
>>> Sylvain SF wrote:
>>>> Michael DOUBEZ a écrit :
>>>>> Bien sûr, c'est jusqu'à preuve du contraire.
>>>> ou comprendre ce que l'on lit.
>> Ce n'est pas un manque d'ingéniosité qui a empêché les
>> amérindiens d'utiliser la roue, mais leur ascétisme. La
>> roue était pour eux "quelque-chose qu'il est inutile de
>> mettre en oeuvre", à défaut d'inventer. Qu'y a-t-il
>> d'avantageux à avoir des brouettes quand on est un peuple
>> sédentaire et ascétique, qu'on a des chevaux et si peu
>> d'attaches matérielles ?
Cette réflexion me vient essentiellement de là :
http://cetcopra.univ-paris1.fr/Documents/Illusion_de_la_fatalite.pdf
> Les peuples précolombiens avaient des chevaux ? Les
> amérindiens sûrement mais je ne vois pas le rapport, ils
> avaient des travois qui transportaient leurs possessions
> (comme leurs tentes).
Ca doit sûrement expliquer le fait qu'ils parlaient de "cheval
de fer" plutôt que de "brouette infernale"...
Sans rire, au nom de quoi la non-utilisation d'un outil est
synonyme de l'ignorance de son existence ? (on est pas si loin
de la programmation au fond, ce troll a peut-être une petite
chance de revenir en charte !).
Je ne doute pas que les précolombiens aient pu être surpris de
voir les différentes utilisations que les colons avaient de la
roue. Mais je doute qu'ils en aient découvert le principe de
la sorte.
> Même dans une société sédentaire, la roue est utile ne
> serait-ce que pour pousser une brouette.
Définir "utile" chez les précolombiens. Pourquoi pousser une
brouette quand on peut se contenter de tirer un travois ou un
traîneau ?
Ces gens n'étaient pas simplement sédentaires, le point
crucial, je crois l'avoir dis, était leur ascétisme, pour bien
des choses sans doute, et notamment pour la roue qu'ils
connaissaient vraisemblablement déjà.
On ne sait finalement pas grand-chose de ces gens,
on a littéralement atomisé leurs cultures millénaires en moins
d'un siècle et 500 ans plus tard, on ramasse des morceaux
de-ci de-là. Mais on a avancé quand-même, car la question
n'est plus de savoir s'il étaient capables d'inventer la roue,
ni même de savoir s'il l'ont vraiment fait à un moment donné
(manifestement oui), mais plutôt pourquoi ne l'ont-ils pas
utilisé ? Et l'explication qui me semble être la plus
raisonnable, c'est déjà qu'ils ne voulaient pas, ils n'en
ressentaient pas le besoin.
Michael DOUBEZ wrote:
> Alexandre BACQUART wrote:
>> Michael DOUBEZ wrote:
>>> Sylvain SF wrote:
>>>> Michael DOUBEZ a écrit :
>>>>> Bien sûr, c'est jusqu'à preuve du contraire.
>>>> ou comprendre ce que l'on lit.
>> Ce n'est pas un manque d'ingéniosité qui a empêché les
>> amérindiens d'utiliser la roue, mais leur ascétisme. La
>> roue était pour eux "quelque-chose qu'il est inutile de
>> mettre en oeuvre", à défaut d'inventer. Qu'y a-t-il
>> d'avantageux à avoir des brouettes quand on est un peuple
>> sédentaire et ascétique, qu'on a des chevaux et si peu
>> d'attaches matérielles ?
Cette réflexion me vient essentiellement de là :
http://cetcopra.univ-paris1.fr/Documents/Illusion_de_la_fatalite.pdf
> Les peuples précolombiens avaient des chevaux ? Les
> amérindiens sûrement mais je ne vois pas le rapport, ils
> avaient des travois qui transportaient leurs possessions
> (comme leurs tentes).
Ca doit sûrement expliquer le fait qu'ils parlaient de "cheval
de fer" plutôt que de "brouette infernale"...
Sans rire, au nom de quoi la non-utilisation d'un outil est
synonyme de l'ignorance de son existence ? (on est pas si loin
de la programmation au fond, ce troll a peut-être une petite
chance de revenir en charte !).
Je ne doute pas que les précolombiens aient pu être surpris de
voir les différentes utilisations que les colons avaient de la
roue. Mais je doute qu'ils en aient découvert le principe de
la sorte.
> Même dans une société sédentaire, la roue est utile ne
> serait-ce que pour pousser une brouette.
Définir "utile" chez les précolombiens. Pourquoi pousser une
brouette quand on peut se contenter de tirer un travois ou un
traîneau ?
Ces gens n'étaient pas simplement sédentaires, le point
crucial, je crois l'avoir dis, était leur ascétisme, pour bien
des choses sans doute, et notamment pour la roue qu'ils
connaissaient vraisemblablement déjà.
On ne sait finalement pas grand-chose de ces gens,
on a littéralement atomisé leurs cultures millénaires en moins
d'un siècle et 500 ans plus tard, on ramasse des morceaux
de-ci de-là. Mais on a avancé quand-même, car la question
n'est plus de savoir s'il étaient capables d'inventer la roue,
ni même de savoir s'il l'ont vraiment fait à un moment donné
(manifestement oui), mais plutôt pourquoi ne l'ont-ils pas
utilisé ? Et l'explication qui me semble être la plus
raisonnable, c'est déjà qu'ils ne voulaient pas, ils n'en
ressentaient pas le besoin.
Alexandre BACQUART wrote:
> Michael DOUBEZ wrote:
>> Alexandre BACQUART wrote:
>>> Michael DOUBEZ wrote:
>>>> Sylvain SF wrote:
>>>>> Michael DOUBEZ a écrit :
[snip]
>> Les peuples précolombiens avaient des chevaux ? Les
>> amérindiens sûrement mais je ne vois pas le rapport, ils
>> avaient des travois qui transportaient leurs possessions
>> (comme leurs tentes).
> Ca doit sûrement expliquer le fait qu'ils parlaient de
> "cheval de fer" plutôt que de "brouette infernale"...
Les peuples précolombiens sont ceux qui vivaient dans le
continent sud-américain
et si je me souviens bien, n'avaient pas de chevaux (ou ne les
utilisaient pas, ce qui revient au même).
> On ne sait finalement pas grand-chose de ces gens, on a
> littéralement atomisé leurs cultures millénaires en moins
> d'un siècle et 500 ans plus tard, on ramasse des morceaux
> de-ci de-là. Mais on a avancé quand-même, car la question
> n'est plus de savoir s'il étaient capables d'inventer la
> roue, ni même de savoir s'il l'ont vraiment fait à un moment
> donné (manifestement oui), mais plutôt pourquoi ne l'ont-ils
> pas utilisé ? Et l'explication qui me semble être la plus
> raisonnable, c'est déjà qu'ils ne voulaient pas, ils n'en
> ressentaient pas le besoin.
Ils n'en avaient pas le besoin pour la même raison que je n'ai
pas besoin de skis pour me déplacer. Ce qui explique que le
télémark ait été inventé en montage. Comme je l'ai dit
surement l'absence d'animaux de traits et de route
carrossables.
> Et que quand-bien même un colon tout seul serait venu leur
> raconter tout ce qu'on peut faire de chouette avec une roue
> aujourd'hui, tout cet or de *notre* monde ne valait
> peut-être pas l'attachement qu'ils portaient à leurs terres
> et leurs modes de vies.
Je ne sais pas. Je ne parle pas leur langue et je ne les ait
jamais rencontré. Qu'ils aient tenu à leur terre ne fait pas
de doute; au minimum autant qu'une hermine tiens à sa peau je
suppose :)
Alexandre BACQUART wrote:
> Michael DOUBEZ wrote:
>> Alexandre BACQUART wrote:
>>> Michael DOUBEZ wrote:
>>>> Sylvain SF wrote:
>>>>> Michael DOUBEZ a écrit :
[snip]
>> Les peuples précolombiens avaient des chevaux ? Les
>> amérindiens sûrement mais je ne vois pas le rapport, ils
>> avaient des travois qui transportaient leurs possessions
>> (comme leurs tentes).
> Ca doit sûrement expliquer le fait qu'ils parlaient de
> "cheval de fer" plutôt que de "brouette infernale"...
Les peuples précolombiens sont ceux qui vivaient dans le
continent sud-américain
et si je me souviens bien, n'avaient pas de chevaux (ou ne les
utilisaient pas, ce qui revient au même).
> On ne sait finalement pas grand-chose de ces gens, on a
> littéralement atomisé leurs cultures millénaires en moins
> d'un siècle et 500 ans plus tard, on ramasse des morceaux
> de-ci de-là. Mais on a avancé quand-même, car la question
> n'est plus de savoir s'il étaient capables d'inventer la
> roue, ni même de savoir s'il l'ont vraiment fait à un moment
> donné (manifestement oui), mais plutôt pourquoi ne l'ont-ils
> pas utilisé ? Et l'explication qui me semble être la plus
> raisonnable, c'est déjà qu'ils ne voulaient pas, ils n'en
> ressentaient pas le besoin.
Ils n'en avaient pas le besoin pour la même raison que je n'ai
pas besoin de skis pour me déplacer. Ce qui explique que le
télémark ait été inventé en montage. Comme je l'ai dit
surement l'absence d'animaux de traits et de route
carrossables.
> Et que quand-bien même un colon tout seul serait venu leur
> raconter tout ce qu'on peut faire de chouette avec une roue
> aujourd'hui, tout cet or de *notre* monde ne valait
> peut-être pas l'attachement qu'ils portaient à leurs terres
> et leurs modes de vies.
Je ne sais pas. Je ne parle pas leur langue et je ne les ait
jamais rencontré. Qu'ils aient tenu à leur terre ne fait pas
de doute; au minimum autant qu'une hermine tiens à sa peau je
suppose :)
Alexandre BACQUART wrote:
> Michael DOUBEZ wrote:
>> Alexandre BACQUART wrote:
>>> Michael DOUBEZ wrote:
>>>> Sylvain SF wrote:
>>>>> Michael DOUBEZ a écrit :
[snip]
>> Les peuples précolombiens avaient des chevaux ? Les
>> amérindiens sûrement mais je ne vois pas le rapport, ils
>> avaient des travois qui transportaient leurs possessions
>> (comme leurs tentes).
> Ca doit sûrement expliquer le fait qu'ils parlaient de
> "cheval de fer" plutôt que de "brouette infernale"...
Les peuples précolombiens sont ceux qui vivaient dans le
continent sud-américain
et si je me souviens bien, n'avaient pas de chevaux (ou ne les
utilisaient pas, ce qui revient au même).
> On ne sait finalement pas grand-chose de ces gens, on a
> littéralement atomisé leurs cultures millénaires en moins
> d'un siècle et 500 ans plus tard, on ramasse des morceaux
> de-ci de-là. Mais on a avancé quand-même, car la question
> n'est plus de savoir s'il étaient capables d'inventer la
> roue, ni même de savoir s'il l'ont vraiment fait à un moment
> donné (manifestement oui), mais plutôt pourquoi ne l'ont-ils
> pas utilisé ? Et l'explication qui me semble être la plus
> raisonnable, c'est déjà qu'ils ne voulaient pas, ils n'en
> ressentaient pas le besoin.
Ils n'en avaient pas le besoin pour la même raison que je n'ai
pas besoin de skis pour me déplacer. Ce qui explique que le
télémark ait été inventé en montage. Comme je l'ai dit
surement l'absence d'animaux de traits et de route
carrossables.
> Et que quand-bien même un colon tout seul serait venu leur
> raconter tout ce qu'on peut faire de chouette avec une roue
> aujourd'hui, tout cet or de *notre* monde ne valait
> peut-être pas l'attachement qu'ils portaient à leurs terres
> et leurs modes de vies.
Je ne sais pas. Je ne parle pas leur langue et je ne les ait
jamais rencontré. Qu'ils aient tenu à leur terre ne fait pas
de doute; au minimum autant qu'une hermine tiens à sa peau je
suppose :)
En fait, les Incas avaient des lamas, qui servaient d'animaux
de bât, et aurait pû, je crois, servir d'animaux de trait ; ils
avaient aussi un système de routes assez évoluées qui aurait pû
être amenagé facilement en routes carrossables.
Et que quand-bien même un colon tout seul serait venu leur
raconter tout ce qu'on peut faire de chouette avec une roue
aujourd'hui, tout cet or de *notre* monde ne valait
peut-être pas l'attachement qu'ils portaient à leurs terres
et leurs modes de vies.Je ne sais pas. Je ne parle pas leur langue et je ne les ait
jamais rencontré. Qu'ils aient tenu à leur terre ne fait pas
de doute; au minimum autant qu'une hermine tiens à sa peau je
suppose :)
Au contraire. Au moins les indiens sur la côte atlantique des
États-unis ont volentairement cédé une partie de leur terre aux
colonistes. Ils ne savaient pas ce qui leur attendait.
En fait, les Incas avaient des lamas, qui servaient d'animaux
de bât, et aurait pû, je crois, servir d'animaux de trait ; ils
avaient aussi un système de routes assez évoluées qui aurait pû
être amenagé facilement en routes carrossables.
Et que quand-bien même un colon tout seul serait venu leur
raconter tout ce qu'on peut faire de chouette avec une roue
aujourd'hui, tout cet or de *notre* monde ne valait
peut-être pas l'attachement qu'ils portaient à leurs terres
et leurs modes de vies.
Je ne sais pas. Je ne parle pas leur langue et je ne les ait
jamais rencontré. Qu'ils aient tenu à leur terre ne fait pas
de doute; au minimum autant qu'une hermine tiens à sa peau je
suppose :)
Au contraire. Au moins les indiens sur la côte atlantique des
États-unis ont volentairement cédé une partie de leur terre aux
colonistes. Ils ne savaient pas ce qui leur attendait.
En fait, les Incas avaient des lamas, qui servaient d'animaux
de bât, et aurait pû, je crois, servir d'animaux de trait ; ils
avaient aussi un système de routes assez évoluées qui aurait pû
être amenagé facilement en routes carrossables.
Et que quand-bien même un colon tout seul serait venu leur
raconter tout ce qu'on peut faire de chouette avec une roue
aujourd'hui, tout cet or de *notre* monde ne valait
peut-être pas l'attachement qu'ils portaient à leurs terres
et leurs modes de vies.Je ne sais pas. Je ne parle pas leur langue et je ne les ait
jamais rencontré. Qu'ils aient tenu à leur terre ne fait pas
de doute; au minimum autant qu'une hermine tiens à sa peau je
suppose :)
Au contraire. Au moins les indiens sur la côte atlantique des
États-unis ont volentairement cédé une partie de leur terre aux
colonistes. Ils ne savaient pas ce qui leur attendait.
James Kanze wrote:
>>> Et que quand-bien même un colon tout seul serait venu leur
>>> raconter tout ce qu'on peut faire de chouette avec une
>>> roue aujourd'hui, tout cet or de *notre* monde ne valait
>>> peut-être pas l'attachement qu'ils portaient à leurs
>>> terres et leurs modes de vies.
>> Je ne sais pas. Je ne parle pas leur langue et je ne les
>> ait jamais rencontré. Qu'ils aient tenu à leur terre ne
>> fait pas de doute; au minimum autant qu'une hermine tiens à
>> sa peau je suppose :)
> Au contraire. Au moins les indiens sur la côte atlantique
> des États-unis ont volentairement cédé une partie de leur
> terre aux colonistes. Ils ne savaient pas ce qui leur
> attendait.
Tu dois parler de l'ile de manhattan.
James Kanze wrote:
>>> Et que quand-bien même un colon tout seul serait venu leur
>>> raconter tout ce qu'on peut faire de chouette avec une
>>> roue aujourd'hui, tout cet or de *notre* monde ne valait
>>> peut-être pas l'attachement qu'ils portaient à leurs
>>> terres et leurs modes de vies.
>> Je ne sais pas. Je ne parle pas leur langue et je ne les
>> ait jamais rencontré. Qu'ils aient tenu à leur terre ne
>> fait pas de doute; au minimum autant qu'une hermine tiens à
>> sa peau je suppose :)
> Au contraire. Au moins les indiens sur la côte atlantique
> des États-unis ont volentairement cédé une partie de leur
> terre aux colonistes. Ils ne savaient pas ce qui leur
> attendait.
Tu dois parler de l'ile de manhattan.
James Kanze wrote:
>>> Et que quand-bien même un colon tout seul serait venu leur
>>> raconter tout ce qu'on peut faire de chouette avec une
>>> roue aujourd'hui, tout cet or de *notre* monde ne valait
>>> peut-être pas l'attachement qu'ils portaient à leurs
>>> terres et leurs modes de vies.
>> Je ne sais pas. Je ne parle pas leur langue et je ne les
>> ait jamais rencontré. Qu'ils aient tenu à leur terre ne
>> fait pas de doute; au minimum autant qu'une hermine tiens à
>> sa peau je suppose :)
> Au contraire. Au moins les indiens sur la côte atlantique
> des États-unis ont volentairement cédé une partie de leur
> terre aux colonistes. Ils ne savaient pas ce qui leur
> attendait.
Tu dois parler de l'ile de manhattan.
Tu dois parler de l'ile de manhattan.
Non particulièrement. Ni à Jamestown, ni à Plymouth les indiens
ne se sont pas opposés à l'installation des blancs. Dans les
deux cas, d'ailleurs, la survie de la colonie est due à l'aide
apportée par les indiens.
Vue les suites, on pourrait dire qu'ils ont eu tort. Ou comme
j'ai lu quelque part : tous les problèmes des États-unis
viennent d'une politique d'immigration trop libérale... de la
part des indiens.
Tu dois parler de l'ile de manhattan.
Non particulièrement. Ni à Jamestown, ni à Plymouth les indiens
ne se sont pas opposés à l'installation des blancs. Dans les
deux cas, d'ailleurs, la survie de la colonie est due à l'aide
apportée par les indiens.
Vue les suites, on pourrait dire qu'ils ont eu tort. Ou comme
j'ai lu quelque part : tous les problèmes des États-unis
viennent d'une politique d'immigration trop libérale... de la
part des indiens.
Tu dois parler de l'ile de manhattan.
Non particulièrement. Ni à Jamestown, ni à Plymouth les indiens
ne se sont pas opposés à l'installation des blancs. Dans les
deux cas, d'ailleurs, la survie de la colonie est due à l'aide
apportée par les indiens.
Vue les suites, on pourrait dire qu'ils ont eu tort. Ou comme
j'ai lu quelque part : tous les problèmes des États-unis
viennent d'une politique d'immigration trop libérale... de la
part des indiens.