Ah ça m'énerve, y'a une vanne à faire mais j'arrive pas à trouver la bonne tournure...
Elle a tiré Descartes ? Même lui ???
C'était dans l'esprit, mais je voyais plutôt un truc du genre : "A son âge elle ne peut plus tirer que ça"...
Je ne vous étonnerai pas en admettant que j'ai réfléchi à votre problème. Je pense qu'on ne peut rien faire de propre à cause de la dissymétrie du verbe "tirer" dans l'acception qui nous intéresse. On entend facilement "Alain a tiré Monique", mais avec difficulté "Monique a tiré Alain". Alors que dans un contexte villageois "Monique s'est tirée Alain"(*) passera plus ou moins...
(*) Bien différent de "Monique s'est faite tirée par Alain", bien entendu.
PS: puisque nous sommes dans la haute littérature, je vous fais part de ma grande joie de l'honneur fait à Jean-Marie Gustave.
-- Pierre Maurette
Barbara, le 09/10/2008 a écrit :
Jeffbie wrote:
Ah ça m'énerve, y'a une vanne à faire mais j'arrive pas à trouver la
bonne tournure...
Elle a tiré Descartes ? Même lui ???
C'était dans l'esprit, mais je voyais plutôt un truc du genre : "A son âge
elle ne peut plus tirer que ça"...
Je ne vous étonnerai pas en admettant que j'ai réfléchi à votre
problème. Je pense qu'on ne peut rien faire de propre à cause de la
dissymétrie du verbe "tirer" dans l'acception qui nous intéresse.
On entend facilement "Alain a tiré Monique", mais avec difficulté
"Monique a tiré Alain". Alors que dans un contexte villageois "Monique
s'est tirée Alain"(*) passera plus ou moins...
(*) Bien différent de "Monique s'est faite tirée par Alain", bien
entendu.
PS: puisque nous sommes dans la haute littérature, je vous fais part de
ma grande joie de l'honneur fait à Jean-Marie Gustave.
Ah ça m'énerve, y'a une vanne à faire mais j'arrive pas à trouver la bonne tournure...
Elle a tiré Descartes ? Même lui ???
C'était dans l'esprit, mais je voyais plutôt un truc du genre : "A son âge elle ne peut plus tirer que ça"...
Je ne vous étonnerai pas en admettant que j'ai réfléchi à votre problème. Je pense qu'on ne peut rien faire de propre à cause de la dissymétrie du verbe "tirer" dans l'acception qui nous intéresse. On entend facilement "Alain a tiré Monique", mais avec difficulté "Monique a tiré Alain". Alors que dans un contexte villageois "Monique s'est tirée Alain"(*) passera plus ou moins...
(*) Bien différent de "Monique s'est faite tirée par Alain", bien entendu.
PS: puisque nous sommes dans la haute littérature, je vous fais part de ma grande joie de l'honneur fait à Jean-Marie Gustave.